Angélique Calles - So essentiel

Angélique Calles - So essentiel "Là où se tiennent tapis les dragons sont dissimulés les trésors"

25/11/2024

🌿 Séance de Sophrologie 🌿

📅 Samedi 30 novembre
📍 Médiathèque Eurêka, La Farlède
🕚 11h
💰 Participation : 5€ (au profit du Téléthon)

Prenez un moment pour vous, tout en soutenant une belle cause ! Venez nombreux et n’hésitez pas à partager autour de vous.
Association So Essentiel

On y est ! On vous attend à la Mine de Cap Garonne !
06/08/2024

On y est ! On vous attend à la Mine de Cap Garonne !

23/07/2024

Les "moutons noirs" d’une famille sont en fait des libérateurs de leur arbre généalogique.

Les membres de la famille qui ne s'adaptent pas aux règles ou aux traditions familiales, ceux qui cherchent constamment à révolutionner les croyances, ceux qui choisissent des routes contraires aux chemins tout tracés des lignées familiales, ceux qui sont critiqués, jugés et même rejetés, ceux-là sont appelés à libérer la famille des schémas répétitifs qui frustrent des générations entières.

Ces soi-disant "moutons noirs", ceux qui ne s'adaptent pas, ceux qui hurlent à la rébellion, en réalité, réparent, détoxifient et créent de nouvelles branches florissantes dans leur arbre généalogique... D'innombrables désirs non réalisés, de rêves inachevés ou de talents frustrés de nos ancêtres se manifestent à travers cette révolte.

Par inertie, l'arbre généalogique fera tout pour maintenir le cours castrant et toxique de son tronc, ce qui rendra la tâche du révolté difficile et conflictuelle... Arrêtez de douter et prenez soin de votre ‘’rareté’’ comme étant la fleur la plus précieuse de votre arbre.

Vous êtes le rêve de tous vos ancêtres.

~ Bert Hellinger (traduction Barbara Gardénia)

05/06/2024

Pour être avec l’autre, il faut avoir compris des choses en soi. Si tu n’as rien compris en toi, si, comme dit Simone Veil, tu ne t'es pas élucidé un minimum , qu’est-ce que tu vas comprendre de l’autre ?

Tu ne comprendras de l’autre que ce que tu as vaguement compris de toi.
Je ne peux j***r de l’autre qu’en ayant de l’empathie, pour avoir de l’empathie il faut que je le comprenne.

Pour le comprendre, au sens premier (le prendre avec) il faut que je comprenne des choses en moi pour que ce qu’il est, résonne en moi.

Et pour que ça résonne en moi comme un , il faut quand même que je m’y sois colleté à ce que je suis (qui est minable, médiocre, chaotique, inconséquent), mais tant que tu n’as pas un début d’élucidation de ce que tu es, qu’est-ce que tu vas recevoir de l’autre ?!

Tu ne vas rien comprendre de l’autre parce que pour comprendre l’autre et bien il faut avoir compris soi.

Tu n’as de sympathie avec l’autre que ce que tu as accepté de sympathie avec toi. Une véritable sympathie pas une relation mondaine, c’est autre chose, ça c’est une ivresse.

Ce que je peux dire modestement, c’est que mon affection pour l’autre, ne peux pas ne pas dépendre , de ce que j’ai accepté d’aimer un peu en moi.

Car si je ne connais rien du tout de moi et si je ne sais pas qui je suis, je vais être dans un tel état d’incertitudes, de non présence, que je ne vais rien voir dans l’autre, et, ici, la phrase de Nietzsche est admirable : " je ne vais voir dans l'autre qu’une confirmation de moi, je vais l’utiliser, l’instrumentaliser, pour en faire un spectateur et non pas une rencontre."

Fabrice Luchini✨

From my quietness with love ✨️✨️✨️✨️Personne ne m’a appris le silence. Même si intuitivement, enfant, je me créais des s...
04/05/2024

From my quietness with love ✨️✨️✨️✨️

Personne ne m’a appris le silence. Même si intuitivement, enfant, je me créais des situations propices à sa découverte. Je me souviens, filer dans la colline pour écouter les coquelicots pousser, saisir les sons bien particuliers des abeilles entrain de butiner ou discerner le murmure des nuages qui passaient.

Non. Personne ne m’a appris le silence. Il était en moi et je l'ai perdu un temps.

Dans la course f***e du quotidien, les obligations programmées que je pensais nécessaires à ma survie. Dans le tapage des lieux vivants ou morts, où les hommes parlent fort parce que c’est comme çà qu’on se fait mieux entendre. Dans l’agitation de la vie qui s’alarme de trop avoir à faire.

Il m’a fallu du temps pour redécouvrir le silence. Il m’a fallu l’amour.

Cet amour tellement puissant que le silence se suffit à lui-même. Le premier amour sincère et véritable auquel on ne se s’attend pas. Celui qui nous surprend en nous reconnectant à nous-même avant toute chose.

Cet amour tellement puissant que le silence éveille à l’invisible. Porter la vie dans mon ventre, sentir mon fils et ma fille s’épanouir sans rien avoir à dire ou à faire. Simplement être en lien avec ces êtres parfaits.

Cet amour tellement puissant que le silence montre la vérité. L’amour évident au-delà de toutes pensées, de toute logique, qui ne peut prendre racine que dans une autre vie.

Dans la tradition Seneca, entrer dans le silence est appelé Tiyoweh, qui se traduit par tranquillité.

Aujourd’hui je me laisse bien volontiers glisser dans la tranquillité. Une hôte qui chaque jour m’accueille dans son royaume du silence. Se révèle alors à moi des réponses que je croyais des secrets inaccessibles. Je n'ai qu'à fermer les yeux pour saisir l’invitation à ouvrir mon cœur en quête de transcendance. Et plonger aveuglément dans les profondeurs du silence, dans ce noir intense parfois en mouvement. Et me laisser porter à travers ce lieu sans limite qui pourtant est un voyage immobile.

Dans le calme. En lien avec la voix de ma vérité intérieure, je goûte à la plénitude personnelle. En ce lieu, je suis capable de capter les messages de la Nature dans toutes ses dimensions. J’apprends à laisser mon cœur ouvert et accessible, pour recevoir les messages des autres cœurs d’ici ou d’ailleurs.

Quand je suis dans cette écoute, je favorise à la fois la croissance de l’autre dans sa vérité et ma propre évolution. Je suis dans une volonté d’accueil de ma vérité, que l’autre me renvoit. Je suis capable d’entendre au-delà des mots et de capter les émotions et les sentiments qui se jouent dans les corps, les pensées qui se débattent dans les esprits. Je peux alors voir ce qui se présente à l’horizon.

Le silence est un black out, une zone d’obscurité totale qui me fait oublier tout ce que je sais et qui me sort de mon confort pour laisser s’expanser mes pouvoirs. Je deviens la gardienne de la tranquillité. Celle qui expérimente que l’écoute véritable surpasse la perception auditive et le désir de comprendre, pour se jouer dans la présence consciente.

Dans cet espace de Tiyoweh, le lien efface le concept « de l’autre », nous offrant en cadeau de se rejoindre dans un espace de conscience illimitée où les silences ne sont qu’amour.

From Vénus with love 🤍Qu'est ce qui t'honore d'être une femme ?La consigne était de répondre en une phrase et de manière...
08/03/2024

From Vénus with love 🤍

Qu'est ce qui t'honore d'être une femme ?

La consigne était de répondre en une phrase et de manière spontanée. Sauf que spontanément j'ai commencé à y réfléchir et à me demander comment speecher une réponse aussi vaste.

Très vite je me suis rendue compte que je tombais dans le piège de la surface et j'ai decidé de stopper ce processus de raison avec l'intention de laisser parler mon âme.

Ne plus y penser. Laisser attérir la question en moi avec délicatesse et douceur. La laisser infuser chaque particule de mon corps rendu disponible pour l'exercice.

Et me replonger dans cette séance de connexion à Soi que j'ai vécu comme une re~naissance. Sentir la femme qui sommeillait en moi se présenter au monde dans ce bol de mer vibrant de vie. Endormie par peur, par pudeur, par ignorance, elle n'osait pas se révéler. Telle qu'elle est : d'amour, de beauté et de paix.

Même si cette femme se fait encore parfois discrète, une porte s'est ouverte sur la vérité de sa puissance intuitive à créer. Tel le berceau du monde elle est lovée dans sa coquille pour elle-même accueillir la vie.

Cette expérience de connexion à Soi m'a offert la surprise d'incarner Vénus. Je parle de surprise car rien n'était prévu d'avance dans nos consciences individuelles. Mais l'Univers à toujours un plan. Parfois il nous est dévoilé bien plus t**d, parfois il est sous nos yeux sans que nous y portions attention. Jusqu'au jour où tout prend sens, jusqu'au jour où nous sommes prêts à voir.

J'ai alors le choix d'accueillir le phénomène et de le sublimer en vibrant toujours plus intensément de ces expériences transcendantes.

MerCi à Delphine pour cette aventure de connexion à Soi et au divin 😉

Ce qui m'honore d'être une femme c'est la beauté singulière de la puissance féminine : la magie d'avoir porter la vie au creux de mon ventre, l'amour vulnérable déployé avec force et sagesse, l'intuition capable de capter l'invisible, le cadeau de ressentir l'eau-delà en moi.

Et vous qu'est-ce qui vous honore d'être une femme ?

01/03/2024

« Quiconque veut comprendre les êtres humains devra accrocher la toge doctorale, dire adieu aux études et se mettre à marcher au milieu du monde le cœur ouvert. Là, au milieu des horreurs de la prison, de l'asile et de l'hôpital, dans les tavernes, les bordels et les tripots, dans les cercles élégants et à la bourse, dans les assemblées socialistes, dans les églises et dans les réunions de sectes, à travers l'amour et la haine, à travers l'expérience de la passion dans sa propre chair, il trouvera, sous toutes les formes, un capital de savoir beaucoup plus riche que ne pourront jamais lui donner des traités volumineux. C'est alors que, en véritable connaisseur de l'âme humaine, il saura comment guérir le malade »

Carl Gustav Jung

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Une accompagnante à votre écoute

Mon accompagnement se base sur l'approche humaniste. Une psychologie positive, comportementale et cognitive non centrée sur le problème ou le symptôme mais sur la personne. L’empathie, l’authenticité, l’écoute active et l’absence de jugement sont au service de l’individu en perpétuel mouvement.

J’accompagne l’enfant, l’adolescent et l’adulte dans un cadre sécurisant, respectueux et bienveillant, laissant l’opportunité à chacun d’évoluer progressivement et de lâcher prise pour être dans le présent et la créativité, afin de dépasser les difficultés rencontrées. Être vraiment soi-même pour exister pleinement.