Aux Jardins d'Anoukis

11/09/2023

Les opioïdes sont déjà responsables d’au moins 4 décès par semaine. Ils sont devenus la première cause d’overdoses mortelles entre 2000 et 2015.

08/07/2023

LE PARACÉTAMOL, C'EST 100 000 HOSPITALISATIONS PAR AN !!!
Santé Non Censurée
Le 08-07-2023

Chère lectrice, cher lecteur,

Véritable molécule “à tout faire”, présente dans toutes les pharmacies, le paracétamol est la substance la plus utilisée et la plus prescrite partout dans le monde1.

Un léger mal de tête ?
Un peu de fièvre ?
Une douleur au dos qui ne veut pas passer ?
Des règles douloureuses ?
Le paracétamol est la solution !

Présenté comme l’antidouleur le plus sûr et le plus inoffensif2, il est l’un des seuls médicaments autorisés chez la femme enceinte.

Même les enfants peuvent en prendre.

Et souvenez-vous, durant la pandémie, le gouvernement lui-même nous recommandait fortement d’en prendre dès les premiers symptômes3.

POURTANT, depuis 2019, comme les paquets de ci******es, les boîtes de paracétamol portent désormais des avertissements “Surdosage = danger”4 et ne sont plus en accès libre.

POUQUOI ?

Et bien parce qu’aussi “universel” soit-il, le paracétamol reste un médicament dont la consommation excessive et répétée comporte des risques, notamment d’intoxication, ou même de décès.

Et ce n’est pas nouveau.

En 2017, un énième décès dû à une intoxication par automédication pour un simple mal de ventre, avait décidé les autorités à retirer le paracétamol de l’accès libre dans les rayons de pharmacie et finalement, à faire figurer dessus cet avertissement5.

Vous devez désormais le demander au pharmacien, qui s’assurera que vous êtes conscient des risques en cas de mauvaise utilisation.

Les risques du paracétamol ont toujours été inscrits sur la notice, mais bien sûr, qui lit les notices ?

Car en cas d’intoxication, le paracétamol “magique” devient EXTRÊMEMENT TOXIQUE POUR LE FOIE.
AU POINT QUE LES INTOXICATIONS MÉDICAMENTEUSES A BASE DE PARACÉTAMOL SERAIENT RESPONSABLES D'UNE TRANSPLANTTION DU FOIE CHAQUE SEMAINE !!!

Le problème avec LE PARACÉTAMOL , c’est que, tout comme pour le sucre dans l’alimentation, il y en a un peu partout.

Il est bien sûr présent dans les Doliprane ou les Dafalgan, mais il fait également partie de la composition de nombreux autres médicaments très courants et disponibles en automédication.

Je pense notamment à ceux contre le rhume.

En tout, plus de 200 spécialités commercialisées en France contiennent du paracétamol sans que cela n’apparaisse dans leur nom commercial7.

Il est donc crucial de vérifier à chaque fois la composition de vos médicaments pour éviter des surdosages de ce paracétamol “caché”.

L’autre problème, ce sont les mauvais usage du paracétamol.
Vous utilisez mal le paracétamol… mais personne ne vous le dit
Les mauvais usages du paracétamol sont malheureusement très fréquents.

La raison à cela est simple : le paracétamol est souvent confondu avec d’autres anti-douleur de type AINS (anti-inflammatoire non stéroïdien), comme l’aspirine.

Pour rappel, une inflammation est une réaction normale du corps en cas de lésion et qui se traduit généralement par une rougeur, de la chaleur, un gonflement et une douleur8.

Or, le paracétamol n’a aucune action anti-inflammatoire9.

Il est donc inutile d’en prendre en cas de douleurs d’origine inflammatoire.

Cela vaut notamment pour les douleurs dentaires10, articulaires et dorsales11, ou même le rhume et la grippe12, qui y répondent très mal.

Dans tous ces cas, le paracétamol ne va pas traiter la cause du problème, il va juste en camoufler la douleur pendant un temps, avant que celle-ci ne revienne, aussi violente qu’avant…

… vous incitant à reprendre encore du paracétamol, voire même à en augmenter le dosage pour espérer augmenter l’efficacité.

C’est généralement de cette façon que les malades finissent par saturer leur foie.

07/07/2023

SOUTIEN MASSIF ET ÉMOUVANT AUX MÉDECINES NATURELLES : MERCI !
Santé Non Censurée Le 07-07-2023

Chère lectrice, cher lecteur,

Il y a quelques jours, je vous faisais part de mon indignation en découvrant le dernier rapport du conseil de l’Ordre1.
Celui-ci annonce en effet vouloir encadrer l’utilisation de certains termes, comme “médecine” ou “docteur” pour les réserver à l’usage unique des professions médicales “conventionnelles”2.
Voilà une manière efficace de mettre des bâtons dans les roues des médecines naturelles qui les gênent tant depuis la pandémie…
Leur raison ?
Toujours la même : les médecines parallèles, pourtant prisées par 71 % des Français3, seraient dangereuses.
Dangereuses pour quoi ? Et surtout pour qui ?
Des centaines de réponses !
Depuis cette lettre, j’ai reçu plusieurs centaines de messages de votre part.
Vous me faites part de votre indignation, justifiée, face à cette interminable chasse aux sorcières.
Mais surtout, vous êtes des dizaines à me raconter en détails comment les médecines naturelles vous ont “sorti du tunnel” à un moment où la médecine conventionnelle n’avait pas, ou plus, de réponse.
J’ai ressenti une immense émotion en vous lisant.
La médecine allopathique a des limites, vous en avez fait l’expérience
Pour beaucoup d’entre vous, les médecines douces ont été un véritable salut quand la médecine allopathique n’avait plus de solutions à vous proposer.
C’est le cas de Dominique par exemple :
“Souffrant depuis longtemps de remontées acides, j’ai pris pendant des années de l’Inexium et du Pariet. Mais depuis quelques années, ayant lu dans des ouvrages sur le danger des IPP [inhibiteurs de la pompe à protons] pris sur le long terme, j’ai stoppé tous les produits laitiers et j’ai commencé à prendre souvent du gel d’aloe vera le matin. Voilà trois ans que je ne prends plus ces IPP et que je n’ai plus de problèmes.”
De Catherine :
“Pour ma part, j'ai souffert d'une tendinite au bras gauche. Je ne pouvais même plus porter une assiette, pourtant légère ! J'ai eu des traitements chimiques par voies internes et externes, mais rien n'y faisait. Je suis allée voir une magnétiseuse qui traitait par pendule ; ça s'est un peu amélioré mais comme, en fin de séance, j'avais encore mal, elle a mis ses mains sur l'endroit douloureux et la douleur a totalement disparu et n'est jamais revenue.”
De Martine :
“Les médecines naturelles et complémentaires m’ont sortie du tunnel pour ma fibromyalgie, alors que la médecine conventionnelle était impuissante et me rendait encore plus malade avec les médicaments.”
Ou encore de Patricia :
“Je me soigne par médecine naturelle depuis l’âge de 27 ans, suite à des allergies massives aux antibiotiques. J'ai 64 ans et continue d’utiliser les oligo-éléments et autres thérapies naturelles.”
Pour une alliance du meilleur des deux médecines
En cherchant à interdire les médecines naturelles, le conseil de l’Ordre fait selon moi une grave erreur : il cherche à faire passer les partisans des médecines naturelles pour de dangereux obscurantistes.
La vérité, comme toujours, est bien plus nuancée (mais bien sûr, elle arrange moins les instances dirigeantes…).
Car si vous avez volontiers recours aux médecines naturelles, il ne s’agit pas de faire concurrence à la médecine allopathique.
Vous êtes, comme moi, convaincus que le futur de la médecine passera par une alliance du “meilleur des deux médecines” : la médecine conventionnelle (ou allopathique) et la médecine traditionnelle (ou naturelle).
De nombreux médecins pratiquent déjà cette “médecine intégrative”.
Et vous également, avec succès :
Diane m’écrit : “A un moment ou à un autre d'une vie, on aura absolument recours à un médecin qualifié, par exemple pour une chirurgie. Mais il nous faut aussi être ouvert à la médecine douce, qui se prête plus efficacement aux maux de longue date. C’est le cas de la sclérose en plaques par exemple, qui se guérit mieux par les ressources naturelles et une diète appropriée, adaptée à chaque individu.”
Françoise pense que : “les deux médecines peuvent très bien travailler ensemble sans contre-indication et qu’au contraire, leur collaboration créera une synergie profitable au patient.”
Selon Nathalie, “il n’y a pas de “médecines parallèles”, toutes ont pour but de soigner, d’autant plus, qu’à la base, beaucoup de médicaments utilisent les propriétés des plantes synthétisées en laboratoire.”
C’est aussi le point de vue de Jocelyne, elle-même médecin :
“Je suis médecin et ai pratiqué la médecine conventionnelle ET des médecines dites parallèles avec de très bons résultats que la médecine conventionnelle seule n’atteignait pas.” Jocelyne
Mais je laisse le mot de la fin à Christian :
“Il devrait importer d'avoir pour objectif l'intérêt public, celui des patients et du plus grand nombre. Complémentarité plutôt que rivalité.”
Christian, comme vous avez raison !
Car il ne s’agit pas d’imposer la médecine naturelle au détriment de la médecine conventionnelle, mais bien de laisser à chaque individu la possibilité de faire un choix éclairé pour sa santé.
Libre à chacun de s’entourer des pratiques qui lui paraissent les plus appropriées, à chaque moment de sa vie.
Ce n’est pas en interdisant une médecine que l’autre triomphera, et ça, l’Ordre ne l’a visiblement pas encore compris.
Les médecines douces n’ont jamais cherché à supplanter la médecine allopathique.
Il serait grand temps que le conseil de l’Ordre réalise que l’engouement des Français pour ces pratiques naturelles est avant tout le signal que la médecine “officielle” ne répond plus à tous leurs besoins.
Prenez soin de vous, Anne de Santé Non Censurée
Sources :
[1] https://www.conseil-national.medecin.fr/.../pratiques...
[2] https://www.ouest-france.fr/.../info-ouest-france-lordre...
[3] https://harris-interactive.fr/.../Rapport-Harris-Etude...

10/03/2023

10/03/2023

DIPLÔMÉE EN KINÉSIOLOGIE et PRATICIENNE EN SOINS ÉNERGÉTIQUES (appelés couramment "magnétiseuse ou guérisseuse")
Je peux vous recevoir à La Bonneville-sur-Iton (10 mn d’Evreux) POUR VOUS LIBÉRER DE LA CAUSE ORIGINELLE D'UN PROBLÈME,

qu’il soit physique, alimentaire, phobique, de traumatismes divers, graves ou bénins, mais handicapant, et/ou douloureux, et le plus important : LIBÉRATION EN QUELQUES MINUTES DE CELUI-CI, GRÂCE AU TEST MUSCULAIRE, outil formidable qu’est ce test (léger appui sur le bras) et la ROTATION OCULAIRE (appelée EMDR en anglais), mouvement simple et rapide des yeux pour "évacuer" le problème.
Compter 1h30 environ la séance au tarif de 60 €. Remboursée par beaucoup de mutuelles. Une seule séance, par problème à éliminer, est suffisante. Il est inutile de se dévêtir !

Le but de cette pratique, créée par les Américains dans les années 60, est de trouver la cause, l’origine (l’année), où elle a pris naissance, même pendant la vie embryonnaire.

Ce problème peut être récent ou très ancien. Qu’il soit conscient ou inconscient ; il peut être physique (de la simple douleur aux maladies graves, ou problèmes alimentaires, allergies, etc…) ou moral (angoisses, peurs, phobies, sentiment d’insécurité, d’inutilité ou d’inefficacité, impression de ne pas avancer dans la vie, dépression, chagrins, regrets etc…) ou relationnel (avec la famille, les ami(e)s, collègues etc…) ou encore intellectuel (problème de mémoire, de concentration, d’apprentissage etc…).

« La réaction du mouvement » fait par un léger appui musculaire sur bras ou avant bras, est en fait une appréciation de la part du praticien de la réaction du bras, test le plus facile et rapide à utiliser, et qui le guide.
A chaque question ou émotion, sentiment, même pour les problèmes alimentaires ou de poids, le muscle va nous donner une réponse.
Voilà comment nous allons trouver cette cause et l’ancienneté de son apparition dans la vie de la personne, même créée pendant la vie intra-utérine.
Il ne reste plus qu’à libérer le patient du blocage qu’engendre cette cause. La plus courante des méthodes, qui est de plus en plus connue en France, c’est la « rotation oculaire » ou le tapotement temporal.
Les résultats positifs et flagrants sont immédiats, se font ressentir souvent 5 à 6 jours après la séance, parfois 2 à 3 semaines (ce que j’ai toujours constaté).

A SAVOIR : les séances sont partiellement ou totalement remboursées par les mutuelles, comme pour l’ostéopathie, la sophrologie etc…
Et aussi : cette pratique est une discipline faisant partie, en France, du programme officiel des futurs enseignants du sport et des professionnels de la danse ; c’est dire si elle est utile et sérieuse !!!
Aussi, il est inutile de se déshabiller, les séances, indolores, peuvent se faire debout, assises ou allongées, et quelque soit l’âge du patient !
Si vous désirez avoir plus d’explications que dans ces courts résumés, vous pouvez me joindre par téléphone, même le week-end, au 02.76.12.17.03 (prix appel local) je répondrai, ou également par courriel : perrin.silviane@neuf.fr ou perrinsylvanna@gmail.com
J'ai bien sûr un n° de siret, et un extrait Kbis à disposition de toute personne désirant le consulter.
Sylvanna

19/02/2023

NE VOUS COUCHEZ JAMAIS FACHÉ(E)

Jean-Marc Dupuis - le 19/02/2023

Chère lectrice, cher lecteur

« Que le soleil ne se couche pas sur ta colère », écrivait le Sage il y a deux mille ans. Et aussi : « Avant que le soleil se couche, va te réconcilier avec ton frère ».

En langage symbolique, le coucher de soleil représente la mort de l’homme, son départ pour l’autre monde. On lui donne donc un délai suffisamment long, mais une fois ce temps écoulé, s’il n’a pas pu ou pas su résoudre son conflit, une fois “le soleil couché”, il est trop t**d. Les personnes qui ont eu le malheur de perdre un proche avant d’avoir eu le temps de se réconcilier avec lui savent la douleur et l’éternel regret qu’il en coûte.

Ces paroles peuvent cependant aussi être prises au pied de la lettre. Les conseillers conjugaux recommandent aujourd’hui à tous les couples qui veulent durer d’éviter de s’endormir le soir après une dispute non résolue.

Or, une nouvelle étude sur le cerveau parue dans la r***e scientifique The Journal of Neuroscience, confirme que s’endormir avec des émotions négatives a pour effet de les renforcer, ou de les conserver. (1)

Dormir fixe les idées
Le sommeil, qui est sans doute un fruit de notre évolution, permet au cerveau de fixer les idées et d’inscrire dans la mémoire les souvenirs et expériences de la journée, en particulier les expériences émotionnelles. Après un grave traumatisme, il est conseillé de NE PAS DORMIR, pour éviter justement que les mauvais souvenirs ne se gravent trop bien dans la mémoire.

Dans l’étude citée ci-dessus, les scientifiques ont recruté 106 hommes et femmes et leur ont fait regarder des images choquantes ou, au contraire, neutres ou apaisantes.

Ils ont ensuite observé la réaction de ces personnes à ces mêmes images après avoir dormi, ou au contraire après avoir veillé 12 heures. Ils ont constaté que les personnes qui avaient dormi continuaient à ressentir des émotions tout aussi violentes face aux images choquantes, alors que celles qui avaient veillé se sentaient nettement moins agressées.

D’autres études ont démontré (mais fallait-il que des « scientifiques » se mobilisent pour une telle évidence ?) qu’il est plus difficile de s’endormir après une expérience déstabilisante (dispute, déception…). Cette difficulté à s’endormir pourrait être un moyen pour notre cerveau d’éviter que ces souvenirs ou émotions ne se stockent trop bien dans notre mémoire.

Films et tristesse
Le cinéma combine tous les moyens (scénario, images et sons) pour un impact émotionnel maximal sur le spectateur.

Des dizaines de millions de personnes s’endorment tous les soirs de leur vie, et ce depuis le plus jeune âge, après avoir regardé un film.

Se pourrait-il qu’il existe un lien entre cette consommation massive d’émotions souvent violentes, juste avant le sommeil, et la pesante tristesse qui existe aujourd’hui dans nos sociétés ?

En 2012, 8 % des Français sont considérés comme dépressifs. Ils consomment collectivement 80 millions de boîte d’antidépresseurs par an. Selon le sociologue Alain Ehrenberg, le succès des antidépresseurs tient d’abord au sentiment d’impuissance dans lequel nous nous trouvons plutôt qu’à leur efficacité. (2)

Bien entendu, éviter les films trop chargés émotionellement le soir, et nous réconcilier avec nos proches avant de nous coucher, ne fera pas disparaître le terrible problème de la dépression.

Mais ce sont des pas que chacun de nous peut faire vers une meilleure hygiène du corps et de l’esprit, pour une existence moins stressée, moins chargée d’émotions négatives, plus apaisée.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis