Quelles sont les heures d'ouverture ?

Lundi 08:30 - 20:00 Mardi 08:30 - 20:00 Mercredi 08:30 - 20:00 Jeudi 08:30 - 20:00 Vendredi 08:30 - 20:00 Samedi 08:30 - 13:00

Quel est le site Web ?

https://www.pharmacie-schiltz.fr/

Pharmacie Schiltz - Metz, Metz (2025)

09/11/2024

: Qu’est ce que la dermite séborrhéique ?

La dermite séborrhéique est une maladie de peau qui se manifeste par des plaques rouges surmontées de squames blanches jaunâtres.

Elle se développe préférentiellement sur les zones grasses de la peau (peau séborrhéique).

Le sébum présent sur ces zones favorise la prolifération anormale de levures de type malassezia (sorte de champignon), naturellement présentes sur la peau.

Ces micro-organismes provoquent une réaction inflammatoire spécifique, se traduisant par une rougeur de la peau et un renouvellement accéléré des cellules du cuir chevelu et de la peau en 5 à 14 jours au lieu des 28 jours habituels. Il en résulte une desquamation inhabituelle.

La dermite séborrhéique est associée à certains facteurs de risque :

- L’âge : la maladie touche préférentiellement les individus de 18 à 40 ans. La maladie devient rare après 40 ans

- Le sexe : les hommes sont majoritairement atteints car ils produisent plus de sébum

- Une peau grasse ou séborrhéique

- Une sudation excessive

- Des maladies (VIH, parkinson..)

- Le stress ou l’anxiété chronique

- L’alcoolisme et le tabagisme.

Quels sont les symptômes ?

Un épisode de dermite séborrhéique dure généralement plusieurs semaines (voire plusieurs mois en cas de mauvaise ou d’absence de prise en charge).

Il se caractérise par l’apparition de lésions sur les zones où nous produisons le plus du sébum. L’éruption comprend :

- Des plaques rouges squameuses dont la surface est d’une couleur blanchâtre ou jaunâtre proche de celle du pus ;

- Des particules de peau se détachent des plaques ;

- Habituellement, le patient se plaint d’un prurit et d’une douleur au niveau des lésions.

Les régions du corps affectées sont habituellement : le cuir chevelu ( le patient présente des amas de pellicules à la racine des cheveux ainsi qu’un prurit modéré au niveau du crâne), la zone T du visage, les sourcils, les paupières, les ailes du nez, les paupières, le conduit auditif externe des oreilles et la zone intermammaire.

Afin d’éviter une première crise ou une rechute de dermite séborrhéique, il est recommandé :

1. D’adopter une hygiène corporelle minutieuse en utilisant des produits respectueux de la flore cutanéomuqueuse.

2. D’hydrater sa peau avec des substances non grasses.

3. De se laver les cheveux 2 à 3 fois par semaine avec un shampoing doux.

4. D’adopter une alimentation équilibrée.

5. D’éviter la consommation d’alcool et de tabac.

6. De traiter un état de stress chronique ou un trouble anxieux.

7. De réaliser des cures de zinc : cet oligo-élément serait efficace contre la dermite séborrhéique.

+ d’infos : urlr.me/hBzVZ

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06/11/2024

: tout savoir sur l’impétigo

L'impétigo est une infection bactérienne de la peau. La bactérie responsable de l'impétigo est un staphylocoque doré et/ou un streptocoque.

90 % des impétigos sont dus au staphylocoque doré.

L'impétigo est fréquent chez les enfants de deux à cinq ans, peut survenir chez l'enfant plus grand, voire même chez l'adulte. Il survient un peu plus souvent l'été et il est très contagieux.

La transmission de la bactérie se fait par contact avec les lésions.

L'impétigo se propage par contact direct entre personnes (toucher, baisers), par le linge ou par auto-contamination (dissémination des lésions cutanées sur le corps).

Il peut être à l'origine de petites épidémies dans les crèches et en milieu scolaire.

Il existe deux formes principales d'impétigo :

1. L'impétigo croûteux, forme la plus répandue de la maladie, représente 70% des cas. Il touche principalement l'enfant. Des pustules se forment sur une peau saine ou lésée qui s'infecte par grattage. Ces pustules laissent place à une érosion suintante qui sèche sous forme de croutes de couleur jaunâtre.

2. L'impétigo bulleux est la forme observée chez le nourrisson. Il se traduit par la survenue de bulles molles et transparentes sur certaines parties du corps. L'impétigo bulleux est plus contagieux que l'impétigo croûteux et, contrairement à ce dernier, il peut être associé à des symptômes généraux (fièvre, fatigue, diarrhées...).

Quels sont les facteurs à risque ?

- L’âge : les enfants en bas âge sont les plus touchés par l'impétigo.

En effet, on considère que 3% des enfants de moins de 4 ans connaissent au moins un épisode d'impétigo. L'impétigo est plus rare chez l'adulte.

- Des lésions cutanées préexistantes associées à un prurit (démangeaisons) : eczéma, herpès, psoriasis, varicelle, gale, oxyurose, poux, piqûre(s) d'insecte, plaie, brûlure, ...

U- ne immunodépression : une immunité fragilisée est la porte ouverte aux infections dont l'impétigo fait partie..

- Des facteurs environnementaux sont aussi en cause : chaleur, humidité (à noter que l'impétigo se déclenche souvent dans les zones du corps propices à la macération comme les aisselles, orteils...), promiscuité, manque d'hygiène...

Afin de prévenir l'impétigo, il est recommandé de :

- désinfecter régulièrement toute plaie ou lésion cutanée
- traiter toute affection cutanée (herpès, eczéma, psoriasis...)
- ne pas manipuler ni gratter une lésion cutanée
- traiter toute contamination au staphylocoque doré ( qui peut se localiser dans certaines zones comme les ailes du nez par exemple)
- se laver les mains après tout contact avec les lésions d'impétigo.

Si votre enfant présente un impétigo :

- Laver les mains de son enfant
- Changer fréquemment les sous-vêtements
- Eviter que son enfant ne manipule ses lésions et ne se touche d'autres parties du corps
- Eviter les contacts entre son enfant et d'autres enfants (camarades, frères et soeurs...)
- Si les lésions d'impétigo ne sont pas trop étendues, les protéger par un pansement
- Laver l'enfant/ le nourrisson avec un savon surgras, le rincer soigneusement avant de se laver les mains

+ d’infos : urlr.me/7V1gj / urlr.me/BVMLk

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Source Vidéo : La Maison des Maternelles

03/11/2024

: Le mois de la moustache !

En novembre, on se laisse pousser la moustache contre le cancer de la avec ! + d'infos : bit.ly/3bLfO4S

Depuis 2003, cet événement caritatif a pour but de sensibiliser les hommes à leur santé (dépistage du cancer de la prostate ou des , su***de...) en les invitant à se laisser pousser la moustache pendant 30 jours.

Le de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme et dans l'ensemble de la population (26% des cas).

C'est le 2ème cancer le plus répandu chez l’homme, derrière celui du poumon.

La prostate est une glande de l'appareil , de la taille d'une châtaigne, se situant en dessous de la vessie. Elle produit un fluide qui protège et enrichit le sperme.
L'apparition d'un cancer de la prostate correspond à la transformation des cellules de celle-ci.

Comment se faire dépister ?

La maladie peut-être traitée à temps si vous vous faites dépister régulièrement dès l’âge de 50 ans :

- Un toucher re**al réalisé par un médecin (ça permet de vérifier le volume, la consistance et la texture de la surface de la prostate).

- Une prise de sang qui mesure le taux de PS.

L'évolution de cette maladie est souvent d'évolution lente (10 à 15 ans) et reste longtemps localisée.

Elle entraîne peu de symptômes mais il existe aussi des formes d’évolution rapide, tels que :

- besoins impérieux d'uriner
- rétention aiguë d'urine
- dysurie avec sensations de brûlures

L'âge étant un facteur de risque important, les hommes de plus de 60 ans font l'objet d'une surveillance médicale accrue.

Afin de limiter les risques, il est recommandé de :

- Surveiller son hygiène de vie
- Pratiquer une activité physique
- Limiter sa consommation de viande et de produits trop riche en calcium
- Respecter une alimentation riche en légumineuses, en lycopène (tomate) et en vitamine E

+ d'infos : mvmbr.co/38dYIMN / www.cerhom.fr

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31/10/2024

: Et si vous arrêtiez de fumer ?

Au mois de Novembre, on arrête ensemble !

Pourquoi un mois ? Au-delà, les chances d’arrêter la définitivement sont multipliées par 5.

Le Mois sans Tabac, c'est un défi collectif qui propose à tous les fumeurs d’arrêter pendant un mois avec le soutien de leurs proches. Inscrivez-vous ici : bit.ly/2EjidpJ

Le saviez-vous ?

Les traitements par substituts (patch, gomme, pastille, inhaleur...) sont remboursés à 65 %, sur prescription. Les complémentaires santé peuvent prendre en charge le ticket modérateur de ces médicaments.

Liste des médicaments pris en charge : bit.ly/3gWXV9g
Les officines peuvent désormais pratiquer la dispense d’avance de frais pour ces produits.

De plus cette prise en charge de droit commun n’est plus soumise à un plafonnement annuel de remboursement, et elle permet d’avoir le même prix pour ces produits sur tout le territoire.

Enfin, il n’est plus nécessaire que ces traitements figurent sur une ordonnance dédiée comme auparavant.

Les médecins mais aussi les sages-femmes, les médecins du travail, les chirurgiens-dentistes, les infirmiers et les masseurs-kinésithérapeutes peuvent prescrire les traitements nicotiniques de substitution.

En s’inscrivant sur les pages Facebook, Twitter et Instagram, les fumeurs peuvent trouver chaque jour du soutien au sein même de la communauté, des informations utiles et des conseils pour affronter la phase de sevrage.

Quand on arrête de fumer, c’est toujours mieux de se faire accompagner.

Aussi, vous pouvez gratuitement :

- Bénéficier du e-coaching gratuit et à portée de main avec l'application Tabac info service.
- Profiter d’un suivi téléphonique avec un tabacologue au 39 89
- Recevoir votre kit 40 jours pour arrêter de fumer

Rendez vous sur le site internet : www.mois-sans-tabac.fr

Vous pouvez aussi télécharger l'application Info Service ( apple : apple.co/2eCIP7D ou android : bit.ly/2dRMfC3 ).

Votre est aussi là pour vous aider et vous accompagner en Novembre et au-delà.

+ d'infos : bit.ly/2qBJfBe

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28/10/2024

: 5 minutes pour repérer un AVC

Une vidéo à regarder en entier et à partager massivement pour, peut-être, sauver une vie en apprenant à repérer les signes d'AVC en 5 minutes avec les explications de la chaîne Youtube Dans Ton Corps.

A l'occasion de la Journée Mondiale de l'AVC qui aura lieu demain, rappelons à tous les symptômes pour avoir les bons réflexes : agir vite peut sauver une vie ou minimiser les conséquences d'une attaque.

A savoir : l'accident vasculaire cérébral touche aussi les enfants ou les nourrissons. Généralement, cela arrive sans alerte, sans indice, brutalement, et souvent sur des enfants en bonne santé : bit.ly/2ESiBvD

Les symptômes de l’ sont les suivants :

- Faiblesse ou paralysie soudaine d'un membre ou d'un seul côté de l'organisme.
- Perte d'équilibre et de coordination avec chute.
- Diminution brutale ou perte de la vue, notamment d'un seul œil.
- Confusion, troubles du langage et de la compréhension.
- Maux de tête sévères soudains sans cause évidente.
- Anomalies ou perte de la sensibilité au niveau d'un bras, d'une jambe ou d'un seul côté de l’organisme.

Si vous détectez ces symptômes chez quelqu'un, n'attendez pas et appelez tout de suite les secours !

Rappelons qu'il existe deux formes d'AVC :

- Dans 80% des cas, un caillot sanguin se forme à l'intérieur d'une artère du cerveau et empêche le passage du sang. Il s'agit dans ce cas d'un AVC ischémique.
- Dans 20 % des cas, une hémorragie provoquée par la rupture d'une artère du cerveau empêche la circulation du sang. On parle d'AVC hémorragique.

Selon les conclusions d'une vaste étude, le risque d'AVC augmente au-delà de 2 verres d'alcool ! Consommé régulièrement (2 à 4 verres au moins par jour), l'alcool contribue à élever la tension artérielle, premier facteur de risque d'AVC.

+ d'infos : bit.ly/2SxGIme / bit.ly/2ESjKmV

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25/10/2024

: Faire ce type d'activité le week-end vous protègerait contre 200 maladies !

Pour beaucoup d'entre nous, jongler entre les obligations professionnelles et personnelles laisse peu de temps pour faire du tous les jours.

Une étude* révèle que regrouper toutes ses séances d'exercice sur un ou deux jours, une pratique surnommée "week-end warrior", pourrait être aussi bénéfique qu'une activité physique répartie plus uniformément tout au long de la semaine.

L’équipe de chercheurs a équipé 89 573 participants de bracelets enregistrant leurs niveaux d’activité physique.

Ils ont analysé les habitudes des participants pour déterminer s'ils pratiquaient une activité régulière, étaient inactifs, ou se concentraient sur le week-end pour bouger.

Pour effectuer ce classement, les scientifiques se sont basés sur les recommandations actuelles, qui préconisent au moins 150 minutes d'activité physique d'intensité modérée à élevée par semaine.

Leur interrogation était simple : parmi les personnes qui respectent ces recommandations, celles qui font 20 à 30 minutes d'exercice tous les jours ressentent-elles les mêmes bienfaits que celles qui font des séances d'entraînement plus longues, mais uniquement le week-end ?

Pour le savoir, l'équipe a recherché des associations entre les habitudes d'activité physique des participants et l'incidence de 678 pathologies.

Les résultats sont sans appel : qu’il s’agisse des "weekend warriors" ou de ceux qui s'exercent de manière plus régulière, les deux groupes ont montré un risque réduit de 264 maladies, par rapport aux personnes inactives.

Ces bienfaits concernent notamment les maladies cardiométaboliques comme l'hypertension et le diabète, mais aussi d'autres pathologies, telles que les troubles de l’humeur, l'insuffisance rénale chronique et les digestives.

Ces résultats sont une bonne nouvelle pour ceux qui ont du mal à intégrer l'exercice à leur routine quotidienne.

Ainsi, même si vous concentrez vos efforts physiques le week-end, il est crucial de rester actif tout au long de la semaine en adoptant des habitudes simples, comme marcher régulièrement, éviter de rester assis trop longtemps et privilégier les escaliers plutôt que l’ascenseur.

+ d'infos :urlr.me/SZDMg

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* menée par le Massachusetts General Hospital et publiée dans la r***e Circulation

22/10/2024

: Quels sont les bienfaits du brocoli ?

Cousin du chou-fleur, du chou frisé, du chou kale ou encore des choux de Bruxelles, le brocoli appartient à la grande famille des crucifères, célèbres pour leurs innombrables qualités nutritionnelles.

Avec en moyenne 35 calories pour 100 g, le brocoli est un des rares légumes qui contient moins de glucides (1,7 g/100 g) que de protéines (3,95 g/100 g) et que de fibres (2,9 g/100 g).

Pour résumer, il est aussi pauvre en calories qu’il est riche en vitamines, minéraux, oligo-éléments et antioxydants.

Quels sont ses bienfaits ?

Riche en potassium et en vitamine B, le brocoli préviendrait les crampes musculaires.

Selon certaines études, un des composants du brocoli préviendrait l'apparition du cancer du sein.

Le brocoli permettrait de diminuer le taux du mauvais cholestérol et d'en augmenter le bon.

Riche en vitamines diverses, il aiderait au renouvellement cellulaire de la peau et lutterait efficacement contre les rides.

Plein de lutéine et de zéaxanthine, le brocoli protégerait notre vue et la santé de nos yeux.

Il protégerait aussi les hommes des risques du cancer de la prostate.

Le brocoli réduirait naturellement la concentration d'homocystéine dans le sang, responsable des risques d'accident vasculaire.

Le brocoli permettrait aussi de renforcer notre système immunitaire, notamment grâce à sa vitamine C, et donc lutterait efficacement contre les maladies de l'hiver et le rhume.

Très pauvre en calories et glucides, mais riche en fibres, c'est un véritable allié minceur pour celles et ceux qui sont au régime !

Grâce à son sulforaphane, il protégerait nos voies respiratoires et est donc particulièrement recommandé aux personnes fumeurs et asthmatiques.

Excellent pour la mémoire, il ralentirait le déclin cognitif.

+ d'infos : urlr.me/p471w / urlr.me/TstMy

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19/10/2024

: VRAI/FAUX sur le changement du Corps à la Ménopause...

Faisons le tri entre croyances et réalité...

1. On prend du poids à la ménopause : VRAI et FAUX

Certaines femmes ménopausées constatent qu’elles ont pris du poids... Mais cela a souvent débuté avant la . Les besoins caloriques diminuant passé 40 ans, si l’on ne réduit pas nos apports, les kilos tendent à s’accumuler.

De plus, les « vrais » symptômes de la ménopause et l’arrêt de la fertilité pèsent sur le moral, amenant parfois à "compenser" par le grignotage.

En pratique, avant même la ménopause, il faudrait progressivement manger moins calorique et mieux, et poursuivre une activité physique régulière, voire l’augmenter.

2. On prend du ventre à la ménopause : VRAI

Du fait des hormones, les femmes ont une morphologie gynoïde (accumulation des graisses au niveau des jambes, cuisses et fesses). Avec la ménopause, le corps tend à devenir androïde (comme les hommes) avec pour localisation préférentielle le ventre.

En pratique, surveillez votre tour de taille et rééquilibrez votre alimentation. Luttez contre la constipation et renforcez vos abdominaux !

À savoir : les femmes sous traitement hormonal conserveront leur morphologie gynoïde.

3. On prend du poil à la ménopause : VRAI et FAUX

Le système pileux évolue : cheveux plus rares, poils sous les aisselles, sur les bras et jambes.
En revanche, les hormones androgènes (hormones masculines jusque-là contrées par les œstrogènes), stimulent la pousse dans des zones "masculines" : moustache et barbe...

4. La peau s’assèche et se fragilise : VRAI

Les hormones ne sont plus là pour stimuler la production de sébum et de collagène : la peau s’amincit, s’assèche, se fragilise et perd en élasticité.
En pratique : pas une journée sans hydrater, ni appliquer un soin anti-âge.

Votre est là pour vous conseiller.

+ d'infos : bit.ly/2By7dkh / urlr.me/Q4pN1

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16/10/2024

: Lancement de la campagne de vaccination contre la grippe et la Covid-19

Hier a débuté la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière qui touche chaque hiver entre 2 et 6 millions de personnes en France et se terminera le 31 Janvier.

Tous les patients sont éligibles, qu'ils disposent d'un bon de prise en charge ou non, et pourront donc venir en pharmacie se faire vacciner contre la grippe dès le 15 octobre même si les personnes à risque de forme grave doivent toujours être vaccinées « en priorité ».

La vaccination contre la grippe saisonnière peut également être proposée aux enfants de 2 à 17 ans révolus sans comorbidités (avec une prise en charge à hauteur de 65 %).

Seuls les mineurs de plus de 11 ans pourront être vaccinés en pharmacie, comme c'est le cas pour l'ensemble des vaccinations que peuvent désormais proposer les officinaux.

Il n’est pas exclu qu’il puisse y avoir cette saison encore une cocirculation des virus grippaux et du Covid-19.

Face à ce constat, la HAS recommande donc de vacciner la population cible contre la et le de manière concomitante.

S’il n’est pas possible de les réaliser en même temps, aucun délai n’est nécessaire entre ces 2 vaccinations.

Pour rappel, la population cible pour qui la vaccination est prise en charge à 100 % sont :

- les personnes âgées de 65 ans et plus,

- les personnes de moins de 65 ans souffrant de certaines maladies chroniques,
-les femmes enceintes,

- les personnes souffrant d’obésité : indice de masse corporel (IMC) supérieur ou égal à 40,

- l’entourage des nourrissons à risque de grippe grave et des personnes immunodéprimées,

- les aides à domicile des particuliers employeurs vulnérables bénéficiaires d’exonérations,

- les professionnels exposés aux virus influenza aviaires et porcins,

- l'ensemble des professionnels de santé.

Ces catégories de la population sont éligibles à la vaccination à compter de six mois après leur dernière infection ou injection de contre la Covid-19.

Un délai abaissé à trois mois pour les personnes immunodéprimées, pour lesquelles les vaccins adaptés au dernier variant "XBB.1.5" sont proposés préférentiellement.

Qui peut vous vacciner contre la grippe ?

- les médecins
- les pharmaciens
- les infirmier(e)s
- les sages-femmes (pour les femmes enceintes et l'entourage des nourrissons à risque)

+ d'infos : urlr.me/TBjzH / urlr.me/MbN6d

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13/10/2024

: Un implant mammaire résorbable pour la reconstruction après une mastectomie

Saviez-vous que chaque année, environ 650 000 mastectomies sont réalisées en Europe et aux États-Unis ? Cependant, seulement 30 % des femmes choisissent de reconstruire leur sein par la suite.

Cette décision peut être influencée par de nombreux facteurs, notamment la perception que les femmes ont de leur corps et la façon dont la société associe les seins à des valeurs culturelles, esthétiques et identitaires.

La Ligue contre le cancer rappelle que le sein représente un aspect central de l'identité féminine, lié non seulement à la maternité, mais aussi à la sensualité et aux attentes culturelles.

C’est dans ce contexte que la start-up lilloise Lattice Medical a développé une solution révolutionnaire pour accompagner les femmes souhaitant reconstruire leur sein de manière plus naturelle et moins invasive.

Baptisé Mattisse, cet implant innovant utilise des biomatériaux résorbables, façonnés grâce à l'impression 3D, pour régénérer les tissus mammaires.

Contrairement aux méthodes classiques, souvent itératives et invasives, cette technologie permet de recréer progressivement le volume mammaire en utilisant les propres tissus de la patiente, sans présence de corps étranger.

Après une intervention chirurgicale de seulement 1 heure 30, les patientes peuvent observer une reconstruction progressive et naturelle du sein, avec des résultats plus harmonieux et durables.

Cette approche minimise les risques de complications à long terme, tout en offrant un confort et une esthétique plus en phase avec les attentes des femmes qui ont subi une mastectomie.

Ce dispositif innovant a été développé en partenariat avec le 3DExperienceLab afin de travailler sur l’allègement de la prothèse et sur l’architecture de l’implant, garantissant ainsi une solution optimale pour les patientes.

Une étude clinique est actuellement en cours pour évaluer l’efficacité et la sécurité de la technologie Mattisse. Cette étude, menée dans huit centres de recherche, recherche d'ailleurs 50 patientes volontaires.

+ d'infos : urlr.me/tZTGr

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Source Vidéo : FUTURA

10/10/2024

: Quelle routine beauté adopter en automne ?

Le changement de saison le plus dur à accepter est sûrement celui qui nous conduit de l’été à l’automne. S’il est bon de réviser votre routine capillaire, cela vaut aussi pour la skincare.

Au placard les crèmes solaires et laits après-soleil, dites bonjour aux soins réconfortants.

Et pour cause, le changement de saison est également ressenti par l’épiderme : la baisse des températures et la diminution de l'humidité l’affectent directement.

En fonction de votre type de , ces variations saisonnières peuvent avoir divers effets, tels que la déshydratation ou l’asséchement.

Lorsqu’il fait plus frais, la peau a tendance à produire moins de sébum : le froid et le vent auront donc plus d’impact.

Le principal produit à changer avant que l'automne et l'hiver n'arrivent, est la hydratante, ainsi qu'éventuellement le nettoyant, surtout si vous avez la peau sèche.

Appliquez une crème de jour protectrice vis-à-vis des particules polluantes, et procédez chaque soir à un démaquillage minutieux.

Il est recommandé de privilégier les textures épaisses lorsque le temps devient plus frais.

Côté nettoyant, il est bon de laisser de côté les textures mousseuses et d’opter pour un lait ou un gel, très doux enrichi en éléments surgraissants et/ou émollients sous forme d’une huile démaquillante, d’une émulsion nettoyante, d’un syndet surgras ou d’une solution micellaire.

Pour les peaux grasses : utilisez des soins à la texture gel (gel moussant) et des crèmes à base d'eau, pour garder une peau bien hydratée tout en évitant les excès de sébum.

Pour éviter l’apparition de ridules de , ainsi qu’une perte d'éclat et de confort, c’est le moment d’intégrer un sérum à sa routine beauté et de l’utiliser systématiquement matin et soir sur une peau bien nettoyée, juste avant sa crème de soin.

Évitez l’utilisation des gommages exfoliants chimiques ou des rétinoïdes, des gestes et actifs qui peuvent intensifier la sècheresse de la peau.

+ d'infos : urlr.me/wcpyQ / urlr.me/p46Ds

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07/10/2024

: Comment protéger votre bébé de la bronchiolite ?

La bronchiolite du nourrisson débute généralement par un simple avec une légère accompagnée d'une sèche, puis survient une gêne respiratoire qui se traduit par une respiration rapide et sifflante qui peut empêcher l'enfant de bien s'alimenter.

C'est une maladie bénigne sans traitement direct. Il faut simplement attendre, bien moucher l'enfant et accepter qu'il tousse.

En général, la guérison s'opère en quinze jours à trois semaines.

Cependant, les bébés de moins de 3 mois ou les nourrissons fragiles requièrent une surveillance attentive et dans de rares cas, surtout chez les plus jeunes nourrissons, la impose l’hospitalisation (2 à 3% des cas).

30% des enfants de moins de 2 ans sont affectés par la bronchiolite chaque année...

Il existe pourtant 4 gestes barrières à adopter :

- Geste 1 : se laver les mains https://urlr.me/wDbJy

- Geste 2 : se couvrir le nez et la bouche quand on tousse ou éternue

- Geste 3 : se moucher dans un mouchoir à usage unique

- Geste 4 : Porter un masque lorsque l’on est malade (notamment lorsqu’on est en contact avec des personnes fragiles)

Certains gestes complémentaires sont à respecter :

- Limiter les sorties, contacter le médecin si besoin
- Limiter les contacts directs et indirects (via les objets)
- Maintenir une température intérieure du logement à 19°C, notamment dans les chambres
- Aérer le logement au moins 10 minutes par jour, hiver comme été

C’est le respect de l’ensemble des gestes de prévention (vaccination et gestes barrières) qui permet de protéger contre tous les virus.

Il n'est pas nécessaire de se précipiter aux Urgences si son enfant a le nez qui coule. Il faut tout d'abord se diriger vers son médecin traitant.

N'hésitez pas à demander conseil à votre

+ d'infos : urlr.me/92nxF / urlr.me/f8c1n

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Pharmacie Schiltz - Metz

09/11/2024

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