22/04/2025
Quand le corps parle, mais que l’esprit n’écoute pas…
Ce n’est pas toujours l’esprit qui lâche en premier.
Parfois, c’est le corps qui sature, qui explose à sa manière.
Il commence par murmurer, discret. Mais à force d’être ignoré, il finit par crier.
Mal de tête ?
Ton mental tourne en boucle. Trop d’onglets ouverts dans ton cerveau, comme un ordinateur qui surchauffe. Si tu veux redémarrer, commence par fermer les fenêtres mentales inutiles. Allège ta pensée.
Douleur au cou ?
Tu dis oui alors que tout en toi hurle non. Tu regardes les autres, les besoins, les attentes… mais jamais toi. Ton cou se bloque, comme un avertissement : “Regarde-toi. Prends ta propre direction.”
Tensions aux épaules ?
Tu portes plus que ce qui t’appartient. Des responsabilités, des émotions, des silences… Tu veux être forte pour tous. Mais ton corps, lui, te supplie de déposer ces charges invisibles. Il ne peut plus les tenir seul.
Mal de dos ?
Tu tiens debout, mais à quel prix ? Le haut de ton dos encaisse les non-dits, les rancunes, les déséquilibres affectifs. Le bas, lui, porte tes angoisses financières, ta sécurité, tes racines. Ton dos est devenu le coffre-fort de tout ce que tu ne veux pas voir.
Douleur au nerf sciatique ?
Tu veux avancer, mais quelque chose te retient. Une douleur sourde, comme un frein invisible. Tu traînes un passé qui pèse. Tes jambes veulent aller de l’avant, mais ton cœur n’a pas encore lâché les chaînes.
Mal au ventre ?
Tu avales tout : les critiques, les tensions, les silences. Ton ventre digère plus que les repas : il absorbe les conflits, les frustrations, les non-dits. Mais il n’est pas une poubelle émotionnelle. Il veut respirer, lui aussi.
Foie douloureux ?
Tu ravales ta colère. Tu fais bonne figure, même quand tout explose à l’intérieur. Ton foie emmagasine ce que tu ne dis jamais. Il n’est pas seulement un organe : c’est la chambre forte de ta révolte retenue.
Oppression dans la poitrine ?
Tu respires, mais pour les autres. Tu vis à bout de souffle, et pourtant tu continues. Tes poumons veulent de l’air, pas seulement de l’oxygène. Ils veulent une vraie respiration, celle qui donne envie de vivre pour soi.
Tension aux reins ?
Tu vis sous tension. Le stress te colle à la peau. Tes reins filtrent plus que ton sang : ils filtrent tes peurs, ton urgence de tout gérer. Et ils crient, eux aussi, qu’ils ont besoin de repos.
Douleur aux genoux ?
Tu refuses de plier. T’es toujours debout, droite, forte. Mais tes genoux voudraient juste que tu t’autorises à fléchir. Ce n’est pas un signe de faiblesse. C’est un acte de respect envers toi-même.
Fatigue dans les pieds ?
Tu avances sans te demander pourquoi. En pilote automatique. Tes pieds, eux, cherchent du sens, une direction, un moment de pause. Ils ne veulent pas juste marcher. Ils veulent savoir pourquoi.
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Ton corps n’est pas contre toi. Il est avec toi. Il ne veut pas te punir. Il veut que tu écoutes.
Il est ce haut-parleur que tu ignores, jusqu’au jour où il n’a plus le choix que de te clouer au sol, pour que, enfin, tu entendes.
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Gratitude
Mallory ✨