APF France handicap Seine et Marne - 77

APF France handicap Seine et Marne - 77 la délégation de Seine-et-Marne est ouverte du lundi au vendredi de 9h à 17h par téléphone.

Délégations de l'APF France handicap de Seine-et-Marne et de l'Essonne.

MDPH 77 : POINT DE SITUATION POST-CYBERATTAQUE AU 16 JUIN 2024Le 6 novembre 2022, le Département de Seine-et-Marne et la...
25/06/2024

MDPH 77 : POINT DE SITUATION POST-CYBERATTAQUE AU 16 JUIN 2024

Le 6 novembre 2022, le Département de Seine-et-Marne et la MDPH ont été victimes d’une cyberattaque de grande ampleur entrainant la coupure de tous les réseaux informatiques. Les agents de la MDPH travaillent activement pour instruire les 19 000 dossiers actuellement en cours de traitement suite à la cyberattaque.

Les équipes ont été renforcées et les dossiers sont traités par ordre d’arrivée en tenant compte des situations urgentes. La MDPH invite les usagers à ne pas se déplacer sans rendez-vous afin de ne pas engorger l’accueil cet été.

Depuis le 13 mars 2023, les agents de la MDPH ont retrouvé progressivement l’accès aux outils informatiques. Ils ont repris le traitement des dossiers déposés avant novembre dans leur ordre chronologique
de recevabilité afin de garantir l’équité entre les usagers.

Toutefois, certaines urgences sont traitées en priorité : sortie d’hospitalisation, rupture de versement de prestations financières, rupture de parcours, aggravation de l’état de santé, difficulté liée à la prise en charge pour le proche aidant. Avant la cyberattaque le délai global moyen de traitement d’un dossier était de 4,5 mois contre 8,3 mois aujourd’hui.

« Cette cyberattaque a entrainé d’importants ret**ds dans le traitement des dossiers MDPH. Je tiens à excuser le Département ainsi que la MDPH auprès des personnes en attente. Si l’impatience des usagers est légitime, les équipes font leur maximum pour apporter une réponse dans les meilleurs délais.

Onze opérateurs de saisie occasionnels ont ainsi rejoint la MDPH pour numériser et instruire les dossiers déposés. Toutes les équipes sont mobilisées, et les agents se portent volontaires certains week-end pour accélérer le plan de reprise de l’activité des services », précise Bernard Cozic, Vice-président du Département de Seine-et-Marne en charge des solidarités et Président délégué de la MDPH.

Dans ce contexte exceptionnel, l’accueil de la MDPH n’est pas en mesure pour le moment de renseigner les usagers sur le suivi de leur dossier.

L'article en intégralité à retrouver ici : https://www.seine-et-marne.fr/fr/actualites/mdph-point-de-situation-post-cyberattaque-au-16-juin-2023

De l’or dans les yeux [en replay sur France.tv] : la médaille de l’inclusionCoraline Le Barzic, 18 ans, porteuse de tris...
05/04/2024

De l’or dans les yeux [en replay sur France.tv] : la médaille de l’inclusion

Coraline Le Barzic, 18 ans, porteuse de trisomie 21, a joué dans l'équipe de France féminine de foot unifié : solidarité, sororité, bonne humeur... et première place du podium.

Moins connus que les jeux Paralympiques, les jeux mondiaux Special Olympics permettent à des athlètes en situation de handicap mental de se défier durant quinze jours. Diffusé sur France 2 et à découvrir pendant quatre mois en replay sur france.tv, De l’or dans les yeux, de Stéphanie Pillonca et Fabien Bouillaud, suit le parcours de trois d’entre eux lors de la dernière édition à Berlin, en 2023. Au programme : solidarité, adrénaline et émotion.

Fumigènes, musique à fond, ambiance de folie… Dans le stade olympique de Berlin, c’est la cérémonie d’ouverture des jeux mondiaux Special Olympics. La liesse est à son comble. Parmi les 6 500 athlètes, 65 Français sont présents à cette édition 2023, accompagnés d’une trentaine de coachs. La fierté de compter parmi les athlètes venus participer à cet événement est perceptible dans les sourires.

Le documentaire De l’or dans les yeux, réalisé l’an dernier, s’att**de sur trois des compétiteurs. Coraline Le Barzic, la footballeuse, Jordan Minglis, le nageur et Sulayman Debbah, le joueur de badminton.

En France, puis en Allemagne, Stéphanie Pillonca et Fabien Bouillaud ont suivi l’entraînement, le quotidien et les rencontres sportives de ces trois athlètes sélectionnés pour participer à ces Jeux.

Les proches, leurs premiers supporters

Pour Coraline et Sulayman, c’est une première. Jordan, quant à lui, est sélectionné pour la troisième fois. Cette plongée dans leur vie quotidienne permet de mieux les connaître, mais aussi de découvrir leurs proches – leurs premiers supporters – et leurs entraîneurs. Le documentaire montre combien participer à un tel événement implique des efforts, des sacrifices, et aussi parfois du découragement.

Mais c’est sans compter la fierté et les grands moments de joie partagée. Dans l’équipe de foot unifiée (des personnes en situation de handicap mental jouent avec des personnes valides), la solidarité est incontestablement un facteur de réussite. « Ce qui est fou, c’est que certains se révèlent pendant ces Jeux. Beaucoup de choses sont compliquées pour eux au quotidien mais ne se retrouvent pas ici. Ils exploitent au maximum leur potentiel », s’enthousiasme l’un des coachs.

L’épanouissement par le sport

De l’or dans les yeux a le mérite de mettre en lumière une compétition sportive internationale moins médiatisée que les Paralympiques. Initié en 1968 par Eunice Kennedy Shriver, la sœur du président John Fitzgerald Kennedy, le mouvement Special Olympics (reconnu par le CIO depuis 1988) est une organisation dédiée à l’épanouissement par le sport des personnes avec un handicap mental. Il existe des Jeux d’été et des Jeux d’hiver qui ont lieu tous les quatre ans.

« Laissez-moi gagner, mais s’il m’est impossible de gagner, que je fasse preuve de courage dans mes efforts. » Telle est la devise de ces Jeux. Coraline, Jordan et Sulayman sont tous les trois revenus avec une médaille. Devinez laquelle ?

De l’or dans les yeux est à retrouver en replay jusqu’au 11 août 2024 sur france.tv

Les permanences Handicap se déploient massivement ce printemps !Vous ou un de vos proches êtes concernés par une situati...
15/03/2024

Les permanences Handicap se déploient massivement ce printemps !

Vous ou un de vos proches êtes concernés par une situation de handicap ?

Venez échanger avec nous sur vos idées, besoins ou difficultés.

Une fois par semaine, Mme Laetitia Blay, adjointe au maire déléguée
à la petite enfance et au handicap, et Madame Thi-My Gosselin,
conseillère municipale au handicap, et un chargé de mission handicap
vous reçoivent au sein des espaces municipaux afin d'aider
les personnes en situation de handicap et leurs aidants.

Sur les 3 prochains mois, nous vous accueillons sur 4 espaces municipaux aux dates et horaires ci-dessous

Espace Charles Cros Meaux - square Cassini
1 Rue Paul Louis Courier,
77100 Meaux

📅Mercredi 3 Avril 2024
📅Mercredi15 Mai 2024
📅Mercredi 5 Juin 2024

🕘 De 9H à 11H

Espacel Louis-Braille
43 Rue Louis Braille,
77100 Meaux

📅Jeudi 25 Avril 2024
📅Jeudi 23 Mai 2024
📅Jeudi 13 Juin 2024
🕘 De 14H à 16H

Centre Social Louise Michel
Rue Guillaume Briçonnet
77100 Meaux

📅Vendredi 3 Mai 2024
📅Vendredi 31 Mai 2024
📅Vendredi 28 Juin 2024
🕘 De 9H à 11H

Centre social Louis Aragon
Beauval
77100 Meaux

📅Mardi 7 Mai 2024
📅Mardi 18 Juin 2024
🕘 De 14H à 16H

Handicap : près d’un Français sur dix dispose d’un droit accordé par la MDPHDe 2 millions en 2015 à 2,6 millions en 2022...
15/03/2024

Handicap : près d’un Français sur dix dispose d’un droit accordé par la MDPH

De 2 millions en 2015 à 2,6 millions en 2022. L'évolution du nombre de travailleurs reconnus handicapés est à mettre en relation avec l’explosion des situations d'inaptitude, elles-mêmes liées à la forte intensification du travail.

Selon les derniers chiffres connus (2022), six millions de personnes ont l’AAH, une carte mobilité inclusion, un accompagnant scolaire ou un autre droit accordé par la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH). Soit 9 % de la population française. En 2015, ce pourcentage était de 7,3 %. Une hausse due à la croissance des bénéficiaires de moins de 20 ans, et de ceux reconnus travailleurs handicapés. Mais pas seulement…

Ce sont les acteurs centraux de la politique du handicap en France. Ceux qui décident de l’attribution des droits. Pas de tous les droits, certes.

Mais les Maisons départementales des personnes handicapées sont décisionnaires pour l’allocation adulte handicapé (AAH) et la prestation de compensation du handicap (PCH).

Tout comme pour la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH), la carte mobilité inclusion (CMI) ou l’orientation en établissement et service médico-social.

Elles jouent aussi un rôle essentiel dans la vie des plus jeunes. Que ce soit, là aussi, pour l’orientation, l’aide humaine à l’école ou l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH).

2015-2022, un million supplémentaire de bénéficiaires d’un droit

Au total, fin 2022, six millions de personnes – 5,94 millions pour être précis – avaient au moins un droit ouvert, à la MDPH, selon les données que vient de rendre publiques la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie. Quasiment 9 % des 68 millions de résidents français !

Et ce chiffre augmente de façon continue. En 2015, ils n’étaient que 4,9 millions sur 66,5 millions, à avoir un droit ouvert à la MDPH. Soit 7,3 %.

Les notifications d’accompagnement à l’école ont plus que doublé en huit ans

L’augmentation du nombre de bénéficiaires de moins de 20 ans tire cette croissance. Et notamment les notifications d’accompagnement à l’école : elles ont plus que doublé en huit ans. Les bénéficiaires de l’AEEH sont, eux, moitié plus nombreux.

« Ce qui s’explique à la fois par une meilleure détection précoce du handicap mais aussi par une prise en charge croissante de certains troubles de l’attention ou de l’apprentissage au titre du handicap », souligne des chercheurs de la Drees, dans une note dont Faire-face.fr avait rendu compte.

2,6 millions de travailleurs reconnus handicapés contre 2 millions en 2015
Chez les adultes, les revalorisations de l’AAH ont contribué à faire augmenter le nombre d’allocataires. En effet, la hausse du montant entraîne mécaniquement celle du seuil de ressources y ouvrant droit.

Quant au nombre de personnes ayant obtenu la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH), il a bondi, lui aussi. De 2 millions en 2015 à 2,6 millions en 2022.

Une évolution à mettre en relation avec l’explosion des situations d’inaptitude, elles-mêmes liées à la forte intensification du travail, expliquait le médecin du travail Alain Jabes, dans un entretien accordé à Faire-face.fr.

D’autres raisons s’y ajoutent : le vieillissement de la population, le recul de l’âge de la retraite, l’augmentation régulière des maladies professionnelles, etc.

Toutes les personnes handicapées ne passent pas par la MDPH

La population handicapée ne se limite toutefois pas à celle ayant un droit ouvert à la MDPH. L’obtention d’une pension d’invalidité, par exemple, dépend de l’Assurance maladie. Et certains pensionnés ne jugent pas utile de demander une RQTH ou une CMI à leur Maison départementale.

Idem pour d’autres personnes en situation de handicap qui ne remplissent pas les critères permettant de bénéficier de l’AAH ou de la PCH, comme les 300 000 allocataires du RSA.

14 % de personnes handicapées, selon la Drees

Pour estimer au plus juste la population handicapée en France, la Drees, un organisme du service statistique public, retient, elle, deux définitions. Être atteint d’une limitation fonctionnelle sévère pour une fonction physique, sensorielle ou cognitive. Et/ou déclarer une forte restriction depuis plus de six mois, pour des raisons de santé, dans les activités habituelles.

Résultat, selon la Drees, 8,9 millions de personnes âgées de 5 ans et plus et vivant à domicile ou en établissement sont en situation de handicap. Ce qui représente 14 % de la population française de cette tranche d’âge. Soit cinq points de plus que les 9 % ayant un droit ouvert à la MDPH.

Un taux d’accord très variable selon le droit demandé

La publication de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie contient d’autres résultats intéressants.

> Les MDPH acceptent 75 % des demandes. Mais le taux d’accord est inférieur à 50 % pour la PCH. Il avoisine 95 % pour la RQTH.

> Fin 2022, 12,7 millions de droits étaient ouverts dans les MDPH. Soit plus de deux en moyenne par personne.

> 1,7 million de personnes ont déposé au moins une demande d’ouverture ou de réexamen de droit auprès de leur MDPH en 2022. Soit 2,5 % de la population française.

Théo Curin, premier athlète handisport à entrer au musée GrévinDepuis le 8 mars, Théo Curin a son double de cire au musé...
12/03/2024

Théo Curin, premier athlète handisport à entrer au musée Grévin

Depuis le 8 mars, Théo Curin a son double de cire au musée Grévin. À quelques mois des jeux Paralympiques de Paris, il a ainsi rejoint les 250 statues exposées actuellement et côtoie des sportifs tels que Clarisse Agbégnénou, Teddy Riner ou Antoine Dupont.

On le découvre assis sur un plot de natation, torse nu en maillot de bain, avec ses deux prothèses de jambes. Rien n’a été éludé de son handicap. « Certains visiteurs vont penser que la statue n’est pas finie », a plaisanté Théo Curin, lors de la soirée de présentation le 7 mars au musée Grévin. Mais derrière l’ironie, l’émotion et la fierté étaient perceptibles dans sa voix et ses larmes.

À 23 ans, le jeune homme qui multiplie les défis sportifs et professionnels à la télévision devient ainsi le premier athlète handisport à entrer dans ce musée. Six mois ont été nécessaires au sculpteur Stéphane Barret et son équipe pour réaliser cette statue très ressemblante. Ce qui n’est pas le cas de toutes, il faut bien le reconnaître.

La statue installée dans la salle des sportifs

C’est logiquement dans la salle réservée aux sportifs que le double en cire de Théo Curin a pris place. Athlétisme, natation, foot, judo, basket, et même le sumo, beaucoup de disciplines sont représentées.

Le jeune homme côtoie ainsi le champion du monde de skateboard street Aurélien Giraud, entré le 22 février. Une belle visibilité pour ce champion qui à 16 ans participait à ses premiers jeux Paralympiques à Rio en 2016.

Avant de devenir double vice-champion du monde en 2017. Puis de remporter la médaille de bronze lors des Championnats du monde à Londres, deux ans plus t**d.

Théo Curin prépare actuellement, avec l’animateur TV globe-trotteur Ismaël Khelifa, le défi Madiba pour avril 2024. 30 km à la nage au large de la ville du Cap et 100 km à vélo autour de la capitale sud-africaine. À l’issue de ce défi, ils rejoindront le township de Langa, où ils inaugureront un espace sportif et culturel pour les enfants de ce quartier défavorisé.

La joie de vivre et la détermination incarnées

C’est Romain Ambro, présentateur et animateur radio à France Bleu, qui a soufflé le nom de Théo Curin au musée. Le journaliste fait partie de l’académie Grévin créée en 2001 et composée de professionnels des médias. Elle se réunit deux fois par an pour élire de deux à six personnalités.

La personnalité fédératrice, la réussite sportive et le côté touche-à-tout du nageur ont séduit les membres de cette Académie. Une façon aussi de mettre en avant le handicap à travers le parcours de ce jeune homme quadri-amputé à la suite d’une méningite foudroyante à l’âge de six ans.

Les visiteurs vont affluer durant les jeux Olympiques et Paralympiques du 26 juillet jusqu’au 8 septembre (avec une pause entre les deux mais pas une décrue de touristes, ndlr). Le musée Grévin en accueille 800 000 par an. Avec Théo Curin parmi ses hôtes de cire, l’équipe du musée entend faire passer un message positif, saluant « la joie de vivre et la détermination incarnées ».

Mathieu Bosredon, une autre image du handicapSuite à un hématome médullaire, Mathieu Bosredon devient paralysé des membr...
12/03/2024

Mathieu Bosredon, une autre image du handicap

Suite à un hématome médullaire, Mathieu Bosredon devient paralysé des membres inférieurs à l’âge de 4 ans. Il commence le paracyclisme à l’âge de 14 ans.

Aujourd’hui, numéro 1 mondial de sa discipline, il sensibilise à la question du handicap, en s’appuyant sur sa notoriété.

« Il faut que ça rentre dans les têtes, que ça devienne une banalité. Ce n’est plus concevable que ça ne soit pas une banalité. » Le “ça” dont parle le champion du monde de paracyclisme Mathieu Bosredon avec tant de verve ? Le handicap.

Un handicap dont la perception évolue dans le bon sens au sein de la société, mais pour lequel certaines idées reçues ont la vie dure.

Combattre les préjugés

« On est dans une société où le handicap porte toujours en lui la connotation d’incapacité », souligne le numéro 1 mondial de handbike.

Ce préjugé, le parasport, notamment, permet de le battre en brèche à travers des compétitions internationales majeures. Elles valorisent des performances sportives de très haut niveau et prouvent que le handicap n’empêche en rien l’accomplissement de grandes performances.

« À cette occasion, on voit de nombreux athlètes et personnes handicapées dans les médias, et c’est très bien. C’est une façon de gommer les différences, de changer les mentalités, de découvrir des parcours de vie qui nous ressemblent et peuvent faire naître des ambitions. »

Trouver des solutions

Malgré un appétit de vie et un optimisme forcenés, Mathieu Bosredon le sait bien : « Quand on devient handicapé, il y a une première phase d’adaptation et d’acceptation difficile. Il faut prendre son temps, réapprivoiser son corps et ses nouvelles capacités, réapprendre de petits gestes.

Les premiers jours, mois, sont très compliqués, on a le droit de flancher, il ne faut pas croire que l’on est des surhommes. » Mais pour l’avoir expérimenté lui-même, Mathieu en est convaincu : « Derrière, il y a une sorte de renaissance. »

Utiliser les produits Coloplast, un réflexe

Coloplast en est une pour tout ce qui touche à l’intimité. Le champion utilise les produits de la marque depuis l’enfance, lors des grands rendez-vous sportifs comme dans sa vie quotidienne. « J’ai grandi avec les produits Coloplast et ils ont évolué avec moi.

Les utiliser est devenu un geste réflexe qui me permet d’être autonome à 100 %. » C’est aussi pourquoi le champion et la marque sont devenus officiellement partenaires à l’orée des grandes échéances sportives à venir en septembre.

Les conseils de Mathieu ? Ne pas lâcher, se faire confiance et partager avec les autres. Pour lui, aujourd’hui, le handicap ne doit plus être un tabou. « Contactez les gens que vous voyez dans les médias, demandez-leur comment se passe leur quotidien. Moi, je réponds toujours… » À bon entendeur !

Grand âge, handicaps, soins… : lancement d’une pétition nationale pour sonner l’alarme !​Depuis des mois, nous, acteurs ...
12/03/2024

Grand âge, handicaps, soins… : lancement d’une pétition nationale pour sonner l’alarme !

Depuis des mois, nous, acteurs associatifs des solidarités et de la santé, alertons sur la situation des établissements et services non lucratifs qui mettent en œuvre les politiques publiques de l’État et des départements.

Avec l’Uniopss, dont APF France handicap est membre, nous ne pouvons accepter que se perpétue un manque de décision qui fragilise les accompagnements au quotidien. Nous lançons donc une pétition nationale « Pour un accompagnement digne, Ensemble, sonnons l’alarme ! », notamment signée par notre présidente Pascale Ribes, et appelons chaque citoyen à s’engager pour les solidarités et la santé.

Alors que les budgets publics - pour certains en diminution en 2024 et avec des perspectives de baisse généralisée en 2025 - ne permettent pas aux acteurs associatifs de remplir leurs missions, les témoignages affluent de toute part : notre pays n’est pas aujourd’hui en situation de proposer un accompagnement digne aux femmes, aux hommes et aux enfants qui en ont besoin.

Des personnes âgées en perte d’autonomie, des personnes en situation de handicap, des enfants à protéger, des personnes sans abri manquent de solutions d’accueil et d’accompagnement. Des malades sont en attente de soins.

Vécue au quotidien par de nombreux citoyens, par leurs proches, par des acteurs associatifs, par des professionnel(le)s, cette situation d’absence de décisions n’est pas acceptable. À tous les temps de la vie, nous sommes toutes et tous vulnérables. Chacun donc est concerné pour soi-même, un proche, un collègue de travail ou un voisin de palier.

Avec l’Uniopss, nous lançons donc ainsi une pétition « Pour un accompagnement digne, Ensemble, sonnons l’alarme ! ». Elle appelle chacun à s’en saisir, y compris pour que ces sujets viennent en discussion dans les conseils de la vie sociale (CVS) des établissements.

Avec cette pétition, nous appelons à ce que des moyens soient définis à hauteur des besoins, à des mesures ambitieuses pour revaloriser les professionnels des solidarités et du soin, ainsi qu’à des états des lieux partagés par territoire, associant l’ensemble des parties prenantes.

Lors du prochain Congrès de l’Uniopss, dans un mois, les 3 et 4 avril prochains à Lyon, nous ferons un premier bilan de cette démarche qui se veut la plus rassembleuse possible de toutes celles et tous ceux qui veulent agir pour rendre effectif le droit à l’accompagnement.

Pour signer la pétition, cliquez ici : https://www.change.org/p/pour-un-accompagnement-digne-ensemble-sonnons-l-alarme

PARIS 2024 : DÉCOUVREZ LE NOM DES PORTEURS DE LA FLAMME PARALYMPIQUELa Flamme Paralympique passera en Seine-et-Marne le ...
11/03/2024

PARIS 2024 : DÉCOUVREZ LE NOM DES PORTEURS DE LA FLAMME PARALYMPIQUE

La Flamme Paralympique passera en Seine-et-Marne le 27 août 2024. Près de 1 000 personnes, dont deux seine-et-marnais proposés par le Département, auront la chance de participer au Relais de la Flamme Paralympique.

En Seine-et-Marne, il s’agit de Caroline DEWAELE, professeure d'éducation physique et sportive (EPS) dans un collège et de Valentin FRANCAVILLA, triathlète seine-et-marnais.

Si la Flamme Olympique traversera la Seine-et-Marne le 20 juillet 2024 pour la troisième fois après 1967 et 1991, ce sera en revanche une première pour la Flamme Paralympique des Jeux d’été.

Le Département de Seine-et-Marne devait désigner deux porteurs pour ce Relais de la Flamme Paralympique. Le choix de la collectivité s’est porté sur Caroline DEWAELE, professeure d'éducation physique et sportive (EPS) au collège George Sand de Crégy-les-Meaux et sur Valentin FRANCAVILLA qui sera accompagné de son frère Théophile, polyhandicapé.

Ancienne triathlète de haut niveau dans le club des Tritons meldois, Caroline DEWAELE est devenue enseignante d’EPS au collège de Crégy les Meaux.

Elle transmet aujourd’hui aux enfants les valeurs du sport, notamment auprès des élèves en dispositif ULIS. Investie dans la vie associative, elle a mis en place une course à Penchard, contribuant ainsi à la dynamique de la course à pieds dans le pays meldois, à l’image du trail de la Grande Guerre ou du trail de Trilport.

Valentin FRANCAVILLA pratique le triathlon depuis 2013 avec son frère Théophile, polyhandicapé de naissance. Le 25 août 2019, les deux frères franchissaient ensemble la ligne d’arrivée de l'Ironman de Vichy. Avec son frère, ils incarnent les valeurs de partage et de dépassement.

Ce sont aujourd'hui d'indiscutables ambassadeurs du parasport en Seine-et-Marne et au-delà. En choisissant Valentin, le Département a souhaité mettre en lumière ces proches aidants de l'ombre qui font l'honneur d'une société solidaire et engagée.

Contrairement à la Flamme Olympique, plusieurs Flammes Paralympiques peuvent briller simultanément. La Flamme paralympique se divisera en 12 Flammes – en référence aux 12 jours d’épreuves.

Au 3e jour du Relais, soit le 27 août, les 12 Flammes traverseront l’Île-de-France avec un passage en Seine-et-Marne : la Flamme n°4 passera à Trilport et son Complexe Sportif de la Noyerie tandis que la Flamme n°5 sillonnera Fontainebleau et son Centre National des Sports de la Défense.

Toutes les informations sur les jeux de Paris 2024 en Seine-et-Marne sont à retrouver sur jopparis2024.seine-et-marne.fr

Ce mercredi 6 mars, l'équipe de salariés du 77 se sont joints au comité APF de Villeparisis.Un déjeuner suivi d'une réun...
07/03/2024

Ce mercredi 6 mars, l'équipe de salariés du 77 se sont joints au comité APF de Villeparisis.

Un déjeuner suivi d'une réunion au sein de la mairie ont été les principes de cette journée, afin de réfléchir aux nouveaux projets à développer sur la commune 👍🗣️🍴🤲♿

PAM 77 DEVIENT PAM FRANCILIEN ET BAISSE SES TARIFSJusqu’à présent géré par les départements, ce service de transport col...
04/03/2024

PAM 77 DEVIENT PAM FRANCILIEN ET BAISSE SES TARIFS

Jusqu’à présent géré par les départements, ce service de transport collectif payant, destiné aux personnes handicapées ou à mobilité réduite, est harmonisé à l’échelle régionale à partir du 16 février, et relève désormais de la compétence d’Île-de-France mobilités.

Les nouveautés

Renommé Pam Francilien, ce service de transport permet de se déplacer d’une adresse à l’autre (domicile, lieu d’étude, de travail, établissement médico-social…), pour des trajets réguliers ou occasionnels.

Ce qui change à partir du 16 février 2024 :

Une centrale de réservation unique pour tous les Franciliens,

Une tarification unique et en baisse, de 2 € pour les trajets les plus courts à 14 € pour les plus longs, des déplacements plus faciles entre les départements d’Île-de-France, une meilleure qualité de service : un service ouvert à plus d’habitants, extension de l’amplitude horaire, amélioration de la ponctualité, information voyageur en temps réel…

Comment en bénéficier ?

Si vous utilisiez déjà PAM 77, vous avez dû être contacté par mail ou par téléphone. Votre compte a été transféré aux services PAM Francilien, et il ne vous reste plus qu’à valider ces informations grâce au lien qui vous a été fourni.

Si vous n’avez pas fait de réservation au cours des 18 derniers mois, vous devez contacter le PAM Francilien pour vous inscrire.

CONTACT
AIDES AUX TRANSPORTS
PAM Francilien
08 00 00 18 18
pam.iledefrance-mobilites.fr

Suppression de l'allocation spécifique de solidarité : l’alerte d’APF France handicapAlors que, dans son discours de pol...
04/03/2024

Suppression de l'allocation spécifique de solidarité : l’alerte d’APF France handicap

Alors que, dans son discours de politique générale fin janvier, le Premier ministre a annoncé la suppression de l'allocation spécifique de solidarité (ASS), APF France handicap par un courrier daté du 22 février 2024 alerte la Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités et la Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées des conséquences d’une telle mesure.

En effet, nous nous inquiétons de son impact sur nombre d'allocataires de l'ASS, qui sont souvent des demandeurs d'emploi de longue durée âgés de plus de 50 ans, et parmi eux les allocataires de l’allocation adulte handicapé (AAH) et les pensionnés d'invalidité. Un certain nombre d'entre eux cumulaient en effet jusqu'à présent AAH et ASS ou pension d'invalidité et ASS.

Lors de la réforme de 2017 qui a mis fin à la possibilité de cumuler AAH et ASS, le gouvernement avait décidé de maintenir cette possibilité de cumul jusque fin 2026 pendant une durée maximum de 10 ans pour les bénéficiaires de l'AAH remplissant les conditions et ayant un droit ouvert.

La fin de cette possibilité de cumul se traduit pour eux par une perte sèche de revenus sans possibilité de cumuler AAH et RSA puisque le cumul de ces deux allocations n'est pas possible.

Cette décision prise sans mesure d'impact et sans transition va placer ces personnes dans une situation de précarité aggravée alors que la perspective d'un retour à une activité est quasi inexistante.

Rappelons que les personnes en situation de handicap sont moins souvent en emploi après 50 ans et restent en moyenne plus de huit ans sans emploi ni retraite après 50 ans, contre 1,8 an pour les personnes sans incapacité.

La proportion totale des demandeurs d’emploi handicapés dont l’indemnisation repose sur un ou plusieurs minima sociaux (ASS, AAH, ou RSA) s’élève à 51,9 %, contre 26,5 % pour l’ensemble des demandeurs d’emploi. Cette importance des bénéficiaires de l'obligation d'emploi au sein des allocataires de minima sociaux est révélatrice d'une exclusion progressive du marché du travail.

Aussi, dans le cadre de la suppression de l'ASS à venir, nous demandons de maintenir le régime dérogatoire prévu pour les allocataires AAH / ASS ayant un droit ouvert dans les conditions fixées par la réforme de 2017 et pour les pensionnés d'invalidité /ASS au vu de leur situation très vulnérable sur le marché du travail.

16/02/2024

[ Balance ton PAM ]

🚨Témoignages des difficultés avec le transport PAM🚨

On attend vos recensements en commentaires ⬇️⬇️⬇️

➕ de témoignages ➕ d'impacts 💬

Pour nous permettre de recenser vos témoignages, merci de nous transmettre vos mails à balancetonpam@apf91.org
😡😡😡

APF France handicap Seine et Marne - 77

Valerie Pecresse
Pierre Deniziot

Adresse

Melun-Sénart

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 12:30
13:30 - 17:00
Mardi 09:00 - 12:30
13:30 - 17:00
Jeudi 09:00 - 12:30
13:30 - 17:00
Vendredi 09:00 - 12:30
13:30 - 17:00

Téléphone

+33786817520

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque APF France handicap Seine et Marne - 77 publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à APF France handicap Seine et Marne - 77:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram