Sophie GALOO, thérapeute holistique

Sophie GALOO, thérapeute holistique Enseignante, praticienne holistique, je vous accompagne sur le chemin de l’amour et confiance en VOUS

"Tu ne sauras pas l’expliquer tout de suite. Tu sentiras juste que quelque chose est différent.Que cette fois, il n’y a ...
29/08/2025

"Tu ne sauras pas l’expliquer tout de suite.
Tu sentiras juste que quelque chose est différent.
Que cette fois, il n’y a pas de jeu à jouer.
Pas de masque à porter.
Que tu peux respirer pleinement, sans te cacher.
Tu n’auras pas besoin de courir après l’attention.
Pas besoin de traduire tes émotions.
Cette personne parlera ton langage sans que tu aies à lever la voix.

Tu vas reconnaître cette fréquence.
Elle te calmera dès qu’elle entre dans la pièce.
Pas par des mots magiques, mais par une présence qui ne demande rien.
Qui ne cherche pas à te réparer.
Qui ne veut pas te transformer.
Juste t’accueillir, tel que tu es, sans surcharge ni condition.
Tu vas sentir que ton système nerveux peut enfin déposer les armes.

Ce n’est pas une passion qui brûle et s’éteint.
C’est une vibration stable.
Un rythme qui s’accorde au tien.
Quelqu’un qui ne panique pas quand tu tombes dans le silence.
Quelqu’un qui sait que l’intensité ne se mesure pas au chaos, mais à la capacité d’être là.
Vraiment là.
Sans fuir.
Sans détourner les yeux quand ça devient réel.

Tu ne ressentiras plus ce besoin de te justifier.
Tu n’auras plus à tout expliquer.
Parce qu’en face, il y aura un regard qui comprend au-delà des mots.
Une énergie qui s’aligne à la tienne, sans forcer, sans tirer, sans ralentir.
C’est doux.
C’est simple.
Et en même temps, c’est puissant.
Comme si le puzzle s’assemblait naturellement.

Avec cette personne, tu ne te sentiras plus « trop ».
Tu ne devras pas rétrécir pour tenir dans son monde.
Elle te laissera être vaste, sauvage, vulnérable.
Elle ne te demandera pas de cacher tes tempêtes.
Au contraire, elle saura danser sous la pluie avec toi.
Parce qu’elle en a traversé aussi.
Parce qu’elle sait ce que ça coûte de se déformer pour être aimé.

Ce lien-là ne viendra pas combler un vide.
Il viendra rencontrer ce que tu es déjà en train de devenir.
Il ne te sauvera pas du passé, il t’invitera à créer un futur.
Un futur où ton cœur n’aura plus à se méfier.
Où tu pourras aimer sans avoir à douter chaque soir.
Un futur où tu n’auras plus besoin de te convaincre que c’est toi le problème.

Et quand cette personne entrera dans ta vie, tu sauras.
Tu n’auras pas peur.
Tu ne sentiras pas d’urgence.
Tu ne te perdras pas dans une projection.
Tu seras prêt.
Parce que tu te seras déjà choisi.
Parce que ta fréquence sera claire.
Et les âmes claires attirent ce qui leur ressemble."

Francis Machabée

J'ACCUEILLE L'INCONNU DANS MA VIE.Toi l'inconnu, être ou événement, qui est encore dans l'invisible, toi, qui attends de...
28/08/2025

J'ACCUEILLE L'INCONNU DANS MA VIE.

Toi l'inconnu, être ou événement, qui est encore dans l'invisible, toi, qui attends de venir vers moi pour que j'avance encore, toi qui m’aimes et qui a du mal à m’atteindre quand mon ego prend le dessus, sache que je suis prête à plonger dans le vide de l'immensité de ton inconnu, à me séparer du connu pour vivre l'amour universel au-delà des étoiles.
Mon destin est choisi et assumé, je ne sais ce que sera demain, mais ce que je souhaite plus que tout, c'est que l'inconnu fasse partie de ma vie, car sans cela, comment aller vers d'autres lieux, d'autres rencontres, si l'on n'accepte pas l'inconnu dans la vie, source de surprises, de cadeaux ?
Pour sortir de la zone de confort, il est important de donner l'autorisation à cet inconnu de te faire aimer la vie sans peur, sans crainte, de te prendre la main et de cheminer avec toi. Il va te mener vers des sentiers invisibles à l’œil.
Est-ce que la nuit craint le jour ? Est-ce que ton besoin de sécurité est plus grand que ton désir de terres inconnues ? Est-ce que ton confort est plus grand que de passer une nuit sous le firmament avec comme seule lumière les étoiles ? Est-ce que ta vie triste, morne, sans saveur, ne mérite pas un vent de fraîcheur, un nouveau souffle, même si tu ne sais pas d’où il vient ?
Accueille l'inconnu sur ton chemin de vie, c'est une opportunité que l'univers te donne, t'offre, ne la laisse pas passer. Ose t’aventurer dans l’immensité à laquelle ton âme aspire et que Dieu a préparée pour toi.
Si cet inconnu est une personne, apprends à la connaitre, écoute ce qu'elle a à dire, intéresse-toi à qui elle est, apporte-lui ce que tu sais et reçois ce qu’elle a à donner.
Si c'est un événement, il vient vers toi, car tu l'as attiré. Au fond de toi, le désir est grand de bouger ta vie, mais souvent la peur de l’inconnu te freine et te fait oublier tes rêves. Dans ton inconscient, il y a quelque chose qui te demande de changer, de voir la vie autrement. Accueille cette ouverture.
Toi, l'inconnu, je t'aime de l'amour de la vie, je t'aime de l'immensité de l'univers, si bienveillant pour celui qui prend la route, sans se retourner vers ce qui n'est plus.

Monique Damel. La Voie de l'Etoile.

Dire AdieuIl y a des moments dans la vie où il faut dire « adieu ». Pas parce qu’on le veut, pas parce qu’on le choisit,...
27/08/2025

Dire Adieu

Il y a des moments dans la vie où il faut dire « adieu ». Pas parce qu’on le veut, pas parce qu’on le choisit, mais parce que la vie, dans son mouvement constant, nous y amène.

On dit adieu à une histoire dans laquelle on a investi tout ce qu’on pouvait : du temps, de l’énergie, de l’amour, des ressources, des rêves. On avait cru, sincèrement, que cela durerait, que cela tiendrait. On avait espéré que les efforts suffiraient à retenir ce qui semblait glisser entre nos doigts. Mais parfois, malgré tout ce qu’on donne, malgré tout ce qu’on met en jeu, cela ne marche pas. Et il faut accepter de lâcher.

On dit adieu à une personne. Non pas toujours dans la colère ou la rupture, mais parfois dans la douceur d’un constat : nos chemins ne sont plus faits pour se croiser. Le lien reste, la gratitude demeure, mais l’histoire change de forme. Et il y a une part de nous qui se dépose dans ce « adieu », une part qui sait que rien ne sera plus jamais exactement pareil.

On dit adieu à un lieu, à une maison, à un paysage qui nous a portés, qui nous a bercés, qui a vu grandir une portion de nous-mêmes. On ferme la porte une dernière fois, le cœur serré, avec ce mélange étrange de nostalgie et d’élan vers l’inconnu.

On dit adieu à un animal de compagnie, compagnon silencieux et fidèle qui a partagé nos joies et nos silences. Son départ laisse un vide immense, disproportionné au regard de sa taille, mais juste à la hauteur de sa présence dans nos vies.

Et puis il y a ces petits adieux du quotidien : une habitude qu’on abandonne, une saison qui s’achève, un rêve qu’on remet doucement à la rivière de l’impermanence.

Tous ces adieux nous rappellent une chose simple et essentielle : rien ne dure. Pas même nos joies, pas même nos peines. Tout passe. Tout se transforme. Et c’est peut-être là le plus grand cadeau que nous fait la vie : nous apprendre à aimer sans saisir, à apprécier sans retenir, à goûter chaque instant en sachant qu’il n’appartient qu’à maintenant.

Dire « adieu », c’est apprendre à honorer le passage. C’est reconnaître la beauté d’avoir vécu, même si cela s’achève. C’est un mot qui clôture, mais qui, paradoxalement, ouvre aussi : vers un nouveau chapitre, vers une autre expérience, vers un autre souffle.

Parce qu’au fond, chaque « adieu » est aussi un « bonjour ».

© Claude Legendre - Ours Sage 🐻‍❄️, 2025. Tous droits réservés.

Quand tu parles à quelqu’un et qu’il t’interrompt pour t’expliquer la vie, ce n’est pas un échange, c’est un théâtre où ...
26/08/2025

Quand tu parles à quelqu’un et qu’il t’interrompt pour t’expliquer la vie, ce n’est pas un échange, c’est un théâtre où il joue à la fois l’acteur et le public. Toi, tu n’es plus qu’un décor, juste utile pour qu’il ait l’impression de s’adresser à quelqu’un.

Tu ne dialogues pas avec sa conscience, mais avec son gardien de porte, l’ego. Et l’ego, c’est comme un douanier borné qui ne laisse passer que les marchandises qu’il connaît déjà. Tes mots, aussi précieux soient-ils, sont inspectés, étiquetés, puis refoulés ou repeints aux couleurs locales.

Si tu t’obstines à vouloir qu’il comprenne, tu te mets à pomper ton eau dans un puits qui fuit. L’énergie descend, mais elle se perd dans le sable avant d’atteindre la source. Et plus tu insistes, plus tu t’épuises, parce que le puits n’a jamais été construit pour recevoir ton eau, seulement pour renvoyer la sienne.

Il faut apprendre à déposer ta parole comme on dépose un galet dans une rivière. Tu le laisses rouler au gré du courant, tu ne le poursuis pas pour voir où il va, tu ne t’attends pas à ce que l’autre le ramasse. Tu l’as posé, c’est tout.

Un ego ne veut pas converser, il veut confirmer. Il t’invite dans une danse où les pas sont déjà écrits, où la musique est toujours la sienne. Si tu acceptes, tu danses sur son rythme et tu perds le tien. Si tu refuses poliment et que tu restes debout à observer, tu brises la chorégraphie et tu récupères ton souffle.

Quand tu parles à une conscience, c’est comme souffler dans une voile, le vent se transforme en mouvement, et vous avancez ensemble.

Quand tu parles à un ego, c’est comme souffler contre un mur, l’air revient en plein visage, et le mur reste intact.

Alors, dans le premier cas, souffle à pleine poitrine. Dans le second, range ton souffle et marche ailleurs.

Alexandra Éliéza

Rappel Les organes comme réservoirs émotionnelsLes organes de notre corps sont bien plus que de simples structures physi...
25/08/2025

Rappel

Les organes comme réservoirs émotionnels

Les organes de notre corps sont bien plus que de simples structures physiques, ils sont également le siège de nombreuses émotions, pensées et énergies. Parmi ces éléments, nos peurs, nos énergies basses, et nos vibrations basses sont stockées dans nos organes, ce qui peut avoir un impact significatif sur notre bien-être général.

Commençons par parler des peurs. Nos organes sont étroitement liés à notre système nerveux, qui joue un rôle essentiel dans la gestion des émotions, y compris la peur. Lorsque nous ressentons de la peur, notre corps réagit en activant notre système de lutte ou de fuite, ce qui prépare nos organes à réagir rapidement face à une menace perçue.

Cependant, si nous sommes confrontés à une situation stressante ou à des peurs récurrentes, nos organes peuvent finir par stocker ces émotions. Par exemple, le foie est associé à la colère et à la frustration, et il peut être affecté par des expériences de peur répétitive. De même, les reins, qui sont responsables du filtrage des toxines dans notre corps, peuvent être affaiblis par la peur chronique.

En ce qui concerne les énergies basses, il est important de comprendre que tout dans l'univers est composé d'énergie, y compris nos corps physiques. Les énergies basses sont généralement associées à des émotions négatives telles que la tristesse, la dépression, la colère et l'anxiété. Lorsque nous ressentons ces émotions de manière persistante, elles peuvent influencer nos organes en perturbant leur fonctionnement optimal.

Parlons des vibrations basses. Les vibrations font référence à la fréquence à laquelle nos organes et notre corps vibrent. Les vibrations basses sont généralement associées à des états de malaise, de déséquilibre et de mauvaise santé. Ces vibrations basses peuvent être causées par divers facteurs tels que le stress, les émotions négatives, une alimentation déséquilibrée et un manque d'exercice.

Lorsque nos organes sont exposés de manière continue à des émotions, pensées et énergies négatives, leurs vibrations peuvent devenir basses, ce qui peut perturber leur fonctionnement optimal. Il est donc essentiel de prendre soin de nos organes en cultivant des émotions positives, en pratiquant des techniques de relaxation, en mangeant sainement et en faisant de l'exercice régulièrement.

En travaillant sur nos émotions et en élevant nos vibrations, nous pouvons aider nos organes à retrouver un fonctionnement équilibré et à maintenir une bonne santé globale.

Comment ces émotions peuvent affecter chaque organe, les conséquences de ces perturbations et comment rétablir l'équilibre pour favoriser une santé optimale.

1. Le foie
- Stockage de la colère et de la frustration: Le foie est lié à l'expression de la colère et de la frustration. Des peurs et des énergies basses récurrentes peuvent entraîner des déséquilibres hépatiques, provoquant des manifestations telles que des problèmes digestifs, des migraines et un sentiment d'oppression. Pour rétablir l'équilibre du foie, il est important de libérer la colère de manière saine grâce à des techniques telles que la méditation, le yoga ou la thérapie.

2. Les reins
- Impact de la peur chronique: Les reins sont associés à la gestion de la peur. La peur chronique peut affaiblir les reins, entraînant des problèmes tels que des troubles urinaires, de la fatigue excessive et une diminution de la vitalité. Pour restaurer l'équilibre des reins, il est essentiel de cultiver la confiance et la sécurité émotionnelle, ainsi que de pratiquer des exercices de relaxation et de respiration profonde.

3. Le cœur
- Perturbations liées à l'anxiété et à la colère: Le cœur est influencé par des émotions telles que l'anxiété et la colère. Des énergies basses chroniques peuvent conduire à une augmentation du rythme cardiaque, une pression artérielle élevée et des risques accrus de problèmes cardiovasculaires. Pour restaurer l'équilibre cardiaque, il est important de pratiquer des activités qui favorisent la relaxation, la gratitude et l'amour, comme la méditation, le yoga ou la pleine conscience.

4. Les poumons
- Perturbations liées à l'anxiété et à la tristesse: Les poumons sont sensibles à l'anxiété et à la tristesse. Des vibrations basses peuvent entraîner une respiration superficielle, des problèmes respiratoires et une baisse de l'oxygénation du corps. Pour restaurer l'équilibre des poumons, il est recommandé de pratiquer des exercices de respiration profonde, de passer du temps dans la nature et d'utiliser des techniques de libération émotionnelle.

5. Le système digestif
- Conséquences des émotions négatives: Le système digestif est étroitement lié à nos émotions, et des vibrations basses peuvent perturber son fonctionnement optimal. Des émotions telles que l'anxiété, la colère et le stress peuvent entraîner des problèmes tels que des ballonnements, des ulcères et des troubles de l'appétit. Pour rétablir l'équilibre, il est recommandé d'adopter une alimentation saine et équilibrée, de pratiquer des exercices réguliers et de gérer le stress avec des techniques de relaxation.

6. La rate
- Impact de l'inquiétude et de l'obsession: La rate est étroitement liée à l'énergie émotionnelle de l'inquiétude et de l'obsession. Lorsque ces émotions négatives sont présentes de manière persistante, la rate peut être perturbée, entraînant des problèmes tels que des troubles digestifs, une faiblesse immunitaire et une fatigue excessive. Pour rétablir l'équilibre de la rate, il est important de pratiquer la gratitude, d'adopter des habitudes de pensée positives et de trouver des moyens de se détendre et de lâcher prise.

7. Le système immunitaire
- Perturbations émotionnelles et vibrations basses: Le système immunitaire, responsable de la défense de notre corps contre les infections et les maladies, est influencé par nos émotions et nos vibrations. Des émotions négatives et des vibrations basses peuvent affaiblir notre système immunitaire, nous rendant plus vulnérables aux maladies et aux infections. Pour renforcer notre système immunitaire, il est important de cultiver des émotions positives, d'avoir une alimentation équilibrée, de faire de l'exercice régulièrement et de réduire le stress dans notre vie.

8. Le cerveau
- Conséquences des énergies basses et des pensées négatives: Le cerveau, en tant qu'organe de contrôle de tout notre être, est extrêmement sensible à nos énergies et à nos pensées. Des énergies basses et des pensées négatives chroniques peuvent entraîner une détérioration de la santé mentale, une susceptibilité accrue au stress, ainsi que des problèmes cognitifs et émotionnels. Pour rétablir l'équilibre du cerveau, il est recommandé de pratiquer la méditation, la visualisation positive, l'auto-compassion et de cultiver une attitude mentale optimiste.

9. Les glandes surrénales
- Impact du stress chronique: Les glandes surrénales sont responsables de la production de cortisol, l'hormone du stress. Un stress chronique peut épuiser les glandes surrénales, entraînant une fatigue chronique, des troubles du sommeil, des problèmes hormonaux et une diminution de la résistance aux maladies. Pour restaurer l'équilibre des glandes surrénales, il est essentiel de gérer le stress avec des techniques de relaxation, de pratiquer des activités apaisantes et de veiller à un sommeil de qualité.

Il est important de souligner que ces exemples d'organes et de leurs perturbations émotionnelles ne sont pas exhaustifs. Chaque organe du corps est influencé par nos émotions, nos énergies et nos vibrations, et mérite une attention particulière pour maintenir un état d'équilibre et de bien-être optimal.

Nos organes sont des réservoirs émotionnels qui stockent nos peurs, nos énergies basses et nos vibrations basses. Chaque organe a ses propres conséquences spécifiques dues à ces perturbations. Pour restaurer l'équilibre et favoriser une santé optimale, il est essentiel de cultiver des émotions positives, de pratiquer des techniques de relaxation, d'adopter un mode de vie sain et de traiter les émotions négatives de manière adéquate.

En prenant conscience de cette relation entre nos organes et nos émotions, nous pouvons travailler à restaurer l'harmonie et l'équilibre dans notre corps en adoptant des pratiques et des habitudes qui favorisent des émotions positives et des vibrations élevées. En prenant soin de nos organes sur tous les plans, physique, émotionnel et spirituel, nous pouvons atteindre un état de bien-être global.

Marc Laoviah
Relayé par Lionel Dupont

Quand tu dis au revoir aux personnes qui t'ont utilisé et blessé, tu dois aussi dire au revoir à la version de toi qui a...
22/08/2025

Quand tu dis au revoir aux personnes qui t'ont utilisé et blessé, tu dois aussi dire au revoir à la version de toi qui a permis que cela arrive.

La version de toi qui voyait toujours le bon côté des gens. Celle qui donnait une chance à tout le monde, même quand ce n’était pas mérité. Celle qui ignorait les signes d’alerte juste pour se concentrer sur le positif.

Mais à un moment, il faut arrêter de chercher uniquement le bien chez les autres et commencer à voir ce qu’ils nous montrent vraiment.

Si tu conduis sur une autoroute et que tu ignores tous les panneaux rouges pour ne suivre que les verts, arriveras-tu à destination en sécurité ? Bien sûr que non.

Les panneaux verts indiquent le chemin, mais les rouges préviennent des dangers, comme les ralentisseurs ou les détours.

Dans la vie, c’est pareil. Il faut voir le bon côté des gens, mais aussi faire attention aux signes qui montrent qu’ils peuvent nous faire du mal.

Quelqu’un peut être généreux mais malhonnête, un bon parent mais émotionnellement distant, ou un excellent soutien financier mais blessant par ses paroles.

Ne laisse pas cette contradiction te bloquer. La réalité, c’est que si une personne ne fait pas d’efforts pour corriger ses comportements toxiques, la relation ne pourra pas fonctionner.

La version de toi qui acceptait d’être maltraitée juste parce qu’il y avait un peu de gentillesse à côté n’existe plus. Elle a fait son temps et a laissé place à une version plus forte et plus consciente.

Naniz JR.

On passe notre existence à courir après le bonheur.On le cherche partout : dans l’amour, l’amitié, le travail, les relat...
21/08/2025

On passe notre existence à courir après le bonheur.
On le cherche partout : dans l’amour, l’amitié, le travail, les relations…
On rêve d’un paradis personnel, d’une vie toujours meilleure pour soi et pour ceux qu’on chérit.

On s’agite, on s’empresse, de peur de passer à côté.
La vie défile à un rythme effréné : on repousse le moment de « profiter » à plus t**d, persuadés que le futur saura conjuguer ce verbe au plus-que-parfait.

On avance, tête baissée, mais est-ce vraiment vivre ?
On consacre tant d’énergie à poursuivre le bonheur, qu’on oublie de le goûter au présent. Le temps file et nous impose de faire des choix.

On accumule les rencontres, les rendez-vous, dispersés partout et finalement… présents nulle part.
Les liens que l’on tisse deviennent fragiles, faits de sable et de papier. Pendant ce temps, nos proches s’effacent un peu, les fissures apparaissent dans les fondations.

On cherche sans relâche, sans savoir exactement ce que l’on cherche.
On veut combler un manque, sans même pouvoir lui donner un nom.

Chaque minute doit être rentabilisée.
On promet de savourer plus t**d, mais pour l’instant, on poursuit une idée du bonheur dont on ne connaît ni la forme ni la saveur.

Et pourtant…
Le bonheur, c’est comme l’amour : ça ne s’explique pas, ça se ressent.
Quand il est là, c’est évident. Il n’y a plus de questions à se poser.

Alors, on court. On s’épuise. On espère que si on accélère encore, on le rattrapera enfin.
Pas question de ralentir, on risquerait de le manquer !

Mais peut-être qu’il n’est pas si loin…
Peut-être même qu’il est là, tout près. Peut-être que ta main le touche déjà sans que tu ne le saches.

Chaque instant que la vie t’offre porte en lui une étincelle de bonheur.
Tout dépend du regard que tu poses : vois-tu seulement la terre ou les fleurs qui y poussent ? T’arrêtes-tu pour observer le ciel et donner des formes aux nuages ?

Tu veux être heureux, mais vis-tu vraiment ?

Si tu te retournes sur ta vie, peux-tu dire que tu as pleinement vécu chaque instant ?
As-tu appris ce que signifie “Apprécier” ? Ce mot cousin de “Vivre” et frère de “Aimer”, tous avec une majuscule.

Il suffit parfois de s’abandonner aux plaisirs simples :
un repas partagé, un fou rire, une joie inattendue, ou juste la présence des êtres que tu aimes.

Le bonheur est une porte discrète. Il suffit de savoir l’ouvrir avec un sourire.
Un sourire qui ne coûte rien et qui pourtant vaut tout.

On peut passer sa vie à courir après la vie… sans jamais la trouver.
Ou bien… s’arrêter. Respirer. Et se rendre compte que le bonheur était là, depuis le début.

Anne V. Besnard

« On ne sait jamais qui a raison ou qui a tort.C'est difficile de juger. Moi, j'ai longtemps donné raison à tout le mond...
21/08/2025

« On ne sait jamais qui a raison ou qui a tort.
C'est difficile de juger. Moi, j'ai longtemps donné raison à tout le monde.
Jusqu'au jour où je me suis aperçu que la plupart des gens à qui je donnais raison avaient tort !
Donc, j'avais raison !
Par conséquent, j'avais tort !
Tort de donner raison à des gens qui avaient le tort de croire qu'ils avaient raison.
C'est-à-dire que moi qui n'avais pas tort, je n'avais aucune raison de ne pas donner tort à des gens qui prétendaient avoir raison, alors qu'ils avaient tort !
J'ai raison, non ? Puisqu'ils avaient tort !
Et sans raison, encore ! Là, j'insiste, parce que ... moi aussi, il arrive que j'aie tort.
Mais quand j'ai tort, j'ai mes raisons, que je ne donne pas.
Ce serait reconnaître mes torts !!!
J'ai raison, non ? Remarquez ... il m'arrive aussi de donner raison à des gens qui ont raison.
Mais, là encore, c'est un tort.
C'est comme si je donnais tort à des gens qui ont tort.
Il n'y a pas de raison !
En résumé, je crois qu'on a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort ! »

Raymond Devos

Il arrive que l’on paie cher le prix d’avoir été soi-même.Les blessures que cela laisse sont silencieuses, profondes,mai...
20/08/2025

Il arrive que l’on paie cher le prix d’avoir été soi-même.
Les blessures que cela laisse sont silencieuses, profondes,
mais elles sont la preuve que l’on a vécu sans se travestir.
Se montrer au monde tel que l’on est,
sans fard, sans mensonge, sans se plier aux attentes,
c’est approcher le cœur battant de la vie.

Être soi ne signifie pas se connaître entièrement.
C’est marcher dans une vérité qui parfois déroute,
parfois surprend, parfois rend triste
mais qui, toujours, nous maintient vivants.
C’est aimer sans masque,
oser tendre les mains,
risquer d’espérer,
se tromper, tomber, se relever,
gagner parfois,
et, chaque matin, pouvoir soutenir son propre regard
dans le miroir du temps,
même avec le doute au coin des yeux.

Vivre en cherchant à incarner un autre que soi,
c’est se renier,
c’est déjà reculer vers l’ombre avant l’heure.
Une seule vie nous est donnée :
quelle folie de vouloir en vivre une autre !

La solitude enseigne.
Les silences enseignent.
Les autres enseignent.
Et parfois, ce que l’on apprend
est simplement la confirmation de ce que l’on savait déjà,
mais que l’on n’osait pas croire.

Alors il faut avancer avec pour guides l’humilité, cette lucidité douce, et la sincérité, ce courage nu.

Et garder pour seul bagage
ce qui résiste à tout,
ce qui ne s’use jamais :
l’amour.

~Anne V. Besnard~

L'histoire de la "corde invisible" qui nous bloque (et comment s'en débarrasser !) Vous vous sentez parfois freiné dans ...
19/08/2025

L'histoire de la "corde invisible" qui nous bloque (et comment s'en débarrasser !)

Vous vous sentez parfois freiné dans la vie, comme si une force mystérieuse vous empêchait d'avancer ?
Ne cherchez plus, c'est sûrement votre corde invisible !

Imaginez un paysan avec ses ânes.
Un soir, il manque de corde pour le troisième.
Un vieil ermite lui dit :
"Fais semblant de l'attacher avec une corde invisible !
" Le paysan s'exécute, un peu dubitatif. Le lendemain, l'âne est là... mais refuse de bouger !
Le paysan panique, retourne voir l'ermite :
"Mon âne est bloqué !"
Et l'ermite, malicieux :
"As-tu pensé à enlever la corde ?" Le paysan, incrédule :
"Mais il n'y en a pas !"
L'ermite :
"Pour toi oui, mais pour l'âne..."
Le paysan mime alors le geste de retirer la corde... et hop, l'âne avance !

La morale de cette histoire d'âne (et de nous) ?
On est un peu comme cet âne !

On se crée nos propres cordes invisibles avec nos habitudes, nos peurs, et surtout nos croyances limitantes.
"Je suis trop vieux pour ça",
"Je n'y arriverai jamais",
"C'est pas pour moi"...

Et on reste bloqué, alors qu'il suffit de mimer le geste de retirer cette fameuse corde imaginaire !

Alors, quelle est LA corde invisible qui vous empêche d'atteindre vos objectifs en ce moment ?

Via Teresa Lopes-Ramos

Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant pour comprendre les relations toxiques, les...
18/08/2025

Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant pour comprendre les relations toxiques, les incompréhensions émotionnelles, et les jeux de rôle inconscients.

Le triangle dramatique : une mécanique relationnelle inconsciente

Inventé par Stephen Karpman (psychologue américain), ce triangle montre que dans certains échanges humains
– surtout conflictuels ou déséquilibrés émotionnellement
– les personnes peuvent entrer dans un jeu de rôle inconscient, basé sur trois pôles :

Les 3 rôles du triangle :

Rôle Position de départ Dynamique principale Exemple typique

La Victime "Pauvre de moi..."
Recherche un sauveur ou accuse un bourreau "Pourquoi ça n'arrive qu’à moi ?"

Le Sauveur "Je dois t’aider…" Aide l’autre sans qu’on lui ait demandé "Laisse, je vais m’en occuper."

Le Bourreau "C’est ta faute…" Juge, critique, punit "Tu n’as encore rien fait correctement !"

Ces rôles sont interdépendants : l’existence de l’un appelle les deux autres. Par exemple, une victime cherche un sauveur, ou dénonce un bourreau. Un sauveur finit par être perçu comme envahissant (bourreau), ou frustré de ne pas être reconnu (victime), etc.

Les glissements de rôle : pourquoi le sauveur devient bourreau ou victime

Souvent le sauveur de la victime passe pour un bourreau et devient lui-même victime

Et tu as parfaitement résumé ce que beaucoup vivent sans le comprendre.

Pourquoi le sauveur devient bourreau ?

Il donne sans compter, parfois sans qu'on lui ait demandé.
Il attend de la reconnaissance, mais n’en reçoit pas forcément.
Il intervient à la place de l’autre, l’empêche de grandir.

Quand la personne aidée rejette ou résiste, le sauveur peut :

se fâcher,
se montrer dur,
ou poser des limites (perçues comme de la cruauté).

Il est alors vu comme le "méchant", alors qu’il pensait bien faire.

Pourquoi le sauveur devient victime ensuite ?

Parce qu’il se sent incompris, rejeté, accusé à tort.
Il peut dire : « Après tout ce que j’ai fait pour toi… »
Il ressent un sentiment d’injustice, voire de trahison.
Il s'effondre émotionnellement, ou culpabilise.

Ainsi, il passe par les 3 rôles du triangle :
Sauveur ➜ Bourreau (dans les yeux de l’autre) ➜ Victime (dans sa propre souffrance).

Les causes profondes : pourquoi on entre dans ces rôles

Ces rôles ne sortent pas de nulle part. Ils sont souvent le fruit :

D’un conditionnement personnel :

Le sauveur vient souvent d’un besoin d’être aimé, reconnu, utile.
Il a appris (enfant, souvent) que s’occuper des autres est la seule façon d’être accepté.
Il a pu vivre dans une famille où il fallait « réparer » les choses ou les gens.

D’un manque d’estime de soi :

Aider donne au sauveur une valeur extérieure.
Mais au fond, il ne se sent pas digne sans cette mission.

De blessures d’enfance :

Abandon, rejet, humiliation, injustice…

Ces blessures nous font porter des masques relationnels, comme celui du sauveur, du persécuteur ou de la victime.

Les dangers du triangle dramatique

Le triangle devient toxique quand il se répète de manière chronique dans une relation.

Pour le sauveur :

Épuisement émotionnel
Sentiment d’être utilisé
Colère refoulée

Perte de son identité hors du rôle d’aidant

Pour la victime :

Dépendance affective
Infantilisation
Incapacité à se responsabiliser

Pour le bourreau :

Isolement
Culpabilité refoulée
Rigidité émotionnelle

Comment sortir du triangle

La clé pour sortir de ce schéma est de devenir conscient du rôle qu’on joue et de le remplacer par une posture saine.

Rôle toxique Rôle sain à adopter

Victime
Responsable "J’ai du pouvoir sur ma vie."

Sauveur
Coach / Supporter "Je t’aide si tu le veux, mais tu es acteur."

Bourreau
Confrontant bienveillant "Je pose mes limites sans agresser."

Pratiques :

1. Observer ses automatismes relationnels (sans jugement).

2. Dire non sans culpabilité.

3. Laisser l’autre vivre ses expériences sans vouloir tout contrôler.

4. Exprimer ses besoins clairement, pas par la manipulation ou le sacrifice.

5. Se reconnecter à soi : Qui suis-je en dehors de mes rôles ?

Un dernier mot : transformer les rôles

Chaque rôle contient une lumière cachée :

Le sauveur a un cœur généreux, il doit apprendre à aider sans se nier.

Le bourreau a une force de structure, il doit apprendre à exprimer ses limites sans dominer.

La victime a une sensibilité profonde, elle doit apprendre à se relever.

La transformation, ce n’est pas de rejeter ces rôles, mais de les faire évoluer vers la maturité.

Le secret des druides

La goutte d’eau qui fait déborder le vase, c’est rarement la plus grosse.C’est souvent la plus discrète.La plus sournois...
14/08/2025

La goutte d’eau qui fait déborder le vase, c’est rarement la plus grosse.

C’est souvent la plus discrète.
La plus sournoise.
Celle que personne ne voit.
Celle qui arrive après des centaines d’autres,
acceptées, tolérées, refoulées.

Elle arrive un jour comme un rien.
Une phrase en trop.
Un oubli qui pique.
Un silence mal placé.
Une micro-trahison de plus.
Un sourire de façade.

Et là…
Vous sentez que ça y est.
Ça déborde.

Mais ce n’est pas elle, la goutte, le vrai problème.
C’est le vase.
Ce vase qu’on a laissé se remplir pendant des mois,
des années parfois,
au nom de l’amour, du compromis, de la paix, du pardon,
ou pire : au nom de l’espoir que ça change.

Ce vase, c’est nous.
Notre seuil de tolérance.
Notre capacité à nous trahir.
Notre refus de mettre une limite claire.
Notre besoin d’être aimé, quitte à être écrasé.

Alors cette goutte-là,
ce n’est pas une ennemie.

C’est une alliée.

Elle vous libère.
Elle montre que c’est terminé.
Que l’illusion ne tient plus.
Que le mensonge ne passe plus.
Que votre système d’alerte s’est enfin réveillé.

Alors ne maudissez pas la goutte.
Remerciez-la.
Elle est le signal.
Le dernier.
Le bon.
Celui qui dit :
Maintenant, tu te choisis.

Rafael Arieli

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Et la mémoire cellulaire est arrivée sur mon chemin...

Nous reproduisons des événements, à des périodes charnières de notre vie, qui nous plongent toujours dans les mêmes problématiques. Parfois même, nous savons que ce schéma va nous conduire au même résultat mais nous le faisons quand même !

Certain(es) vont toujours choisir la ou le même amoureux, d’autres le même type de patron, d’autres encore les mêmes ami(e)s et ce malgré les expériences passées douloureuses. Ces schémas répétitifs ne seraient pas graves s’ils ne nous faisaient pas souffrir, s’ils ne nous empêchaient pas d’avancer sur notre chemin de vie

Pourquoi et quelle est la cause de ces schémas répétitifs ?

Beaucoup de théories ont été développées sur les schémas répétitifs par des spécialistes du comportement humain.