Hilloupsy

14/11/2025

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10/11/2025

04/11/2025

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« Le monde sans empathie, c’est celui des pervers. » – une phrase choc, mais profondément vraie.

Nous vivons dans une société qui valorise la performance plutôt que la présence. Où l’on apprend à briller, mais rarement à écouter. L’empathie, ce lien invisible qui relie les âmes, semble parfois s’effacer derrière les écrans, les chiffres et les égos. Et pourtant, c’est elle qui maintient l’humanité debout.

Un monde sans empathie est un monde froid. Là où l’autre devient un obstacle, un outil ou une simple donnée, la manipulation prend racine. La dureté remplace la douceur, et l’indifférence devient la norme.

L’empathie est notre boussole émotionnelle. Elle nous permet de comprendre sans juger, d’aider sans dominer, d’aimer sans posséder. Elle se cultive dès l’enfance, dans le regard que l’on porte à l’autre, dans les mots que l’on choisit, dans la manière d’accueillir les émotions.

Mais attention : sans modèles et sans éducation du cœur, on forme des adultes déconnectés de leurs ressentis, incapables de se mettre à la place de l’autre. Et c’est ainsi que se créent, sans le vouloir, des générations blessées, parfois destructrices.
Et si nous réapprenions à ressentir avant de réagir ? À écouter avant de répondre ? À comprendre avant de condamner ? L’avenir ne se construit pas avec des machines, mais avec des cœurs.

Et vous, que faites-vous chaque jour pour cultiver l’empathie autour de vous ?

20/10/2025

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16/10/2025

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Il y a quelques années, j’ai commencé à prendre des photos imprévues des mamans de mes élèves, lorsqu’elles venaient les chercher.
Aucune de ces photos n’était posée.

Quand j’ai imprimé les clichés, toutes, sans exception, se sont trouvées mille défauts :
« Oh, mes rides ! »,
« Mon ventre est énorme ! »,
« Mes cheveux, quelle horreur ! »,
« Regarde mes cheveux blancs ! »,
« Comme je suis grosse ! »
… et la liste continuait ainsi.

Alors, nous avons montré ces mêmes photos — celles avec tous ces prétendus “défauts” — à leurs enfants, mélangées avec des images d’Alessandra Ambrosio, Heidi Klum, Kim Kardashian et d’autres modèles représentant la “beauté idéale”.
Nous leur avons posé une seule question :

> “Laquelle de toutes ces femmes te semble la plus belle ?”

Chaque enfant a choisi la photo de sa maman.

Et quand nous leur avons demandé pourquoi c’était, selon eux, la plus belle, leurs réponses ont été aussi variées que touchantes :

— « Parce que son sourire est immense. » (4 ans)
— « Regarde ses yeux, maîtresse, ils sont pleins de gentillesse. » (4 ans)
— « Parce que quand elle rit, c’est comme quand le soleil sort. » (4 ans)
— « Parce que ses bras sont longs… très longs… juste assez pour que je rentre dedans. » (4 ans)
— « Parce qu’il y a des arcs-en-ciel sur son visage. » (4 ans)
— « Parce que ses bisous sont infinis. »
(Et quand on lui a demandé ce que voulait dire infinis, il a répondu :

> “C’est quand, peu importe si je me comporte bien ou mal,
je peux toujours lui demander des bisous.” 😄) — (4 ans)
— « Parce que quand il fait froid, sa peau est toujours chaude. » (4 ans)
— « Parce que ses yeux sont marron, comme les miens. » (4 ans)
— « Parce que ses bras peuvent toujours me rattraper quand je suis triste. » (4 ans)
— « Parce que ses cheveux sont tout doux et son rire me chatouille. » (4 ans)

Et c’est ainsi qu’Oscar Wilde avait raison :

La beauté, en définitive, se trouve dans l’œil de celui qui regarde. ♡

— Texte de Silvia López