13/07/2025
Tu vois une personne qui consomme.
Tu crois peut-être que c’est juste une histoire de « volonté » ou de « plaisir ».
Mais la dépendance, ce n’est jamais seulement le produit.
Souvent, il y a des blessures, des stratégies de survie, des tempêtes invisibles.
Des chats noirs qui suivent en silence…
🐈⬛ L’anxiété
Toujours là, comme un bruit de fond.
Elle serre la gorge, contracte le ventre, envahit les pensées.
Et consommer, parfois, c’est juste chercher le bouton « pause »
🐈⬛ Le trauma
Certains souvenirs ne s’effacent pas.
Ils se transforment en tensions, en flashs, en insomnies.
Et la conso devient un pansement. Même si le pansement est toxique.
🐈⬛ L’ennui existentiel
Ce vide qu’on ressent même quand tout va « bien »
Quand rien n’excite, quand rien ne touche.
Alors on cherche une montée, un frisson, une étincelle.
🐈⬛ La recherche de contrôle
Contrôler son humeur, son corps, son énergie, ses pensées.
Mais parfois, vouloir tout maîtriser… c’est ce qui nous fait perdre pied.
🐈⬛ Le besoin d’amour (mal comblé)
Envie d’être vu·e, reconnu·e, aimé·e, touché·e.
Alors on se raccroche à ce qui donne l’illusion d’un lien.
Même si c’est une substance. Même si ça ne dure qu’un instant.
🐈⬛ La solitude
Même quand il y a du monde autour.
C’est ce sentiment d’être seul·e dans sa tête, dans sa galère, dans sa vie.
Et la conso, parfois, c’est un faux compagnon.
🐈⬛ Le besoin de fuir… ou de se dissocier
Certains jours, être là, c’est trop. Trop lourd, trop flou, trop douloureux.
Alors on se coupe. On flotte. On décroche.
Et on appelle ça « se détendre » Mais c’est surtout s’éloigner de soi.
On parle de dépendance comme si c’était un choix.
Mais souvent, c’est un millefeuille de douleurs muettes.
Ce que tu ne vois pas… c’est ce qui explique beaucoup.
💬 Tu te reconnais dans l’un de ces chats noirs ?
🖤 Dis-moi lequel t’a le plus parlé.