Jean Christophe Martinez - Formateur coach

Jean Christophe Martinez - Formateur coach uniquement sur rendez-vous

Praticien en Programmation Neuro linguistique et hypnothérapeute je vous propose d'explorer les voies de vos mécanismes d'apprentissages pour transformer vos mécanismes obsolètes en changements durables et efficaces.

L’absence ou un mauvais modèleIl y a des vies qui se construisent avec des modèles, et d’autres malgré eux, certains gra...
10/10/2025

L’absence ou un mauvais modèle

Il y a des vies qui se construisent avec des modèles, et d’autres malgré eux, certains grandissent sous le regard exigeant d’un maître, d’un parent, d’une figure d’autorité.
D’autres, sans personne pour montrer le chemin, inventent les leurs, bricolent des repères, cherchent des phares dans le brouillard. Mais tous, sans exception, se modèlent à partir de quelque chose ou de son absence.

Car l’être humain ne se développe pas dans le vide. Il observe, imite, ajuste, teste, échoue, recommence.
C’est sa manière d’apprendre , modéliser, puis expérimenter, et que l’on parle d’un parent, d’un professeur, d’un mentor, d’un ami, d’un groupe, d’un idéal… le principe reste le même , notre psyché cherche une forme à reproduire.

Nous sommes des êtres de référence, façonnés par les empreintes du monde et c’est dans la tension entre ce que nous avons reçu et ce que nous choisissons de garder que se dessine notre singularité.

Chaque modèle, qu’il soit inspirant ou chaotique, laisse une empreinte. Il ne s’agit pas seulement d’actions à imiter, mais de façons d’exister. Le modèle transmet une posture face au monde , la manière de réagir, d’aimer, de douter, de se réparer.

L’enfant, l’élève, le disciple, le simple observateur… tous apprennent en silence, en lisant entre les gestes.
Un mot, un ton, un regard, une absence, tout est signifiant. L’inconscient, en bon architecte, construit à partir de ces fragments une structure de sens, voilà comment il faut faire pour être aimé, pour être en sécurité, pour réussir, pour mériter.

Puis, une fois ces modèles intériorisés, ils deviennent des moteurs , certains nous portent, d’autres nous freinent. Certains nous élèvent, d’autres nous enferment. Mais tous participent à ce grand apprentissage qu’est la construction de soi.

Le modèle parfait n’existe pas. Il n’existe que des humains, avec leurs forces, leurs peurs, leurs blessures, leurs incohérences, et pourtant, beaucoup continuent de courir après un modèle idéal, une forme de vérité absolue à imiter. Or, cette quête produit souvent l’effet inverse, elle fige.

Quand le modèle se fissure, l’élève vacille. Quand celui qu’on croyait solide tombe, il ne reste plus qu’à se tenir à soi-même, parfois c’est là que commence la maturité.

L’absence de modèle, ou la défaillance d’un modèle, n’est pas forcément une tragédie, c’est aussi une invitation à créer, à se définir autrement.Là où l’exemple manque, l’imagination se déploie, là où l’autorité échoue, la liberté naît.

Mais tout dépend de l’histoire qu’on se raconte.Certains feront de l’absence un gouffre, d’autres en feront une scène ouverte. La différence n’est pas dans le vécu, mais dans le sens que chacun donne à ce vécu.

Les modèles invisibles, certains modèles ne se montrent jamais, Ils se glissent dans les livres, les chansons, les films, les paysages.
Un poème, une mélodie, un geste d’inconnu peuvent parfois influencer plus durablement qu’un parent ou un professeur.

L’esprit humain a cette faculté prodigieuse de projeter le sens là où il en manque, c’est comme ça que se créent les vocations, les croyances, les passions. Un modèle n’a pas besoin d’être vivant pour inspirer il suffit qu’il soit signifiant.

Mais cette même plasticité peut aussi engendrer des dérives. Un idéal trop absolu, un héros inatteignable, une perfection fabriquée deviennent des prisons mentales, on finit par se juger à l’image d’un mythe.
C’est souvent dans cette comparaison incessante que naissent la honte, la culpabilité, ou la dévalorisation.

Les modèles imparfaits, eux, laissent des traces plus ambiguës, ils transmettent à la fois des forces et des failles. Un parent autoritaire inculque la rigueur mais aussi la peur de mal faire.
Un professeur passionné inspire, mais impose parfois une norme invisible , “sois comme moi.”
Un guide spirituel peut ouvrir une voie, tout en enfermant dans sa propre vision du monde.

Pourtant, sans ces contradictions, il n’y aurait pas de conscience, car c’est souvent dans la dissonance que naît la réflexion et face à un modèle défaillant, on apprend à penser par soi-même, à discerner, à trier.
On cesse d’imiter, on commence à choisir.

Le problème, c’est que le cerveau humain n’oublie pas , il automatise.
Ce qui a été appris dans la peur, dans le manque, dans la contrainte… reste comme une ligne de code enfouie et un jour, sans y penser, on agit comme eux”, même si on s’était promis de ne jamais le faire.

Ces comportements sont simplement des moteurs d’excellence mal calibrés, des stratégies qui ont fonctionné dans un contexte, mais qui deviennent inadaptées dans un autre.
Le perfectionnisme, la dépendance, l’hyper-contrôle, la fuite, la colère ne sont pas des fautes, mais des apprentissages réussis… dans un environnement précis.
La question est , faut-il continuer à les utiliser ?

L’apprentissage humain est un chef-d’œuvre d’efficacité, observer, tester, rater, corriger, intégrer, automatiser.
C’est cette boucle vertueuse qui nous a permis d’évoluer, d’aimer, de créer.Mais c’est aussi elle qui nous piège.

Ce que l’on répète devient naturel, et ce qui devient naturel finit par sembler vrai.
Ainsi, un comportement appris tôt, même nocif, se transforme en identité , “je suis comme ça.”

Mais ce n’est pas vrai, nous ne sommes pas “comme ça” nous avons appris à être comme ça et tout ce qui a été appris peut être réappris.

Encore faut-il oser regarder le modèle originel sans haine ni déni, le reconnaître, le comprendre, et lui dire, “Merci de m’avoir servi jusqu’ici, mais je n’ai plus besoin de toi.”

C’est là que commence la conscience et la conscience c’est déjà un changement.

Le modèle n’est pas figé dans le passé.Il évolue parfois à notre insu.
On découvre de nouveaux mentors, on lit d’autres auteurs, on fréquente d’autres milieux, à chaque rencontre réécrit la carte du monde.

Les neurosciences parlent de plasticité neuronale, la PNL parle de recadrage, la philosophie parle de liberté intérieure. Tous désignent la même chose , la capacité de l’esprit humain à redéfinir ses repères.
Un jour, on cesse de chercher un modèle pour devenir soi-même une référence, non pas pour être imité, mais pour être aligné, c’est là que s’inverse la logique , on ne suit plus le modèle, on en inspire un nouveau.

Mais cette bascule n’est jamais définitive, elle se rejoue à chaque relation, chaque défi, chaque épreuve. Nous sommes tour à tour le modèle et celui qui cherche un modèle, et c’est dans cette alternance que réside la richesse humaine.

L’absence, si on la regarde autrement, n’est pas un vide, c’est un espace de création, un silence où peuvent naître les idées, les émotions, les liens nouveaux.Elle n’est pas seulement un manque, mais une possibilité.

C’est dans l’absence d’un guide qu’on découvre son instinct. C’est dans l’absence de norme qu’on explore sa propre voie. C’est dans l’absence de reconnaissance qu’on apprend à s’aimer sans témoin.

L’absence oblige à se réinventer, et cette réinvention peut être douloureuse, certes, mais elle est souvent le point de départ d’une autonomie réelle. Je suis sûr que beaucoup de grands esprits se sont construits ainsi , non pas contre un modèle, mais autour du vide laissé par lui.

Il ne s’agit donc pas de savoir si le modèle est bon ou mauvais. Il s’agit de comprendre ce qu’il produit en nous. Comment il s’est inscrit, comment il agit encore, comment il influence nos choix les plus anodins.

Peut-être que le vrai questionnement n’est pas , “Ai-je eu un bon modèle ?”
Mais plutôt , “qu’est-ce que j’ai fait de ce que j’ai eu ?” et, en miroir “qu’est-ce que je transmets, consciemment ou non, à ceux qui m’observent ?”

Car nous sommes tous, à notre manière, les modèles de quelqu’un. Un mot prononcé, un regard posé, une attitude face à la peur ou à la joie, tout cela éduque. On ne choisit pas toujours d’être un exemple, mais on l’est souvent, malgré soi.

Alors, peut-être que le seul vrai modèle à poursuivre est celui de la présence consciente, être là, imparfait, cohérent autant que possible, lucide sur ses failles. Montrer qu’on cherche encore, et qu’apprendre, c’est déjà vivre.

Et après ? Faut-il conclure ? Probablement pas.

Car ce serait figer une vérité qui, par nature, doit rester mouvante, le modèle évolue avec nous, il se redessine à chaque regard porté sur lui.
Ce texte n’est pas une réponse, mais une invitation, observer ses modèles, les bons, les mauvais, les absents, les imaginaires. Les remercier, peut-être. Les questionner, sûrement, et, sans tout effacer, retrouver le droit de choisir à nouveau.

Accompagner sans s’oublier la force silencieuse des proches face aux maladies neurodégénérativesIl y a des expériences q...
09/10/2025

Accompagner sans s’oublier la force silencieuse des proches face aux maladies neurodégénératives

Il y a des expériences qui ne s’apprennent pas dans les livres.
Elles s’imposent à vous, sans avertissement, sans préparation possible.
Accompagner une personne atteinte d’une maladie neurodégénérative fait partie de ces épreuves.

Ce n’est pas seulement la lente perte de mémoire ou la désorganisation du quotidien.
C’est une onde de choc invisible qui traverse tout l’entourage, redessinant les liens, les rôles, les silences.
On parle souvent du malade, rarement de ceux qui restent debout autour de lui, ces accompagnants qui avancent à contre-courant, entre courage et épuisement, entre fidélité et désarroi.

Accompagner, ce n’est pas toujours entourer quelqu’un qu’on a aimé tendrement.
Parfois, c’est s’occuper d’un parent avec qui la relation a été difficile, voire douloureuse.
Ce geste demande alors une force encore différente, celle de ne pas confondre le passé et le présent, de continuer à agir par humanité, sans chercher la réparation ou la reconnaissance.

Il faut une forme de maturité intérieure pour accueillir cette complexité.
La maladie ne transforme pas miraculeusement les relations, elle les révèle.
Elle met à nu les blessures, les non dits, les frustrations accumulées.
Et c’est souvent là, dans cette confrontation silencieuse avec ce qui a été abîmé, que se joue le véritable courage.

C’est un acte d’amour sans romantisme.
Aimer, dans ce contexte, ce n’est pas ressentir de l’affection, c’est choisir de rester humain.

Ceux qui accompagnent le savent, il faut une énergie immense pour continuer jour après jour.
La fatigue n’est pas seulement physique. Elle est émotionnelle, existentielle.
C’est la fatigue de celui qui veille sans être vu, de celui qui s’efface pour maintenir un équilibre qui vacille.

On valorise le soin et c'est très bien , mais elle oublie souvent la solitude de ceux qui soignent.
Les accompagnants vivent dans un entre-deux étrange : ils ne sont pas malades, mais ils ne sont plus vraiment “bien portants” non plus.
Ils endossent mille rôles à la fois infirmier, médiateur, gestionnaire, parent inversé, confident silencieux.
Et pourtant, ils continuent. Parce qu’il faut bien. Parce qu’ils ne sauraient faire autrement.

On parle de courage, mais ce mot n’est pas adapté
Il y a dans cet engagement une forme de respect de dignité discrète, presque sacrée, qui n’a pas besoin d’être applaudie pour exister.

Il ne faut surtout pas sombrer !

Mais nul n’est inépuisable.
À force d’être tourné vers l’autre, on finit parfois par se vider de soi.
On se sent coupable de penser à soi, coupable d’être fatigué, coupable même de vouloir respirer.

C’est là que la vigilance doit se déplacer.
Accompagner, ce n’est pas s’oublier.
Ce n’est pas se nier, ni se sacrifier sur l’autel de la loyauté.
C’est trouver une façon de rester vivant dans la tempête.

la PNL, l’hypnose, et toutes leurs panoplie ne sont pas des outils magiques.
Elles servent surtout à se reconnecter à soi quand on ne sait plus comment faire.
Elles rappellent que la seule ressource inépuisable, c’est la présence consciente.
Respirer. Ressentir. Se rappeler qu’on a le droit d’exister, même au cœur du drame.

On parle de “reconnexion” ou d’ego responsable
Ce mot me touche, car il dit l’essentiel : il s’agit de rétablir le lien avec soi-même pour ne pas se dissoudre dans celui qu’on accompagne.
Cela ne veut pas dire se détacher froidement, mais trouver la juste distance entre empathie et épuisement.

Une maladie neurodégénérative n’invente rien.
Elle met en lumière ce qui était déjà là, parfois enfoui : les fragilités, les colères, les regrets, mais aussi les forces profondes et les élans d’amour sincère.
Elle agit comme un miroir sans fard, où chacun se découvre autrement.

Certains y trouvent une forme de paix, d’autres une colère muette.
Il n’y a pas de bonne réaction.
Il y a seulement la réalité, celle d’une humanité mise à l’épreuve.

Cette maladie ne détruit pas seulement les souvenirs, elle bouscule les repères affectifs.
Celui qui autrefois décidait ne sait plus.
Celui qui obéissait doit maintenant protéger.
L’ordre du monde se renverse, et dans ce renversement, chacun doit apprendre à se redéfinir.

C’est dans ces moments-là qu’apparaît la force intérieure : celle qui ne fait pas de bruit, mais qui s’enracine dans le simple fait de continuer.

Il faut se donner droit de respirer

Les accompagnants ont souvent du mal à s’autoriser à vivre pour eux.
Ils ont l’impression que la moindre pause est une trahison.
Mais la vérité, c’est que le corps et l’esprit ne peuvent pas soutenir une telle intensité sans répit.

Prendre une heure pour soi, sortir, marcher, se taire, respirer ce n’est pas abandonner.
C’est entretenir la lumière qui permet encore d’aimer.

Se préserver, c’est protéger la relation.
Car quand on s’épuise, c’est tout le lien qui s’effondre.
Aider, ce n’est pas donner jusqu’à disparaître.
C’est offrir depuis un espace où l’on existe encore.

Je parle souvent d’égo responsable : cette idée qu’avant de pouvoir soutenir quelqu’un, il faut d’abord être capable de se tenir debout soi même.
Ce n’est pas une fuite, c’est une condition de survie émotionnelle.

Accompagner un proche atteint d’une maladie neurodégénérative, c’est être confronté chaque jour à la limite de ce qu’on croyait maîtriser : le temps, la mémoire, la logique, la gratitude.
C’est une école de dépouillement.

On y apprend à aimer autrement.
Pas à travers les mots ou les souvenirs, mais à travers la présence.
On découvre que l’amour n’est pas toujours tendre : parfois il est rugueux, silencieux, obstiné.

Il n’y a pas de leçon dans cette expérience, seulement une vérité nue :
rester humain, même quand tout vacille, est déjà un acte d’amour.

Les maladies neurodégénératives nous rappellent que rien n’est acquis, ni la mémoire, ni la parole, ni les liens.
Mais elles révèlent aussi la profondeur de notre capacité à aimer autrement, à tenir malgré tout, à continuer d’exister dans le don.

À ceux qui accompagnent, je voudrais dire ceci :
vous avez le droit de faiblir, le droit d’être en colère, le droit d’avoir peur.
Vous avez surtout le droit de vivre.

Votre courage ne réside pas dans votre endurance, mais dans votre humanité.
Dans cette façon que vous avez de rester là, imparfaits mais présents, au chevet d’une vie qui s’efface.
C’est cette humanité-là qui fait de vous des piliers, pas des héros.

Jean Christophe martinez

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