Shaman’Art de Vivre

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Bienvenue Dans mon Bosquet en Normandie,
Ce lieu en pleine nature est un centre de transmissions hollistiques,
Nous vous accueillons pour des stages, des ateliers et des retraites afin d'accompagner et de guérir votre âme et votre physique.

20/11/2025

Il existe un véritable fléau dans le monde de la spiritualité et du développement personnel. C'est celui qui consiste à encourager les victimes à théoriser leurs traumatismes plutôt qu’à les ressentir.

C’est ainsi que des milliers de personnes s’entendent dire, après avoir vécu un traumatisme grave où quelqu’un a cherché à les détruire, que cette épreuve était là pour les faire grandir.

Or, lorsque quelqu’un a cherché volontairement à nous détruire, s’entendre dire « c’est une “leçon”, ou « c’est une opportunité de croissance”, ou « c’est un cadeau déguisé”, est une nouvelle violence.

C’est un discours qui, trop souvent, sert à minimiser l’abus et à éviter de regarder la réalité en face.

Et cette réaction n’est ni saine, ni juste. Lorsque quelqu’un sort d’un tel cauchemar, la première chose à faire est de l’écouter et de reconnaître sa souffrance.

À ce moment-là, il n’est absolument pas opportun de lui faire remarquer que tout ceci est là pour la faire grandir. La seule chose à dire est : « Oui, cette personne a cherché à te détruire, elle t’a fait souffrir et elle n’en avait absolument pas le droit ».

Rappelons ici qu’il existe véritablement des individus qui jouissent de détruire volontairement et consciemment l’autre. Bien souvent, ce qu’ils cherchent à détruire, c’est l’innocence et la pureté qui résident en l’autre, et qu’ils n’auront jamais.

Face à de tels abus, encourager la victime à reconnaître sa colère est salutaire. La colère est une façon de reprendre notre pouvoir et de protéger le sensible et le vulnérable qui vit en nous.

On ne guérit pas en sautant directement à la sagesse, la gratitude ou la spiritualité lumineuse. On guérit en passant par la colère, et en reconnaissant que ce que nous avons vécu était profondément injuste.

Grâce à la colère, nous pouvons même poser les actions nécessaires. Une colère forte peut entraîner des actions vitales pour nous.

On ne tire pas de leçons pendant qu’on saigne et spiritualiser immédiatement un traumatisme est un déni de la réalité.

Dans un véritable chemin de guérison, on ne cache pas ses émotions sous un tapis. On les écoute, on en prend acte, on se positionne, on s’affirme.

La paix viendra plus t**d car elle n’est pas un bouton que l’on peut enclencher immédiatement, contrairement à ce que certains voudraient nous faire croire ; Elle est un processus.

Diana Becker

16/11/2025

« Celles qu’on appelle exigeantes… sont en réalité les femmes qui se sont réveillées. »

Parole oraculaire pour les femmes qui refusent de s’éteindre pour être aimées.

On dit que les femmes qui ne se bradent plus,
celles qui tiennent leur axe comme on tiendrait un sceptre oublié,
sont “trop exigeantes”.
On dit qu’elles finiront seules,
comme si la solitude était une malédiction
et non le sanctuaire où elles ont appris à renaître.

Mais ce que le monde appelle “exigence”,
toi tu sais que c’est un autre mot pour désigner
la mémoire ancestrale du respect.

Car il n’y a rien d’exigeant à demander
qu’on te parle avec le cœur,
qu’on te regarde avec présence,
qu’on te traite sans incohérences,
qu’on te rencontre sans te consommer.

Il n’y a rien d’exigeant à refuser les amours bâclées, les loyautés bancales,
les demi-promesses qui ne tiennent pas jusqu’au matin.

Les seules personnes qui trouvent cela “trop”…
sont celles qui n’ont jamais appris à se tenir au même niveau que toi.

Ce monde s’irrite des femmes exigeantes parce que les femmes ramollies lui étaient plus utiles.

Il préfère celles qui disent oui en tremblant,
celles qui s’excusent d’exister,
celles qui acceptent les miettes avec courage,
celles qu’on félicite pour leur gentillesse
alors qu’elles meurent silencieusement à l’intérieur.

Mais toi ?
Tu es sortie du sortilège.

Tu as appris que :
– pardonner n’est pas se sacrifier,
– comprendre n’est pas tout supporter,
– aimer n’est pas s’oublier,
– espérer n’est pas se trahir,
– rester n’est pas être loyale
quand la relation est un autel où l’on brûle ton âme.

Tu es devenue cette femme qui ne se négocie plus.
Et cela les dérange.
Parce que ta clarté oblige à la vérité.
Parce que ta cohérence met à nu leurs incohérences.
Parce que ta présence est un miroir que certains ne veulent pas regarder.

Être “exigeante” n’est pas une posture.

C’est une conséquence.

La conséquence d’avoir trop aimé.
D’avoir trop donné.
D’avoir cru trop longtemps que tu serais “assez”
si tu étais douce comme l’eau, patiente comme la Terre, tolérante comme le ciel.

La conséquence d’avoir été trahie,
d’avoir été rejetée,
humiliée,
invisibilisée,
d’avoir été brutalisée par des mots,
par des silences,
par des promesses qui se dissolvaient au soleil.

La conséquence d’avoir ressenti ta colère monter comme une vague rouge,
ton impulsivité claquer comme la vérité brute,
ton cœur dire STOP avec la force d’une porte qui refuse de se rouvrir.

Alors tu as changé la donne.
Tu as cessé de “comprendre” ce qui ne te respectait pas.
Tu as cessé de “sauver” ce qui ne se guérissait pas.
Tu as cessé de prétendre que tout allait bien
pour ne pas déranger.

Tu as quitté la version de toi
qui demandait en chuchotant.
Tu as laissé mourir la femme qui se contentait du minimum.
Et tu as laissé naître celle qui exige la hauteur
parce qu’elle incarne déjà cette hauteur.

Être exigeante, c’est reconnaître la dimension sacrée de ta vie.

C’est savoir que ton amour n’est pas un divertissement.
Que ton temps n’est pas un jouet.
Que ta tendresse n’est pas un passe-droit.
Que ton corps n’est pas un refuge pour les âmes perdues.
Que ton énergie n’est pas un buffet en libre-service.

C’est savoir que tu n’es pas née pour tolérer
les relations sans profondeur,
les partenaires sans courage,
les promesses sans racines.

Ce n’est pas demander trop.
C’est demander juste.

C’est refuser ce qui abîme.
C’est dire NON comme on scelle une porte.
C’est dire OUI comme on ouvre un royaume.
C’est choisir des présences qui savent aimer
sans détruire, sans fuir, sans rabaisser,
sans se cacher derrière leurs blessures pour t’écraser.

Et qu’on en finisse avec cette menace ridicule :

« Tu vas finir seule. »

Seule où ?
Dans une maison qui respire ton calme ?
Avec des plantes qui poussent à ton rythme ?
Avec des livres qui nourrissent ton âme ?
Avec du vin qui ne t’insulte pas ?
Avec des silences qui te respectent ?
Avec des rires qui viennent pour vrai ?
Avec des nuits sans manipulation ?

Cette solitude-là n’est pas une tragédie.
C’est un luxe.
Un privilège.
Un royaume.

La vraie tragédie, c’est de finir entourée
et pourtant jamais vraiment choisie.
C’est de partager sa vie avec quelqu’un
qui ne te voit pas.
C’est de t’éteindre pour garder quelqu’un
qui n’a jamais su t’aimer juste.

Tu ne veux pas “quelqu’un”.
Tu veux quelqu’un capable.
Capable de hauteur.
Capable de vérité.
Capable de constance.
Capable de ne pas s’effondrer
devant la puissance tranquille que tu es devenue.

-Alors oui.

Si être exigeante veut dire se choisir,
reste exigeante.

Sois exigeante comme une porte sacrée.
Comme une prêtresse qui ne laisse entrer que ceux qui savent honorer le temple.

Sois exigeante comme une femme qui n’a plus peur d’être seule parce qu’elle n’est plus jamais en manque d’elle-même.

Sois exigeante comme une prophétie vivante.
Comme une force qui rappelle au monde
que la valeur ne se marchande pas.

Et toi — quand t’a-t-on dit que tu étais “trop exigeante” pour la première fois ?
Et quel morceau de toi se réveillait ce jour-là ?

Corinne De Leenheer

28/08/2025
27/08/2025

🔥🍃 VOS CHEVEUX NE SONT PAS UNE CASUALITÉ 🍃🔥

Nos cheveux sont l’extension physique de nos pensées, ils nous donnent la direction tout au long de notre vie ; chacun de nos cheveux nous représente nous-mêmes. Ils sont des points de connexion puissants entre le corps et l’esprit, selon les peuples autochtones.

Les hommes et les femmes de sagesse ont toujours porté de longs cheveux. À l’inverse, là où la tyrannie s’est imposée sous toutes ses formes, les cheveux courts ont été rendus obligatoires. Ce geste, accompagné d’autres, a mené à la défaite spirituelle et physique des peuples.

Les cheveux ont leur propre langage et leur caractère. La façon dont ils sont coiffés est extrêmement importante pour ceux qui les portent :
🔥 La raie au milieu représente l’alignement de la pensée.
🔥 La tresse symbolise l’unité du cœur et de l’esprit.
🔥 Les cheveux détachés expriment la sécurité.
🔥 Les cheveux attachés traduisent la conviction.

Aujourd’hui, beaucoup se coiffent sans connaître la signification de leurs gestes. Pourtant, la façon dont on porte ses cheveux a un impact direct sur notre humeur et notre énergie.

Dans les traditions, les coiffures annonçaient la maturité, le statut dans la société, ou encore les événements : mariage, guerre, deuil ou fête. Elles reflétaient les saisons de l’âme. Les cheveux représentaient l’état spirituel de la personne, ses liens, son unité familiale, et l’harmonie de sa communauté.

Les cheveux étaient associés aux forces de la nature : ils pouvaient couler en ligne droite comme les cascades, ou onduler comme les rivières.

Les enfants autochtones apprenaient dès leur plus jeune âge à laver et rincer leurs cheveux. Dans de nombreuses tribus, la coupe représentait un deuil ou la proximité de la mort. Les cheveux étaient sacrés : personne n’avait le droit d’y toucher sans permission.

🙌🏻✨ L’importance des cheveux longs :
🔥 Dans différentes cultures, les peuples ne coupaient pas leurs cheveux, car ils faisaient partie intégrante de leur être.
🌿 Lorsqu’ils atteignent leur longueur maximale, les cheveux favorisent la production de phosphore, calcium et vitamine D, qui circulent dans le liquide lymphatique et jusqu’au liquide céphalo-rachidien, via deux conduits au sommet du crâne.
🔥 Ce processus renforce la mémoire, la vitalité, l’endurance et la résistance. À l’inverse, couper ses cheveux provoque une perte de ces nutriments et oblige le corps à dépenser de l’énergie vitale pour la repousse.

Les cheveux sont aussi des antennes : ils recueillent et canalisent l’énergie solaire (prana) vers les lobes frontaux, zones utilisées pour la méditation et la visualisation. Ces antennes mettent environ trois ans à se reformer après une coupe.

Cheveux mouillés :
Attachés encore humides, ils s’abîment et se cassent. Il est préférable de les laisser sécher au soleil pour absorber la lumière et la vitamine D.

Les yogis conseillent de les laver toutes les 72 heures (ou plus souvent si le cuir chevelu transpire). Après une colère ou une peine, se laver les cheveux permet aussi de libérer les émotions.

Coupe de cheveux :
Dans l’histoire, conquérir un peuple passait souvent par la coupe de ses cheveux : signe d’esclavage, d’impuissance et d’humiliation. Les os du front, poreux, transmettent la lumière à la glande pinéale, influençant la thyroïde, les hormones sexuelles et l’activité cérébrale. La perte de cheveux a donc contribué, au fil des générations, à faire oublier leur pouvoir sacré.

Fermeture des cycles :
Comme chaque cellule, les cheveux portent une mémoire. Lorsqu’un chapitre de vie se termine, il est fréquent de ressentir le besoin de se couper les cheveux : un acte inconscient de renouveau, comme les arbres qui laissent tomber leur écorce pour retrouver vitalité.

Peigne en bois :
Les yogis préconisent le peigne ou la brosse en bois. Ils stimulent la circulation, n’engendrent pas d’électricité statique (qui fait perdre de l’énergie au cerveau) et favorisent l’équilibre énergétique.
🌿 Se coiffer de l’avant vers l’arrière, puis de gauche à droite, apaise et revitalise. Pour les femmes, répéter ce rituel deux fois par jour aide à maintenir la jeunesse, un cycle menstruel équilibré et une bonne vue.

En cas de calvitie, le manque d’énergie capillaire peut être compensé par davantage de méditation.
🌿 Les cheveux blancs, loin d’être un défaut, augmentent le flux énergétique et renforcent l’équilibre du corps avec l’âge.

Lorsqu’on laisse les cheveux pousser et qu’on les enroule en couronne au sommet de la tête, l’énergie du soleil descend dans la colonne vertébrale. La Kundalini s’élève alors pour créer un équilibre parfait.

🌿 Vos cheveux ne sont pas là par erreur. Ils ont un but.

Ma magie, Ma sorcellerie
Muriel Pugliese 🌖🌑🌔

10/08/2025

LES ÂMES ANCIENNES : 5 VÉRITÉS QUE L’ON DIT TROP PEU

1. Elles ne sont pas forcément “lumineuses” — elles sont entières.
Une âme ancienne n’est pas toujours douce, bienveillante ou rassurante. Ce cliché romantique ne lui rend pas justice.
Elle a traversé des milliers d’incarnations, parfois sur d’autres plans, dans d’autres dimensions. Elle a été victime, bourreau, sage, traître, guérisseuse ou destructrice.
Elle ne cherche pas à paraître “bonne”, mais à incarner ce qui est vrai.
Elle ne craint pas l’ombre, ni chez elle, ni chez les autres. Elle sait la reconnaître, la traverser, l’intégrer.
Son discernement peut paraître froid, détaché, ou dérangeant. Ce n’est pas un manque d’amour, mais une lucidité énergétique.

2. Elles portent un code de désalignement social.
Les âmes anciennes ne sont pas faites pour s’adapter aux normes sociales.
Un code inscrit dans leur structure les rend naturellement incompatibles avec les systèmes fondés sur le contrôle, l’ego ou la conformité.
Elles se sentent souvent “à côté” : dans leur famille, leur scolarité, leur travail ou leurs relations.
Ce n’est pas un hasard. Leur friction vibratoire est nécessaire pour faire éclater les illusions collectives.
Elles ne sont pas là pour se conformer. Elles sont là pour éveiller, déconstruire, et secouer.

3. Elles viennent d’autres lignes temporelles.
Toutes les âmes anciennes n’ont pas un long passé terrestre.
Certaines viennent de civilisations disparues, de systèmes stellaires oubliés, ou de réalités interdimensionnelles.
Elles rêvent d’endroits inconnus, parlent dans des langues étranges en dormant, ressentent des savoirs qu’elles n’ont jamais étudiés.
Leur corps peut avoir du mal à supporter la densité terrestre : hypersensibilité, fatigue chronique, malaises inexpliqués.
Elles ne sont pas forcément “plus évoluées”, mais elles sont plus anciennes que cette planète elle-même.

4. Ce sont des déclencheurs vivants.
Une âme ancienne est un miroir brut.
Sa seule présence active chez les autres ce qui est enfoui, oublié, ou non intégré.
Elle ne cherche pas à convaincre, ni à sauver. Elle déclenche.
Les réactions qu’elle suscite sont intenses : amour profond, rejet violent, projections, jalousies, fascination ou rejet.
Elle dérange parce qu’elle casse les équilibres construits sur du faux.
Elle ne plaît pas toujours. Mais elle révèle.

5. Elles ne sont pas là pour apprendre, mais pour clôturer.
Beaucoup d’âmes anciennes ne viennent plus pour apprendre, mais pour clore des cycles karmiques collectifs.
Elles incarnent les dernières pièces d’un puzzle spirituel long de plusieurs siècles.
Elles surgissent dans des familles lourdes, des lignées complexes, pour libérer des nœuds, dissoudre des blessures, achever des héritages.
Elles savent, dès l’enfance, qu’elles sont différentes.
Elles s’intéressent très tôt à la mort, à la spiritualité, à l’invisible.
Leur mission n’est pas de sauver tout le monde, mais de se libérer elles-mêmes – et, par résonance, ouvrir un passage pour les autres.

Muriel Pugliese
Secrets de magie et de sorcellerie

26/07/2025

1. Quelqu’un t’a trahi ?
Reste silencieux.

2. Quelqu’un te fait souffrir ?
Reste silencieux.

3. Quelqu’un n’a pas su te donner ce que tu méritais, malgré tout ton amour ?
Reste silencieux.

4. Quelqu’un t’a profondément insulté ?
Reste silencieux.

5. Quelqu’un t’a trompé ?
Reste silencieux.

6. Quelqu’un t’accuse à tort ?
Reste silencieux.

Deviens si silencieux que ces personnes n’entendent plus jamais ta voix, ne croisent plus jamais ton ombre. Deviens invisible pour elles.
Fais-toi la promesse de ne jamais te retourner. Et si tu tiens cette promesse, la douleur s’effacera. Ce silence te pèsera peut-être, il étouffera en toi des cris que personne n’entendra… mais il laissera l’autre avec ses regrets.

La vérité, c’est que nous protestons avec des mots parce que nous avons peur de perdre.
Mais sais-tu une chose ?
Ceux qui n’ont jamais su te voir à ta juste valeur, ceux qui t’ont écrasé sous le poids du chagrin… ne t’ont jamais réellement appartenu.

Alors, vis pour toi, aime-toi.
Tu as un Créateur.

24/07/2025

Un homme faible ne saura jamais quoi faire d’une femme forte.

Elle n’est pas compliquée… elle est directe.
Elle n’est pas impolie… elle est honnête.

Mais pour un homme instable, immature ou en insécurité émotionnelle, sa force n’est pas un cadeau : c’est une menace.

Elle dit ce qu’elle pense… et cela le dérange.
Elle demande de la clarté… et il dit qu’elle est “trop exigeante”.
Elle pose des limites… et il la traite de contrôlante.
Elle le pousse à évoluer… et il prétend qu’elle veut le changer.

Mais au fond, ce ne sont pas ses mots qui le dérangent…
C’est le fait qu’elle voit au-delà de son masque.
Il ne peut pas la manipuler avec des compliments.
Il ne peut pas l’apaiser avec des promesses creuses.
Il ne peut pas la faire taire avec quelques miettes d’attention.

Alors, que fait-il ?
Il la rend responsable.
De son caractère.
De son indépendance.
De ses attentes.

Tout, sauf admettre qu’il n’était tout simplement pas prêt pour une femme comme elle.
Que sa force le mettait face à sa propre fragilité.
Qu’il ne savait pas comment gérer une femme qui exige de la maturité et de la responsabilité.

Parce qu’une femme forte ne supplie pas.
Elle ne court pas après.
Et jamais elle ne se diminuera pour entrer dans le moule d’un homme qui ne sait même pas encore qui il est.

Elle n’était pas trop intense…
Il était juste habitué au silence.
Elle n’était pas trop ferme…
Il ne connaissait que des femmes qui préféraient se taire pour éviter les conflits.
Elle n’était pas trop…
Il n’était simplement pas prêt pour une femme qui ne le nécessitait pas, mais qui le choisissait.

Et c’est là toute la différence :
Un homme faible cherche à contrôler.
Une femme forte cherche un partenaire.

Et si un homme n’est pas prêt à marcher à ses côtés, en égal,
elle ne se rapetissera jamais pour qu’il se sente plus grand.

Il dira qu’elle avait mauvais caractère.
Qu’elle était froide.
Difficile à aimer.

Mais la vérité ?
C’est qu’il avait peur.
Peur de ce que sa force révélait de sa propre faiblesse.
Et comme il ne pouvait pas être à la hauteur…
Il a tenté d’éteindre sa lumière.

Laisse-le.

Parce qu’une femme forte connaît sa valeur.
Elle n’est pas là pour être comprise par des hommes faibles…
Elle est là pour être aimée par un homme assez fort pour marcher à ses côtés,
et non par celui qui fuit dès qu’on lui demande de vraiment être présent.

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