
01/09/2025
✍🏻 Mon article est né en réponse à une publication très élogieuse d’une graphothérapeute sur les revenus du métier. Comme ma réponse a été refusée (par cette même modératrice), je publie ici : l’entraide, ce n’est pas enjoliver, c’est aussi dire la vérité. Les chiffres que j’ai repris venaient de son article, mais présentés autrement, sans paillettes. Mon but n’est pas de décourager, mais de remettre les choses à leur juste place.
Une collègue posait récemment la question : « Peut-on vraiment vivre de la graphothérapie ? »🖋️🧐 dans sa publication élogieuse et trompeuse…
Parler d’entraide sans montrer la précarité de notre métier, ce n’est pas de la transparence… c’est du mensonge par omission.
C’est une interrogation légitime, tant ce métier suscite curiosité et espoir, mais aussi doutes et illusions.
La vérité ? Derrière la vocation passionnante et le plaisir d’accompagner les enfants dans leurs difficultés d’écriture, se cache une réalité bien plus précaire.
Dans mon article 👉 « La graphothérapie : une précarité inavouée », je vous propose un regard sans fard, chiffré, mais aussi teinté d’humour.
Entre annulations, vacances scolaires, charges fixes et concurrence croissante des professions diplômées, la graphothérapie ressemble parfois plus à un exercice d’équilibriste qu’à une voie royale.
💥 On peut enjoliver la graphothérapie avec des promesses dorées, mais l’entraide ce n’est pas vendre du rêve : c’est aussi parler des chiffres, des galères et de la précarité. Sans cette transparence, on n’informe pas… on trompe. 💥
Lire l’article complet sur LinkedIn: La graphothérapie – une précarité inavouée