Harmonie Sage femme liberale La ciotat

Harmonie Sage femme liberale La ciotat J'ai à cœur de redonner aux femmes leur plein pouvoir d'enfanter en sécurité.

Cabinet et Domiciles

Spécialisée dans la naissance physiologique, respectée et sans douleur, l'allaitement maternel, le bain thérapeutique et sensoriel du nourrisson( offert).

Check out this video from this search, test de la pomme abîmée pour faire comprendre aux enfants l'impact des mots https...
04/09/2025

Check out this video from this search, test de la pomme abîmée pour faire comprendre aux enfants l'impact des mots
https://share.google/XevaMSMBC0EM9sCnR

Bonjour à tous.
J'espère que la rentrée s'est bien passée pour vos bambins.

Je vous partage en conscience cette vidéo.
Elle aurait apparemment fait le buzz... mais tout mon entourage de mam's et copines et etc... à qui j'en ai parlé ne connaissaient pas...

Donc voilà, au mois de juin, je suis tombée sur cette vidéo en cherchant des outils pour le développement empathique des enfants.

J'ai fait le test à ma fille de 4 ans.

Ça a trop bien fonctionné dans le sens où ça l'a touchée en plein coeur.
Elle a eu de la peine pour la pomme abîmée.

Et depuis, les peu de fois où elle se montrerait coquine avec des enfants / cousines/ copains... je la regarde et lui dis:" Tu te souviens de la pomme? " et dessuite, elle a une prise de conscience.

Nos enfants sont foncièrement gentils, ils ne sont la que pour explorer dans la matière et apprendre.
Et ce sera forcément maladroit. Mais c'est normal.

En ce sens, jai trouvé intéressant de l'aider à grandir et comprendre l'impact des mots sur les autres, les animaux...

Et j'ai enchaîné sur la tolérance des différences...
Mais ça c'est encore une autre paire de manche 🤣

Elle a un immense respect de base mais je remarque que cela c'est amplifié depuis e test de la pomme.

J'avais juste envie de vous le partager si vous aussi, vous recherchez comme moi des outils de développement bienveillant.

😉
Belle journee tout le monde

Une professeur en Angleterre a créé une métaphore grâce à deux pommes pour démontrer les conséquences du harcèlement à ses élèves. Extrait de l'émission "Mille et une vies" diffusée le 20/02/2017 sur France 2. Retrouvez plus d'extraits et d’informations sur http://www.france2.fr/emiss...

31/08/2025

On nous a dit que les bébés devaient faire leurs nuits.

Qu’à 3 mois, c’est normal et qu’ à 6 mois, c’est exigible.

Au delà par contre c’est un problème.

Alors on attend, on s’inquiète, on doute et on est crevés.

Mais si vous avez un bébé qui se réveille encore plusieurs fois par nuit… Un bébé qui a besoin de vos bras, de votre peau, de votre odeur pour s’endormir, un bébé qui dort mieux collé à vous que seul dans un lit. C’est que vous avez un bébé en parfaite santé.

Biologiquement, les bébés font leurs nuits… mais pas les nôtres.

Un bébé humain est programmé pour se réveiller fréquemment :
– Pour manger
– Pour vérifier qu’il est en sécurité
– Pour réguler sa respiration
– Pour survivre

Ces réveils nocturnes sont une norme biologique, pas un échec parental, cen’est pas un mauvais sommeil. C’est le sommeil du bébé humain, dans ce qu’il a de plus primitif, de plus sage, de plus vital. 🩷

Le cododo (ou sommeil partagé) n’est pas une mode new age, ni un caprice de parent épuisé. C’est ce que les mères font depuis la nuit des temps. C’est ce que font encore 80 % des mères dans le monde. (Oui ! Nous ne sommes pas la norme )

Dormir avec son bébé jusqu’à 1 an, 2 ans, 3 ans, ou plus… Ce n’est pas céder, c’est répondre à un besoin archaïque de contact et de sécurité.

Et les parents dans tout ça ?Oui, le manque de sommeil est réel et l’epuisement est violent.
Mais le problème, ce n’est pas le bébé, c est le décalage entre ses besoins réels et les attentes de notre société.

Une société qui valorise l’indépendance précoce, la productivité, la séparation et oublie que la dépendance du tout-petit est saine, attendue, et temporaire.

Et vous construisez un adulte sain.

Notez que les réveils nocturnes sont normaux chez les bébés mais certains facteurs peuvent les accentuer ou rendre le sommeil plus agité qu’il ne devrait l’être.

Voici quelques perturbateurs fréquents à connaître :
•Respiration buccale / ronflements
•Frein(s) restrictif(s) (langue, lèvre, joue)
•Tensions corporelles non résolues (accouchement, posture)
•Surstimulation en fin de journée (bruits, lumières, écrans)
•Alimentation inadaptée (tétées trop courtes, digestion difficile, diversification précoce)
•Reflux gastro-œsophagien
•Stress parental transmis inconsciemment
•Environnement non sécurisant (solitude, séparation brutale, attentes irréalistes)

🌿 Le sommeil, tout comme l’allaitement, est un phénomène profondément physiologique.
Mais comme toute fonction corporelle, il peut être influencé, positivement ou négativement , par ce qui entoure le bébé.

29/08/2025

Bonjour à tous et à toutes.
Pour certains d'entre vous, vos enfants feront leur rentrée en maternelle ou élémentaire ou collège.

➡️IL EST PREFERABLE DE CESSER DE DIRE À L’ENFANT DE NE PAS AVOIR PEUR.

Avec la rentrée scolaire qui arrive à grand pas, de nombreux enfants rapportent des peurs. Ces peurs peuvent entraîner toutes sortes de réactions : maux de ventre, maux de cœur, irritabilité, insécurité (ex. : pose beaucoup de questions, ou les mêmes en boucle), confrontation, agitation, difficulté à dormir, réveils fréquents, etc.

Parfois, ils nous l’expriment directement alors que, d’autres fois, ils le font maladroitement :

👧🏻 : « J’ai peur de ne pas être dans la même classe que mon amie. »

👦🏽 : « Je ne veux pas recommencer l’école, je n’aime pas ça! »

🧒 : « Qui va m’accompagner la première journée d’école? Je ne veux pas que tu partes. Je veux que tu restes toute la journée avec moi. »

👦🏻 : « Peux-tu dormir avec moi ce soir? »
QUOI FAIRE LORSQUE L’ENFANT VIT DE LA PEUR ?

La peur est une émotion normale. La peur est nécessaire. Elle nous indique qu’une situation nous menace ou encore qu’elle peut nous blesser. Elle permet d’activer en nous les ressources pour se mobiliser, bien que parfois elle éveille plutôt des mécanismes de défense pour se protéger.

Dire à l’enfant de ne pas avoir peur, tenter de le distraire de son émotion, nier cette émotion ou même la minimiser le prive d’une belle occasion de développer ses ressources personnelles. Elle renforce sa capacité à se couper de son émotion et diminue, petit à petit, la confiance qu’il a en ses capacités à reconnaître et gérer ses émotions.

Devant la réaction de peur de l’enfant, plusieurs adultes ont eux-mêmes peur : peur que cette peur devienne trop grande, peur de ne pas être capable d’aider l’enfant à bien la gérer, peur que la situation vire en crise ou même en chaos, peur de se sentir impuissant, peur de ne pas savoir quoi lui dire pour le rassurer, peur que cette peur devienne récurrente, peur de ne pas savoir aider son enfant alors qu’on devrait savoir le faire, peur ...

❌ Devant l’enfant qui a peur, ne tentez pas de lui trouver toutes sortes de raisons de ne pas avoir peur. Ne banalisez pas la situation pour le rassurer. Ne tournez pas la situation au ridicule pour le faire rire. Ne le comparez pas à d’autres enfant qui, eux, ne réagissent pas comme lui. Ne faites pas référence aux comportements de « bébé ». Ne le chicanez pas. Ne le punissez pas.

🌱 Respectez son émotion. Accueillez et entendez cette peur, simplement. L’enfant en a besoin, pour en faire de même à son tour.

🌱 Pour réussir à gérer une émotion, il faut savoir la reconnaître, l’accepter et l’accueillir.

🌱 Pour réussir à gérer ses émotions, l’enfant a besoin de l’adulte. Il a besoin de sécurité. Il a besoin de se sentir entendu et reconnu dans ce qu’il est et dans ce qu’il vit.
POURQUOI SES PEURS SONT PARFOIS DÉMESURÉES ?

🧠 Le cerveau de l’enfant est immature. Lorsqu’il ressent une émotion de peur, de tristesse, de colère, etc., elle en vient à prendre toute la place. Pour l’adulte, cela paraît exagéré alors que pour l’enfant c’est une vraie tempête émotionnelle.

🌪 Il est, à ce moment, réellement incapable de « raisonner », d’utiliser les trucs de sa boite à outils ou même de se calmer lorsqu’on lui demande (ou exige!). Son cerveau n’en est pas encore capable, il n’est pas assez mature. Il a BESOIN de la présence rassurante de l’adulte pour se calmer et développer ses ressources.

🌟 5 ÉTAPES SIMPLES POUR ACCOMPAGNER L’ENFANT 🌟

👂 Lorsque l’enfant vous dit qu’il a peur, il vous dit bien plus que ça. Il vous dit qu’il a besoin d’être rassuré et qu’il a besoin de vous.

Pour lui venir en aide :

1️⃣ Valider son émotion, reflétez l’émotion que vous percevez.

Ex. : « Est-ce que tu es inquiet? Est-ce que ça te fait peur de retourner à l’école sans savoir qui sera dans ta classe? »

2️⃣ Reflétez ce que son corps vous dit, les comportements qu’il adopte pour faire entendre son besoin.

Ex. : « Lorsque tu me poses plusieurs fois les mêmes questions, je crois que tu es inquiet. », « Lorsque tu t**des à t’endormir et que tu m’appelles plusieurs fois, ça me laisse croire que tu ne te sens pas bien. Je me trompe? »

3️⃣ Normalisez son émotion.

Toutes les émotions sont normales et acceptables. Pour accepter de ressentir son émotion, l’enfant doit s’en sentir autorisé.

Ex. : « C’est normal d’être inquiet quelques jours avant la rentrée scolaire. Plusieurs enfants le sont, tout comme toi. Lorsque j’étais enfant, j’avais mal au ventre à chaque veille de rentrée scolaire. »

4️⃣ Aidez l’enfant à identifier une ou deux stratégies pour se sentir mieux.

Il est très aidant de l’aider à se connecter à son corps, à vivre le moment présent. Utilisez ses 5 sens pour vous y aider (musique, plume pour chatouiller son dos, hydrolysat de fleurs( attention selon l'âge), boire de l’eau, faire un massage, câlins, etc.).

5️⃣ Valorisez les efforts qu’il fait pour prendre soin de lui.

Cela est très exigeant de se mobiliser pour tenter de gérer son émotion. D’ailleurs, cela l’aidera à prendre conscience de sa capacité à prendre soin de lui, ce qui augmentera sa confiance en lui.

🙏🙏🙏
Belle rentrée à tous vos enfants et bonne reprise aux parents.

Un bébé arc-en-ciel n'efface pas la tempête.•口Il n'efface ni la douleur, ni le vide, ni ces silences lourds où les souve...
25/08/2025

Un bébé arc-en-ciel n'efface pas la tempête.
•口
Il n'efface ni la douleur, ni le vide, ni ces silences lourds où les souvenirs remontent.
Mais il redonne des couleurs à un monde devenu gris.
Il apporte une lumière douce à un cœur qui pensait ne plus jamais guérir.
Il murmure qu'après le chagrin... il peut encore y avoir de la vie, de la joie, de l'amour.
Tenir mon bébé arc-en-ciel dans les bras m'a appris que le bonheur et la peine peuvent coexister.
Que le cœur, même brisé, peut encore s'ouvrir assez grand pour accueillir une nouvelle vie.
À toutes les mamans qui attendent encore ce miracle :
Je te vois.
Ta douleur est légitime.
Et le jour où ton arc-en-ciel viendra... il en vaudra chaque larme.❤️❤️❤️🙏🙏🙏

25/08/2025
18/08/2025

NOTE FROM TED: Please do not look to this talk as substitute for medical advice. Claims in this talk around breathing, childhood development, and disease rem...

Une mère a publié cette photo en écrivant : “Elle a bu tout ce lait avant d’avoir un an 🍼👶.”_ Imaginez, cher mari, combi...
18/08/2025

Une mère a publié cette photo en écrivant : “Elle a bu tout ce lait avant d’avoir un an 🍼👶.”

_ Imaginez, cher mari, combien de souffrance supporte votre femme pendant l’allaitement 🤱, quelle valeur nutritionnelle elle apporte à l’enfant 🥛🍎, et combien d’argent elle vous économise grâce à l’allaitement 💰.

_ Soyez bienveillant envers les mères allaitantes ❤🙏.

NB: une boîte a 5000 fcfa

Bref. Elle a pris rendez-vous avec une sage-femme.Elle pensait que c’était juste pour accoucher.Genre : pousser, respire...
12/07/2025

Bref. Elle a pris rendez-vous avec une sage-femme.

Elle pensait que c’était juste pour accoucher.

Genre : pousser, respirer, dire “je veux la péridurale MAINTENANT” et rentrer chez soi avec un bébé.

Mais en fait, pas du tout.

Elle a découvert que la sage-femme, c’est bien plus que l’histoire de 48h à la maternité.

C’est un fil rouge.
Quelqu’un à qui se raccrocher.
Un GPS quand t’as paumé ta carte, le nord et ton moral.

Elle est venue une première fois pour poser des questions.
Et elle est revenue.
Pour préparer son accouchement, oui.
Mais aussi pour se préparer à devenir parents.

Seule.
En couple.
À deux.
Avec leurs doutes.
Leurs forces.
Et leurs grosses valises d’émotions.

Ils ont parlé positions pour accoucher.
Mais aussi positions quand on se comprend plus à 2h du matin avec un bébé qui hurle.

Ils ont appris à respirer.
Mais aussi à se parler sans se blesser quand les nuits sont trop courtes et la charge trop lourde.

Ils ont appris à accueillir les contractions.
Mais aussi à accueillir leurs fragilités.
Et ça, franchement, personne n’en parle assez.

Ils ont parlé de la chute d’hormones.

Du corps qui change.
Du couple qui vacille.
Du “j’t’aime mais j’te hais là maintenant tout de suite”.

Comment ne pas exploser quand on est deux à se sentir paumés.

Elle a appris que l’allaitement, c’est pas magique,
que le biberon, c’est pas tabou,
et que peu importe ce qu’elle choisit,
le plus important, c’est de le faire pour les bonnes raisons : les siennes.

Elle a appris à dire “j’ai peur” sans se sentir nulle.
Elle a appris que non, être parent, c’est pas inné.
Mais que ça s’apprend.
Et qu’elle n’est pas seule.

Ils ont ri.
Ils ont pleuré.
Ils se sont serrés.

Elle a senti que la sage-femme, c’était la seule pro qui parlait de tout :

du corps, du cœur, du couple, du bébé, des pleurs, du post-partum, de la sexualité, du “j’ai envie de tout envoyer valser” et du “est-ce que je suis une bonne mère si j’ai juste envie de dormir tranquille ?”

Et puis bébé est né.

Et là, c’est la sage-femme qui est venue pour contrôler …

Ses fuites.
Son sein engorgé.
Son couple en pointillés.
Son envie de pleurer pour tout et rien.
Et sa peur de dire tout ça.

La sage-femme a écouté.

A massé.
A conseillé.
A soulagé.
A traité
Sans jugement.
Juste avec son cœur, ses mains, ses outils et sa bienveillance.

Après la visite elle s’est sentie un peu bancale, mais plus droite.
Moins seule.
Un peu réparée.

💡Conseil de sage-femme :

On est là avant, pendant, après.

Pour toi.
Pour vous deux.
Pour ce minuscule bébé et ce grand chamboulement.

On prépare.
On guide.
On soutient.

La préparation en couple, c’est pas pour apprendre à respirer en rythme.
C’est pour apprendre à respirer à deux,
quand l’un s’effondre et que l’autre reste debout, quand les nuits sont longues et que le lien est fragile.

C’est pour oser se dire les choses.

C’est pour transformer le “on devient parents” en “on reste partenaires”.

Parce que faire un bébé, c’est (souvent) facile.

Mais se retrouver, se soutenir, s’aimer
à travers tout ça… ça, c’est de l’art 🫶

🫶🪆

💔 Et si… sans le vouloir, tu avais parfois éteint la voix de ton enfant… Tout comme on a éteint la tienne, quand tu étai...
15/06/2025

💔 Et si… sans le vouloir, tu avais parfois éteint la voix de ton enfant… Tout comme on a éteint la tienne, quand tu étais petite fille ?

Un jour, j'ai réalisé que j'avais gaslighté mes enfants…
Ce jour là, j'ai pleuré...
J'ai pris conscience de l'impact que ces paroles avaient eu sur eux et sur la perception qu'il avait d'eux-même. J'ai réalisé comment ces mots leur avait dérobé leur confiance en soi et leur estime de soi.
Ces prises de conscience ont émergé lorsque j'ai réalisé que ma propre petite fille intérieure avait été gaslightée...

Il y a ce moment, souvent bouleversant, où une mère comme moi, comme toi, se rend compte qu’elle a parfois invalidé les émotions de son enfant. Qu’elle a dit :
— « Tu exagères. »
— « Ce n’est pas si grave. »
— « Tu veux juste attirer l’attention. »
— « Tu pleures pour rien. »
— « Ce n’est pas ce que j’ai dit. »
— « Tu te fais des idées. »
— « Tu es trop sensible. »
— « Tu prends tout mal. »
— « C’est dans ta tête. »
— « Tu veux toujours avoir le dernier mot. »
— « Tu dramatises encore. »
— « Tu ne comprends jamais rien. »
— « Ce n’est pas ce qui s’est passé. »
— « Tu es fatigué, c’est pour ça. »
Pas par méchanceté.
Pas par manque d’amour.
Mais parce qu’elle-même, enfant, a entendu ces mêmes mots.
Parce qu’on lui a appris à douter de ce qu’elle ressentait.
Parce qu’on lui a dit qu’elle était trop sensible, trop émotive, trop intense.

Et petit à petit, elle a éteint sa boussole intérieure.
Elle a appris que ressentir, c’était dangereux.
Que pleurer, c’était dérangeant.
Qu’exister pleinement, c’était trop.
Alors, bien malgré elle, elle a répété.
Elle a dit à son enfant ce qu’on lui avait dit à elle.
Elle a peut-être nié ce qu’il ressentait.
Elle a peut-être réécrit sa réalité.
Elle a peut-être fait porter à son enfant la charge de son propre inconfort.

Et un jour… elle a vu. Dans les yeux de son enfant.
Cette petite fissure dans l’âme. Ce doute. Ce vide.
Ce regard flou qu’elle a connu elle aussi.

🕊️ Parce que oui, le gaslighting blesse.
Silencieusement. Profondément.
Il crée chez l’enfant une confusion intérieure.
Un doute viscéral de ses perceptions.
Un besoin de se suradapter pour être aimé.
Un réflexe de se taire pour ne pas déranger.
Il apprend à l’enfant que son monde intérieur n’est pas fiable. Que ses émotions sont un problème.
Qu’il vaut mieux se couper de lui-même que de risquer le rejet.
Alors il se construit sur une base instable.
Il devient sage, fort, calme, gentil… mais souvent déconnecté. Déconnecté de ce qu’il ressent. De ce qu’il veut. De qui il est.
Et un jour, peut-être, il se rendra compte qu’il a lui aussi étouffé sa voix.

Un jour... Elle a vu sa propre petite fille intérieure… dans les larmes de son enfant. Et tout s’est éclairé.

🌿 Ce n’est pas trop t**d.
Ce n’est jamais trop t**d pour réparer.
Reconnaître, c’est aimer.
Nommer, c’est libérer.
Écouter, c’est soigner.

On peut dire :
— « Ce que tu ressens est vrai. »
— « Je te crois. »
— « Tu as le droit de ressentir ça. Même si c’est inconfortable pour moi. »
— « Je suis là. Et je t’aime dans tout ce que tu vis. »

Et à notre petite fille intérieure :
— « Ce que tu as vécu était réel. »
— « Tu n’as pas inventé. Tu n’as pas exagéré. »
— « Tu avais besoin d’amour. Et ce n’était pas de trop. »

Et un jour… tu vois. Tu vois que ce que tu as infligé à ton enfant… vient de ce que tu as toi-même vécu.

Tu ouvres les yeux.
Tu ouvres ton cœur.
Et tu ouvres surtout un espace de reconnaissance.

Parce que dans l’acte de reconnaître ton histoire, dans l’instant où tu oses dire : oui, cela m’est arrivé, ta petite fille intérieure retrouve sa voix.
Elle sort de l’oubli.
Elle revient à la vie.
Et dans ce mouvement de vérité, tu ouvres aussi la porte à voir — avec amour et courage — les moments où toi aussi, tu as gaslighté.

Peut-être encore.
Peut-être sans t’en rendre compte.
Ce n’est pas pour te juger.
Mais pour t’offrir un autre chemin.
Celui où tu choisis, à chaque instant, de ne plus éteindre.
Ni ton enfant. Ni toi.

Un chemin où l’on guérit…
En regardant en face.
En tendant la main.
Et en disant enfin : Je te vois. Je te crois. Et je t’aime dans tout ce que tu es.

🌕 Si ce texte te touche…
Si tu sens, toi aussi, que quelque chose en toi a été éteint,
et que tu veux apprendre à aimer différemment…

🎥 Il reste encore quelques jours pour visionner les replays de
"L’Appel du retour à soi" un espace que j’ai ouvert pour les femmes-mamans qui veulent revenir à l’essentiel : leur corps, leur voix, leur vérité.
Voici le lien pour t'inscrire et accéder gratuitement aux rediffusions : https://marieeveparent.com/retour-a-soi

Et si tu ressens qu’un chemin plus profond t’appelle,
j’ai créé SouveReine — un sanctuaire vivant de 12 mois, une traversée pour guérir, se rappeler, et s’incarner pleinement.

💌 Les portes sont ouvertes et nous débutons le 21 juin.
Et je t’y attends… dans tout ce que tu es.
Pour les informations, je t'invite juste ici : https://marieeveparent.com/souvereine423297

Avec amour,
Marie-Eve xox

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15/06/2025

☀️NOUVEAU-NÉ (

Comme promis,  voici l'enregistrement de l'émission  "Faut qu'on en parle " relative au Burn-out maternel, ce fleau de s...
03/06/2025

Comme promis, voici l'enregistrement de l'émission "Faut qu'on en parle " relative au Burn-out maternel, ce fleau de société, où j'ai eu l'honneur d'être invitée et entendue.

phttps://www.fautquonenparle.fr/burn-out-maternel-un-fleau-silencieux/

SAISON 11 / EPISODE 8 De plus en plus de mères se retrouvent épuisées, à bout de souffle, sous la pression des attentes sociétales et familiales. Qu'est-ce que le burn out maternel et pourquoi est-il si peu abordé ? Fatigue chronique, détachement émotionnel, sentiment de culpabilité... Ces ...

02/06/2025

Il y a en moi une petite fille.
Longtemps oubliée, longtemps ignorée.
Elle attendait…
qu’on l’écoute, qu’on la regarde, qu’on la prenne dans les bras.

Elle n’a jamais cessé d’aimer,
même quand elle s’est sentie seule,
même quand elle a cru que sa voix ne comptait pas.

Elle est restée là, dans l’ombre, à espérer, en silence, qu’un jour, je revienne vers elle.

Et puis un jour, dans l’épuisement, dans le chaos,
j’ai entendu son appel.
Un doux murmure,
mais assez fort pour ouvrir une brèche.
Et ce jour-là… tout a commencé à changer.

✨ Le plus beau cadeau que je me suis offert dans la dernière année… C’est d’avoir plongé.
Pas par choix, mais par nécessité.

La soloparentalité avec un bébé, la fatigue, le postpartum…
m’ont fait descendre dans des espaces très sombres.
Des espaces que j’avais évités pendant des années, consciemment et inconsciemment,
parce que la souffrance y résidait,
parce que mon système n’était pas prêt à y entrer.

Mais l’épuisement a ouvert les portes.
Et sans le savoir, j’ai entamé une descente sacrée,
vers les racines de mes blessures,
vers cette part de moi que j’avais oubliée :
ma petite fille intérieure.

Celle qui s’était enfermée dans un monde où être ne suffisait pas, où être, même en silence, la gardait loin de l’amour.

Elle vivait dans un univers intérieur où l’amour était conditionnel, où il fallait mériter l’approbation pour se sentir digne,
où ce qu’elle faisait avait plus de valeur que ce qu’elle était.

Dans cet espace, il n’était pas sécuritaire d’exprimer ce qu’elle ressentait,
ni même de penser librement, sans craindre d’être rejetée.

Dans cet univers, la joie était en parsimonie…
Elle apprenait à ne pas trop rire, à ne pas trop briller,
de peur de déranger ses parents,
eux qui avaient tant besoin de silence, de calme, de contrôle.

Parce que dans sa joie, elle rêvait.
Et elle rêvait grand, trop grand,
pour des adultes dont l’enfant intérieur
avait cessé de rêver depuis longtemps.
Pour eux, les rêves n’étaient pas faits pour être réalisés.
Ils étaient faits pour être rangés.

Alors elle a rangé sa lumière dans un tiroir.
Elle s’est faite discrète. Adaptée. Aimable.

Et moi, adulte, je croyais être "trop sensible",
"trop réactive", "trop émotive"…
Jusqu’au jour où j’ai compris :

Mes réactions étaient ses messages.
Mes émotions, ses lettres jamais envoyées.
Chaque débordement était une tentative de communication.
Une main tendue de mon passé vers mon présent.

La vérité, c’est que je ne m’étais jamais réellement autorisée à ressentir pleinement ce qui m’habitait.

Je ressentais… mais toujours à moitié.
Je pleurais… mais en me retenant.
Je souffrais… en essayant de ne pas déranger.
Je souriais… pour ne pas inquiéter.

Pendant des années, j’ai porté un masque de force, de résilience, de “je vais bien”.
Mais en dedans, c’était figé. Contrôlé. Coupé.

Ce n’est que dans les deux dernières années que j’ai osé laisser couler.
Laisser vibrer. Laisser vivre.

Ressentir vraiment.
Sans me juger.
Sans fuir.
Sans refermer la porte trop vite.

Et c’est dans cet espace brut, nu, inconfortable parfois, que j’ai découvert une vérité simple et bouleversante :

Ressentir, c’est se retrouver.

Aujourd’hui, je l’écoute.
Je la prends dans mes bras.
Et je l’invite à rêver de nouveau…
sans honte, sans peur, sans se cacher.

J’aime ces moments où je me dépose pour l’écouter.
J’aime les instants où je la prends dans mes bras, à travers les câlins que je m’offre.
J’aime quand elle me partage ce qu’elle ressent, ce qu’elle pense, ce qu’elle espère encore en secret.
J’aime sa voix, même tremblante.
Parce qu’en vérité… c’est ma propre voix qui revient à moi.

J’aime ressentir ce qu’elle vit,
même lorsque c’est inconfortable.
Parce qu’en m’autorisant à ressentir,
je lui offre enfin cet espace sécuritaire dont elle avait tant besoin pour être pleinement elle-même en grandissant.

Et si toi aussi, tu sens qu’une partie de toi
s’empêche encore de ressentir,
par peur de souffrir de nouveau…
Je veux que tu saches ceci :

je t’offre un espace rempli de douceur,
de compassion, de lenteur et d’amour.
Un espace où tu n’as plus à porter seule.
Un espace où ton monde intérieur a toute la place d’exister, sans masque, sans pression, sans jugement.

🌙 Si tu entends cet appel du retour à toi…
Si tu sens que ta petite fille intérieure a besoin d’être écoutée, prise dans tes bras, honorée dans tout ce qu’elle a porté…

Je t’invite à rejoindre "L’Appel du retour à soi"
Un sanctuaire virtuelle gratuit de 7 jours doux, profond et transformateur, créé pour les femmes-mère comme toi,
qui sont prêtes à se retrouver. 🤍

Voici le lien pour te joindre à moi de 2 au 8 juin : https://marieeveparent.com/retour-a-soi

Par amour pour toi, ose t’offrir — vous offrir — ce cadeau.

Ne la laisse plus dans l’ombre…
Elle a assez souffert de l’indifférence en silence.

Avec amour,
Marie-Eve xox

Adresse

37 Avenue Frédéric Mistral
La Ciotat
13600

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 20:00
Mardi 08:00 - 20:00
Mercredi 09:00 - 19:00
Jeudi 09:00 - 20:00
Vendredi 09:00 - 20:00
Samedi 09:00 - 18:00
Dimanche 10:00 - 16:00

Téléphone

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