Zohar Roffé Psychothérapie Qi Gong Méditation

Zohar Roffé Psychothérapie Qi Gong Méditation Gestalt Thérapie - Qi Gong - Meditation

Dans un environnement où le mental tend à être surinvesti, redécouvrir la force et la confiance dans nos sens et nos instincts est vital, c’est le retour à notre nature authentique. Être à son écoute nous aide à demeurer fidèle à nous-mêmes et à construire une vie enracinée dans notre sens profond.

Samedi prochain, j'animerai un cours de Qi Gong dans notre salle de fitness locale, Wefit.Ne loupez pas cette belle occa...
22/11/2024

Samedi prochain, j'animerai un cours de Qi Gong dans notre salle de fitness locale, Wefit.

Ne loupez pas cette belle occasion de goûter aux arts énergétiques chinois... !

✨ Découvrez le Qi Gong au Wefit.club Herbignac ! ✨

📅 Samedi 30 novembre
🕚 11h15 - 12h15

💶 Tarif :
5 € pour les adhérents
10 € pour les non-adhérents

📍 Lieu :Wefit.club Herbignac 73 Avenue des Sports, 44410 Herbignac

🌿 Cours animé par Zohar Roffé
Formé au centre Dian des arts asiatiques du mouvement.

⚠️ Places limitées à 20 participants
📞 Réservez vite au 06 46 56 52 04 ou par mail à herbignac@wefit.club

Une occasion unique de découvrir cet art ancestral, source de bien-être et d'énergie 🌟. Venez bouger, respirer, et sourire avec nous !

Lieu magique, l'espace bien-être Aqua-Baule organise prochainement un événement où vous pourrez goûter ou vous initier à...
17/11/2024

Lieu magique, l'espace bien-être Aqua-Baule organise prochainement un événement où vous pourrez goûter ou vous initier à plusieurs activités de détente.

J'animerai l'atelier Relaxation Méditation par séances de 20' dans une jolie pièce au mur de pavés de sel de Guérande.

La soirée sera suivie d'un moment convivial pour rencontrer les divers intervenants autour d'un buffet.

Pensez à réserver vos places vite vite au 0240425673.

A BienTao !

16/09/2024
C'est la rentrée !!!Reprise des cours semaine 38.
02/09/2024

C'est la rentrée !!!
Reprise des cours semaine 38.

02/09/2024

Article issu de la r***e Alternative Santé - du 16 07 2024
Régié par Jean-Pierre Giess

Notre destinée serait-elle, au moins en partie, prédéterminée ? Dans le sillage de l’épigénétique, une nouvelle voie suggère que certains évènements de la vie (en particulier les traumatismes) pourraient s’inscrire dans les gènes, et donc être transmis aux générations suivantes, avec des conséquences spécifiques sur la santé.

L’ADN a longtemps été considéré comme l’alpha et l’oméga d’un héritage génétique immuable. L’épigénétique a depuis introduit la notion de variabilité dans l’expression des gènes, sous l’influence de facteurs essentiellement environnementaux. Aujourd’hui, le concept d’« héritage épigénétique transgénérationnel » suggère que des traumatismes vécus par nos aïeux pourraient laisser une « trace » sur certains gènes, laquelle serait héritable et pourrait entraîner des troubles de la santé (comme l’asthme ou l’anxiété) et du comportement (alimentation, mise en danger de soi…) chez les descendants.

Des événements qui marquent… jusque dans l’ADN
Une guerre, un génocide (1) ou une famine, des facteurs environnementaux (stress, produits chimiques…) ou encore des traumas psychoaffectifs, politiques ou socio-économiques pourraient « marquer » une personne sous la forme d’informations épigénétiques héréditaires (l’épigénome) qui viendraient se « superposer » à la séquence d’ADN.

Pour simplifier, on peut considérer que l’épigénome est au matériel génétique (l’ADN) ce que le système d’exploitation est au matériel informatique. L’ADN (assimilable aux mémoires et aux processeurs de l’ordinateur) n’est, le plus souvent, pas altéré par des événements intenses ; c’est l’épigénome qui subit des modifications, celles-ci induisant des changements dans l’expression des gènes.

On a cru jusqu’à récemment que ces variations épigénétiques n’affectaient que la génération qui les développent, sans être transmissibles aux suivantes, parce qu’elles étaient « effacées » par différentes étapes de reprogrammation du matériel génétique dès le début du processus de reproduction. Mais des études (2), y compris sur des mammifères, indiquent qu’il existe des entorses à cet effacement, qui ont pour conséquences la transmission de « marques épigénomiques » capables d’influencer la destinée de la progéniture.

Rescapés de la Shoah, du Rwanda, du 11 septembre 2001, de désastres naturels…
Les marques en question consistent essentiellement en une méthylation de l’ADN, l’un des procédés majeurs qu’utilise l’épigénome pour activer ou inhiber des gènes. Différentes recherches auprès de populations traumatisées ont révélé que celles-ci présentaient des marqueurs associés à la méthylation de l’ADN sur certains gènes et que ceux-ci se retrouvaient aussi chez leurs enfants.

Qu’il s’agisse des survivants de la Shoah ou du génocide au Rwanda en 1994 (3), ou de vétérans de la guerre du Vietnam (4), cette découverte pourrait expliquer notamment la forte prévalence d’une sensibilité exacerbée au stress chez les descendants de victimes ou de témoins de telles atrocités – en particulier le syndrome de stress post-traumatique chez des personnes n’ayant pas vécu dans leur propre chair des évènements communément considérés comme traumatiques.

Alors que de nombreux thérapeutes s’intéressent à l’impact des mémoires familiales et transgénérationnelles, voire à la « mémoire des cellules », ces découvertes issues du champ de la biologie amènent leurs pierres à l’édifice pour mieux comprendre ces phénomènes passionnants.

Des « héritages » divers
Eu égard à la longévité humaine et à certains aspects éthiques associés à de telles recherches, il est plus commode d’étudier les modalités de ces mécanismes sur des modèles animaux comme le vers rond (Caenorhabditis elegans) (5) ou les souris. Chez ces dernières, la séparation des mères et de leurs petits, dans des conditions stressantes, induit dans la descendance davantage de symptômes de dépression, de pertes de mémoire (jusque sur trois générations) et de comportements à risque (jusque sur cinq générations).

Chez les êtres humains, les études prétendant établir un lien direct entre des changements épigénétiques chez les parents et des conséquences chez les enfants sont quasi inexistantes, principalement à cause des difficultés à mettre en place de telles recherches. Une étude (6) a toutefois pu montrer que l’expérience nutritionnelle d’une cohorte de près de 9 000 Suédois avant leur puberté avait déclenché une réponse transgénérationnelle spécifique dans la lignée masculine. Il s’avère que l’accès à la nourriture en abondance (dans les années 1874 à 1910) des grands-pères paternels avant leur puberté permettait de prédire une mortalité plus élevée (par cancer, mais aussi toutes causes confondues) chez les petits-enfants de sexe masculin, mais pas chez les petites-filles – en comparaison avec les lignées des grands-parents pour qui l’accès à la nourriture avait été plus difficile. Pourquoi l’impact des pratiques alimentaires se traduit-il spécifiquement à la descendance masculine ? Difficile de savoir à ce stade !

Lorsqu’on analyse ce phénomène dans l’autre sens – l’impact positif de la restriction calorique sur la longévité des descendants – ces résultats semblent faire écho à des découvertes récentes montrant par exemple que le jeûne intermittent est facteur de longévité via la méthylation de l’ADN.

Pas gravé dans le marbre
Les changements épigénétiques ne se transmettent pas irrémédiablement à la descendance. Certaines « cicatrices épigénétiques » liées à des traumatismes semblent pouvoir être neutralisées, notamment grâce à un environnement positif : ainsi, par exemple, lorsque des souris adultes traumatisées en début de vie sont placées avec des souris « normales » dans des cages équipées de jeux, leurs symptômes de comportements traumatiques, ainsi que ceux de leur descendance, disparaissent. Extrapolée à l’humain, cette découverte fait là aussi écho aux nombreuses recherches récentes sur les facteurs de résilience affectifs et sociaux permettant aux personnes de résister aux conséquences de leurs traumas d’enfance.

Ensuite, il faut garder à l’esprit que les modifications épigénétiques, lorsqu’elles ont lieu, ont aussi une utilité : celle d’activer des gènes qui permettront à la descendance de faire face à l’adversité et de s’y adapter plus rapidement, une des clés de la survie pour de nombreuses espèces. Ce champ de recherche, avec l’arrivée de technologies de séquençage de nouvelle génération, pourrait encore nous en apprendre beaucoup sur nous-mêmes…

La relation authentique est celle dans laquelle je sais que je peux être moi-même, dans mes moindres failles et vulnérab...
10/07/2024

La relation authentique est celle dans laquelle je sais que je peux être moi-même, dans mes moindres failles et vulnérabilités, sans me cacher, faire semblant, paraître, me conformer à un modèle, une attente, le désir de l'autre, fuir mes peurs ou vivre une vie qui n'est pas la mienne.

Cela implique de savoir qui je suis ou au moins de s'efforcer de me découvrir avec honnêteté et humilité. Et c'est souvent une gageure, un défi sans cesse renouvelé, car nous apprenons aussi qui nous sommes au contact de l'autre.

Chaque relation est donc l'occasion de mieux se connaître et de mieux s'aimer pour mieux partager et s'ouvrir dans la confiance.

C'est le moment de vous essayer à ce qui vous tente depuis quelques temps déjà...Ou bien de poursuivre votre entrainemen...
23/06/2024

C'est le moment de vous essayer à ce qui vous tente depuis quelques temps déjà...
Ou bien de poursuivre votre entrainement pour éviter la rouille de la rentrée....

Si les cieux nous l'accordent, nous nous retrouverons dehors.

12/05/2024

Paru dans Alternative Santé le 19/04/24 sur l'Hypertension
Nota : on peut conclure aux mêmes résultats avec une pratique régulière du Qi Gong

Bien que le tai-chi ait percé dans nos pays depuis plusieurs décennies, sa pratique reste marginale en comparaison avec les formes d’exercice plus convenues, comme le fitness ou le jogging. Cette gymnastique douce semble pourtant particulièrement indiquée pour un public qui hésite à faire du sport, pour des effets tout à fait similaires.

Avec une estimation de 100 000 à 200 000 pratiquants dans l’Hexagone, le tai-chi est loin de rivaliser avec les quelque 10 000 salles de sport réparties sur le territoire qui drainent entre 5 et 6 millions d’inscrits. Si l’exercice, sous quasiment toutes ses formes, est aujourd’hui conseillé pour les hypertendus (pression artérielle au-dessus de 140/90 mmHg) comme pour les préhypertendus (pression artérielle entre 130/80 mmHg et 139/90 mmHg), les personnes à risque cardiovasculaire hésitent souvent du fait de leur condition. Et si le tai-chi, rassurant par son caractère fluide et lent, pouvait leur apporter autant, et même un peu plus, que le sport classique ?

Une littérature scientifique déjà bien fournie…
Ces quinze dernières années, de nombreuses études ont dressé un tableau complet et flatteur des bienfaits du tai-chi sur la santé, avec d’excellents résultats sur la prévention des chutes, l’arthrose, Parkinson, les maladies pulmonaires obstructives chroniques et les capacités cognitives. Des résultats probants ont aussi été constatés sur la dépression, la récupération après un AVC ou un accident cardiaque, la qualité de vie des patients atteints d’un cancer, la fibromyalgie, l’ostéoporose et l’hypertension. Le tai-chi est particulièrement bénéfique aux personnes en surpoids et âgées qui renoncent souvent à tout exercice physique : pour ce public, cette forme ancienne d’activité corps-esprit montre les mêmes avantages que l’exercice physique conventionnel sur le contrôle du poids, du tour de taille et de la cholestérolémie (1).

Une nouvelle étude chinoise (2) auprès d’un panel de 283 participants âgés de 18 à 65 ans révèle que la pratique du tai-chi (dans sa forme Yang, une succession de 24 mouvements) amoindrit la tendance à l’hypertension de façon plus marquée que le sport classique (jogging, marche rapide, vélo, monter les escaliers).

Après six mois, à raison de quatre sessions par semaine, la pression systolique (premier chiffre de la tension) avait baissé davantage dans le groupe « tai-chi » que dans le groupe « exercice conventionnel » (6,18 mmHg vs 3,88 mmHg), cet écart se maintenant à douze mois (7,01 mmHg vs 4,61 mmHg).

La pression systolique nocturne a connu le même mouvement (3,45 mmHg vs 0,63 mmHg). La pression diastolique (second chiffre de la tension), quant à elle, a diminué de manière identique dans les deux groupes. Des résultats qui devraient encourager la pratique de cet art martial doux ne présentant presque aucune contre-indication.

1 « Effects of tai chi or conventional exercise on central obesity in middle-aged and older adults: a three-group randomized controlled trial », Annals of Internal Medicine, 2021.

2 « Effect of tai chi vs aerobic exercise on blood pressure in patients with prehypertension: a randomized clinical trial », JAMA Network Open, février 2024.

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