Sandra Gallais - Kinésiologie, Soins de l'âme, Formations

22/06/2025

Je vous invite à nous rejoindre le dimanche 6 juillet à 11h pour vivre une CONSTELLATION pour la PAIX, au Bolo festival !

C'est une constellation en offrande pour le haut bien de chaque personne présente et de tous 🙂🙏✨🕊️

Le festival Bolo , c'est une merveille de festival avec un programme et des intervenants et artistes magnifiques ! 😍

Venez célébrer, chanter, danser, créer avec nous, pour l'amour du beau, de la paix et de tout ce qui vous fait vibrer 😊🙏✨🌹

02/11/2024

Merci Anaïs Theyskens 🙏🙏🙏✨🤍

19/10/2024

21/09/2024

Tellement 🙏❤️

I HAVE A DREAM 💎

Inspiration :
C’est quoi la théorie polyvagale?
Comprendre, réguler et agir sur le
fonctionnement de notre système nerveux
François Bonnal
Éditions Dangles

« Je me mets ainsi à rêver d’un nouveau modèle d’école universelle inspirée notamment par la théorie polyvagale…

Je rêve d’une école lovée au cœur de la nature, entourée d’animaux, d’arbres et d’un petit ruisseau.

Je rêve d’une école où l’on offrirait à nos enfants des espaces de collaboration plutôt que de compétition.

Je rêve d’une école où l’on apprendrait à entre-donner plutôt qu’à entreprendre.

Je rêve d’une école où l’on transmettrait que nous ne sommes qu’1 : la Terre, le monde humain, animal, végétal, minéral…

Je rêve d’une école où l’on enseignerait aux enfants et dès le plus jeune âge, à respirer, se relier, se connecter avec leur sécurité et leurs ressources intérieures.

Je rêve d’une école où l’on apprendrait aux enfants à soigner la Terre, les humains, les animaux, les végétaux...

Je rêve d’une école où l’on triplerait le temps des activités corporelles et artistiques.

Je rêve d’une école où l’on inviterait nos enfants plus à créer qu’à faire.

Je rêve d’une école où les parents pourraient entrer en son sein, lorsque les enfants sont tout petits et ont encore besoin de leur présence aimante, rassurante et sécurisante.

Je rêve d’une école où l’on inviterait les enfants à se connecter à la beauté du Monde, à chanter, à danser, à honorer le miracle du vivant.

Je rêve d’une école où l’on enseignerait à conjuguer, tous les matins, le verbe « aimer » à tous les temps et par tous les temps.

Je rêve d’une école où les enfants conjugueraient plus l’Être que l’avoir.

Je rêve d’une école où l’on apprendrait aux enfants à compter surtout jusqu’à 1, à vivre dans l’unité, parce que diviser, trop multiplier et soustraire à l’un et à l’autre ne nous rend pas heureux et crée beaucoup de malheurs.

Je rêve d’une école où l’on apprendrait aux enfants que, pour « être un bon élève », leur seul devoir serait d’avoir bon cœur.

Je rêve d’une école où l’on découvrirait la lecture des ciels étoilés.

Je rêve d’une école où l’on écouterait l’enseignement de l’eau , des papillons et des chevreuils.

Je rêve d’une école qui enseignerait aux enfants à casser les champs de béton pour vivre à nouveau entre ciel et terre.

Je rêve d’une école qui offrirait des racines et des ailes aux enfants du monde entier.

Je rêve d’une école, où tout tournerait autour du cœur des enfants et des grands.

À tous les enfants du monde.

De tout cœur
François

21/09/2024

QUAND UN CYCLE S’ACHÈVE

Une des choses les plus difficiles à accepter pour bien des humains, c’est de reconnaître qu’un cycle vient de se conclure, qu’une boucle vient d’être bouclée.

Par exemple, tous les signes sont là pour que nous changions d’emploi : nous n’avons pas la promotion que nous espérions, la compagnie pour laquelle nous travaillons a été vendue, un nouveau patron avec lequel nous n’avons pas d’affinités vient d’entrer en poste, mais nous persistons à demeurer sur place, espérant sans doute que les choses redeviennent comme avant.

Parfois, c’est un ami que nous avons depuis des dizaines d’années mais dont nos chemins se sont tellement écartés que ce qui nous unissait n’est plus qu’un petit point minuscule dans l’étendue de l’univers.

D’autres fois, c’est une passion que nous avions mais que nous maintenons artificiellement en vie car nous y avons tant investi, même cette passion ne nous rapporte plus rien, ni émotion, ni avantage quelconque.

La Vie fonctionne par cycle : été, automne, hiver, printemps. Jour et nuit. Naissance croissance, déclin, décès. Et même si nous voulons qu’il en soit autrement, lorsqu’un cycle est terminé, ce n’est pas la fin du monde, c’est le début d’un nouveau cycle.
Nous souffrons à vouloir maintenir coûte que coûte un cycle qui est déjà terminé, une boucle complètement bouclée. Nous voudrions que les choses redeviennent comme avant. Nous nous entêtons à perpétuer ce qui ne nous rend plus heureux. Et nous souffrons.

La Nature ne revient jamais en arrière. Lorsqu’un cycle se termine, un nouveau cycle commence. Une nouvelle histoire naît. Une nouvelle relation apparaît. Un nouvel emploi se présente. De nouveaux amis font irruption dans notre vie. Vouloir mettre un frein à cela, c’est comme vouloir empêcher les vagues de se déposer sur la plage.

Quand un cycle se conclut, soyons heureux plutôt que de résister : cela signifie qu’un nouveau cycle porteur d’espoir débute afin que nous puissions poursuivre notre évolution. Car tout ce qui stagne régresse, tout ce qui suit le courant de la Vie avance.

Diane Gagnon