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Trois jours de canicule ! Protégez vous chez vous et au travail !
30/06/2025

Trois jours de canicule !
Protégez vous chez vous et au travail !

22/06/2025
De l’intérêt d’avoir une bonne hygiène dentaire !De nouvelles recherches révèlent qu’un coupable inattendu pourrait être...
09/06/2025

De l’intérêt d’avoir une bonne hygiène dentaire !

De nouvelles recherches révèlent qu’un coupable inattendu pourrait être lié à la maladie d’Alzheimer : les maladies des gencives.

Une étude a en effet mis en évidence la présence de Porphyromonas gingivalis, une bactérie responsable de la parodontite chronique, dans le cerveau de patients décédés atteints d’Alzheimer.

Chez des souris infectées, les chercheurs ont observé que la bactérie parvenait à coloniser le cerveau, déclenchant la production de bêta-amyloïde, une protéine étroitement associée à la maladie. Ces résultats renforcent l’hypothèse selon laquelle Alzheimer pourrait avoir une origine infectieuse, et ne serait pas uniquement un trouble neurodégénératif.

L’étude a également révélé la présence d’enzymes toxiques liées à la bactérie dans le cerveau de personnes présentant déjà des altérations typiques d’Alzheimer, sans qu’un diagnostic de démence ait encore été posé. Cela suggère que l’infection pourrait s’installer des années avant l’apparition des premiers symptômes.

Cette découverte ouvre une voie prometteuse pour de futurs traitements. Une entreprise pharmaceutique, Cortexyme, a mis au point un composé nommé COR388. Lors d’essais sur des animaux, ce dernier a permis de réduire à la fois l’infection bactérienne et l’accumulation de bêta-amyloïde. Des essais cliniques sont encore nécessaires pour confirmer son efficacité chez l’humain, mais cette étude met déjà en lumière un point essentiel : notre santé bucco-dentaire pourrait jouer un rôle crucial dans la santé de notre cerveau.

Les scientifiques, bien que prudents, gardent espoir. En l’absence de nouveaux traitements majeurs contre la démence depuis plus de quinze ans, explorer toutes les pistes possibles devient une priorité.
Et si une bonne hygiène dentaire contribuait, à long terme, à préserver nos souvenirs ?

Cortexyme a présenté en 2020 que P. gingivalis peut infecter neurones, astrocytes, microglie, et induire des altérations synaptiques caractéristiques d’Alzheimer, renforçant la stratégie gingipain-inhibiteurs .

Un article grand public de Futura-Sciences (3 semaines) résume : après infection murine, les bactéries colonisent le cerveau, augmentent Aβ, et COR388 diminue charges bactériennes et amyloïde .

📚 Livres et ressources théoriques

Paul W. Ewald – Plague Time: The New Germ Theory of Disease (Anchor Books, 2002)
Avec une perspective historique, le livre démontre l’importance sous-estimée des infections chroniques dans les maladies dégénératives — mentionne Alzheimer en contexte infectieux .

Garth D. Ehrlich (Université Drexel) – bien qu’il ne soit pas centré sur l’Alzheimer, ses travaux et livres (PCR-Based Diagnostics in Infectious Disease et Culture-Negative Orthopedic Biofilm Infections) fournissent un cadre fondamental sur les biofilms bactériens, clé pour comprendre la dissémination de pathogènes tels que P. gingivalis dans le corps .

Laboratoires actifs : Université d’Oslo (Olsen), University of Louisville (Potempa via Cortexyme).
YOUNES JEDDI

Se tordre la cheville n'est pas à banaliser, prévient la Haute autorité de santéLes entorses de cheville sont trop souve...
16/05/2025

Se tordre la cheville n'est pas à banaliser, prévient la Haute autorité de santé

Les entorses de cheville sont trop souvent banalisées alors qu'elles peuvent causer des problèmes durables si elles sont mal soignées, a prévenu jeudi la Haute autorité de Santé (HAS) dans de nouvelles recommandations, préconisant notamment une consultation systématique dans les 24 heures.
"L'entorse de cheville est souvent banalisée par une grande majorité de la population qui méconnaît les risques de récidive et d'instabilité chronique, en l'absence d’une prise en charge appropriée", juge l'autorité sanitaire, en actualisant des recommandations remontant à 2006.
"Un nombre significatif de personnes vivent, dans les mois et années qui suivent l’épisode d'entorse, des symptômes persistants, notamment des symptômes résiduels d'instabilité, et des limitations d’activité telles que la pratique sportive et/ou les activités de la vie quotidienne", précise l'autorité dans le corps de ces recommandations.
"Il a ainsi été estimé que jusqu'à 40 % des personnes ayant subi un premier épisode d’entorse du ligament collatéral latéral de cheville développeront une instabilité chronique", souligne la HAS.
Consulter au premier symptôme
Elle recommande désormais de systématiquement consulter un médecin généraliste ou un kinésithérapeute dans les 24 heures qui suivent une entorse, si celle-ci donne lieu à un symptôme quelconque: douleur, oedème, difficulté à bouger...
"Cette consultation vise à évaluer la nécessité de prévoir, ou non, une rééducation – particulièrement afin de prévenir les risques de récidive et d'instabilité chronique de la cheville – et à prodiguer des conseils à défaut de rééducation, le cas échéant", explique la HAS.
Si la rééducation est jugée nécessaire, celle-ci doit d'abord durer entre cinq et sept jours, puis donner lieu à une réévaluation de la situation: soit le patient peut reprendre une activité normale, soit il poursuit sa rééducation.
La HAS s'abstient de fixer un nombre standard de séances, jugeant nécessaire d'individualiser la situation: "La littérature actuelle ne permet pas de définir un nombre minimal ou maximal de séances pour le traitement des entorses du ligament collatéral latéral", conclut-elle.

Pas d’écran avant six ans !Dans une tribune publiée ce mardi 29 avril, des experts affirment qu'il faut proscrire les éc...
30/04/2025

Pas d’écran avant six ans !

Dans une tribune publiée ce mardi 29 avril, des experts affirment qu'il faut proscrire les écrans avant six ans et pas avant trois ans car ces derniers "altèrent durablement santé et capacité intellectuelles".

Les activités sur écrans doivent être proscrites pour les enfants de moins de six ans car elles "altèrent durablement leur santé et leurs capacités intellectuelles", plaident cinq sociétés savantes dans une tribune publiée mardi.��Cet "appel à une prise de conscience collective" s'adresse "aux jeunes parents, aux enseignants, éducateurs et pédagogues, aux soignants, aux décideurs politiques" et est cosigné et mis en ligne par la Société française de pédiatrie et celles de Santé publique, de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent et d'ophtalmologie, ainsi que la Société francophone de santé et environnement.
Les écrans ne répondent pas aux besoins de l'enfant
Le message actuel des autorités sanitaires, "pas d'écran avant trois ans", est "clairement insuffisant et doit être actualisé à la lumière des connaissances récentes", en devenant: "Pas d'écran avant six ans", affirment-elles, un an après le rapport Enfants et écrans réalisé par une commission d'experts voulue par le président de la République, Emmanuel Macron.��"En 2025, le doute n'est plus permis et les très nombreuses publications scientifiques internationales sont là pour nous le rappeler: ni la technologie de l'écran ni ses contenus, y compris ceux prétendument 'éducatifs' ne sont adaptés à un petit cerveau en développement", ajoutent les signataires.

"Les écrans, quelle qu'en soit la forme -télévision, tablette, téléphone- ne répondent pas aux besoins de l'enfant" et, "pire, ils entravent et altèrent la construction de son cerveau", alertent les sociétés savantes.
Professionnels de santé et enseignants de maternelle et de cours préparatoire "constatent les dégâts produits par une exposition régulière aux écrans avant l'entrée à l'école primaire: re**rd de langage, troubles de l'attention, de la mémorisation, agitation motrice...", poursuit le texte.��"Si tous les milieux socio-éducatifs sont concernés, les expositions sont plus fortes dans les foyers défavorisés, contribuant à l'accroissement des inégalités sociales". Car le neurodéveloppement de l'enfant résulte "d'observations et d'interactions riches et variées avec l'environnement" pour lesquels "les six premières années de vie sont fondamentales".��"Il ne s'agit pas de diaboliser les outils numériques et leur usage mais il y a un âge pour tout", soulignent ces experts de la santé, qui appellent les parents notamment à "créer un environnement favorable à la santé et à l'épanouissement de l'enfant", en favorisant des "activités alternatives: lecture à voix haute, jeux -libre, de société ou en plein air- activités physiques, créatives et artistiques".

Allergies aux Pollens, c’est le moment !La saison des pollens de bouleau est lancée, avec les nombreuses manifestations ...
06/04/2025

Allergies aux Pollens, c’est le moment !

La saison des pollens de bouleau est lancée, avec les nombreuses manifestations allergiques qu’elle peut susciter. Si certains ont déjà recours à un traitement par antihistaminiques, d’autres subissent déjà les nombreux symptômes induits par les allergies saisonnières. Et ce n’est malheureusement que le début à en croire les prévisions pour ce week-end, avec un risque considéré comme élevé dans la moitié nord du pays. Certains réflexes, faciles à adopter au quotidien, devraient toutefois permettre de soulager les crises d’éternuement, les yeux rouges, le nez bouché, la toux, et tout autre symptôme lié à ces allergies.

Lors de vos déplacements, vous êtes directement exposés aux pollens, et ces derniers s’accrochent aux vêtements et aux cheveux tout au long de la journée. Les autorités sanitaires préconisent de se changer dès le retour à la maison pour éviter que les pollens ne se propagent dans le logement, et de rincer vos cheveux - ou de les brosser - afin de ne pas en déposer sur l’oreiller au moment du coucher. Un réflexe qui devrait vous permettre de mieux respirer la nuit tout au long de cette saison tant redoutée.

Les pollens peuvent également s’accumuler dans les muqueuses nasales nécessitant de se laver le nez avec du sérum physiologique au moins une fois par jour, pour s’en débarrasser, comme le soulignent les agences régionales de santé. Par ailleurs, outre les tâches ménagères habituelles, qui permettent d’assainir le logement, il convient également d’aérer chaque pièce au moins 10 minutes par jour avant le lever et après le coucher du soleil. Il faut en revanche veiller à fermer les fenêtres le reste de la journée, période durant laquelle les pollens prennent leur envol.

Il est bien évidemment impensable de rester enfermé pendant la saison des pollens, il convient donc de prendre quelques précautions avant de mettre un pied dehors. Il est avant tout recommandé de porter des lunettes de soleil et un masque de protection pour vos déplacements, mais aussi d’éviter les axes routiers les plus fréquentés pour ne pas être soumis - en prime - à la pollution. Si vous êtes véhiculé, mieux vaut remonter les vitres pour ne pas vous exposer davantage aux pollens.

D’une façon plus générale, le ministère de la Santé conseille d'« éviter les activités extérieures qui entraînent une surexposition aux pollens », à savoir le jardinage ou le sport en plein air. Si ce n’est pas possible, mieux vaut privilégier les sorties nocturnes, tout du moins en fin de journée, pour limiter les symptômes.

Moins évident, il est déconseillé de faire sécher le linge à l’extérieur pour éviter tout dépôt de pollens. Pour les mêmes raisons, les autorités sanitaires préconisent de ne pas sortir les cheveux humides. Ces derniers « retiennent [davantage] les pollens et peuvent donc aggraver les symptômes allergiques ». Pour se tenir informé de la présence des pollens sur le territoire français, il faut désormais consulter le site d’Atmo France qui remplace les bulletins du Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA).

Plusieurs informations font état d'une vague d'infections en Chine à un virus semblable à la grippe, le HMPV, suscitant ...
12/01/2025

Plusieurs informations font état d'une vague d'infections en Chine à un virus semblable à la grippe, le HMPV, suscitant l'inquiétude cinq ans après le début de la pandémie de Covid-19.
Mais les experts assurent que la situation n'est pas comparable. L'AFP fait le point sur les principaux éléments connus à ce jour.
Que disent les autorités chinoises ?
‍�Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies a annoncé en fin d'année mettre en place "une surveillance active d'une pneumonie d'origine inconnue" dans le cadre de l'élaboration de sa stratégie générale de prévention.
"Le taux de positivité du HMPV chez les enfants de 14 ans et moins a montré une tendance à la hausse", a indiqué le responsable Kan Biao, répondant à une question sur "l'entrelacement de plusieurs maladies infectieuses" depuis le début de l'hiver.
"L'échelle et l'intensité de propagation des maladies respiratoires infectieuses restent inférieures à l'année dernière", a-t-il précisé.
"Il n'y a aucun risque à voyager en Chine", a ajouté vendredi dernier le ministère chinois des Affaires étrangères.

Similaire à la grippe
‍�Le sigle HMPV en anglais (MPVh en français), qui signifie "métapneumovirus humain", provoque généralement une infection bénigne des voies respiratoires supérieures.
Il se transmet par contact direct entre personnes ou après avoir touché une surface contaminée.
Les symptômes courants comprennent une toux, une fièvre ou un écoulement nasal, des symptômes très similaires à ceux de nombreux types de rhume et de grippe.
Les jeunes enfants, les personnes âgées et celles au système immunitaire affaibli peuvent présenter des symptômes plus graves.
Les conseils de santé publique pour le MPVh sont similaires à ceux pour la grippe, indique à l'AFP John Tregoning, professeur d'immunologie vaccinale à l'Imperial College de Londres.
En cas d'infection, il faut "se reposer, boire et éviter de le transmettre à d'autres", précise le spécialiste.
"Bien ventiler les espaces, se couvrir la bouche en toussant, ou se laver les mains" limitent les risques d'infection, ajoute-t-il.
‍�Différent du Covid-19
‍�Le coronavirus responsable du Covid-19 était inconnu lorsqu'il a émergé chez l'homme à la fin de l'année 2019.
La population humaine n'y avait jamais été exposée et n'était pas immunisée, augmentant le risque de complications.
A l'inverse, le HMPV circule depuis des décennies, ce qui implique un certain niveau d'immunité.
Le virus "fait partie du cocktail de virus auquel nous sommes exposés chaque hiver", rappelle John Tregoning.
"Quasiment chaque enfant comptera au moins une infection au MPVh avant son cinquième anniversaire", affirme Paul Hunter, professeur de médecine à l'Université d'East Anglia, au Royaume-Uni.
Et de nombreuses personnes seront contaminées plusieurs fois au cours de leur vie, ajoute-t-il.

Des niveaux normaux
‍�Des images de patients masqués affluant aux services d'urgence des hôpitaux ont largement circulé sur les réseaux sociaux chinois ces dernières semaines, même si de telles scènes ne sont pas inhabituelles en hiver.
Ces informations ont suscité l'inquiétude dans le monde entier, certains rappelant le manque de transparence supposé de la Chine lors de la pandémie de Covid-19.
Plusieurs citoyens chinois qui avaient alerté sur la gravité de la pandémie avaient notamment disparu.
En décembre dernier, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a redemandé à la Chine de partager ses données sur la pandémie de Covid-19 afin de mieux se préparer à des crises sanitaires futures.
Pékin a rétorqué avoir partagé ses informations "sans aucune restriction".
L'OMS a toutefois cherché à dissiper les craintes autour du HMPV.
"Les niveaux signalés d'infections respiratoires en Chine restent dans un intervalle normal", c'est à dire conforme à ce qui est "attendu pour une saison hivernale", a déclaré mardi la porte-parole de l'OMS Margaret Harris.

Le tabac : un fumeur sur deux meurt de la cigarette ! Faites vous aider , pensez à vos proches, et pensez à votre porte ...
27/10/2024

Le tabac : un fumeur sur deux meurt de la cigarette !
Faites vous aider , pensez à vos proches, et pensez à votre porte monnaie !

Attention, soyez vigilant !-> Ne pas répondre !Si vous envoyez ces documents, les arnaqueurs pourront les utiliser pour ...
25/10/2024

Attention, soyez vigilant !
-> Ne pas répondre !

Si vous envoyez ces documents, les arnaqueurs pourront les utiliser pour usurper votre identité. « Ne répondez surtout pas. France Identité n’est pas à l’origine de ces courriels », insiste donc le site gouvernemental sur X.

Comme pour les autres fraudes, il est possible de les signaler sur les plateformes dédiées. « La bonne attitude face à ces courriels frauduleux est de les signaler auprès des plateformes signal-spam.fr et cybermalveillance.gouv.fr », explique France Identité.

23/10/2024

Un mort et 49 clients malades chez McDonald's : c'est quoi la bactérie E.coli qui les a contaminés ?

Les autorités sanitaires américaines ont annoncé qu'une personne était morte après avoir mangé chez McDonald's. Des burgers contiendraient la bactérie E.coli.

Une personne est morte, 49 autres sont tombées malades après avoir mangé un burger chez McDonald’s.

La faute aux oignons ou aux steaks. Une personne est morte et 49 sont tombées malades aux États-Unis après avoir été infectées par la bactérie Escherichia coli (ou E. coli) en mangeant chez McDonald’s.

Preuve de l’importance de la contamination : 10 États sont concernés, ont évalué mardi 22 octobre 2024 les autorités sanitaires américaines.
Toutes les personnes interrogées ont déclaré avoir mangé chez McDonald’s avant de tomber malade, et la plupart d’entre elles ont mentionné avoir mangé un hamburger spécifique (le « Quarter Pounder », NDLR).
Autorités sanitaires américaines

C’est quoi E. coli ?
Escherichia coli (E. coli) est « une bactérie qui réside dans le tube digestif de l’être humain et des animaux à sang chaud », explique l’Institut Pasteur. La majorité des souches sont inoffensives pour l’être humain. Mais certaines sont pathogènes, comme les bactéries E. coli dites entérohémorragiques(ECEH).

Très fréquemment, ces souches sont la cause d’intoxications alimentaires « via la consommation de produits animaux (viande ou produits laitiers) mal cuits ou consommés crus ».
Les fruits et les légumes frais, ayant été en contact avec des ECEH peuvent être également à risque.

Comment est-il possible de l’attraper ?
Comme la bactérie E. coli réside principalement dans le tube digestif des bovins, les produits alimentaires qui peuvent la transmettre sont généralement la viande crue ou insuffisamment cuite, les produits laitiers au lait cru, et plus rarement les produits végétaux crus.
La contamination peut aussi survenir lors de la traite ou l’abattage de ces animaux, en portant « ses mains souillées à la bouche, après avoir touché des animaux porteurs de la bactérie ou leur environnement contaminé », indique le ministère de l’Agriculture.
Autre source possible de contamination : les matières fécales des ruminants présents dans le sol, dans le fumier et dans l’eau (mares, ruisseaux).
La transmission inter-humaine est également possible (par voie féco-orale) et survient principalement en milieu familial ou dans des collectivités de jeunes enfants (crèches).

Quels sont les symptômes ?
Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire(Anses), les symptômes provoqués par E. coli apparaissent entre trois et quatre jours après l’infection.
Il peut s’agir de douleurs abdominales et de diarrhées, lesquelles peuvent être sanglantes (colites hémorragiques). Des vomissements et de la fièvre peuvent également survenir.
Si, la plupart du temps, la guérison est spontanée, « l’infection peut parfois aboutir à une forme sévère nommée syndrome hémolytique et urémique (SHU) » qui peut être mortelle, insiste l’Institut Pasteur. Cette maladie rare touche un cas pour 1,4 par million d’habitants par an (chiffre en date de 2019).
Dans ses formes sévères, les patients peuvent recevoir des transfusions sanguines ou des dialyses à l’hôpital.

Comment éviter l’infection ?
Il existe quelques conseils pour éviterd’être contaminé par E. coli. Ils sont distillés par le ministère de l’Agriculture :
* Pour les personnes à risque, les viandes, et surtout la viande hachée de bœuf, doivent être bien cuites à cœur ;
* Le lait cru et les fromages à base de lait cru ne doivent pas être consommés par les jeunes enfants, surtout les moins de 5 ans ;
* Préférer les fromages à pâte pressée cuite (type Emmental, Comté, etc.), les fromages fondus à tartiner et les fromages au lait pasteurisé ;�respecter la date limite de consommation ;
* Consommer rapidement les produits après ouverture et les plats après préparation ;�respecter la chaîne du froid ;
* Dans le réfrigérateur, conserver les aliments crus séparément des autres pour éviter leur contamination ;
* Régler le réfrigérateur à une température basse (au plus 4°C) ;
* Laver les fruits et légumes avant consommation ;
* Nettoyer régulièrement le réfrigérateur à l’eau de javel ;
* Laver mains, plans de travail et ustensiles après contact avec des aliments crus pour éviter la contamination des aliments sains. Les bactéries sont tuées par une chaleur de plus de 65°C.

L’automne rime avec les journées qui raccourcissent, les températures qui plongent et les feuilles qui tombent des arbre...
13/10/2024

L’automne rime avec les journées qui raccourcissent, les températures qui plongent et les feuilles qui tombent des arbres. Mais il est aussi malheureusement synonyme du retour en force du rhume, une infection des fosses nasales, des sinus et de la gorge qui peut être provoquée par près de deux cents virus différents. Si cette maladie a un caractère bénin, elle a néanmoins le pouvoir de perturber nos journées, à force de mouchage et d’éternuements. Et l’obstruction nasale qu’elle induit ne favorise pas un sommeil apaisé.
Mais il existe heureusement un certain nombre de solutions naturelles pour le juguler.
La solution la plus simple consiste à réaliser un gargarisme, en mélangeant un demi-verre d’eau chaude et une demi-cuillère à café de sel. Renouvelez ce rituel jusqu’à quatre fois par jour. Le sel peut aussi vous servir, lorsqu’il est dilué, pour nettoyer votre nez après avoir été introduit dans un appareil adapté, type poire de lavage ou do**he nasale. Et inspirez-vous des remèdes de grand-mère en vous concoctant un grog, avec de l’eau, une cuillerée à soupe de miel, le jus d’un demi-citron et éventuellement cinq centilitres de rhum. Vous le boirez bien chaud.

Les produits d’aromathérapie peuvent également vous faire faire un grand pas vers la guérison. L’huile essentielle d’eucalyptus, à déposer sur un sucre et à laisser fondre dans la bouche facilite ainsi l’évacuation des sécrétions. Celle de ravintsara, à consommer pure ou associée à une huile végétale pour une application en massage sur le thorax, est un puissant désinfectant des voies ORL et aide à expectorer. Dans ce domaine, misez aussi sur le romarin et la menthe poivrée. Incorporé en toute petite quantité dans l’huile végétale, le premier est anti-infectieux grâce au cinéole qu’il contient. La seconde, à déposer sur un mouchoir, dégage le nez, fluidifie les mucosités et permet de retrouver de l’énergie. Toutes peuvent être utilisées en inhalation. Il suffit de diluer quelques gouttes dans de l’eau bouillante légèrement refroidie que vous aurez précédemment placée dans un saladier. Couvrez-vous ensuite la tête avec une serviette et inspirez profondément à plusieurs reprises. Évitez toutefois de recourir à ces élixirs lorsque vous êtes enceinte, si vous allaitez ou si vous avez tendance à faire des allergies.

Les tisanes :
Il est aussi préconisé de s’orienter vers les infusions de plantes, tout spécialement vers le thym, qui apaise les maux de gorge et débouche le nez. L’eucalyptus, aux vertus antibactériennes, antiseptiques et expectorantes et, le gingembre, épice à tout faire qui est à la fois antimicrobienne, anti-inflammatoire et antalgique, vous aideront également. Le ginseng apaise les symptômes d’ordre respiratoire. Dans les ressources de la phytothérapie, pensez enfin à l’éleuthérocoque qui stimule les défenses de l’organisme et à l’échinacée, fleur d’Amérique du Nord qui renforce, elle aussi, l’immunité et s’avère utile en prévention afin d’empêcher les récidives.

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