Cabinet Richard Gairy

Cabinet Richard Gairy Je pratique l'hypnose et les Thérapies Brèves en m'inspirant de l'école de Palo-Alto et de ses fi

LA THÉRAPIE DE COUPLE, POURQUOI? POUR QUI?La thérapie de couple est de plus en plus utilisée pour surmonter les difficul...
28/09/2020

LA THÉRAPIE DE COUPLE, POURQUOI? POUR QUI?

La thérapie de couple est de plus en plus utilisée pour surmonter les difficultés de la vie à deux.

Pourquoi demander de l’aide?
Pourquoi suivre une thérapie de couple?

Quand la communication est rompue, que les disputes se multiplient, qu'on a l'impression de répéter les mêmes conflits, que nos efforts pour trouver un compromis restent vains, que l'ennui mine notre couple, que l'on reproche à l'autre d'être la cause de notre souffrance, qu’il y a de la jalousie, des difficultés de conciliation travail-famille, l’ arrivée d’un bébé, l’infidélité, la perte de désir,… il est peut-être temps, voir urgent d'envisager une thérapie de couple.

Souvent, les couples décident de consulter lorsqu'ils croient que la séparation est imminente. C'est la dernière chance, mais mieux vaut éviter toutes ces souffrances et consulter plus tôt.

La thérapie conjugale se concentre sur la relation entre les deux conjoints, tout en permettant l'exploration des composantes individuelles qui ont créé les impasses conjugales, ainsi des séances en couple et individuelles peuvent s’enchainer.

Le but n'est pas de sauver ni casser le couple à tout prix, mais d'aider les conjoints à comprendre les raisons de leurs difficultés et a trouver un mieux être qui peut vouloir dire de se séparer ou de (r)établir une relation satisfaisante, épanouissante.

27/09/2020
ANALYSER MA RELATION AU TRAVAIL : EPUISEMENT PROFESSIONNEL (BURN OUT), DEPERSONNALISATION OU PERTE D’EMPATHIE, ACCOMPLIS...
22/06/2020

ANALYSER MA RELATION AU TRAVAIL : EPUISEMENT PROFESSIONNEL (BURN OUT), DEPERSONNALISATION OU PERTE D’EMPATHIE, ACCOMPLISSEMENT AU TRAVAIL

Nos quotidiens personnel et professionnel viennent d’être bousculés, de nouvelles réflexions apparaissent, prenez le temps d’utiliser le Test d’Inventaire de BurnOut de Maslach, c’est un bon outil d’objectivation

Mon ado refuse de suivre les directives de distanciation socialeIl est possible que votre adolescent se sente invincible...
16/05/2020

Mon ado refuse de suivre les directives de distanciation sociale

Il est possible que votre adolescent se sente invincible, tout-puissant, spécial, ou pas du tout concerné par les directives générales. Il s’agit d’un sentiment normal à l’adolescence : face à la pandémie, cela peut l’amener à ne pas respecter les consignes d’isolement ou de distanciation sociale.

Si c’est le cas, il est important d’expliquer clairement et calmement que ce ne sont pas des consignes qui viennent de vous, ses parents, mais des autorités sanitaires du pays, et que ces consignes s’appliquent à tout le monde. On peut prendre le temps d’échanger pour expliquer pourquoi ces mesures sont essentielles en ce moment afin de protéger la santé des personnes vulnérables ou plus à risque. Vous pouvez en profiter pour écouter leurs émotions face aux mesures et à la situation, ce qui vous aidera à mieux comprendre leurs réactions.

Il est important de donner aux adolescents des informations justes et précises, provenant de sources journalistiques fiables. Afin de s’assurer qu’ils ont compris, il est parfois utile de valider, de leur demander d’expliquer ce qu’ils ont compris. Il n’est pas rare que des interprétations erronées surgissent au fils des lectures sur les réseaux, ce qui donne l’occasion aux parents de rectifier l’information.

Aussi, il peut être utile d’écouter les infos ou une émission sur le thème avec eux, au besoin, et d’en discuter ensemble par la suite.

De plus, à l’adolescence, l’anxiété, l’insécurité et les peurs peuvent parfois se traduire par de l’irritabilité et de l’hostilité. Il est possible que votre adolescent, malgré son âge et sa maturité, soit inquiet et qu’il ait tout simplement besoin d’être rassuré, comme nous tous.

Les parents servent d’exemple. En ce sens, il est préférable d’éviter de faire semblant que tout va bien ou de minimiser la situation. Vous pouvez partager quelques-unes de vos inquiétudes et de vos vulnérabilités. À petite dose, cela pourra éventuellement permettre à votre adolescent de comprendre votre position, vos pensées, vos sentiments, et de comprendre qu’il est normal aussi pour lui de se sentir parfois vulnérable et impuissant.

Les adolescents sont des êtres sociaux avant tout : les amis et les premières relations amoureuses sont extrêmement importants pour eux. Il est normal qu’ils ne choisissent pas de passer du temps avec leurs parents : ils recherchent l’indépendance et l’autonomie. Il est facile, de nos jours, de maintenir des contacts sociaux à travers la technologie. La période de crise actuelle n’est peut-être pas le bon moment pour restreindre les heures devant leur écran.

Aussi, il peut être utile de reconnaitre, comme parent, que l’on n’a pas réponse à tout, et des limites. Vous pouvez même demander à votre adolescent(e) de trouver (en recherchant parmi des sources fiables), les réponses que vous n’avez pas aux questions qu’il vous pose.

Il est possible que votre adolescent(e) pense que la génération de ses parents est responsable de tous les maux de la terre, dont la pandémie. Ils vivent une période d’égocentrisme (où ils sont centrés sur eux-mêmes) : ils peuvent alors diriger leur colère envers les générations précédentes.

Cependant, il est possible de canaliser cette colère vers des actions sociales. Ils peuvent se mobiliser plus facilement avec leurs pairs pour une cause commune, et être moins enthousiastes devant les idées de leurs parents…

Lorsqu’on encourage leur autonomie, ils sont capables de former des groupes pour trouver des solutions, s’impliquer activement auprès de personnes vulnérables, dans leur famille ou leur entourage (tout en respectant les règles d’hygiène).

Au lieu de vouloir les convaincre que ce n’est pas de votre faute, demandez leur ce qu’ils peuvent faire pour contribuer à la solution et encouragez leurs efforts d’implication…et de protection.

DU TÉLÉ TRAVAIL AU TRAVAIL : LE STRESS DU DÉ-CONFINEMENTCe qui est fascinant avec le conditionnement de peur, c’est qu’i...
02/05/2020

DU TÉLÉ TRAVAIL AU TRAVAIL : LE STRESS DU DÉ-CONFINEMENT

Ce qui est fascinant avec le conditionnement de peur, c’est qu’il s’instaure habituellement en une seule exposition.

Beaucoup de victimes de trauma peuvent confirmer qu’il n’a fallu qu’un seul événement pour qu’elles aient peur à tout jamais de la situation les ayant traumatisées.

Bien que le conditionnement de peur explique les sentiments vécus par les personnes ayant été exposées à un événement traumatique, ce conditionnement s’applique aussi à d’autres formes de peur.

Ainsi, un conditionnement de peur, c’est un peu ce que nous vivons avec la pandémie de la COVID-19.

Auparavant, nous avions l’habitude de côtoyer (à moins d’un mètre) des dizaines de personnes chaque jour sans avoir peur de ces interactions sociales.

Ce contexte (les interactions sociales à moins d’un mètres) n’était associé à aucun danger et donc, aucun sentiment de peur.

Puis, vint la pandémie de la COVID-19 et les gouvernements ont déclaré l’urgence sanitaire en nous répétant que si on s’approchait à moins d’un mètre des gens, on augmentait la probabilité d’attraper ce virus qui peut être mortel.

Chez beaucoup d’entre nous, une seule exposition à cette information a suffi pour instaurer une peur très importante face aux interactions sociales de moins d’un mètre.

Au cours des dernières semaines, on a vu nombre d’exemples rapportant l’histoire de personnes hurlant à un autre individu de s’éloigner d’elles car elles étaient trop rapprochées et leur faisaient peur.

Ainsi, un contexte qui auparavant n’était associé à aucun sentiment de peur (les interactions sociales de moins d’un mètre) est devenu pour bien des gens un indicateur de danger, et donc un contexte qui leur fait maintenant très peur.

Les écoles ouvrent de nouveau progressivement à compter du 11 mai. Cette annonce a créé tout un émoi et de nombreux parents et professeurs ont manifesté leur peur en soulignant le fait qu’il leur serait impossible de renvoyer leurs enfants à l’école, un environnement rempli d’interactions sociales de moins d’un mètre et donc, très dangereux. Les sondages indiquent que la majorité des parents souhaitent garder leur enfants confinés.

Certaines personnes se sont étonnées de cette levée de bouclier, se demandant pourquoi quelqu’un refuserait de se déconfiner le jour où on nous dirait qu’il est maintenant possible de sortir de nos habitations et de commencer à interagir avec autrui.

Il y a deux raisons à cela.

D’abord, le déconfinement peut être très stressant. Certaines personnes sont très résistantes au stress, tandis que d’autres le sont moins. Il est à prévoir que les personnes qui ont une moins forte résistance au stress exigeront davantage d’informations sur la sécurité liée au déconfinement avant de sortir. À l’inverse, les personnes très résistantes au stress s’impatienteront de toutes les étapes qu’il faut suivre avant de se déconfiner complètement, tapant du pied sur le bord de la porte, prêtes à retourner travailler ou s’amuser.

La deuxième raison qui peut expliquer un recul face au déconfinement est liée au conditionnement de peur. Bien que les recherches aient montré qu’on peut généralement apprendre la peur en une seule exposition, il est de loin plus difficile et plus long d’apprendre à ne plus avoir peur !

Alors, bien que les personnes ayant une forte résistance au stress risquent de se lancer sur les pistes cyclables, les transports en commun ou autres activités de leur quotidien pré-COVID-19 dès le déconfinement, il est clair que les personnes ayant une faible ou moyenne résistance au stress risquent de continuer d’avoir peur de sortir plus longtemps.

Pour ces personnes, il sera essentiel d’apprendre à ne plus avoir peur des interactions sociales.

Pour réussir à se déconfiner sans trop de stress, ces personnes devront lentement s’exposer à des interactions sociales et réapprendre que ces expositions ne sont pas l’équivalent d’une mort certaine.

Et ce sera à force de réapprendre que les interactions sociales ne sont pas dangereuses que celles-ci pourront vivre un déconfinement sans trop de stress.

On aura compris ici que sur le plan du stress, un déconfinement progressif est de loin préférable à un déconfinement trop rapide, brutal.

L’ensemble des données scientifiques portant sur l’apprentissage de la peur et la résistance au stress nous mène à comprendre qu’il sera essentiel, lors du déconfinement, du retour sur les lieux de travail d’être compréhensif face au comportement des gens autour de nous.

Cela ne servira strictement à rien de juger une personne sur sa peur de sortir ou sur sa rapidité à passer le pas de sa porte.

Il existe d’énormes différences individuelles dans la réaction au stress et à la peur et c’est ce qui fait la beauté de la nature humaine.

En effet, ce sera en observant les personnes à forte résistance au stress sortir de leur habitation sans effets négatifs que les personnes à plus faible résistance au stress apprendront doucement à cesser d’avoir peur.

C’est ensemble qu’on y arrivera !

Des spécialistes sont également mobilisables pour accompagner et faciliter la reprise.

01/05/2020

CONFINEMENT ET ANXIÉTÉ

Pour l’anxiété, on recommande d’essayer de ne pas rester dans des pensées en boucle qui nous font souffrir.

On peut s’en dégager en allant vers des idées qui nous poussent à l’action. Exemple? Tenir un journal de bord, excellent exercice et passe-temps.

Mais surtout: prenez une pause de l’anxiété! Il faut se distraire comme on peut. Écouter une série qui nous fait plaisir, faire une marche, s'occuper de soi...

L’idée est d’introduire un distracteur (chose ou élément capable de détourner la pensée sur un autre objet). Autre outil: restez actif en gardant une routine, un rythme. Se lever et dormir suffisamment (le sommeil est fondamental à notre équilibre). Alterner les activités: intellectuelles, physiques, détente... Les répéter au cours de la journée.

Vous pouvez également télé-consulter votre psy, c'est un spécialiste.

Réussir son dé-confinement, sortir indemne psychologiquement de cette période.
01/05/2020

Réussir son dé-confinement, sortir indemne psychologiquement de cette période.

15/04/2020

la magie de la résilience

14/04/2020

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