Kettydls.addicto

Kettydls.addicto Tabacologue - Addictologue Spécialisée dans le sevrage du tabac et du cannabis

« J’arrête vraiment de fumer », c’est un véritable compagnon d’armes pour t’aider à en finir avec la clope.Sans culpabil...
23/07/2025

« J’arrête vraiment de fumer », c’est un véritable compagnon d’armes pour t’aider à en finir avec la clope.
Sans culpabilité, sans pression… mais avec une vraie méthode qui te suit pas à pas.

🗓️ Tu commences par 10 jours pour te préparer à l’arrêt, comprendre tes habitudes, poser les bases, booster ta motivation.
Puis tu enchaînes avec 30 jours d’outils pratiques, à choisir selon tes besoins :
👉 Que faire quand l’envie te prend en soirée ?
👉 Comment gérer le stress sans fumer ?
👉 Que faire au réveil, à la pause, après un repas ?
Chaque jour, un conseil concret pour t’aider à tenir.

💡 Tu ne le lis pas d’un seul coup : tu l’utilises comme un journal de bord, un coaching au jour le jour.
Tu avances à ton rythme, avec un soutien clair, simple et adapté à ton quotidien.

📍Le livre est dispo dans toutes les librairies, à la Fnac, sur Amazon etc …

Réapprendre à… et kiffer pour de vrai.Pas pour devenir quelqu’un d’autre.Pas pour “devenir sage”.Pas pour suivre une inj...
19/07/2025

Réapprendre à… et kiffer pour de vrai.

Pas pour devenir quelqu’un d’autre.
Pas pour “devenir sage”.
Pas pour suivre une injonction à la sobriété parfaite.

Mais juste pour voir ce que ça donne.
Pour te redonner la chance de ressentir vraiment.
De danser sans te cramer, de créer du lien sans béquille, de rire sans artifice,de chiller sans nuage, et d’aimer sans produits chimiques, sans mise à distance, sans anesthésie.

Parce que t’es vivant·e, et que ça suffit.

🖤 Ce n’est pas toujours facile,
mais c’est toujours possible.

Mensonges & consommations : un sujet qui fait mal… des deux côtés.Quand on parle de consommation (qu’elle soit occasionn...
14/07/2025

Mensonges & consommations : un sujet qui fait mal… des deux côtés.

Quand on parle de consommation (qu’elle soit occasionnelle, régulière ou dépendante), on parle souvent de produits, de santé, de comportements.
Mais rarement de ce truc lourd et glissant qu’on retrouve partout : le mensonge.

Il peut être frontal ou silencieux, maladroit ou protecteur, inconscient ou assumé.
Mais il blesse. Il éloigne. Et il enferme.

Côté personne qui consomme : pourquoi on ment ?
Parce que parfois, on ne veut pas voir soi-même.
→ On minimise. On se dit “j’ai connu pire”, “je gère”.
→ On évite de regarder en face ce qui fait mal.

Et d’autres fois, on sait très bien, mais on n’ose pas dire :
→ par peur de décevoir.
→ par honte.
→ parce qu’on ne veut pas inquiéter l’autre.
→ parce qu’on a déjà promis d’arrêter… et qu’on n’a pas tenu.

Alors on ment, on esquive, on tait.
Pas par manque d’amour, mais parfois par amour maladroit.
Pas pour manipuler, mais pour ne pas perdre.

Côté entourage : ce que ça provoque
Le mensonge, quand on le découvre, c’est une claque.
→ “Pourquoi iel ne m’a pas dit la vérité ?”
→ “Je me sens trahi·e.”
→ “Je ne sais même plus à quoi me fier.”
→ “J’essaie d’aider… et on me cache tout.”

On vacille, on doute, on s’épuise.
Et parfois, on se met aussi à mentir.
→ Pour faire croire que tout va bien.
→ Pour protéger les apparences.
→ Pour éviter les jugements extérieurs.
→ Parce qu’on est fatigué·e d’expliquer.

Alors on fait comment ?
Parler vrai, ça ne veut pas dire tout balancer sans filtre.
Ça veut dire oser ouvrir une brèche, à son rythme.
→ Dire “Je vais mal.”
→ Dire “Je ne suis pas prêt·e à arrêter, mais j’ai peur.”
→ Dire “J’ai besoin d’aide.”

De l’autre côté, ça veut dire ne pas humilier.
→ Écouter sans écraser.
→ Poser ses limites sans couper le lien.
→ Laisser une porte ouverte.
→ Se faire accompagner si c’est trop dur.

Mais parfois, quand la douleur dépasse tes limites,
il faut aussi savoir se protéger, s’éloigner, partir.
Aimer ne suffit pas toujours. Et ce n’est pas trahir que de se préserver.

Le mensonge, ce n’est pas l’essence de l’addiction.
C’est un symptôme.

Pour faire écho à la dernière publication… On parle souvent de ce qui t’enchaîne.Mais il y a aussi ce qui te guide, t’ap...
13/07/2025

Pour faire écho à la dernière publication… On parle souvent de ce qui t’enchaîne.
Mais il y a aussi ce qui te guide, t’apaise, te relève.
Des petites forces intérieures ou extérieures qui ne crient pas fort, mais qui te tirent vers la lumière.

🐈 Le désir de survivre
Même au plus bas, il reste une étincelle en toi.
Ce truc qui chuchote « pas comme ça, pas maintenant »
Ce chat-là t’a sauvé plus d’une fois sans que tu t’en rendes compte.

🐈L’amour d’un proche
Quelqu’un qui ne t’a pas lâché.
Un regard, un mot, une main posée sur l’épaule.
Ce n’est pas lui qui fait le chemin, mais parfois, c’est lui qui t’aide à te lever.

🐈L’envie de sens
Tu t’es demandé : « C’est ça ma vie ? »
Et dans ce vertige, tu as senti qu’il y avait autre chose à construire.
Un truc plus vrai, plus profond. À ton image.

🐈 La première victoire
Un soir où t’as tenu.
Un matin où t’as pleuré, mais pas consommé.
C’est pas grand-chose aux yeux du monde, mais c’est énorme dans ton histoire.

🐈L’élan de vérité
Un jour, tu t’es dit la vérité.
Tu t’es reconnu·e.
Et c’est à partir de là qu’on peut commencer à se réparer.

🐈L’envie de kiffer autrement
Faire la fête, vivre fort, vibrer… sans s’anesthésier.
Oui, c’est possible.
Et ce chat blanc-là, il se réveille quand tu découvres qu’on peut être pleinement vivant·e sans se détruire.

🐈Le courage de demander de l’aide
Tu croyais que c’était une faiblesse.
Mais c’est un des actes les plus puissants que tu as posés.
Et ce chat-là, il te suit encore — dans chaque rendez-vous, chaque mot échangé, chaque pas en avant.

Tu crois que t’es seul·e ? Tu es en fait suivi·e par une meute de chats blancs.
Certains sont discrets, d’autres t’attendent encore.

💬 Lequel te suit le plus souvent, en ce moment ?
🖤 Ou lequel tu voudrais faire entrer dans ta vie ?

Tu vois une personne qui consomme.Tu crois peut-être que c’est juste une histoire de « volonté » ou de « plaisir ».Mais ...
13/07/2025

Tu vois une personne qui consomme.
Tu crois peut-être que c’est juste une histoire de « volonté » ou de « plaisir ».
Mais la dépendance, ce n’est jamais seulement le produit.
Souvent, il y a des blessures, des stratégies de survie, des tempêtes invisibles.
Des chats noirs qui suivent en silence…

🐈‍⬛ L’anxiété
Toujours là, comme un bruit de fond.
Elle serre la gorge, contracte le ventre, envahit les pensées.
Et consommer, parfois, c’est juste chercher le bouton « pause »

🐈‍⬛ Le trauma
Certains souvenirs ne s’effacent pas.
Ils se transforment en tensions, en flashs, en insomnies.
Et la conso devient un pansement. Même si le pansement est toxique.

🐈‍⬛ L’ennui existentiel
Ce vide qu’on ressent même quand tout va « bien »
Quand rien n’excite, quand rien ne touche.
Alors on cherche une montée, un frisson, une étincelle.

🐈‍⬛ La recherche de contrôle
Contrôler son humeur, son corps, son énergie, ses pensées.
Mais parfois, vouloir tout maîtriser… c’est ce qui nous fait perdre pied.

🐈‍⬛ Le besoin d’amour (mal comblé)
Envie d’être vu·e, reconnu·e, aimé·e, touché·e.
Alors on se raccroche à ce qui donne l’illusion d’un lien.
Même si c’est une substance. Même si ça ne dure qu’un instant.

🐈‍⬛ La solitude
Même quand il y a du monde autour.
C’est ce sentiment d’être seul·e dans sa tête, dans sa galère, dans sa vie.
Et la conso, parfois, c’est un faux compagnon.

🐈‍⬛ Le besoin de fuir… ou de se dissocier
Certains jours, être là, c’est trop. Trop lourd, trop flou, trop douloureux.
Alors on se coupe. On flotte. On décroche.
Et on appelle ça « se détendre » Mais c’est surtout s’éloigner de soi.

On parle de dépendance comme si c’était un choix.
Mais souvent, c’est un millefeuille de douleurs muettes.
Ce que tu ne vois pas… c’est ce qui explique beaucoup.

💬 Tu te reconnais dans l’un de ces chats noirs ?
🖤 Dis-moi lequel t’a le plus parlé.

Depuis 500 ans, son sourire intrigue…Et si c’était les pupilles ? 😏Hypothèse d’addictologue ? Pas tout à fait.Parce qu’e...
12/07/2025

Depuis 500 ans, son sourire intrigue…
Et si c’était les pupilles ? 😏

Hypothèse d’addictologue ? Pas tout à fait.
Parce qu’en vrai, une pupille dilatée, un nez qu’on se touche, une mâchoire qui serre ou un regard fuyant… ça ne veut rien dire à lui tout seul.
Et pourtant, on est nombreux à faire des raccourcis.

👉 “Il a les yeux éclatés = il a pris un truc”
👉 “Elle est surexcitée = elle est perchée”
👉 “Il est down = il est en descente”

⚠️ Ce genre d’interprétation peut devenir un véritable piège à préjugés.
Oui, certaines substances modifient les pupilles.
Mais non, ce n’est pas un détecteur infaillible.
Et non, on n’a pas à étiqueter quelqu’un sans connaître son histoire.

❤️ Ce post, c’est pour te rappeler que la réduction des risques, c’est aussi arrêter de coller des étiquettes aux gens.
C’est ouvrir la discussion, pas le jugement.

Alors… selon toi, pourquoi elle sourit ? 👇

Un craving, ce n’est pas une simple envie.C’est un besoin qui t’oppresse, une pensée en boucle, une tension dans tout le...
10/07/2025

Un craving, ce n’est pas une simple envie.
C’est un besoin qui t’oppresse, une pensée en boucle, une tension dans tout le corps.

👉 Mais tu peux apprendre à le traverser.
Ce carrousel te dit tout :
✅ Ce que c’est vraiment
✅ Ce qui le déclenche
✅ Combien de temps ça dure (spoiler : pas toute la vie)
✅ Ce que tu peux faire pour le faire passer
✅ Et s’il existe des traitements

Et surtout :
Tu n’as pas à gagner un combat. Tu dois juste tenir 20/30 minutes en moyenne.

💬 Tu as déjà eu un craving intense ?
Dis-moi ce qui t’a aidé, ou ce que tu aimerais essayer la prochaine fois.

🔖 Garde ce post pour les jours de tempête.
📩 Envoie-le à quelqu’un qui en aurait besoin.
🤍 Tu n’es pas seul·e.

Aimer quelqu’un qui consomme, ça bouscule tout.Même si ce n’est pas ta dépendance, tu la vis en pleine face : l’inquiétu...
08/07/2025

Aimer quelqu’un qui consomme, ça bouscule tout.
Même si ce n’est pas ta dépendance, tu la vis en pleine face : l’inquiétude, les montagnes russes, le doute, l’usure. Tu donnes, tu soutiens, tu espères… parfois en t’oubliant.

Et on en parle peu.
Pas dans les manuels. Pas dans les séries. Pas autour de toi.

Tu peux aimer très fort, et ne plus savoir quoi faire.
Tu peux avoir envie d’aider, sans pouvoir le faire à sa place.
Tu peux te sentir perdu·e, triste, en colère, ou épuisé·e.
Et tu as le droit de poser des limites, de demander de l’aide, de partir si c’est trop lourd.

Ce n’est pas de l’égoïsme.
Ce n’est pas abandonner.
C’est parfois le seul moyen de survivre.

Si tu vis ça, tu n’es pas seul·e. Il existe des ressources pour t’écouter, t’accompagner, t’épauler.
Parce que tu comptes aussi.

💬 Dis-moi si tu veux que je fasse plus de contenus pour l’entourage.
📌 Garde ce post ou partage-le à quelqu’un qui en aurait besoin.
💗 Tu fais de ton mieux. Et c’est déjà beaucoup.

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