12/06/2024
Un savoir aide à prendre de bonnes décisions.
Les 5 plus grands regrets des mourants :
Infirmière en soins palliatifs, Bronnie Ware a recueilli les témoignages de ceux qui, aux dernier jours, dressaient le bilan de vie.
1- J’aurais préféré vivre ma vie, pas celle des autres.
« C’était le regret le plus commun. Quand les gens réalisent que leur vie touche à sa fin et qu’ils jettent un regard clair sur leur existence, il est aisé de constater combien de projets n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et doivent mourir en ayant conscience que cela est dû aux choix qu’ils ont faits, où qu’ils n’ont pas faits.
2- J’aurais dû travailler moins.
« C’est un regret qui revient chez tous les patients masculins que j’ai eus à soigner. Ils n’ont pas vu leurs enfants grandir, et n’ont pas prêté assez d’attention à leur compagne. »
3- J’aurais dû assumer mes sentiments.
« Beaucoup de gens taisent leurs sentiments afin d’éviter le conflit avec les autres. En résulte qu’ils s’installent dans une existence médiocre et ne deviennent jamais ce qu’ils auraient pu être. A cause de cela, beaucoup d’entre eux développent des maladies liées à leur amertume et leurs ressentiments. »
4- J’aurais dû rester proche de mes amis.
« Souvent, les patients ne réalisent pas tout ce que peuvent leur apporter leurs vieux amis jusqu’aux dernières semaines de leur existence. Quand ils s’en rendent compte, il est souvent trop t**d pour retrouver leur trace. Souvent, certains sont tellement pris par leur propre existence qu’ils ont laissé filer de précieux amis au fil des années. Beaucoup regrettent de ne pas avoir donné à leurs amis le temps qu’ils méritaient. »
5- J’aurais dû m’accorder le droit au bonheur.
« C’est un regret étrangement récurrent. Beaucoup ne se sont pas rendus compte durant leur vie que la joie est un choix. Ils sont restés rivés à leur comportement habituel et leurs habitudes. Ce que l’on appelle « le confort » de la familiarité a éteint leurs émotions et leur vie physique. La peur du changement leur a fait prétendre qu’ils étaient heureux ainsi, alors que, au fond, ils rêveraient de pouvoir encore rire ou faire des bêtises dans leurs vies. »
***
Tant que l'on est en vie, profitons pour vivre pleinement, aimer et oser Être !
Et au moment de quitter ce corps, sachons que ceux que nous aimons et qui sont déjà partis, peuvent nous rejoindre en esprit, y compris les animaux que l'on a aimé.
*****
https://www.facebook.com/alasourcedubonheur/