05/07/2025
Ci dessous l’explication qui vous permet de comprendre pourquoi j’interviens sur les lieux et amènent les corrections nécessaires pour améliorer votre sommeil 😉
Les courants d’eau souterrains : origine, propriétés et influence énergétique
Les failles humides, présentes dans certaines structures géologiques, renferment fréquemment des courants d’eau souterrains. Invisibles à l’œil nu, ces flux d’eau circulent à différentes profondeurs sous la croûte terrestre, entre des couches de roche ou à travers des fissures naturelles.
Lorsque l’eau se déplace sous la terre, en frottant contre les parois minérales, elle engendre un phénomène électrocinétique : ce mouvement crée une différence de potentiel électrique (ddp) entre différents points du sol. Ce phénomène est mesurable en surface, notamment au-dessus des rives verticales du cours d’eau souterrain.
Valeurs typiques de la ddp (différence de potentiel)
Au-dessus du cours d’eau lui-même : environ 10 millivolts
Au niveau des rives souterraines : jusqu’à 100 millivolts
Ces variations peuvent être captées à l’aide d’instruments de mesure spécialisés en géobiologie, ou parfois perçues par des personnes sensibles à ces phénomènes.
Facteurs augmentant l’impact électromagnétique du courant souterrain
Plusieurs éléments influencent l’intensité de ce rayonnement tellurique :
Le débit du courant : plus il est élevé, plus le rayonnement est fort.
La pente : une forte inclinaison du lit souterrain accroît la vitesse de l’eau, et donc l’induction électrique.
La faible profondeur : plus le courant est proche de la surface, plus ses effets sont perceptibles.
La compacité du sous-sol : un sol dense et minéralise davantage l’eau, augmentant les frictions et donc les charges électriques.
Source : Alain de Luzan, « Votre santé en lieu sûr grâce à la géobiologie »
Influence bioélectrique sur le corps humain
Le corps humain, lorsqu’il reste stationnaire au-dessus d’un courant d’eau souterrain, entre en interaction avec le champ électromagnétique émis par celui-ci. Ce champ agit comme une perturbation externe qui vient déséquilibrer le fonctionnement cellulaire naturel.
La cellule comme micro-récepteur électromagnétique
Chaque cellule vivante est structurée comme un mini-système électrique :
Le noyau cellulaire : porteur d’une charge positive
Le protoplasme environnant : chargé négativement
Cette configuration crée un micro-circuit oscillant, comparable à une petite antenne réceptrice. Lorsqu’un champ électromagnétique externe est présent, les cellules peuvent entrer en résonance par induction : elles adaptent leur fréquence d’oscillation à celle du champ ambiant.
Ce phénomène perturbe l’équilibre naturel des cellules, notamment celles du système nerveux, provoquant divers troubles physiologiques ou psychiques. Parmi les plus fréquents, on retrouve :
Anxiété diffuse
Troubles du sommeil
Fatigue chronique au réveil
Maux de tête inexpliqués
Difficultés de concentration
Ondes cérébrales et état vibratoire
Le cerveau émet différentes ondes cérébrales selon l’état de conscience ou d’activité mentale. Ces ondes sont extrêmement sensibles aux champs électromagnétiques extérieurs :
Type d'ondes Fréquence État associé
Delta 0,5 à 3,5 Hz Sommeil profond, récupération cellulaire
Thêta 3,5 à 8 Hz Sommeil léger, méditation profonde, accès à l'inconscient
Alpha 8 à 12 Hz Rêves, relaxation, méditation légère
Bêta 12 à 20 Hz Éveil, vigilance, attention soutenue
Gamma 32 Hz et plus États de stress extrême, panique, surcharge mentale
Or, en présence d’un champ électromagnétique parasite – comme celui généré par un courant d’eau souterrain – le cerveau peut être empêché d’atteindre ou de maintenir certaines de ces fréquences essentielles, en particulier les ondes Delta et Thêta, nécessaires au sommeil réparateur et à la récupération neuropsychique.
Conséquences sur la santé et le bien-être
Dormir ou séjourner longuement au-dessus d’un cours d’eau souterrain actif peut générer à moyen ou long terme des perturbations physiologiques, en particulier chez les personnes sensibles ou déjà fragilisées :
Troubles du sommeil (difficultés d’endormissement, réveils nocturnes)
Épuisement matinal malgré un sommeil apparemment complet
Réduction des capacités de régénération cellulaire
Irritabilité, nervosité, troubles de l’humeur
Baisse immunitaire progressive
Rôle de la géobiologie
La géobiologie propose des solutions de détection et de correction de ces perturbations :
Détection des veines d’eau souterraines par baguettes, pendule, ou appareils de mesure électromagnétique.
Repositionnement du lit ou des zones de repos en fonction des zones neutres.
Utilisation de dispositifs de neutralisation (torsionneurs, circuits Lakhovsky, pierres spécifiques, etc.).
Réaménagement de l’espace de vie pour éviter les zones de perturbation.
Détection des courants d’eau souterrains
Signes d’alerte à observer chez soi
Des indices possibles suggérant la présence d’un courant d’eau souterrain ou d’une faille géopathogène :
Troubles du sommeil récurrents localisés (par exemple dans une seule chambre)
Réveil systématique à la même heure (souvent entre 2h et 5h du matin)
Fatigue persistante malgré un bon mode de vie
Animaux évitant certains endroits (chats, chiens, chevaux)
Plantes qui dépérissent inexplicablement dans une zone précise
Taches d’humidité ou de salpêtre inhabituelles
Sensation d’oppression, d’angoisse ou de froid inexpliqué en un lieu fixe
Méthodes de détection artisanales
Baguettes de sourcier (baguettes en L ou en Y)
Fabrique deux baguettes coudées en fil de laiton (ou achetez un kit).
Tenez une baguette dans chaque main, bras détendus, à l’horizontale.
Marchez lentement dans la pièce.
Si les baguettes se croisent ou s’ouvrent soudainement : cela peut indiquer une veine d’eau ou une faille.
Pendule de radiesthésie
Formulez mentalement votre intention : « Y a-t-il une veine d’eau ici ? »
Tenez le pendule au-dessus de la zone à tester.
Mouvement circulaire ou oscillant = réponse affirmative.
Appareils de mesure modernes
Détecteurs de champs électromagnétiques (EMF) : captent les anomalies dans le sol.
Voltmètres de surface : mesurent la différence de potentiel (ddp) à la verticale d’un courant d’eau.
Antennes de Lecher : pour les plus initiés, permettent une détection plus fine de différentes ondes.
Neutralisation et protection naturelle
Repositionnement
Évitez de dormir ou de rester assis longtemps directement au-dessus d’un croisement tellurique ou d’une veine d’eau.
Bougez le lit, le bureau ou le canapé de 50 cm à 1 mètre peut suffire à sortir de la zone perturbée.
Objets et matériaux de neutralisation
Pierres et cristaux
Shungite : neutralise les champs électromagnétiques artificiels et naturels.
Tourmaline noire : excellente pierre de protection géobiologique.
Quartz fumé : stabilise les champs vibratoires du lieu.
Place-les aux quatre coins de la pièce ou sous le lit.
Spirales et dispositifs rayonnants
Spirales de cuivre (type Tesla ou Lakhovsky) : placées sous le lit, elles « tordent » les ondes négatives.
Circuits oscillants (Lakhovsky) : régénèrent les champs cellulaires affaiblis.
Torsionneurs : outils de neutralisation utilisés en géobiologie (souvent en bois ou en laiton).
Méthodes naturelles simples
Planter du lierre ou de la vigne vierge sur un mur exposé : elles absorbent certaines vibrations.
Installer une jarre d’eau salée (ou eau + gros sel + cuivre) sous le lit pendant 3 à 7 nuits : agit comme un déviateur vibratoire temporaire.
Plantes protectrices : cactus, fougères, sansevieria – absorbent les énergies stagnantes et les modifient.
Techniques énergétiques complémentaires
Rechargement du lieu avec de la sauge, du palo santo ou du bois de cade.
Ondes de forme : symboles sacrés (fleur de vie, sri yantra, croix égyptienne, etc.) placés dans la chambre.
Encodage vibratoire par intention : harmonisation consciente de l’espace (travail sur les intentions, prières, géométrie sacrée…).
Il ne s'agit pas de craindre la nature, mais de retrouver l’équilibre avec elle. Les courants d’eau souterrains ne sont pas « mauvais » en soi, mais leur présence prolongée sous une zone de repos peut perturber l’organisme. La géobiologie vise à réconcilier l’humain et son lieu de vie.
Le secret des druides