Martine Calvet Naturopathie

Martine Calvet Naturopathie Naturopathe, réflexologue plantaire, massage-bien-être à Gignac 34150

Cystites : des solutions issues de la nature !"Le stress, la prise d’antibiotiques et une alimentation industrielle sont...
22/06/2021

Cystites : des solutions issues de la nature !

"Le stress, la prise d’antibiotiques et une alimentation industrielle sont autant de facteurs qui peuvent déséquilibrer notre microbiote intestinal. Ainsi, certaines bactéries naturellement minoritaires se multiplient de façon anormale et peuvent migrer vers l’appareil sexuel et urinaire, favorisant l’infection. L’entretien de notre flore est donc essentiel si notre terrain nous prédispose aux cystites.

En cas de crise, il est nécessaire d’arrêter le sucre, qui acidifie et favorise la multiplication des bactéries E. coli dans l’intestin. Toutefois, le D-mannose, un cousin du glucose que l’on retrouve dans les pêches, les pommes, les oranges et certaines baies telles que myrtilles ou canneberges, n’est pas à bannir : en s’attachant aux bactéries dans l’urine, il facilite leur élimination.

Lorsque l’examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) confirme la présence de germes pathogènes, le recours à l’aromathérapie s’avère très efficace. On peut notamment s’appuyer sur l’huile essentielle de sarriette des montagnes (Satureja montana), présente dans les feuilles et les sommités fleuries de la plante. Riche en carvacrol et en thymol, cette dernière possède des propriétés antibactériennes puissantes, qui altèrent la structure et la fonctionnalité de la membrane plasmique (ou biofilm) des bactéries pathogènes. Toutefois, parce qu’elle peut impacter le foie et les reins, on veillera à associer cette huile à un protecteur hépatique et antalgique tel que l’huile essentielle de menthe poivrée.

La prévention des cystites passe aussi par une hygiène de vie globale :
- Uriner en un seul jet après chaque rapport sexuel afin d’éliminer les bactéries de l’urètre.
- Boire 1,5 l d’eau par jour minimum. Les tisanes de bruyère, busserole et échinacée sont ici recommandées.
- Lors de flux menstruels légers, éviter les tampons, qui peuvent retirer une partie de la flore vaginale lorsqu’on les enlève.
- Consommer des fruits et légumes et s’abstenir de thé, café, épices, sucre, vin blanc et champagne, qui acidifient l’organisme.
- Éviter le tabac qui trouble le microbiote urinaire."
..extrait d'un article de Anne Peron, Françoise Couic-Marinier pour Plante et Santé

Voir la ménopause au naturel !Le vivant fonctionne grâce à un dialogue hormonal permanent.Le cycle des femmes dépend de ...
18/06/2021

Voir la ménopause au naturel !

Le vivant fonctionne grâce à un dialogue hormonal permanent.
Le cycle des femmes dépend de la communication entre ses ovaires et une petite glande située dans le cerveau nommée : hypophyse.
Cette glande est le chef d’orchestre de notre système hormonal, ce qui nous laisse comprendre que le travail d’équilibrage des hormones sexuelles dépend de l’équilibre des autres hormones, ainsi, du travail de la thyroïde, du pancréas, des surrénales... c’est tout un écosystème qui veille à notre intégrité organique et qui fait que chaque femme devra trouver sa propre harmonie.
Une des difficulté est cette période de changement qu’est la Ménopause.

Quand, « après des années de service », la production ovarienne s’essouffle, l’équilibre hormonal subit une tempête qui demande parfois de l’aide et du temps pour retrouver un équilibre.
C’est la ménopause, étymologiquement la « cessation des lunes »

Toutes les femmes connaissent, généralement autour de 50 ans, diverses avaries de cette tempête, et bien-sûr chacune les vit selon sa nature, son histoire, son rythme de vie et les accueille avec sa propre sensibilité.

• Elles en conçoivent des satisfactions :
- fini de tout organiser en fonction de nos cycles, d’avoir à penser à se protéger…
- finies la crainte des grossesses non désirées et la recherche de contraception...
- finis les inconforts et douleurs du SPM (voir article du mois dernier...)
- finies cette fatigue cyclique, les périodes de susceptibilité, de larmes ou de mauvaise humeur…
- enfin, du temps gagné…
et elles découvriront leur créativité qui s‘épanouit !

• Elles en vivent les inconvénients :
- une mise en place qui traîne en longueur, c’est la pré-ménopause.
- ces changements hormonaux entraînent des changement physiques, des symptômes qui peuvent s’installer et une qualité de vie qui change.

Pré-ménopause, Quand ? Comment ?

A un moment de la vie de la femme, ses ovaires arrivent à épuisement du stock d’ovules fécondables, alors les taux d’œstrogènes et de progestérone deviennent fluctuants. Cette période peut s’étaler sur 5 ans…
Les règles deviennent irrégulières, souvent des symptômes s’installent... Les bouffées de chaleur nocturnes peuvent en être une alerte, parfois palpitations, irritabilité... tension dans les seins, c’est d’abord le taux de progestérone qui baisse, déséquilibrant celui des œstrogènes...

Cependant un petit pourcentage de femmes n’ont aucun symptômes… par exemple en Asie, peut-être parce que les femmes abordent cette période comme un chemin naturel vers la sagesse… que leur culture est bienveillante à ce sujet ? Leur alimentation aussi est différente…

On remarque actuellement que l’âge de la ménopause est de plus en plus précoce, ce serait une conséquence de la présence courante de perturbateurs endocriniens dans note alimentation, notre environnement et de la pollution.
..puis la ménopause est là !

Cette période d’installation a permis à chacune de se mettre en tête qu’il y a un changement de « statut », d’apparence, de vitalité ; a permis plus ou moins d’accepter la transformation. Car transformation il y a… qui peut toucher différents domaines.
Là, les œstrogènes diminuent... :

- Fragilisation des tissus… amincissement et sécheresse de la peau et des muqueuses...
- Fragilisation osseuse, douleurs articulaires, troubles circulatoires,
- Prise de poids souvent, apparition de graisse abdominale, élévation du taux des tri-glycérides…
- Baisse de la libido...
- Moins bon sommeil, parfois déprime, agressivité…
Rassurez-vous, vous n’aurez jamais tout à la fois !

Les femmes auraient donc un tiers de leur vie à vivre avec de ces symptômes…?
Heureusement, certaines savent utiliser cette transformation et œuvrer à devenir de belles femmes, à s’affirmer, à se réaliser, à s’épanouir… à mettre du spirituel dans leur vie, à faire que le désir devienne une clé de voûte de leur motivation**… poursuivant ainsi leur vie avec plus de bénéfices que d’inconvénients.

« Celui qui n’a pas reconnu que la vie est incessante métamorphose, n’aura pas sa part du miracle. » C.S.*

Beaucoup de personnes ont écrit sur ce sujet et sont de bons accompagnements. (voir à la fin de l’article). Généralement à cette période les enfants ont grandi, et il est possible de prendre du temps pour s’occuper de soi.

Se faire aider par le naturel…

Longtemps des hormones de remplacement ont été prescrites sans crainte… Depuis quelques années, les risques vasculaires et de cancers légitiment les approches naturelles .

- l’alimentation :

Comme dit dans l’article sur le SPM, privilégier une alimentation hypotoxique, non acidifiante et riche en anti-oxydants – adieu aux produits industriels !

- Faites la part belle aux légumes verts et colorés, aux choux, aux châtaignes (qui doivent représenter de 50% à 70% de votre assiette) . Selon votre capacité digestive, vous inclurez du cru en début de repas (sinon des jus de légumes), sans oublier graines germées, herbes fraîches, algues et aromates (le curcuma, le gingembre...)

- Préférez les produits complets : céréales (riz, sarrasin, millet, petit épeautre...), huiles, sel, sucre (si nécessaire) pour leur richesse en nutriments.

- Profitez des fruits de saison que vous prendrez soin de consommer hors repas (30 minutes avant ou 2 heures après).

- Veillez à un apport régulier de protéines, leurs acides aminés étant indispensables pour l’entretien des muscles, des os, des hormones…
- celles animales : œufs, poissons gras, coquillages, peu de viande et plutôt blanche,
- celles végétales : légumineuses (trempées 8h)/céréales en proportion 1/4, 3/4 ; oléagineux, spiruline, pollen frais…

- La consommation du soja a été très controversée, utile et efficace chez les asiatiques elle s’avérait risquée par rapport à nos habitudes alimentaires. Le soja bio fermenté ou germé paraît être la bonne alternative, après digestion ils seraient une source de phyto-œstrogène que nos organismes savent utiliser favorablement.

- N’oubliez pas : les laitages, divers desserts, viennoiseries, sodas et autres gourmandises, le café, le thé, les alcools… sont acidifiants. Ils favorisent les troubles inflammatoires et l’ostéoporose.

- Choisissez des produits bio, des cuissons douces, des huiles de qualité (olive pour ne pas vous tromper!) afin de profiter du maximum de nutriments.

- Buvez de l’eau de préférence peu minéralisée, surtout entre les repas, elle est indispensable à l’élimination.

- Des plantes pour ne plus avoir la tentation THS :
De plus en plus de gynécologues se tournent vers des traitements naturels végétaux, leurs actions sont modulatrices : selon les organes, tantôt, pro, tantôt anti-œstrogéniques. Des études ont confirmé leur action bénéfique et sans danger pour la santé.

- La sauge, le trèfle rouge, le houblon, les isoflavones de soja, le gattilier, l’actée à grappes noires... sont des alternatives naturelles au Traitement Hormonal Substitutifs, elles vous permettront de gérer les bouffées de chaleur, la nervosité, troubles du sommeil, tendance dépressive et sécheresse des muqueuses.

- Dans la même recherche, le yam (un igname du Mexique) est très prisé actuellement et particulièrement intéressant sous forme de gel à appliquer dans le creux du coude, il est un stimulant endocrinien (glandes surrénales et sexuelles), il a de multiples vertus dans le cadre de la prévention du “vieillissement hormonal”. Choisissez un yam de bonne qualité et riche en diosgénine.

- Le cimicifuga, le framboisier sont des régulateurs hormonaux qui harmonisent la sécrétion des œstrogènes et de la progestérone…

- Des plantes pour le confort :

- Le cyprès, vasoconstricteur aussi intéressant pour les troubles circulatoires que par son action mimétique des œstrogènes, son HE peut vous être conseillée aussi bien en externe (massage) qu’en interne.

- La valériane en gélules, la mélisse en infusion (rafraîchissante !)… aident par leurs propriétés calmantes et sédatives. Elles pourront être complétées par le millepertuis... sur conseil d’un professionnel.

- Le ginseng, le gingembre… sont toniques et régénérateurs (eux plutôt réchauffants), ils accompagneront les baisses d’énergie, de moral, de désir...

- La rodhiola, l’algue klamath sont efficaces en cas de besoins adaptatifs…

- L’aubépine par son action sur les vaisseaux sanguins soulage palpitations, angoisses, insomnies, bouffées de chaleur…

- L’aloe-vera riche en minéraux et vitamines possède des tas de propriétés pour accompagner cette période.

- Pour limiter les désagréments de l’inflammation vaginale, utilisez des ovules de calendula.

Bref, vous constatez que les plantes sont nombreuses à pouvoir vous aider, mais chaque femme doit trouver sa composition de tisane, sa synergie d’HE, ses gélules, MG, TM, etc... et avancer dans cette recherche avec quelque spécialiste en phytothérapie.

- les compléments alimentaires :

- Veillez à avoir un bon taux de vitamine D, complémentez si nécessaire avec D3 (naturelle).

- les oméga 7 de l’huile d’argousier est bénéfique sur la sécheresse de la peau et des muqueuses.

- le Zinc, contribue au bon fonctionnement hormonal de notre métabolisme, or il est moins bien assimilé avec l’âge (voir article sur le Zinc)

- le Sélénium outre son rôle antioxydant, est un régulateur hormonal (croquer 3 noix du Brésil/jour !)

- Les polyphénols du thé vert vous aideront à gérer les graisses abdominales (buvez 3 tasses/jour)

- Il arrive que la flore bactérienne vaginale s’altère à la ménopause, faites-vous conseiller des probiotiques.

- Les oméga 3 – la silice – le Magnésium sont des compléments classiques d’entretien à cet âge de la vie, à alterner en cure régulière. En période de ménopause, ils ont une influence favorable sur les bouffées de chaleur et l’instabilité émotionnelle.

- l’hygiène de vie :

- Adoptez un mode de vie « anti-inflammatoire », qui préservera l’ensemble de vos organes. Outre « la bonne chère » dont vous éviterez les excès, préservez-vous du bruit, du tabac et des ondes électromagnétiques… et autres stress.

- Plus de frugalité, surtout le soir, et vous aurez moins de bouffées de chaleur nocturnes et un meilleur sommeil.
Si vous avez tendance à prendre du poids, tentez l’aventure du jeûne intermittent 1 à 2 fois par semaine (16h sans manger!)

- Pensez au drainage régulier de vos organes émonctoires (automne et printemps), et en particulier à la santé du foie chargé de dégrader et d’excréter le surplus hormonal en plus des toxines qu’il gère habituellement. Des émonctoires en bon état sont souvent la clé d’une ménopause sans souci...

- Il est temps de trouver une technique type yoga, qi-gong ou autre gymnastique, méditation… à pratiquer régulièrement pour aider votre changement de rythme et votre ouverture de conscience.

- Redécouvrez les activités dans la nature, elles vous reconnecteront à votre nature : rando, vélo, natation, cueillette... et favoriseront l’oxygénation, le maintien d’une certaine masse musculaire, la respiration, la circulation d’énergie, l’exposition au soleil (choisissez vos heures!), le bon moral.
Faites des saunas, des hammams, faites vous masser, vous éliminerez mieux vos toxines et vous vivifierez.

Veillez à piloter votre ménopause comme une expérience positive, soignez les rides de l’âme, aimez les rides du corps... devenez une personne épanouie et libérée !

J’aime cette approche de Christiane Singer :
* « Une révélation guette celui qui avance le cœur et les yeux ouverts, sans précipitation et tant qu’il se peut sans regret. Après s’être vu dépouillé, en chemin, de ce qu’il avait un temps possédé, le voilà bientôt, à sa grande surprise comblé d’autres biens dont il ne soupçonnait, jusqu’alors, ni l’existence ni le prix. Il apprend, et sa reconnaissance alors n’a pas de bornes, que rien ne lui est ôté en cours d’existence sans qu’autre chose de plus précieux ne lui soit donné en contrepartie. »

Article de Martine Calvet – Naturopathe..pour Greenweez Magazine

* Les âges de la vie, de Christiane Singer

** Les plaisirs secrets de la ménopause, du Dr Ch. Northrup, éd. Mama

*** Une ménopause sans bouffée de chaleur, d’Isabelle Ranchet, éd. Alpen

"La place du contact physique et de la caresse commence à notre naissance : les caresses de nos parent et de ceux qui no...
10/06/2021

"La place du contact physique et de la caresse commence à notre naissance : les caresses de nos parent et de ceux qui nous aiment, cela a été prouvé scientifiquement :
- régulent notre température ;
- stabilisent notre respiration ;
- régulent notre glycémie ;
- nous permettent de percevoir les limites de notre corps ;
- stimulent notre croissance ;
- conditionnent notre développement cognitif.

Des études sur nos cousins primates les plus proches – les chimpanzés – ont révélé qu’un déficit de contacts physiques dans les premiers mois de la vie entraînait des conséquences dramatiques : les bébés chimpanzés qui ne reçoivent pas suffisamment de caresses de leurs parents meurent au bout de quelques semaines.
Et ceux qui survivent à ce manque de caresses gardent des séquelles à vie :
- re**rd du développement, notamment cognitif ;
- altération de la croissance ;
- faible système immunitaire ;
- incapacité à mémoriser.
Mais, même passée la petite enfance, le contact physique, bienveillant, reste un ingrédient capital de notre santé.
Il serait même l’une des raisons expliquant la plus grande longévité des personnes vivant en couple, comparées à celles vivant seules........"
..extrait d'une lettre d'Alternative bien-être

Contre le vieillissement : prenez du melon !"La superoxyde dismutase (SOD) est une enzyme destinée à contrôler les débri...
10/06/2021

Contre le vieillissement : prenez du melon !

"La superoxyde dismutase (SOD) est une enzyme destinée à contrôler les débris toxiques de l’oxygène et stopper le stress oxydatif, largement incriminé dans le vieillissement cellulaire et l’apparition ou l’amplification de pathologies liées à ce vieillissement.
Le champ thérapeutique de la SOD s’étend à la réparation de cellules. Se trouvant à la fois dans le derme et l’épiderme, cette enzyme participe à la régénération de la peau, atténuant ainsi rides et ridules.
Anti-inflammatoire, elle permet de diminuer la douleur articulaire. Problèmes de prostate, ulcères de la cornée, brûlures et pathologies liées aux inflammations intestinales font aussi partie du champ d’action de la SOD.
En outre, elle aide le corps à utiliser le zinc, le cuivre et le manganèse.

La superoxyde dismutase est produite par le corps, mais avec le temps et l’âge sa teneur a tendance à baisser.
On trouve cette enzyme au naturel dans le chou, le chou de Bruxelles et le brocoli, mais LE MELON en concentre aussi, notamment le cantaloup, une variété spécifique de melon d’origine française.

Les études menées attestent d’une source de SOD bioactive remarquable, plus efficace que celle de la SOD bovine ou de microalgues, tant et si bien qu’une complémentation à base de melon a été envisagée par des laboratoires."
..extrait d'un article d'Alternative Santé

"Voici une recette savoureuse et rafraîchissante qui ne nécessite aucune cuisson :  le Gazpacho au concombre !Ingrédient...
06/06/2021

"Voici une recette savoureuse et rafraîchissante qui ne nécessite aucune cuisson : le Gazpacho au concombre !

Ingrédients
Pour une entrée pour 4 personnes :

1 gros concombre
1 poivron jaune
1 gousse d'ail
1 petit avocat
1 bouquet de cébettes (oignons nouveaux)
1 petit bouquet de menthe
1 pot de yaourt nature 125 g
1 c. à s. de vinaigre de vin blanc
Quelques gouttes de sauce Tabasco verte
Ciboulette
Sel et poivre

Préparation
Épépiner et hacher grossièrement le concombre, le poivron jaune et l’avocat. Peler et écraser l’ail. Hacher les cebettes et la menthe.
Dans un robot culinaire, mélanger tous ces ingrédients, en réservant la moitié de la menthe et du yaourt, jusqu'à obtenir une consistance lisse.
Ajouter le Tabasco et le vinaigre, et assaisonner au goût.
Ajouter un peu d'eau pour obtenir une consistance plus liquide si désiré.
Réfrigérer pendant 2 h.
Servir avec une cuillerée de yaourt, de la menthe et de la ciboulette ciselée.
Cette soupe se conserve au réfrigérateur pendant 2 jours – la remuer simplement avant de la servir."
..une idée de Suzanne Lovell pour "la Nutrition"

Lorsque la peau n'y est pas préparée, un coup de soleil est vite arrivé ! Voici une recette incontournable pour aborder ...
05/06/2021

Lorsque la peau n'y est pas préparée, un coup de soleil est vite arrivé ! Voici une recette incontournable pour aborder la saison estivale en toute sérénité, pour les petits comme pour les grands.

Formule Coup de soleil :

- À réaliser dans un pot de 50 g
HE de camomille noble (2 g)
HE de géranium bourbon (2 g)
HV de calendula (2 g)
Gel d’Aloe vera (QSP 50 g)

- Préparation :
Homogénéiser toutes les huiles à l’aide du fouet puis rajouter jusqu’à 50 g le gel d’aloe vera.
Mélanger jusqu’à ce que la miscibilité soit complète entre les deux phases.
Ce gel est à conserver de préférence au frais et à utiliser dans les deux mois.

- Mode d’emploi :
En cas de coup de soleil, déposer la gelée sur les zones échauffées en quantité suffisante.
Ne pas hésiter à l’étaler en couches épaisses toutes les heures jusqu’à amélioration satisfaisante.
Appliquée sur les boutons de moustique, la gelée sera instantanément perçue comme calmante et rafraîchissante.

Après une exposition au soleil, cette formule apaise les échauffements et peut même calmer les coups de soleil. Par la présence du géranium Bourbon, elle aurait même un potentiel de réparation des cellules endommagées par les ultra-violets dans leur programme génomique. Il est bon de penser aussi à cette gelée pour apaiser un bouton de moustique qui gonfle et qui démange. L’alliance de la camomille noble avec le macérât de calendula constitue une synergie puissante antiinflammatoire percutanée. La camomille noble étant aussi antiprurigineuse, elle peut soulager des démangeaisons intenses, type urticaire ou eczéma. Par ailleurs, à partir de 16h, elle éloignera les moustiques, puisqu’elle contient de l’essence du géranium, plante particulièrement répulsive qu’il est bon de mettre dans la jardinière tout près de la table à manger sur la terrasse. Le gel d’aloe vera est une matière naturelle douée de propriétés exceptionnelles en dermatologie, notamment sur les inflammations. Ce n’est pas un hasard si tout le bassin méditerranéen en regorge. En cas de besoin inopiné en pleine nature, incisez une de ces tiges pour faire sortir la pulpe réparatrice et appliquez-la sur les zones enflammées."
.. extrait d'un article de Aude Maillard - Aromatologue

"Le souci (Calendula officinalis) est la plante qui, souvent, vient d’abord à l’esprit, lorsqu’on évoque les soins derma...
03/06/2021

"Le souci (Calendula officinalis) est la plante qui, souvent, vient d’abord à l’esprit, lorsqu’on évoque les soins dermatologiques. Cette petite fleur d’un jaune orangé vif, facile à cultiver, est l’une des plantes médicinales les plus polyvalentes et les mieux tolérées en matière de soins. De nombreuses études ont étayé ses propriétés protectrices et réparatrices, imputées à des composants comme les ­caroténoïdes, les flavonoïdes, les saponines ­triterpènes, les polysaccharides solubles dans l’eau et certains actifs aromatiques. Cette véritable constellation de composants confère au souci de puissantes vertus anti-inflammatoires, antiseptiques et régénératrices.

Le calendula est totalement indiqué dans une démarche de soin quotidien sur une peau saine, grasse ou sèche, voire fragile comme celle des bébés, à l’aide de formulations spécifiques. Une étude pakistanaise a montré qu’une crème de soin au calendula améliorait les caractères mécaniques de fermeté et d’élasticité de la peau ainsi que son degré d’hydratation, limitant les effets du vieillissement. Calendula ­officinalis est aussi recommandé pour soulager les dermatites, l’acné, l’eczéma et le psoriasis. Les études spécifiques à ces affections sont rares, mais on peut, en tout cas, compter sur les propriétés cicatrisantes du calendula. Plusieurs études ont en effet ­souligné les propriétés cicatrisantes du calendula, pour ce qui concerne des extraits hydroalcooliques ou son huile essentielle (que l’on trouve surtout aux États-Unis), grâce notamment à la stimulation de la production de collagène et ­d’hydroxyproline, un acide aminé constitutif du collagène, dont il renforce la structure.

Sur le potentiel global de cette plante vis-à-vis de l’intégrité de la peau, c’est une étude française, datant de 2004, qui est peut-être la plus significative. Elle a comparé le calendula à la trolamine (une émulsion dermatologique utilisée notamment pour soulager les rougeurs après une radiothérapie) pour prévenir la dermatite aiguë, due aux irradiations du traitement sur le cancer du sein. Le calendula s’est montré clairement supérieur à la trolamine dans son rôle de prévention des rougeurs et des brûlures induites par la radiothérapie.

À faire soi-même : Un macérat huileux de fleurs de souci

Ingrédients : • Fleurs séchées de souci (Calendula officinalis) • Bocal de 250 et 500 ml selon vos besoins quotidiens • Huile d’olive, de tournesol, de pépins de raisin ou de jojoba

Préparation :

Remplissez le récipient de fleurs de souci (on peut y adjoindre des fleurs de millepertuis et d’arnica). On les préfère sèches pour éviter que l’humidité n’interfère avec l’huile
Recouvrez d’huile, puis fermez.
Laissez macérer dans un endroit tempéré pendant quatre à six semaines en remuant régulièrement.
Filtrez dans un flacon parfaitement propre et utilisez la préparation dans les six mois.
À savoir : C’est l’huile de prédilection pour les bébés. Elle peut ainsi être employée pour ôter les croûtes de lait qui vont facilement se décoller en passant un coup de peigne. Ou être appliquée sur la peau en cas d’irritation cutanée. En mélangeant à parts égales, 50 ml d’huile de calendula avec 50 ml d’huile d’avocat, on obtient une huile de massage."
..un article de Plantes & Santé

"Normalement, la gestion des émotions devrait être simple : je ressens une émotion, je l’exprime, et voilà. Le problème ...
02/06/2021

"Normalement, la gestion des émotions devrait être simple : je ressens une émotion, je l’exprime, et voilà. Le problème c’est que quand on vit en société ce n’est pas toujours possible. Il faut respecter un consensus pour que l’expression des émotions de l’un n’agresse pas l’autre. On est donc obligé de retenir ces émotions. Mais alors, pour en faire quoi ? Il faut bien que l’énergie de l’émotion s’évacue ou se transforme.

Heureusement nous disposons en nous d’un énorme digesteur d’émotions : notre ventre lui-même ! En effet – et c’est là l’un des plus grand apports à la thérapie corporelle moderne de Gerda Boyesen que d’avoir réétabli le concept de digestion émotionnelle en Occident – nos intestins ne servent pas qu’à digérer les aliments, mais également les émotions.

Alors, comment cela fonctionne ? Il m’est facile aujourd’hui de parler de ce sujet car le concept de ventre – deuxième cerveau est très à la mode en ce moment. En effet, depuis quelques années la relation entre notre système digestif – microbiote compris – et notre système nerveux et hormonal est clairement établie et très étudiée d’un point de vue scientifique.

Encore une fois, le savoir populaire illustre bien cette notion de digestion émotionnelle. On dit souvent d’un événement difficile que « ça nous reste sur l’estomac », qu’on « n’arrive pas à le digérer », que « ça nous laisse un nœud dans le ventre ». Même l’expression « comment allez-vous » est liée à ce concept, car il faut savoir qu’à l’origine le verbe « aller » est employé pour « aller à la selle ».

Lorsque que le système de digestion émotionnelle – que l’on appelle psychopéristaltisme – fonctionne bien, notre ventre se met à gargouiller. Lorsque le système est bloqué, notre système digestif dans son ensemble est perturbé et engendre constipation ou diarrhée.

Les mécanismes de cette digestion émotionnelle sont encore mal élucidés. Cependant on pense que le microbiote – toutes les bactéries présentes dans notre système digestif – est un acteur essentiel de ce système.

Les massages biodynamiques sont particulièrement efficaces pour rétablir le psychopéristaltisme. De plus, l’écoute du psychopéristaltisme par le thérapeute (qui utilise pour cela un stéthoscope posé sur le ventre de son patient) permet d’avoir un retour très fin sur l’efficience du massage pratiqué. Lors des premières séances, les patients sont souvent très étonnés de découvrir à quel point leur ventre réagit instantanément à une pression même légère sur le bras, la main, le pied, la nuque, par un gargouillis. Lorsque le système est profondément bloqué il peut être nécessaire d’être massé plus longuement pour obtenir un début de détente et de circulation dans le ventre.

Autre point remarquable : le stéthoscope étant branché sur un haut-parleur, le patient entend lui aussi les bruits de son ventre. Et en général il adore ça ! Non seulement il a un retour immédiat sur la réaction de son corps, mais le bruit du psychopéristaltisme a un effet relaxant souvent observé."
..un écrit de Christophe Obraczka - thérapeute psycho-corporel, formé en psychologie biodynamique.

"...Il est issu des fruits séchés d’une petite plante annuelle de la famille des ombellifères, Cuminum cyminum.Il est ri...
31/05/2021

"...Il est issu des fruits séchés d’une petite plante annuelle de la famille des ombellifères, Cuminum cyminum.

Il est riche en fibres, en vitamines du groupe B (thiamine, riboflavine et niacine), en minéraux (fer et zinc notamment) et en composés antioxydants.

C’est sans doute pour cela qu’on le retrouve à travers le monde, dans le curry des Indiens, le chili des Mexicains ou le massalé des Réunionnais.

Son usage dans la cuisine des régions chaudes, où les bactéries se développent vite dans les aliments, s’explique parfaitement : le cumin a de redoutables propriétés antimicrobiennes.

Redoutable antimicrobien…
L’épice est ainsi efficace contre Helicobacter pylori, une bactérie très répandue responsable de maladies au niveau de l’estomac : ulcères, voire tumeurs cancéreuses, lymphomes etc.

Des tests en laboratoire ont montré la capacité du cumin à détruire cette bactérie[1] autant qu’à protéger du cancer de l’estomac[2].

C’est précieux au moment où les traitements antibiotiques classiques sont en échec en raison de l’antibiorésistance galopante !

L’huile essentielle de cumin est également efficace contre la bactérie E. coli, l’agent responsable de la tuberculose (Mycobacterium tuberculosis) et le champignon Candida albicans
… et redoutable anti-flatulences !
Ça ne s’arrête pas là puisqu’en médecine traditionnelle, le cumin est réputé pour ses vertus stimulantes, antispasmodiques et sa capacité à absorber les gaz intestinaux. On l’utilise donc contre les maux de ventre, flatulences, coliques, diarrhées…

Des études confirment le bien-fondé de cette utilisation :

Il a été confirmé qu’il stimule la production de bile par le foie[3], ce qui facilite la digestion des graisses ;
Il favorise également la production des enzymes digestives (protéases, lipases, amylases), qui assurent la découpe des nutriments que nous consommons pour permettre leur assimilation au niveau de l’intestin grêle ;
L’huile essentielle de cumin atténue les symptômes du syndrome de l’intestin irritable[4], à raison de 20 gouttes par jour en 2 prises, pendant 1 mois.
Cette même huile essentielle contribue également à éviter les complications au niveau digestif chez les femmes ayant subi une césarienne, limitant les ballonnements et les douleurs abdominales et facilitant la reprise du transit[5].

Une autre vertu du cumin pour vous Madame :
Le cumin fait aussi partie des plantes recommandées aux femmes après la naissance d’un enfant, parce qu’elle stimule la production de lait maternel[6]. Elle peut donc être consommée sous forme de tisane (j’y reviens en fin de message), éventuellement associée à du fenouil, de l’anis étoilé, du fenugrec.

Le bébé pourra également profiter des bienfaits digestifs évoqués plus haut pour apaiser ses coliques.

En revanche, le cumin doit être strictement évité lors de la grossesse car il possède des propriétés abortives et pourrait donc entraîner des fausses couches.

Le cumin aide à mincir !..et on a de plus observé, chez les femmes qui avaient eu un régime « avec cumin », une réduction des taux de cholestérol LDL et de triglycérides, et une amélioration des taux de HDL, facteurs favorables à la santé cardiovasculaire.

Un antidiabétique naturel... il améliore la sensibilité à l’insuline[8], ce qui est capital pour éviter le développement du diabète de type 2............

Facile à trouver et à utiliser
Le cumin se trouve facilement dans le commerce. Par contre, préférez sa forme en fruits séchés plutôt que déjà réduite en poudre. Vous aurez un produit plus frais, aux agents actifs conservés.

Broyez les graines et ajoutez la poudre obtenue pendant la cuisson de vos aliments. Ou même sur vos crudités.

Comme sa saveur est intense, le bon dosage n’est pas facile à trouver. Commencez « petit » et augmentez progressivement les doses pour aboutir à celle qui vous plaît le plus, à vous et vos proches.

Personnellement, j’en mets dans mes soupes d’hiver : j’en saupoudre le fond d’huile de ma casserole avant d’y laisser revenir un peu mes légumes. Ainsi, ils s’imprègnent de la saveur du cumin. J’en mets également pour accompagner certaines de mes viandes, comme un bon poulet fermier.

Vous pouvez également tirer parti des bienfaits du cumin sous forme de tisane : mettez à infuser 2 g de cumin (concassez les grains au mortier plutôt que de les passer au moulin), dans environ 200 ml d’eau bouillante pendant une dizaine de minutes. Buvez, vous verrez, c’est bon et doux."
..extrait d'un article d'Alternatif Bien-être

Adresse

18 Rue Jeanne D'Arc
Gignac
34150

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Martine Calvet Naturopathie publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Martine Calvet Naturopathie:

Partager