Psychanalyste Odile Chiroix

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28/07/2025

Elle n’avait jamais été embrassée. Mais elle offrit au monde une chanson d’amour éternelle… 🎹💋

L’une des chansons les plus célèbres du XXe siècle, “Bésame Mucho”, n’a pas été écrite par une artiste consacrée…
Mais par une adolescente de 16 ans, élevée dans une école catholique stricte, où même prononcer le mot “baiser” semblait un péché.

Elle s’appelait Consuelo Velázquez, même si, à l’époque, elle n’était encore que Consuelita — une jeune rêveuse mexicaine, aux doigts faits pour les touches du piano.
Née en 1916 dans une famille appauvrie mais d’origine noble, elle perdit son père très jeune. Sa mère, v***e avec cinq enfants, dut se battre pour survivre.

Dès l’âge de quatre ans, Consuelita se consacra à la musique sans relâche. On l’envoya dans un couvent, dans l’espoir d’un avenir meilleur, mais la rigueur du lieu faillit briser sa santé.
Jusqu’au jour où un pianiste, l’ayant entendue jouer lors d’un festival pour enfants, lui offrit des cours gratuits. C’est ainsi qu’elle entra au Conservatoire national de musique. Là commença son vrai chemin.

Et à seulement 16 ans, sans jamais avoir été embrassée, elle écrivit “Bésame Mucho”.

« C’était un rêve, une fantaisie sur l’amour », dirait-elle bien des années plus t**d.

Elle envoya la chanson à la radio sous un pseudonyme, craignant qu’on la juge pour “en savoir trop” pour une jeune fille respectable. Mais la chanson toucha les cœurs comme une étincelle dans la nuit. Des millions la chantèrent.
Sa mère, pourtant, fut scandalisée : elle ne voulait pas d’une fille compositrice… mais d’une religieuse.

Hollywood l’appela. Walt Disney était sous le charme. On lui proposa des contrats, la gloire, la fortune.
Mais Consuelo rentra au Mexique au bout d’un mois. Sa véritable passion n’était pas les projecteurs, mais la musique classique.
Elle composa plus de 200 œuvres, fut pianiste professionnelle, présida l’Union des Compositeurs du Mexique et devint députée.

Sur le plan personnel, elle ne se maria qu’une seule fois, sans amour, pour faire plaisir à sa mère.
Son époux, Mariano Rivera Conde, fut celui qui rendit sa chanson célèbre à la radio. Ils eurent deux enfants.
Elle lui survécut de trente ans et ne se remaria jamais.
Elle vécut humblement, mais fut aimée comme un trésor national.

Et sa chanson…
Traduite en plus de 120 langues.
Interprétée par les Beatles, Sinatra, Presley, Plácido Domingo et des centaines d’autres.
Plus de 100 millions de copies officiellement vendues.

Tout cela, né du cœur d’une jeune fille qui n’avait jamais été embrassée… mais qui avait compris que l’amour — comme la musique — est doux, profond… et éternel.

28/07/2025

johnjoos.com

28/07/2025

Des phrases banales peuvent cacher des intentions troublantes. À analyser.

28/07/2025

Le vide, cette sensation de manque que l'on cherche à combler de toute les façons imaginables, par l'argent, l'alcool et les drogues, le travail démesuré, le besoin d'être aimé... Cette impression désagréable de ne pas être entier, d'être désaligné.

L'homme qui recherche la plénitude à l'extérieur de lui même, est voué au tourment éternel. C'est ce qu'on appelle la prison intérieur.
Une intériorisation nous mène à la plénitude, c'est à ce moment que l'on prend conscience de l'abondance qui nous entoure. L'extériorisation se fait par la suite en toute relation et non plus en fusion.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/sous-le-soleil-de-platon/sous-le-soleil-de-platon-du-lundi-28-juillet-20...
28/07/2025

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/sous-le-soleil-de-platon/sous-le-soleil-de-platon-du-lundi-28-juillet-2025-8522058?fbclid=IwY2xjawL0zmdleHRuA2FlbQIxMQABHkHmwVJMRqTcVUOflIryssEjl4HUBduTbhDwnBDhr3YJozOM89LBJq1eMws8_aem_Pt94ZoK6vP8gAz-AzG8Qlg

Olivia Gazalé, autrice du "Paradoxe du rire" (éditions Seghers/Pocket), pour explorer le rire, cette énigme humaine fascinante. À travers une réflexion profonde, elle révèle la double nature du rire : à la fois force d'émancipation et arme de domination.

17/06/2025
16/06/2025

En février 1961, Marilyn Monroe fut admise dans un hôpital pour y être soignée psychologiquement. Elle écrivit alors ces mots déchirants :

> « Je suis certaine que je vais sombrer dans la folie.
Comme je souhaiterais mourir… partir loin d’ici.
Je suis seule.
Et je ressens, chaque jour, l’amertume crue de cette solitude.
La nuit dernière, je n’ai pas fermé l’œil. Pas une minute.
Je me suis surprise à me questionner sur le temps… ce que peut bien signifier le temps, dans la nuit.

Ma vie me semble n’être qu’un seul et long jour sans fin.

Pour passer ces heures d’insomnie, j’ai tenté de lire un recueil de lettres de Freud.
À la première page, je suis tombée sur son portrait… et j’ai éclaté en sanglots.

Il avait l’air si accablé…
Sans doute cette photo avait-elle été prise peu de temps avant sa mort.

Je sais, au fond de moi, que je ne serai jamais une femme heureuse.
Je peux parfois rire, ressentir une certaine gaieté… mais la vraie joie, la joie profonde, je ne l’ai jamais connue.

Cette nuit-là, j’ai pris une chaise, et je l’ai jetée contre la vitre.
Je n’ai jamais rien brisé de ma vie… mais j’ai ressenti ce besoin viscéral de fracasser quelque chose, de briser ce silence étouffant.

Le fracas du verre a retenti, un vacarme assourdissant.

Puis, le calme est revenu. Un silence lourd, mais apaisé.

Quand les médecins sont arrivés, je leur ai dit :
“Si vous voulez me traiter comme une folle… alors oui, je le suis.” »

16/06/2025

La lettre était humiliante. Elle disait ceci :

« Tu veilleras à ce que mes vêtements soient toujours en ordre.
Que mes trois repas quotidiens me soient servis dans ma chambre.
Que ma chambre et mon bureau soient maintenus impeccables, et que nul ne touche à mon bureau, hormis moi.

Tu renonceras à toute intimité avec moi, sauf si cela est requis par les convenances sociales.

Tu ne me demanderas pas :
– de m’asseoir à tes côtés dans la maison,
– de sortir avec toi,
– de voyager en ta compagnie… »

Cette lettre, véritable contrat domestique et moral, était adressée à une femme nommée Mileva Maric. Fille d’une famille de propriétaires terriens de l’Empire austro-hongrois, elle brilla très tôt par son intelligence hors du commun. Grâce à ses dons et à l’influence de son père, elle réussit à intégrer une école secondaire en Autriche, puis fut admise à l’Institut Polytechnique Fédéral de Zurich — un privilège rarissime pour une femme à la fin du XIXe siècle.

Avant de se consacrer aux mathématiques, elle étudia brièvement la médecine à l’École fédérale de Berne. Mais même avec ses aptitudes remarquables, elle fut constamment surveillée, observée, jugée — car elle était l’unique femme parmi les étudiants.

C’est à Zurich qu’elle rencontra l’homme avec qui elle allait vivre une histoire d’amour, avoir une première fille (dont le destin demeure incertain, sans doute confiée à l’adoption), et fonder une famille. Mileva abandonna ses études pour le soutenir. Son époux, employé modeste au Bureau des brevets, peinait à subvenir aux besoins du foyer. Tandis qu’elle élevait leurs enfants, elle louait des chambres à des étudiants pour compléter leurs revenus… et l’aidait à affiner ses idées, à rédiger sa thèse, à faire éclore la pensée scientifique qui allait changer le monde.

Mais cette dévotion ne fut jamais reconnue.
Six ans après la naissance de leur deuxième enfant, Mileva mit au monde un troisième fils, atteint de troubles mentaux. Leur couple commença alors à se déliter. Lui prit une cousine pour amante. Et, comme si cela ne suffisait pas, il proposa à Mileva de continuer à vivre sous le même toit… à condition qu’elle se plie à ses règles strictes — celles de la lettre.

Malgré les apparences d’un couple modèle, la séparation devint inévitable. Le divorce fut prononcé. Mileva, elle, se consacra entièrement à ses fils. Grâce à elle, l’aîné put terminer ses études d’ingénieur… dans la même école où elle avait jadis rencontré son mari.

Mais elle ne put jamais retourner à la science. Elle mourut pauvre et oubliée, le 4 août 1948, à Zurich. Sa tombe au cimetière de Northeim Friedhof fut un jour privée de pierre tombale : personne n’avait payé la taxe pour la conserver.

Son mari s’appelait Albert Einstein.
Et certains documents laissent penser que les bases de sa théorie révolutionnaire ont été posées… par Mileva elle-même.

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