Aline Lascorz Psychothérapeute

29/09/2024

J'ESSAIE ... ON VA VOIR SI ÇA MARCHE !

Tellement de pubs que je ne vois même plus les publication de mes amis Facebookiens !!! 😤😡
Alors, Bye bye pubs...
Ouiiiiiiiii ça marche !!!
Mise à jour effectuée
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bonjour nouveaux et vieux amis ! 🥰

C'est triste de devoir continuer à faire ça pour tuer les pubs et voir nos amis. C'est fait ! 👍

10/05/2024

Histoire de clarifier quelques évidences et de balayer les idées préconçues !
Excellente émission.

Edouard Durand, ancien juge des enfants au tribunal de grande instance de Bobigny et ex-coprésident de la Ciivise, Nadia Daam, productrice de Famille&Co sur France Inter et autrice ("La gosse" aux éditions Grasset) et Serge Hefez, psychiatre et psychanalyste sont les invités du Grand Entretien.

04/05/2024

LES YEUX DE MONA de Thomas Schlesser.
Les trois Grâces. Extrait :
"Les trois Grâces sont des allégories : elles représentent des valeurs importantes : les trois étapes qui font de nous des êtres sociables et hospitaliers, c'est à dire des humains vraiment humains.
La première consiste à savoir donner, la troisième à savoir rendre. Et entre les deux, il en est une sans laquelle rien n'est possible, qui est comme une clé de voûte qui porte toute la nature humaine : savoir recevoir.
Il faut apprendre à recevoir.
La nature humaine, pour être capable de grandes et belles choses, doit être prête à accueillir : accueillir la bienveillance d'autrui, son désir de faire plaisir, accueillir ce qu'elle n'a pas encore et ce qu'elle n'est pas encore. Il sera toujours temps pour celui qui reçoit de rendre, mais pour rendre, c'est à dire donner à nouveau, il est indispensable d'avoir été capable de recevoir."

08/04/2024

"Je tresserai ma tristesse "

Ma grand-mère disait que quand une femme se sent triste, le mieux qu'elle puisse faire, c'est de se tresser les cheveux; de cette manière la douleur demeurerait attrapée au coeur de la chevelure et ne pourrait pas gagner le reste du corps ; il faut faire attention à ce que la tristesse ne rentre pas dans les yeux car elle les ferait pleuvoir.
Il n'est pas bon non plus de la laisser s'introduire entre nos lèvres car ça les obligerait à dire des choses qui ne sont pas vraies.
Qu'elle ne se mette pas entre tes mains -me disait-elle- parce que tu pourrais brûler le café ou laisser la pâte crue ; tant la tristesse aime le goût amer.
Quand tu te sens triste ma fille, tresse-toi les cheveux, piège la douleur dans ce fil à tisser et laisse-le s'échapper quand le vent du nord souffle fort.
Notre chevelure est un ouvrage capable de tout attraper, elle est forte comme les racines de l'arbre qu'on appelle ahuehuete et douce comme la mousse d'atole.
Fais que la mélancolie ne te prenne pas par surprise, même si tu as le cœur brisé et les os glacés à cause d'une absence.
Ne la laisse pas rentrer en toi avec tes cheveux détachés, parce qu'elle coulerait en cascade par les canaux que la lune a dessinés sur ton corps. Tresse ta tristesse, disait-elle, tresse toujours ta tristesse ...
Et le lendemain quand tu te réveilleras avec le
chant du moineau, tu la trouveras pâle et évanouie dans l'écheveau de ta chevelure.
Paola Klug (autrice mexicaine)
Photo : Irina Garsh

08/03/2024

8 mars : "Ecoute ma différence"
Nombreuses à nous chercher, à rechercher en nous la première perception de nous-mêmes.
A interroger nos peurs, nos errances, nos délires.
A reconnaître nos valeurs.
Et à reconstituer les morceaux épars du féminin pour accéder à l'unité de la femme.
Unité dans la diversité.
Il n'est nullement question de me redéfinir suivant d'autres critères, de me déterminer suivant d'autres principes, de me délimiter suivant d'autres lois.
Le jour où je me ressaisirai, je ne laisserai à aucun homme, à aucune femme fût-elle la plus femme des féministes, le droit de me livrer une nouvelle identité d'emprunt.
Je réclame pour chacune, le droit de jaillir neuve et insolente d'elle-même.
De se dire et de se faire à partir d'elle seule.
De se sentir, de s'assumer, de s'affirmer, de s'imposer dans sa plénitude.
De se connaître et de se faire reconnaître telle quelle : femme.
A la fois une et plusieurs.
Rejeter les fausses identités construites et imposées de l'extérieur.
Et laisser ce qu'il y a d'authentique en moi émerger de l'intérieur.
Etre moi-même et pas simplement ton contraire, ton pendant, ton complément.
Exister sans modèle, ni références.
M'affirmer sans m'identifier à toi, sans même m'y opposer.
Ma féminité ne te doit rien.
Et tant mieux si je te plais. Ce n'est plus en tout cas ce qui me détermine.
Je prends le risque d'être comme je suis.
Et pas nécessairement comme tu me veux.
D'occuper ma place au soleil.
Pas celle que tu m'as assignée.
Celle que j'ai choisie.
Je suis. C'est tout. Sans que tu me dises qui je suis.
D'ailleurs le sais-je vraiment moi-même ?
Mieux qu'une prise de la Bastille, ma prise de conscience.
Nous sommes nombreuses à éprouver impérieux, ce besoin d'exister.
Un besoin aussi vital que celui d'aimer."
Mariella Righini (journaliste et écrivaine franco-italienne)
"Ecoute ma différence"

10/02/2024

"En medio del odio descubrí que había, dentro de mí, un amor invencible. En medio de las lágrimas descubrí que había, dentro de mí, una sonrisa invencible. En medio del caos descubrí que había, dentro de mí, una calma invencible.

Me di cuenta, a pesar de todo, que en medio del invierno había dentro de mí un verano invencible. Y eso me hace feliz. Porque esto dice que no importa lo duro que el mundo empuja contra mí; en mi interior hay algo más fuerte, algo mejor, empujando de vuelta".

Albert Camus,
El verano

albertcamus

10/02/2024

Certains êtres, à mesure que le temps passe, deviennent de plus en plus libres : ils se redressent au lieu de s’affaisser. Il émane d’eux une énergie étonnante. Ils sont lumière pour qui les rencontre. J’aimerais savoir ce qu’ils ont fait des ombres de leur passé. De leurs regrets, de leurs déchirures. Comment ils s’en sont arrangés. Parce qu’on n’oublie rien, je le sais ce soir. On n’oublie rien. Quand bien même on s’est efforcé du contraire : le passé vit en nous. Masse informe tapie au plus profond de soi, qu’on pourrait croire endormie mais qui veille…
Alors, eux, ces êtres de lumières : comment font-ils ?

Puisque rien ne dure de Laurence Tardieu.