Thérapeute Didier Jauberthie

Thérapeute Didier Jauberthie Cette page est au service du présent qui vous amène à me rencontrer et ensemble nous le rencontrerons

17/09/2025
16/09/2025
12/09/2025

Celui qui m’idéalise, condamne implicitement notre relation à l’inévitable mouvement qui le poussera à me diaboliser.

Si tu me mets sur un piédestal, tu génères implicitement le mouvement qui fera qu’un jour tu auras besoin de m’en faire tomber, pour justement te réparer à l’endroit souffrant depuis lequel tu avais tant besoin de … donner ton pouvoir à l’autre.

Si tu prends le moindre de mes mots comme vérité absolue ou supérieure à la tienne, tu sèmes implicitement ce que tu finiras par considérer comme un mensonge, nécessaire à la récupération de ta vérité.

Un proverbe africain nous dit : « L’enfant qui n’a pas senti la chaleur de son village, reviendra pour le brûler » pour enfin en sentir cette chaleur.

Il réside, parfois, dans l’idéalisation ou l’idolâtrie de l’autre à son insu, une forme d’abus, dont notre enfance est le terreau.

🙏Stephan Schillinger
🍄Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com

02/09/2025
11/08/2025
09/08/2025

Il est inutile de parler
de "fidélité à soi-même"
tant que tu n'es pas sûr
de la voix à laquelle tu es fidèle.

C'est un travail sans relâche que de
différencier les voix de l'inconscient.

MARION WOODMAN

19/06/2025

👉🔺 IL FAUT SE TROUVER UN AMANT 💞😍

Beaucoup de gens viennent dans mon cabinet pour me dire qu’ils sont tristes ou qu’ils souffrent de divers symptômes :

insomnie,

manque de volonté,

pessimisme,

crises de larmes,

et les maladies les plus diverses dans tout le corps.

Ils me racontent que leur vie se déroule sur un mode monotone, sans perspectives ; qu’ils ne travaillent que pour subsister et qu’ils ne savent pas comment occuper leur temps libre.

Bref, d’une manière ou d’une autre, ils sont réellement désespérés.
Avant de venir me voir, ils ont déjà consulté d’autres médecins qui leur ont offert la compassion d’un diagnostic infaillible :

> « Dépression »,

accompagné, bien sûr, de l’antidépresseur du moment.

Alors, après les avoir écoutés attentivement, je leur dis qu’ils n’ont pas besoin d’un antidépresseur ;

> ce qu’il leur faut vraiment, c’est un amant.

Il est incroyable de voir l’expression de leurs yeux lorsqu’ils entendent mon verdict.

Il y a celles et ceux qui pensent :

> Comment un professionnel peut-il se permettre une suggestion si peu scientifique ?

Et il y a les scandalisés qui s’en vont, pour ne jamais revenir.

À celles et ceux qui restent, qui ne prennent pas la fuite, je donne la définition suivante :

Un amant, c’est :

👉😊 « ce qui nous passionne ». 💃🌷🌲🧘‍♀️🏄‍♀️🚣‍♀️🚴‍♂️

Ce qui occupe notre pensée avant de nous endormir et, parfois, nous empêche même de dormir.
Notre amant, c’est ce qui nous rend distraits face au monde ; c’est ce qui nous rappelle que la vie a une motivation, un sens.

Parfois, on trouve son amant dans un partenaire.
Mais on peut aussi le découvrir :

dans la littérature,

dans la musique,

au cinéma,

dans la photographie,

en politique,

dans le sport,

dans un travail qui est vocation,

dans la quête spirituelle,

dans l’amitié,

dans la bonne chère,

dans l’étude,

en voyage,

ou dans le plaisir obsessionnel d’un simple passe-temps…

En somme, c’est “quelqu’un” ou “quelque chose” qui nous met en couple avec la vie et nous écarte du triste destin de simplement durer.

---

Et durer, qu’est-ce que c’est ?

Durer, c’est avoir peur de vivre.
C’est passer son temps à observer comment vivent les autres,
à prendre sa tension chaque jour,
à errer de cabinets médicaux en pharmacies,
à avaler des pilules multicolores,
à fuir les éclats de rire,
à regarder chaque nouvelle ride avec déception,
à se protéger du froid, de la chaleur, de l’humidité, du soleil, de la pluie.

Durer, c’est remettre à demain la possibilité de profiter de chaque minute d’aujourd’hui,
armé du raisonnement fragile et incertain que « peut-être » on le fera plus t**d.

S’il te plaît, ne t’obstine pas à durer.
Trouve-toi un amant.
Deviens, toi aussi, l’amant et le protagoniste de ta propre vie.

Souviens-toi que le tragique, ce n’est pas de mourir — après tout, la mort n’oublie personne.

> Le véritable drame, c’est de ne pas oser vivre.

Alors, sans hésiter… mets-toi en couple avec la vie ! ♥️🌷🙏♥️🌷🙏♥️🌷🙏

Jorge Bucay

04/06/2025

Je suis allé au refuge chercher un chiot… et je suis rentré chez moi avec une vieille chienne aveugle.

Je savais exactement ce que je voulais : un chiot. Petit, joueur, les yeux pétillants, débordant d’énergie. Depuis la mort de Rocky, mon compagnon de douze ans, la maison était devenue trop silencieuse. Je ne voulais pas le remplacer à la hâte… mais ce silence me faisait mal. J’avais besoin d’entendre à nouveau des pas, de sentir un souffle tranquille à mes côtés la nuit.

Dans le refuge flottait une odeur de désinfectant et de résignation. Une bénévole au sourire doux, María, m’accueillit et me guida jusqu’aux chenils. Des dizaines de chiens y aboyaient, bondissaient, quémandaient de l’attention. Je m’arrêtai devant une cage où un petit chien noir agitait la queue comme une hélice.
— Il a l’air si joyeux, dis-je.
— Deux mois à peine, c’est une boule d’amour, répondit María.
Mais elle ajouta, presque à voix basse :
— J’aimerais te montrer quelqu’un d’autre.

Intrigué, je la suivis. Tout au fond, presque cachée, une cage plus calme. Dans un coin, recroquevillée, une chienne plus grande. Son pelage grisonnait, ses yeux restaient clos.
— Elle s’appelle Gerda. Treize ans. Aveugle. On l’a trouvée au bord de la route. On pense qu’elle a été abandonnée… Elle ne pouvait plus se débrouiller seule. Elle ne bouge presque pas. On croit qu’elle attend simplement la fin.

Je ne dis rien. Je la regardai. Il n’y avait dans sa posture ni supplication, ni colère. Seulement une paix résignée. Comme si elle n’espérait plus rien.
— Je la prends, dis-je, sans réfléchir.

María cligna des yeux, surprise. Elle m’expliqua ce que cela impliquait de s’occuper d’une chienne aussi âgée. J’acquiesçai. Je comprenais. Mais quelque chose en moi avait déjà décidé.

Les premiers jours furent rudes. Gerda mangeait à peine, se levait rarement. Je me couchais près d’elle et lui murmurais : "Tu es chez toi, maintenant. Je suis là."
Son corps frémissait. Certaines nuits, elle pleurait en silence. Je me réveillais, la caressais doucement. Et elle se rendormait.

Puis vinrent les petits miracles.
Le quatrième jour, elle se rendit seule à sa gamelle.
Le septième, elle posa sa tête sur mes genoux.
J’ai pleuré. C’était son premier geste de confiance.

Je me mis à lire, à apprendre comment prendre soin d’un chien aveugle. Je mis des grelots aux portes, ne bougeai plus les meubles, lui parlais davantage. Gerda apprit à reconnaître mes pas, ma voix. Nous réapprenions à vivre. Ensemble.

Un mois plus t**d, elle connaissait chaque recoin de la maison. Elle sortait dans le jardin, levait le museau vers le soleil. Les gens me demandaient :
— C’est ta chienne ? Mais… elle est si vieille !
Je répondais avec tendresse :
— Oui. C’est ma fille.

Un jour, lors d’une promenade, un chiot espiègle s’approcha. Maladroit, frétillant de joie, il voulut jouer avec Gerda. Elle eut peur, gémit. Je la pris dans mes bras. Cette nuit-là, elle erra, agitée.

Le lendemain, je retournai au refuge. Le chiot était toujours là.
Et c’est ainsi que Max entra dans nos vies.

J’avais peur que Gerda ne l’accepte pas, mais Max fut d’une douceur infinie. Il s’allongeait près d’elle, la respectait. Jusqu’au jour où Gerda posa une patte sur lui. À partir de ce moment, ils ne se quittèrent plus.

Max devint ses yeux. Il la guidait, la poussait doucement du museau, l’attendait si elle s’arrêtait. Et elle… rajeunit. Elle marchait davantage, jouait parfois. Il m’arrivait de croire qu’elle souriait.

Un an a passé.
Gerda n’est plus cette chienne vieille et abandonnée.
Elle est devenue le cœur de notre maison.
Paisible. Sage.
Max est son ombre fidèle.

Et moi… j’ai compris que parfois, on ne reçoit pas ce qu’on voulait, mais ce dont on avait profondément besoin.

Parce que l’amour ne connaît ni l’âge… ni les apparences.
Et je n’ai pas seulement sauvé Gerda.
Nous nous sommes sauvés tous les deux.

19/05/2025

C'est rare de tomber sur une analyse aussi pertinente sur le net.
C'est pour cela que je la recopie ici.
L'auteur est inconnu ... mais, cela ressemble tellement à ce que l'on étudie en TSA (Hypnose Humaniste) que cela ne m'étonnerait pas qu'il y ait étudié le cours sur la thérapie de couple, ou peut être lu le livre "Psychothérapie" ;)

VOUS NE TOMBEZ JAMAIS SUR LA MAUVAISE PERSONNE.VOUS TOMBEZ TOUJOURS SUR LA BONNE...
CELLE QUI RÉVEILLE. CE QUE VOUS AVEZ MIS SOUS LE TAPIS DEPUIS DES ANNÉES.
Ce n'est pas un hasard s'il vous rend f***e.
Ou si elle vous pousse à bout.
C'est un miroir.
Brutal, mais si précis...
I1 reflète vos blessures d'enfance non guéries.
Elle le regarde. Il détourne les yeux.
Elle pose des questions. Il se ferme.
Elle s'accroche. Il s'éloigne
Ce qu'elle veut?
Ce n'est pas un homme.
C'est un papa. Celui qui n'a jamais était là.
Ce qu'il fuit?
Ce n'est pas une femme.
C'est une mère, celle qui contrôlait tout.
Ils ne sont pas toxiques.
Ils sont blessés.
Et Iamour..
l'amour met tout a nu.
Alors vous vous aimez, en vous écorchant.
En croyant que l'autre allait vous réparer.
Mais non.
L'amour ne guérit pas.
Il réveille. Et il exige.
Ce que vous fuyez.
l'amour vous le renvoie.
En pleine face. .Sans prendre de pincette...
Et si ce n’était pas lui le problème ?
Et si ce n’était pas elle non plus ?
Mais ce que son comportement active, dans votre corps, sans même le savoir…
Ce n’est pas la relation qui vous fait souffrir.
C’est la mémoire émotionnelle qu’elle réveille.
Une absence, un regard fuyant, un silence prolongé…
Et votre système d’alerte interne s’enclenche.
Pas parce que c’est grave. Mais parce que c’est familier.
Votre corps n’a pas oublié ce que votre esprit a tenté d’enterrer.
Ce partenaire qui vous ignore ?
Il réactive la blessure du père absent, celui que vous attendiez devant la porte.
Cette personne trop présente ?
Elle appuie sur la blessure de la mère étouffante, celle qui vous a appris à vous effacer pour mériter un peu d’amour.
Ce n’est pas l’autre.
C’est ce que votre système nerveux n’a jamais digéré.
Et tant que vous n’aurez pas libéré les émotions figées dans votre corps,
vous retomberez, encore et encore, dans les mêmes cercles infernaux :
- Attachement instable
- Angoisse du rejet
- Besoin irrépressible de plaire
- Peur panique d’être seul(e)
La vérité, c’est que comprendre ne suffit pas.
Vous le savez déjà.
Vous avez compris. Vous avez analysé. Vous avez pleuré.
Mais rien ne change…
Parce que ce que vous vivez ne vient pas de votre tête.
Ça vient du corps.
💥 Ce que vous appelez “amour”, c’est souvent un attachement conditionné.
💥 Ce que vous fuyez dans l’autre, c’est souvent un fantôme de votre passé.
💥 Ce que vous croyez être une malchance en amour, c’est souvent un programme émotionnel transgénérationnel.
Mais la bonne nouvelle ?
Ça se transforme.

Auteur inconnu

En travaillant sur nos blessures en Thérapie Symbolique Avancée (TSA).

14/05/2025

Elle : Tu m’as trompé ?
Lui : Oui.
Elle : Tu es comme tous les autres… un lâche, un infidèle, un menteur.
Lui : Peut-être que tu as raison.
Elle : Va-t’en. Je ne veux plus jamais te voir.
Lui : D’accord… mais laisse-moi dire quelque chose, ensuite je partirai.

Tu sais, mon travail ne se fait ni derrière un bureau, ni devant un écran.
Je me lève chaque jour à 3h du matin. Il n’y a pas d’horaires fixes, pas de vraies pauses. C’est dur, physiquement et mentalement.

Elle : Moi aussi je travaille dur, je rentre épuisée. Pourtant, je n’ai jamais été infidèle.
Lui : Je sais. Et je n’essaie pas de me justifier.
Elle : Alors dépêche-toi, prends tes affaires et pars.
Lui : J’y vais… mais écoute encore un instant.

Quand je rentrais, vidé, presque brisé…
Je prenais quand même une do**he, je me rasais, je mettais un peu de parfum. Pour toi.
Je me forçais à sourire. Pour toi.
Et souvent, tu ne le voyais même pas.

Le soir, j’espérais un moment à deux.
Mais à chaque fois que je me rapprochais, tu me repoussais :
« J’suis fatiguée. J’ai mal à la tête. J’ai mal aux pieds. »
Moi aussi j’étais épuisé. Mais j’avais besoin de toi.
Pas seulement physiquement…
J’avais besoin de ta présence, de ton attention, de ta tendresse.

Mais les jours passaient…
Les gestes ont disparu, les regards aussi. Même un simple “bonne nuit” devenait rare.

Et puis, un jour, elle est arrivée.
Je ne cherchais rien… mais elle m’a vu. Elle a écouté. Elle a pris le temps.
Ce temps que tu ne m’accordais plus.

Petit à petit, j’ai glissé.
Et dans ses bras, je pensais encore à toi.
Je me sentais coupable. Triste.
Mais au fond, j’en avais juste assez… de supplier pour une caresse, un regard, un mot doux.

Oui, tu peux me traiter de tout.
Mais ce que je voulais, c’était juste qu’on se retrouve.
Et ça… je l’ai demandé trop longtemps seul.

Réflexion :
Homme ou femme… n’attendez pas qu’il soit trop t**d.
L’amour ne s’use pas par les disputes, mais par le silence.
Ne laissez pas le quotidien effacer les gestes simples.
Un couple s’entretient, chaque jour.

09/04/2025

Apres l’intellectualisation qui nous aura permis de manipuler le monde objectif et matériel pour, entre autres, moins nous ressentir, s’offre à « celui qui cherche son chemin » une porte qui donne sur un autre niveau de réalité, où l’énergie apparaît derrière le cours des évènement et à la source de la matière.

Au contact du corps, qui est à la fois antenne et caisse de résonance, elle se manifeste sous forme d’émotions. Ce sont ces dernières, leur traitement ou leur refoulement, qui conditionnent notre manière de percevoir cette surface projective qu’est la réalité. Ces projections, véritables conséquences de nos filtres de perceptions, viennent alors révéler la nature des émotions qui se jouent en nous, non libérées ou non traversées.

L’atteinte d’un niveau plus profond d’interaction avec « ce qui est », passe inévitablement par l’abandon des mots, au profit du ressenti, au-delà des concepts. Il s’agit davantage « d’être au monde » que de « penser le monde ».
Il existe une ingénierie millénaire de cette énergie circulant dans le corps, par la manipulation du corps et du souffle. Le développement des capacités de manipulation de ces énergies influence directement la profondeur de perception de ce que nous nommons « réalité » et de l’expérience que nous faisons de notre passage sur terre.

Stephan Schillinger - extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique
(Illustration shusha guna)

03/04/2025

L’enfant blessé qui demeure inconsciemment en nous veut se faire voir, recevoir, accueillir et réparer par la même instance, le même archétype, qui est à l’origine de la blessure.
Cette instance est alors projetée sur nos partenaires de vie à travers le filtre de notre blessure originelle.

C’est en ce sens que nous ne choisirons pas forcément les partenaires les plus constructifs, mais les plus à même de nous faire rejouer notre drame existentiel et ainsi tendre vers la potentielle guérison à laquelle notre inconscient nous convoque.

Stephan Schillinger - extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com
(Illustration anonyme)

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