Patricia Serin - Psychologue-Psychothérapeute

10/07/2025

Thomas est un enfant atteint du syndrome de Beaufort qui nécessite une hospitalisation. Un jour, il reçoit la visite d'une femme clown un peu particulière qu...

10/07/2025

🧒🌟 Être médium, ce n’est pas un programme — c’est un vécu.

À l’Association Enfants Médiums,
nous n’encourageons jamais les enfants à développer leur médiumnité.

Ce que nous faisons ?

💬 Écouter.
💗 Rassurer.
🌿 Accompagner.

Nous aidons les familles à comprendre, à mettre des mots, à ne plus avoir peur.
Sans jamais forcer.
Sans jamais initier.
Juste en accueillant ce qui est déjà là, avec douceur.

Notre mission ?
Respecter le rythme de chaque enfant,
sans jamais le pousser au-delà de ce qu’il ressent.

🕊️ Ici, pas de contact défunt, pas de rituel.
Juste de l’écoute, de la lumière, et de la confiance.

Besoin d'aide ? Contactez-nous, Enfantsmediumscontact@gmail.com

08/07/2025

Hourra, il est publié !

Le Référentiel qualité accueil 0‑3 ans vient de paraître officiellement (2 juillet 2025) ! ». C’est un tournant majeur pour la petite enfance et donc pour toute notre société. Jusqu’à aujourd’hui, chacun y allait de son idée sur comment traiter les enfants. Les pratiques n’étaient pas unifiées. Les analyses de pratique étaient dépendantes de l’intervenant. Les programmes des écoles d’éducateurs/rices de jeunes enfants n’étaient pas toujours à jour des connaissances scientifiques.

Dorénavant, ce document devient la référence pour tous les professionnels de la petite enfance, en crèche, assistantes maternelles, PMI, mais aussi gestionnaires, administrations…. Il définit le socle exigible de tous dans toutes les relations d’accueil.
2000 personnes ont contribué à l’élaboration de ces 55 pages qui précisent les besoins des enfants, la façon d’entrer en relation avec eux, le sommeil, les écrans, les doudous, la régulation émotionnelle mais aussi les relations aux parents (clarté du projet d’accueil, écoute…) et des questions organisationnelles (travail en réseau, environnement sain, gestion des conflits, formation, amélioration continue des pratiques…). Je vous invite à lire le document entier sur le site du gouvernement :https://solidarites.gouv.fr/sites/solidarite/files/2025-07/Referentiel-national-qualite-accueil-jeune-enfant.pdf

J’y relève quelques pépites :

> La « juste distance » dont on nous rabâchait les oreilles laisse place à une juste proximité ! La tendresse et l’affection, autrefois suspectes sont désormais non seulement acceptées mais recommandées.
> On y lit que les pleurs ne sont jamais des caprices ou des tentatives de manipulation de la part de l’enfant. Les émotions sont accueillies par les adultes. La tétine n’est pas indispensable et ne doit pas être utilisée pour réprimer ou réguler une émotion !

Il est rappelé que le cadre est là pour sécuriser l’enfant et non pour le « discipliner ». Et il est écrit noir sur blanc que la punition (paroles dévalorisantes, coin, isolement) est proscrite par la loi.

Ce référentiel pose le cadre, définit des pratiques. Reste à ce que chacun se l’approprie sur le terrain. Si nombre de crèches avaient déjà entrepris ce virage vers un plus grand respect des besoins affectifs des enfants, la communication n’était pas toujours facile entre tous les acteurs de la petite enfance, parents, professionnels, administratifs, superviseurs, enseignants… Une grande révolution est en cours.
Un immense merci à Jean Baptiste Frossard (Directeur de Projet IGAS) et à Nicole Bohic, inspectrice générale des affaires sociales, qui ont piloté ce fantastique travail, ainsi qu’à ce super comité scientifique engagé dans le respect des droits des enfants : Anne‑Marie Fontaine, Héloïse Junier La psy contre-attaque, Catherine Gueguen, Pierre Moisset, Josette Serres, Rebecca Shankland et Jaqueline Wendland. Vous avez travaillé pendant deux ans, recueillant les retours des 2000 personnes concertées, et combinant vos expériences de terrain avec les résultats des études scientifiques.

Enfin un outil clair, fondé sur la recherche et la réalité du terrain, auquel se référer pour une qualité d’accueil optimale de nos jeunes enfants.

Le texte complet est publié sur le blog d'Isabelle Filliozat : https://bit.ly/referentielnationalqualite

07/07/2025

🧠 Microplastiques dans le cerveau : une menace silencieuse pour la santé mentale Des études récentes ont révélé la présence de microplastiques et de nanoplastiques dans le cerveau humain, avec des concentrations significativement plus élevées que dans d'autres organes tels que le foi...

01/07/2025

Je projette sur l’autre ce qui, en moi, est tellement proche de moi, ou tellement inacceptable, que je ne peux le découvrir qu’en désignant cet autre comme coupable d’incarner ce que je m’interdis d’être.

Quand ce qui m’habite si fort est interdit avec une force équivalente, il y a éruption. Celui qui passe dans mon champ de perception est alors éclaboussé et me permet ainsi de me décharger de l’inacceptable à mon sujet.

Je jouis alors de voir l’autre incarner ce « mal » que je n’accepte pas en moi, et qui me permet
de j***r d’être celui qui dénonce cet inacceptable, et ainsi reprendre mon pouvoir sur cela.

Accuser l’autre, et le mettre dans une case, me permet de j***r du rôle qui me distancie de l’insupportable à mon propre sujet. Il est important de se rappeler, qu’inévitablement nous sommes chacun, la surface projective des autres.

🙏 Stephan Schillinger©️

📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique

🥰 Stages & Curieuses Journées : curieuxhasard.com/retraites

📸 instagram.com/paruncurieuxhasard

🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger

(illustration : à déterminer )

01/07/2025

AEM contact : enfantsmediumscontact@gmail.com

01/07/2025

Lorsqu'un enfant teste les limites, son intention n'est pas de provoquer, mais plutôt de rechercher la cohérence chez l'adulte. Il est essentiel de comprendre que les comportements de test sont souvent des signes de recherche d'affection et de sécurité.

👉 Si vous posez une interdiction aujourd'hui, puis cédez demain...
👉 Si vous émettez des menaces sans les appliquer...
👉 Si vous réagissez par des cris plutôt que par une communication claire...

Dans ces cas, l'enfant continue de tester, car il ne sait plus sur quels repères s'appuyer. Un enfant a besoin de la stabilité d’un adulte pour se sentir en sécurité. Ce processus est révélateur de sa quête de confiance. En insistant, il se demande : « Puis-je compter sur toi ? Ou mes repères sont-ils constamment changeants ? »

Il est important pour les adultes de poser des limites clairement définies et de maintenir une constance dans leurs réponses. Cela aide non seulement à établir une relation de confiance, mais aussi à garantir un environnement propice à son développement émotionnel et social.

Cathy Lahiner

28/06/2025

"Le cerveau des danseurs est probablement expert dans le pilotage des muscles, mais il y a un autre aspect, qu'on sous-estime souvent : leur virtuosité sensorielle" 🕺💃🧠
👉 https://l.sciencesetavenir.fr/LGN

27/06/2025

Et si la clé du bonheur résidait en vous ? Découvrez L'Âme, le film qui éclaire votre chemin intérieur.

21/02/2025

Le deuil n’est pas un instant. Ce n’est pas une ombre qui s’efface simplement parce que le temps avance. Il demeure, se transforme, et devient un compagnon silencieux pour ceux qui ont perdu un être aimé. Le monde voudrait croire que le chagrin a une date d’expiration, qu’il finira par disparaître, mais la vérité, c’est que la perte ne se contente pas d’emporter une personne—elle emporte aussi des fragments de la vie d’avant, réécrivant les fondations mêmes de notre existence.

Quand quelqu’un s’en va, le monde ne s’arrête pas. Le temps poursuit sa course, les gens continuent, les saisons changent. Mais pour ceux qui restent, tout bascule. Les lieux autrefois emplis de rires résonnent désormais du poids de l’absence. Les moments partagés laissent une empreinte incomplète. Ce n’est pas seulement l’absence que l’on pleure—c’est la perte de ce qui fut, la perte de tout ce qui aurait pu être.

Certains demandent : « Tu es encore en deuil ? » comme si le temps pouvait alléger l’amour qui a existé. Mais le deuil n’est ni une course ni un fardeau que l’on mesure en jours et en mois. Il s’entrelace à l’âme, reflet de la profondeur d’un amour donné et reçu.

Pourtant, au cœur même du chagrin, il y a une résilience. Une force discrète dans le fait de porter des souvenirs, d’apprendre à vivre dans un monde qui n’est plus tout à fait le même. Le deuil n’est pas une prison, il est une manière d’honorer ce qui a été perdu tout en avançant. Il est la preuve que l’amour ne s’éteint pas. Il se métamorphose.

Alors, laissez le deuil être. Qu’il existe sans honte. Il n’est pas une faiblesse, mais l’écho d’un amour qui se prolonge au-delà de la perte. Certains ne comprendront pas, mais ceux qui savent reconnaissent que le deuil n’est pas un refus d’aller de l’avant—il est le témoignage d’un amour qui ne s’effacera jamais.

Anne Dugar

18/02/2025