Psychanalyste Odile Chiroix

Psychanalyste Odile Chiroix Pour vous soutenir et vous aider à traverser une crise personnelle ou une histoire familiale dif...

08/10/2025

"Monastère de Sumela en Turquie" une œuvre d'art.

22/09/2025
16/09/2025

Monument à la femme qui « ne fait rien à la maison »
Tu la connais. Tu l’as vue des centaines de fois.
Elle ne crie pas. Elle ne se plaint pas. Elle ne demande pas.
Et pourtant, chaque jour, elle porte sur ses épaules toute la MAISON.
C’est l’image du travail invisible que personne n’appelle « travail », parce qu’il ne donne pas de salaire – seulement de la fatigue et du silence.

22/08/2025

Magnifique ♥️

28/07/2025

Elle n’avait jamais été embrassée. Mais elle offrit au monde une chanson d’amour éternelle… 🎹💋

L’une des chansons les plus célèbres du XXe siècle, “Bésame Mucho”, n’a pas été écrite par une artiste consacrée…
Mais par une adolescente de 16 ans, élevée dans une école catholique stricte, où même prononcer le mot “baiser” semblait un péché.

Elle s’appelait Consuelo Velázquez, même si, à l’époque, elle n’était encore que Consuelita — une jeune rêveuse mexicaine, aux doigts faits pour les touches du piano.
Née en 1916 dans une famille appauvrie mais d’origine noble, elle perdit son père très jeune. Sa mère, v***e avec cinq enfants, dut se battre pour survivre.

Dès l’âge de quatre ans, Consuelita se consacra à la musique sans relâche. On l’envoya dans un couvent, dans l’espoir d’un avenir meilleur, mais la rigueur du lieu faillit briser sa santé.
Jusqu’au jour où un pianiste, l’ayant entendue jouer lors d’un festival pour enfants, lui offrit des cours gratuits. C’est ainsi qu’elle entra au Conservatoire national de musique. Là commença son vrai chemin.

Et à seulement 16 ans, sans jamais avoir été embrassée, elle écrivit “Bésame Mucho”.

« C’était un rêve, une fantaisie sur l’amour », dirait-elle bien des années plus t**d.

Elle envoya la chanson à la radio sous un pseudonyme, craignant qu’on la juge pour “en savoir trop” pour une jeune fille respectable. Mais la chanson toucha les cœurs comme une étincelle dans la nuit. Des millions la chantèrent.
Sa mère, pourtant, fut scandalisée : elle ne voulait pas d’une fille compositrice… mais d’une religieuse.

Hollywood l’appela. Walt Disney était sous le charme. On lui proposa des contrats, la gloire, la fortune.
Mais Consuelo rentra au Mexique au bout d’un mois. Sa véritable passion n’était pas les projecteurs, mais la musique classique.
Elle composa plus de 200 œuvres, fut pianiste professionnelle, présida l’Union des Compositeurs du Mexique et devint députée.

Sur le plan personnel, elle ne se maria qu’une seule fois, sans amour, pour faire plaisir à sa mère.
Son époux, Mariano Rivera Conde, fut celui qui rendit sa chanson célèbre à la radio. Ils eurent deux enfants.
Elle lui survécut de trente ans et ne se remaria jamais.
Elle vécut humblement, mais fut aimée comme un trésor national.

Et sa chanson…
Traduite en plus de 120 langues.
Interprétée par les Beatles, Sinatra, Presley, Plácido Domingo et des centaines d’autres.
Plus de 100 millions de copies officiellement vendues.

Tout cela, né du cœur d’une jeune fille qui n’avait jamais été embrassée… mais qui avait compris que l’amour — comme la musique — est doux, profond… et éternel.

28/07/2025

johnjoos.com

28/07/2025

Des phrases banales peuvent cacher des intentions troublantes. À analyser.

17/06/2025
16/06/2025

En février 1961, Marilyn Monroe fut admise dans un hôpital pour y être soignée psychologiquement. Elle écrivit alors ces mots déchirants :

> « Je suis certaine que je vais sombrer dans la folie.
Comme je souhaiterais mourir… partir loin d’ici.
Je suis seule.
Et je ressens, chaque jour, l’amertume crue de cette solitude.
La nuit dernière, je n’ai pas fermé l’œil. Pas une minute.
Je me suis surprise à me questionner sur le temps… ce que peut bien signifier le temps, dans la nuit.

Ma vie me semble n’être qu’un seul et long jour sans fin.

Pour passer ces heures d’insomnie, j’ai tenté de lire un recueil de lettres de Freud.
À la première page, je suis tombée sur son portrait… et j’ai éclaté en sanglots.

Il avait l’air si accablé…
Sans doute cette photo avait-elle été prise peu de temps avant sa mort.

Je sais, au fond de moi, que je ne serai jamais une femme heureuse.
Je peux parfois rire, ressentir une certaine gaieté… mais la vraie joie, la joie profonde, je ne l’ai jamais connue.

Cette nuit-là, j’ai pris une chaise, et je l’ai jetée contre la vitre.
Je n’ai jamais rien brisé de ma vie… mais j’ai ressenti ce besoin viscéral de fracasser quelque chose, de briser ce silence étouffant.

Le fracas du verre a retenti, un vacarme assourdissant.

Puis, le calme est revenu. Un silence lourd, mais apaisé.

Quand les médecins sont arrivés, je leur ai dit :
“Si vous voulez me traiter comme une folle… alors oui, je le suis.” »

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