Ingrid Vallauri Psychologue

08/09/2025

Rétablir la paix mentale grâce aux découvertes 🧠 👉 https://l.science-et-vie.com/Mql

28/08/2025

Les personnes bipolaires oscillent entre une ivresse euphorique et une tristesse abyssale. Cette maladie est souvent mal comprise du grand public et tardivement diagnostiquée. Que sait-on des mécanismes cérébraux qui la sous-tendent, et quelles pistes existent pour mieux la traiter ?

06/06/2025

La Ciotat nouvelle adresse 105 avenue Bellon (quartier St Jean)

30/05/2025

🩸 Ce trouble hormonal chronique peut provoquer, pendant la phase lutéale (qui précède les règles), anxiété, dépression, léthargie, automut*lation et pensées suic*daires.

26/05/2025

▶️ https://www.lepoint.fr/sante/sante-mentale-des-jeunes-au-bord-du-gouffre-21-05-2025-2590177_40.php

05/04/2025

Fatigue, douleur, anxiété, dépression… Le syndrome prémenstruel peut profondément affecter l’humeur et la santé mentale. Comment le reconnaître et le prendre en charge ?

01/02/2025

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01/11/2024

Quelle justesse

— Je traverse une période étrange, où je me détache de beaucoup de choses. J’aimerais savoir ce que cela signifie. Avant j’étais un emploi, un couple, et je me rends compte que cela disparaît et je ne sais plus trop qui je suis... Je fais l’expérience du vide, et du rien.

— Tu fais l’expérience de la dilatation, qui est un des deux mouvement fondamentaux qui sous-tend le vivant, avec la contraction. Nous passons notre vie soumis au rythme de cet incessant mouvement, que nous observons partout dans la nature. Que ce soit le rythme des saisons, où le mouvement de la sève des plantes forme un incessant ballet de contractions (hiver) et de dilatations (été) ; que ce soit notre coeur, le cycle menstruel, lunaire, ou le champ magnétique terrestre. Tout procède d’une succession de dilatation et de contraction.

Chez nous la contraction représente la densification de l’ego, et notre identification à ce dernier, puis à des diplômes, une carrière, un statut, des idées. La dilatation, qui peut survenir plusieurs fois au cours d’une vie, peut prendre la forme d’un cheminement spirituel.

C’est la désidentification progressive, et heureusement partielle, à l’ego. Nous réalisons que nous ne sommes pas seulement cela, et qu’au- delà de ce « programme » — cette « interface » de communication avec la réalité — réside un autre état d’être. Nous pouvons l’appeler « âme » ou simplement « Être ».

— Est-ce cela l’expérience du rien que je fais ? du vide ?
— L’expérience du rien ou du vide, quand elle est faite pleinement, à travers par exemple la méditation, permet d’accéder au tout. Si je ne suis plus rien, je peux tout être. S’offre alors à nous la possibilité d’un choix plus libre d’une nouvelle posture, identité, métier, perception, déconditionnée des éléments initiaux ayant généré la contraction identitaire, rigide. Celle qui pour toi est devenue trop douloureuse et a été amenée à craqueler sous la pression de l’intelligence du vivant qui se manifeste à travers les émotions, puis à s’effondrer.
— Mais alors, cela mène à une nouvelle contraction ? Mais quelle direction prendre ?
— Bienvenue dans le cycle de la vie. Il t’appartient de choisir le nord magnétique de ta boussole qu’est l’intuition. C’est le début de l’expérience « divine » de créativité pure qu’est cette existence quand nous parvenons à nous libérer, par cette dilatation, du conditionnement de nos traumatismes.

🙏 Stephan Schillinger©️ 📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique 📸 instagram.com/paruncurieuxhasard 🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger (illustration : anonyme)

24/08/2024

Suivre des préceptes, s’infliger des dogmes, se soumettre à des gourous, des textes sacrés, des pratiques mortifères, des consignes alimentaires, des prières, des règles, des lois...
Alors qu’il suffit de jeûner, de s’assoir le dos bien droit, et d’observer sa respiration assez longtemps pour voir émerger du néant, derrière le bavardage du mental, au-delà des concepts, un infini qui nous semble au début étrange et vertigineux. Puis, peu à peu, nous caressons l’idée que chacun de nous est « tout ce qui est ».

Mais qui souhaite cela ? Puisque nous avons la télévision, l’alcool, les jeux, le sucre.
Il y a, à la source de ce chemin qui va nous demander un courage peu commun, un appel, une intuition, une lueur dans le noir de notre intériorité, qui pulse chaudement, doucement depuis toujours et qui nous dit que dans cette vie « il ne peut pas s’agir que de ça » qu’il existe « autre chose » derrière l’idée d’avoir un travail, de faire carrière, fonder une famille, de réussir...
Cette chose, nous pouvons, lentement, l’approcher avec la dissolution des frontières du « moi », de l’ego, en fermant les yeux et en nous concentrant sur notre respiration. Nous approchons alors, du bout des doigts, ce que les traditions spirituelles évoquent depuis des millénaires sous divers noms : éveil, nirvana, satori, épiphanie.

Mais voilà que le mental, les peurs, la volonté de contrôle sur notre quotidien, nos enfants, nos parents, notre compte en banque, surviennent comme un chien dans un jeu de quilles. Ce chien fou, c’est notre attachement à l’identité. Une identité, gonflée et boursouflée, venue surcompenser un patchwork de blessures, cousues ensemble dans notre enfance.
Guérir de tout, par la connaissance de soi.

🙏 Stephan Schillinger©️ 📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique 🥰 Stages & Conférences : curieuxhasard.com 📸 instagram.com/paruncurieuxhasard 🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger (illustration : alejandro pasquale)

05/04/2024

Nous ne voyons pas la vie telle qu’elle est, mais uniquement à travers le filtre déformant de nos blessures.

La blessure narcissique, venue nous atteindre dans la perception que nous avons de notre propre valeur, génère un impérieux besoin de justifier notre existence. Notamment à travers le besoin de paraître, de rejeter, d’avoir raison, souvent d’ailleurs à l’endroit même de notre blessure.

Nous choisissons alors dans le grand magasin des masques que nous propose la société, celui qui nous permettra de survivre à cette souffrance que nous refoulons. Empêchant de ce fait la pénétration de la lumière de la conscience, qui guérit tout ce qu’elle touche.

De notre capacité à reconnaître nos masques et à les déposer pour conscientiser et accepter ce qu’ils protègent en vain, dépend la guérison.

Stephan Schillinger©️

📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique

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(Art : Boya Sun)

05/03/2024

Si la respiration profonde est efficace pour apaiser la peur, la douleur ou le stress, ce serait parce qu’une connexion profonde existe entre ces émotions négatives et...