
24/06/2025
🔥 Kim P**c La fille qui courait en feu, devenue femme de lumière
8 juin 1972.
Vietnam.
Une route de campagne en poussière.
Des cris. Des bombardiers. Du na**lm qui tombe comme une pluie brûlante.
Et soudain, une enfant surgit. Nue.
Son corps n’est plus qu’une brûlure vivante. Elle court.
Ses bras tendus vers rien, ou vers la vie.
Derrière elle, son village brûle. Autour d’elle, le monde s'effondre.
Cette enfant, c’est Kim P**c.
Elle a 9 ans.
Et en un instant, elle devient le visage de l’horreur de la guerre.
Un photographe appuie sur le déclencheur.
La photo fera le tour du monde.
Elle sera appelée : “The Terror of War” – La terreur de la guerre.
Mais personne ne connaît encore son nom. Personne ne connaît sa douleur.
Brûlée à plus de 60 %, Kim passe 14 mois à l’hôpital, subit 17 opérations, endure l’insoutenable.
Elle grandit avec un corps qui hurle, un cœur enfermé, une vie volée.
Et pourtant...
Elle ne restera pas une image.
Elle ne restera pas un cri.
Kim P**c deviendra une femme libre.
Elle s’exile au Canada, construit une famille, trouve la foi, pardonne.
Elle transforme la haine en tendresse. La guerre en paix.
Aujourd’hui, elle est ambassadrice de l’UNESCO, fondatrice d’une ONG pour les enfants victimes de guerre.
Elle prend la parole dans le monde entier, calme, digne, lumineuse.
Elle ne cache pas ses cicatrices. Elle les offre comme des leçons d’humanité.
« Je suis cette petite fille brûlée au na**lm… mais je suis aussi une femme pleine d’espoir, une mère, et une messagère de paix. »
« Je ne vis pas dans la haine. Mes cicatrices ne me définissent pas : elles m’ont rendue plus forte, plus aimante, plus vivante. »
« Le pardon a été ma plus grande victoire. Il a transformé mon feu en lumière. »
Kim P**c ne court plus.
Elle marche lentement, avec gravité.
Elle serre dans ses bras les enfants du monde, ceux qui souffrent, ceux qu’elle comprend.
Et à travers ses yeux pleins de douceur, on lit ceci :
🔥 "Rien n’est plus fort qu’un cœur qui a survécu à l’enfer et choisi d’aimer encore." 🔥
Source : Ange Ferini, écrivain, angeferini@gmail.com