Florence Dieu - Thérapeute

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18/11/2025

Affirmer ses besoins avec respect, sans blesser : 5 phrases à découvrir.

13/11/2025
"Ce n'est pas la fin.Ce n'est même pas le commencement de la fin.Mais, c'est peut-être la fin du commencement."  Winston...
11/11/2025

"Ce n'est pas la fin.Ce n'est même pas le commencement de la fin.
Mais, c'est peut-être la fin du commencement."

Winston CHURCHILL.

05/11/2025

Yoga en pyjama❣️❣️

05/11/2025

Dans le camp de la mort, on lui donna un numéro : 119104.
Mais ce qu’ils tentèrent de détruire devint précisément ce qui allait sauver des millions de vies.

1942. Vienne.
Viktor Frankl avait 37 ans — un psychiatre respecté, une clinique florissante, un manuscrit presque achevé, et une épouse, Tilly, dont le rire pouvait remplir le monde.
Il détenait un visa pour l’Amérique — un billet pour la liberté.
Mais ses parents âgés ne pouvaient pas partir.
Alors, il resta.

Quelques mois plus t**d, les n***s arrivèrent.
Theresienstadt. Puis Auschwitz. Puis Dachau.
Le manuscrit qu’il avait mis des années à écrire, caché dans la doublure de son manteau, fut arraché à peine quelques heures après son arrivée.
L’œuvre de sa vie. Son but. Réduits en cendres.

Les vêtements confisqués. Les cheveux rasés. Le nom effacé.
Sur le registre, il ne resta qu’un numéro : 119104.

Mais les gardiens ne comprirent jamais ceci :
On peut tout enlever à un homme — son nom, ses biens, sa liberté.
Mais on ne peut pas lui enlever ce qu’il sait.

Et Viktor Frankl savait quelque chose qui allait changer l’humanité.
Il vit un terrible schéma se dessiner :
Dans les camps, les hommes ne mouraient pas seulement de faim ou de maladie.
Beaucoup mouraient d’avoir abandonné.

Quand un prisonnier perdait son “pourquoi” — sa raison de vivre — le corps suivait bientôt.
Les médecins appelaient cela la “desistite”.
Mais ceux qui gardaient un but — une épouse à retrouver, un enfant à serrer, un livre à terminer, une promesse à tenir — ceux-là résistaient à l’impossible.

La différence n’était pas la force physique.
C’était le sens.

Alors Frankl entreprit une expérience — non pas dans un laboratoire, mais en enfer.
Il s’approchait des hommes au bord du désespoir et leur demandait :

> “Qui t’attend dehors ?”
“Quel travail reste à accomplir ?”
“Que dirais-tu à ton fils pour survivre à tout cela ?”

Il ne pouvait offrir ni pain ni liberté.
Mais il offrait ce que même les gardiens ne pouvaient confisquer :
Une raison de voir demain.

L’un se rappela sa fille — il survécut pour la revoir.
Un autre son travail scientifique — il survécut pour le terminer.
Frankl lui-même survécut en reconstruisant, mentalement, son manuscrit perdu — ligne après ligne, nuit après nuit, dans l’obscurité du baraquement.

Avril 1945. La libération.
Il pesait 38 kilos.
Tilly — morte.
Sa mère — morte.
Son frère — mort.
Tout ce qu’il aimait, anéanti.

Mais il ne céda pas.
En neuf jours, il réécrivit son manuscrit de mémoire.
Cette fois, avec des preuves.
Des preuves vivantes que l’être humain peut endurer l’impensable — s’il a un pourquoi.

Ainsi naquit la Logothérapie — la thérapie par le sens.
Sa base :

> “Celui qui a un pourquoi pour vivre peut supporter presque n’importe quel comment.”

Le livre parut en 1946 :
En allemand, …trotzdem Ja zum Leben sagen —
en anglais, Man’s Search for Meaning (Découvrir un sens à sa vie).

D’abord rejeté, jugé morbide.
Mais la vérité trouva son chemin.
Les thérapeutes le lurent et pleurèrent.
Les anciens prisonniers le lurent et crurent.
Des millions d’hommes et de femmes y trouvèrent une raison de continuer.

Aujourd’hui, À la recherche de sens est l’un des livres les plus influents de l’histoire.
Traduit en plus de 50 langues.
Vendu à plus de 16 millions d’exemplaires.

Mais son véritable impact ne se mesure pas en chiffres.
Il se trouve dans ces vies sauvées en silence — celles de personnes au bord de l’abîme qui, en lisant Frankl, ont choisi de ne pas abandonner.

Car il prouva ce que les n***s voulurent nier :
On peut te priver de tout — de ta famille, de ta liberté, de ton espoir.
Mais jamais de la dernière des libertés humaines :

La liberté de choisir ce que tout cela signifie.

Viktor Frankl est parti, mais sa voix demeure :

> “Quand nous ne pouvons plus changer une situation, nous sommes mis au défi de nous changer nous-mêmes.”
“Tout peut être pris à un homme, sauf une chose — la dernière des libertés humaines : choisir son attitude face à n’importe quelle circonstance.”

On lui donna un numéro.
L’Histoire lui donna l’éternité.

Parce que l’homme qui perdit tout enseigna au monde que le sens est la seule chose que personne ne pourra jamais nous voler.
Le prisonnier 119104 n’a pas seulement survécu —
il a vaincu la mort elle-même.

25/10/2025

« Les choses arrivent à qui est disponible pour les vivre, les entendre ou les voir. C’est formidable d’être à la disposition de son destin.
Sinon, que se passe-t-il ? Rien.
Se laisser guider par son instinct, suivre des chemins inconnus où tout devient important. Avoir le sentiment d’être de nouveau un enfant. Être curieux du monde et apprendre sans cesse. Tout a du sens quand on est comme cela, en voyage dans sa vie."
~Jacques Higelin

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