
11/05/2025
🧡Le choix des mots ou L’art de tout compliquer …
Quand j’observe tous les mots ou autres expressions sur la toile autour de l’amour, de la relation amoureuse qui ne tourne pas comme elle devrait… je me dis mais quelle connerie tout ça …
Notamment pour ce « PN » utilisé à toutes les sauces, majoritairement à l’égard des hommes, alors qu’il existe des femmes ayant ce comportement toxique aussi (j’en ai fait l’expérience vivante et les frais à plusieurs reprises…) l’autre qui serait en « crise d’évitement » ou autres étiquettes, qui à mon sens ne font qu’intellectualiser à outrance tous nos comportements, mais qui ne nous font pas forcément plus avancer, car le discernement et la simplicité ne sont plus suffisamment présents.
🧡Dans ma vérité L’amour à essentiellement besoin de la règle des 3 C : confiance-communication- compassion
l’un pour l’autre, main dans la main.
Nous n’avons pas besoin d’y rajouter sans cesse 2 autres C : connerie et conflit.
Ça n’exclut pas des divergences, de la différence, qui à mon sens, sont notre complémentarité à sublimer, plutôt que d’y voir uniquement de l’adversité. Vision du Verre à moitié vide ou à moitié plein.
Par contre, j’estime que le conflit récurrent juste pour nourrir du conflit, de la surenchère existentielle, n’est certainement pas de l’amour mais une guerre de pouvoir, où les polarités intérieures féminin-masculin très déséquilibrées, ne peuvent pas aider ce féminin et ce masculin à l’extérieur, à s’aimer dans l’équilibre et l’harmonie.
🧡Nous sommes tous des êtres blessés et inachevés. Nous sommes là pour apprendre.
Vouloir identifier les personnes à leurs émotions d’un moment ou à leurs comportements est une erreur qui ne fait que renforcer les problématiques.
S’il est vrai qu’il y a des amours, des relations, des liens plus complexes que d’autres, ce n’est pas la peine de rajouter de la complexité avec certains mots qui ne font que stigmatiser les personnes, les enfermer et les identifier uniquement sur un émotionnel et/ou des comportements qui ne les définissent pas.
Nous sommes tous bien plus que notre seule personnalité dans notre ego blessé avec nos mécanismes de protection.
(…)