Bonjour, je m’appelle Laurence Brun.
Je suis Thérapeute du deuil, à Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Je ne suis ni psychiatre, ni psychologue, ni psychanalyste. Je suis Thérapeute parce que mon travail est de vous accompagner vers le mieux-être - Du deuil, parce que c’est la thématique que je connais et que j’ai étudiée.
celui d’assistante sociale, spécialiste de la relation d’aide et du soutien dans l’épreuve,
un diplôme en psychologie, validant deux ans d’études universitaires,
un diplôme universitaire (DU) sur le deuil et le travail de deuil de la faculté de médecine (Université Paris-Saclay).
Le deuil, c’est un long chemin, douloureux, sur lequel vous vous sentez parfois seul face à une peine immense. Mon métier : vous proposer de faire un petit bout de chemin ensemble, individuellement, en famille ou en groupe.
Parce que, parfois, de savoir que quelqu’un marche à vos côtés, de pouvoir échanger sur vos émotions, de prendre le temps de réfléchir à votre nouveau mode de vie, cela peut vous faire du bien, cela peut vous aider à avancer plus tranquillement.
Faire son deuil, cela n’existe pas, on n’en a jamais terminé avec cette histoire-là. Vivre son deuil, intégrer l’absence de l’autre, apprendre à vivre avec son souvenir, trouver la paix, c’est déjà un bel objectif.
Je peux vous accompagner lors de ce processus, à votre rythme, le temps qui vous sera nécessaire.
Pour les professionnels qui interviennent dans les familles, auprès de personnes malades ou très âgées, je propose des temps de formation et de partage d'expérience sur la thématique du deuil, celui que vous rencontrez dans votre travail et qui vient résonner avec votre histoire personnelle.
Porteuse de projets dans l’association Le Deuil, j’en parle, j’anime :
un groupe d’entraide de parents de familles endeuillées, parce que parentalité et deuil, c’est parfois compliqué,
un groupe de soutien au deuil périnatal, pour des parents qui ont perdu un tout-petit pendant la grossesse ou dans les premières semaines de vie,
un atelier pour les enfants endeuillés, pour les aider à faire souvenir,
des groupes de réflexion pour les enseignants sur l’accueil d’un enfant endeuillé lors de son retour à l’école.
Pour ces différents projets, je travaille avec la fondation d’entreprises OCIRP, l’éducation nationale, la caisse d’allocations familiales, le relais appui parents du 64, la fondation OGF, et le centre d’animation du Lacaoü à Billère.