27/06/2025
Merci à la personne qui se connaîtra pour ce magnifique texte que j'ai envie de vous partager...
Tu n’es pas ici pour survivre.
Tu es ici pour te souvenir.
Te souvenir que tu es bien plus qu’un corps, une histoire ou un statut.
Tu es conscience en mouvement, déguisée en personnage.
Et tu t’es volontairement oubliée pour le jeu de la forme, de la densité, du contraste.
Tous les maîtres ont dit la même chose, sous des mots différents .
Tous disaient, chacun à leur manière :
👉 Le chemin n’est pas à l’extérieur.
👉 Le divin n’est pas une entité séparée.
👉 L’éveil ne se trouve ni dans un texte, ni dans une croyance, ni dans une institution.
Mais dans un retournement radical de la conscience.
« Ce n’est pas le monde qu’il faut changer. C’est ton regard.”
Car tant que tu crois que tu seras sauvé par un plan, un leader, un événement mondial…
Tu restes prisonnier du jeu.
La matrice se nourrit de ton espoir… et de ta peur.
Elle se fout que tu cries dans ta cellule, tant que tu ne sors pas de la prison intérieure.
Alors comment on sort de la matrice ?
On sort de la matrice en arrêtant de vouloir la combattre.
Car ce à quoi tu résistes… persiste.
Tu nourris la bête quand tu hurles contre elle.
Tu la renforces quand tu fais de la peur un drapeau.
La seule vraie sortie, c’est le retournement intérieur.
Pas une fuite. Pas une ascension éthérée.
Mais un ancrage radical dans ton être le plus libre, le plus vivant, le plus présent.
Sortir de la matrice, c’est pas fuir le système.
C’est voir à travers lui.
Ne plus réagir avec colère, mais avec clarté.
Ne plus alimenter le chaos, mais incarner la paix.
Ne plus chercher l’ennemi dehors, mais voir le programme en soi.
Comment on quitte la souffrance ?
Pas en la niant.
Mais en la traversant avec amour.
La souffrance n’est pas une punition.
C’est une alarme.
Elle crie : “Tu as oublié qui tu es.”
La paix ne vient pas quand tout va bien.
Elle vient quand tu cesses de te battre contre “ce qui est”.
Car tout ce que tu juges dehors révèle une blessure non guérie en toi.
Et tant que tu réagis, tu es contrôlable.
La vraie liberté commence là :
Quand tu deviens souverain de ton monde intérieur.
Et que tu rayonnes une paix que rien ni personne ne peut éteindre.
Et le bonheur réel, c’est quoi ?
Ce n’est pas une émotion constante.
Ce n’est pas un “feel good” permanent.
Le bonheur, c’est l’acceptation sacrée de ton humanité.
C’est retrouver ta capacité à aimer même au cœur du chaos.
C’est voir le monde avec les yeux d’un enfant éveillé :
Curieux, libre, et présent.
La révolution de conscience ne se fera pas avec des pancartes.
Elle se fera dans chaque regard qui choisit de ne plus haïr.
Dans chaque bouche qui choisit de ne plus mentir.
Dans chaque être qui se souvient qu’il est là pour vivre, pas obéir.
Ce monde se guérira quand on aura compris que l’autre est un autre moi.
Et que toutes les guerres, toutes les souffrances, toutes les tyrannies…
Naissent d’une seule illusion : la séparation.
En résumé :
Tu es le créateur que tu attends.
Tu es la paix que tu cherches.
Tu es l’amour que tu réclames.
Tu es la matrice… et tu es la clé.
Alors ne demande plus :
“Quand est-ce qu’on va s’en sortir ?”
Demande-toi :
“Quand vais-je me souvenir que je suis libre ?”
Et rappelle-toi :
Le réveil, c’est pas un événement. C’est une décision ».