A l'écoute de soi - Florence Beuken

A l'écoute de soi - Florence Beuken Thérapeute familiale et systémique

Thérapie individuelle, conjugale ou familiale

Thérapie systémique, individuelle, conjugale et familiale
Psychologie énergétique (traitement de traumatisme)
Accompagnement à la parentalité


Groupes de parole
Stages de créativité et développement personnel (art-thérapie). Formations professionnelles (communication, accompagnement à la parentalité, gestion des émotions et des conflits...)

Depuis que je travaille avec les parents, je constate qu’un propos revient régulièrement « je voudrais tellement partir,...
27/06/2025

Depuis que je travaille avec les parents, je constate qu’un propos revient régulièrement « je voudrais tellement partir, toute seule, juste pour souffler ».
Ce sont d’ailleurs en général des mamans. Et elles sont rares à réellement le faire.

Parfois les finances, parfois l’organisation, souvent la culpabilité.
« Je le ferai quand ils seront plus grands. »
« J’ai voulu des enfants, c’est pas pour les laisser ! »

 

Et pourtant ces quelques jours auraient peut-être pu éviter à certaines de piquer cette crise, retenir cette fessée, tomber malade, ou encore cette énième dispute avec le conjoint…

Bien sûr, une pause ne fait pas tout.
Mais, comme nombreuses mamans ont pu aussi me le dire, quand on est en burnout pro, que le médecin décide de nous mettre en arrêt de travail, on coupe avec le travail, et ça fait du bien. Si on est en burnout parental, et que le médecin nous met en arrêt… on est encore plus plongé dans le quotidien. Pas de coupure.

Bien sûr une coupure ne fait pas tout, mais elle permet de reprendre son souffle, de sortir la tête hors de l’eau… Après comme pour un burnout pro, il est essentiel de faire le point sur ce qui nous a fait sombrer, ou ce qui représente une pente glissante, pour changer des choses et retrouver un équilibre qui nous permet de ne plus y retomber.

C’est face à ce constat que j’ai eu l’envie de créer un lieu qui permettrait ces coupures. Un lieu cocoon où ne s’occuper de rien,
avec des bons petits plats,
des activités douces ou de défoulage, mais jamais obligatoires,
avec des moments d’échange entre parents (si on en a envie),
un accompagnement par des professionnels, pendant et après le séjour, pour nous aider à repartir du bon pied…

 

Pour affiner ce projet, j’ai besoin de vous. Si vous pouviez répondre à ce questionnaire, cela m’aiderait énormément ! Plus vous serez nombreux, plus solides seront les arguments à présenter aux financeurs.

Merci pour votre précieuse collaboration !

Bonjour, J'ai besoin de vous qui êtes parents, pour répondre à un questionnaire. Vos réponses vont m'aider à affiner un ...
25/06/2025

Bonjour,
J'ai besoin de vous qui êtes parents, pour répondre à un questionnaire. Vos réponses vont m'aider à affiner un projet qui me tient à coeur.
Merci de le diffuser autour de vous !

Bonjour ! Nous sommes en train de créer 'Une Parenthèse', un futur lieu dédié aux parents qui ressentent le besoin de souffler, de se ressourcer et de se reconnecter à eux-mêmes. Il s'agirait d'un lieu chaleureux, type 'chambre d'hôte', offrant un hébergement confortable, des repas sains, et...

Dans un post précédent, je vous expliquais que l'épuisement parental n'était pas seulement un excès de stress, mais un d...
25/06/2025

Dans un post précédent, je vous expliquais que l'épuisement parental n'était pas seulement un excès de stress, mais un déséquilibre prolongé entre les stresseurs et les ressources.

Je vous en dis un peu plus sur les catégories (de ressources et stresseurs)

Les Pr. Roskam et Mikolaczjak ont mis au point un test permettant d'évaluer l'équipe ou déséquilibre entre les deux, et donc le risque d'épuisement.
J'aime particulièrement cet outil car il permet de visualiser ce sur quoi nous appuyer et quoi diminuer ou supprimer afin de se prémunir ou sortir du Burnout parental.

J'en ai créé un petit outil accessible pour les personnes qui souhaiteraient savoir où elles en sont par rapport au risque de Burnout parental :
- elles répondent au questionnaire
- je leur envoie un visuel de leur balance
- ce visuel est accompagné d'un audio pour expliciter la balance, identifier des leviers d'action pour maintenir le bien-être ou faire un pas vers le rééquilibrage.

Cela peut bien-sûr être suivi d'un accompagnement thérapeutique qui permettra d'enclencher vraiment le travail, aller plus loin dans la compréhension du système...

Intéressé.e? Contactez-moi

Florence Beuken
Éducatrice spécialisée et thérapeute familiale
Formée au diagnostic et traitement du Burnout parental

Marre des tensions et des incompréhensions en santé mentale ! 😠(1/2)Ça fait un moment que j'observe un débat qui m'agace...
24/06/2025

Marre des tensions et des incompréhensions en santé mentale ! 😠

(1/2)
Ça fait un moment que j'observe un débat qui m'agace profondément : la guerre entre psychologues et psychopraticiens. Et si on arrêtait de s'affronter pour mieux servir ceux qui ont besoin de nous ?

Oui, la loi française a voulu bien faire en protégeant le titre de psychothérapeute. Mais elle a aussi créé une zone grise, un "fourre-tout" pour ceux qui, comme moi, ne sont pas psychologues mais sont pourtant formés et compétents en thérapie.

Je le dis haut et fort : je respecte énormément le travail des psychologues ! 🧠 5 ans d'études, des stages, un mémoire... c'est un bagage académique et des connaissances indéniables. Leur rôle est essentiel, notamment pour le diagnostic.

Mais là où je m'énerve, c'est quand on rejette TOUS les psychopraticiens en bloc.

Et là, je dois bien avouer que ça m'énerve à titre personnel : 6 ans d'études, des stages, beaucoup de mises en pratique, un mémoire. C'est assez similaire, mais avec une spécialisation qui est différente. Mes 6 années d'études m'ont d'ailleurs conféré un diplôme reconnu par l'État belge, me permettant d'utiliser légalement le titre de psychothérapeute en Belgique.

Et puis, mon expérience en Belgique me conforte : dans une équipe pluridisciplinaire, j'ai travaillé main dans la main avec des psychologues. Chacun connaissait ses forces, ses limites, et nous œuvrions ensemble pour le patient. Pourquoi ça ne serait pas possible en France ?

Quand je dis à une psychologue que je connais mes limites et réoriente si nécessaire, et qu’elle me demande "Qu'est-ce que vous faites, alors ?", ma réponse est simple : je traite ! Je ne (pré)diagnostique pas, mais je travaille à partir des bilans ou des demandes pour accompagner des personnes sur des problématiques comme les relations familiales ou le burnout parental. C'est courant dans d'autres domaines de la santé, pourquoi pas en santé mentale ? 💡

Le VRAI problème selon moi, c'est le manque d'encadrement des formations "thérapeutiques".

16/06/2025

Petite anecdote... Mais qui traduit une des valeurs que je porte, dans mes consultations autant que dans ma vie privée.E...
14/06/2025

Petite anecdote... Mais qui traduit une des valeurs que je porte, dans mes consultations autant que dans ma vie privée.

Et vous, trouvez-vous aussi qu'il valait mieux me défaire de ce porte-manteau ? Auriez-vous perçu la même chose en le voyant ?

A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, j'ai eu envie de me pencher à nouveau sur les chiffres,...
08/03/2025

A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, j'ai eu envie de me pencher à nouveau sur les chiffres, avec le secret espoir de voir une évolution dans l'égalité des droits...

Alors oui, il y a une toute petite évolution. Les jeunes générations tendent vers un partage des tâches plus équilibré. Mais cela reste bien trop faible encore.
Les femmes continuent de porter près de 3/4 des tâches liées au ménage, et 2/3 des tâches liées aux enfants, elles sont globalement moins satisfaites de leur vie, et sont plus touchées par la dépression. C'est aussi le cas du burnout parental.

Dans mes consultations, la question du partage des tâches, de la charge mentale, les incompréhensions entre homme et femme sur ce que chacun attend de l'autre, sur la manière dont chacun pense s'occuper de la famille sont des sujets récurrent et qui créent énormément de tension, de sentiment de solitude et d'injustice...

Par ailleurs, la manière dont nous éduquons nos enfants selon ces principes maintenant d'un autre temps a des conséquences non seulement sur la femme, mais aussi sur l'homme. Car il est prouvé que les hommes qui n'ont pas appris à gérer plusieurs tâches, à coordonner, anticiper dès l'enfance, sont bien dépourvus lorsqu'ils veulent faire leur part à l'âge adulte. Et face au burnout parental, ils sont alors bien plus vulnérables que les femmes.

Dans mon quotidien, par l'accompagnement que je propose aux familles, tant dans la communication conjugale que dans l'éducation qui est proposée aux enfants, j'essaie de contribuer à une évolution des pratiques.

Je ne savais pas quoi faire de plus. Les cadeaux ou réduction à cette occasion ont un peu tendance à me hérisser le poil. Et je me suis dit que je pouvais faire un geste qui pour moi a plus de sens. Les écarts de salaire entre hommes et femmes sont de 22.1% aujourd'hui. Je vais donc, pour cette semaine, réduire le montant des consultations pour les femmes à hauteur de cet écart-là. Ceci est valable toute cette semaine pour les consultations individuelles, ainsi que pour les consultations conjugales pour les couples féminins. (En visio ou à Mions, pour aujourd’hui ou même dans un mois)

A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, j'ai eu envie de me pencher à nouveau sur les chiffres,...
08/03/2025

A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, j'ai eu envie de me pencher à nouveau sur les chiffres, avec le secret espoir de voir une évolution dans l'égalité des droits...

Alors oui, il y a une toute petite évolution. Les jeunes générations tendent vers un partage des tâches plus équilibré. Mais cela reste bien trop faible encore.
Les femmes continuent de porter près de 3/4 des tâches liées au ménage, et 2/3 des tâches liées aux enfants, elles sont globalement moins satisfaites de leur vie, et sont plus touchées par la dépression. C'est aussi le cas du burnout parental.

Dans mes consultations, la question du partage des tâches, de la charge mentale, les incompréhensions entre homme et femme sur ce que chacun attend de l'autre, sur la manière dont chacun pense s'occuper de la famille sont des sujets récurrent et qui créent énormément de tension, de sentiment de solitude et d'injustice...

Par ailleurs, la manière dont nous éduquons nos enfants selon ces principes maintenant d'un autre temps a des conséquences non seulement sur la femme, mais aussi sur l'homme. Car il est prouvé que les hommes qui n'ont pas appris à gérer plusieurs tâches, à coordonner, anticiper dès l'enfance, sont bien dépourvus lorsqu'ils veulent faire leur part à l'âge adulte. Et face au burnout parental, il sont alors bien plus vulnérables que les femmes.

Dans mon quotidien, par l'accompagnement que je propose aux familles, tant dans la communication conjugale que dans l'éducation qui est proposée aux enfants, j'essaie de contribuer à une évolution des pratiques.

Je ne savais pas quoi faire de plus. Les cadeaux ou réduction à cette occasion ont un peu tendance à me hérisser le poil. Et je me suis dit que je pouvais faire un geste qui pour moi a plus de sens. Les écarts de salaire entre hommes et femmes sont de 22.1% aujourd'hui. Je vais donc, pour cette semaine, réduire le montant des consultations pour les femmes à hauteur de cet écart-là. Ceci est valable toute cette semaine pour les consultations individuelles, ainsi que pour les consultations conjugales pour les couples féminins. (En visio ou à Mions, pour aujourd’hui ou même dans un mois)

MON ENFANT EST DIFFICILE, FAITES QUELQUE CHOSE !La plupart du temps, l'enfant est simplement un enfant. Un enfant qui gr...
30/08/2024

MON ENFANT EST DIFFICILE, FAITES QUELQUE CHOSE !

La plupart du temps, l'enfant est simplement un enfant.
Un enfant qui grandit, qui apprend à être lui, à faire des choix, à faire seul.
Un enfant qui a besoin de se sentir en sécurité, et pour cela va notamment faire son boulot d'enfant : tester les règles.
Un enfant qui peut aussi se sentir insécurisé, parce que la vie peut faire peur, la vie peut bousculer, même si, à hauteur d'adulte on ne comprend pas toujours pourquoi.
Un enfant qui suit notre exemple. Un exemple d'adulte qui ont été des enfants et n'ont pas toujours appris à bien vivre leurs émotions non plus.

Simplement en prenant conscience de cela, on peut réussir à l'accompagner.
Parfois ça ne suffit pas, parce qu'on se sent dépasser, parce que ses émotions sont vraiment trop difficile à comprendre, à accueillir (pour nous) ou à ressentir (pour lui). Alors on peut se faire accompagner, une fois, deux fois, ou pour un petit bout de chemin.

En parler, chercher des solutions qu'on mettra en place à la maison.
Lui proposer un endroit où il peut déposer, mais aussi apprendre d'autres façons de vivre et exprimer ses émotions.
En famille, pour se parler et s'écouter, puis trouver des solutions pour que tout le monde se sente mieux...

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Bonjour,Travailleurs sociaux et à bout (ou presque) J’ai besoin de vous ! Vous êtes éducateur, assistant de service soci...
22/08/2024

Bonjour,

Travailleurs sociaux et à bout (ou presque) J’ai besoin de vous !

Vous êtes éducateur, assistant de service social, conseiller en insertion... Bref, vous faites partie de la grande famille des travailleurs sociaux.

Vous en avez ras-le-bol, êtes épuisé, démotivé... ou peut-être que vous avez traversé cette phase et que ça va mieux maintenant.

Moi aussi, je fais partie de cette belle équipe ! Et dans le cadre de ma reprise d'études en psychologie du travail, je mène une enquête sur le bien-être des travailleurs sociaux.

https://forms.gle/kTBxSqDNytjqiYva7

Si vous pouviez prendre quelques minutes de votre précieux temps pour y répondre, ce serait un vrai coup de pouce !

Vous vous sentez bien dans vos baskets et n'avez jamais connu de gros coup de mou (oui, les petits coups de fatigue ça compte pas !)? Pas de souci, un autre questionnaire est fait pour vous juste ici : https://forms.gle/H4Z6bfb85bS5r7D6A

Un grand merci pour votre participation et votre temps !

(Et merci de partager à vos collègues ;) )

Promis, je reviens très vite pour vous en faire un retour !

Récemment, dans le cadre de mon boulot, j’ai passé une matinée au tribunal pour assister à des audiences JAF (juge aux a...
27/02/2024

Récemment, dans le cadre de mon boulot, j’ai passé une matinée au tribunal pour assister à des audiences JAF (juge aux affaires familiales). Différentes situations, mais une grande majorité de séparations parentales ou devaient se décider toute une série de choses concernant les enfants. Certains parents venaient seuls, d’autres accompagnés de leurs avocats. Dans le premier cas, cela se passait, certes parfois très froidement, mais de manière assez raisonnée. J’ai eu la chance de « tomber » sur une juge humaine et attentive au bien des enfants (Eh non, ça ne va pas forcément de soi) qui n’hésitait pas à interpeller, interroger, réfléchir avec les parents pour que la décision soit réellement la plus juste.

J’ai par contre été interpellée par l’agencement de la salle, avec la juge perchée tout en haut, et ces parents en bas, sur une bête chaise, sans rien pour s’appuyer ou se donner un minimum de contenance. Je me mettais à leur place et avais presqu’envie de tournicoter le bas de ma robe avec mon doigt tellement je trouvais cela intimidant. (En Belgique, tout le monde est au même niveau, dans les audiences des familles, je n’ai pourtant jamais perçu de manque de respect envers les professionnels…)

Mais les audiences où étaient présents des avocats. « Non mais c’est ti pas possip’ » comme aurait pu dire ma grand-mère !!! Une comédie burlesque, des comédiens frustrés, une mise en scène qui aurait pu me faire me rouler de rire par terre si cela n’avait pas concerné le futur de gamins. Chacun à son petit pupitre (eux peuvent se donner une contenance), derrière les pauvres parents blèmes. A se lancer des trucs à la figure qui souvent n’avaient rien à voir avec l’histoire ou avaient déjà été réglés, qui n’avaient pour but que de décrédibiliser l’autre parent : des petites mesquineries qui avaient probablement autrefois été celles que les ex conjoints se lançaient lors de leurs disputes de couple… Où étaient les enfants ? Loin. Physiquement, bien évidemment, et heureusement, mais ils étaient malheureusement aussi très très loin dans les propos de ces professionnels. Bien sûr je ne veux ni ne peux généraliser, tous les avocats n’étaient pas aussi ridic... (pardon, ça m'a échappé) grandiloquents, mais pas loin.

Pour reprendre la phrase d’un certain Manu, dans ces cas-là, on peut le dire « Nous sommes en guerre ». Dans ces moments, c’est la colère qui prime. Et la colère, c’est bien connu, ça rend con. Normalement, on retombe, on s’excuse, on réfléchit, on prend ses dispositions. Sauf que là, c’est THE moment, celui où tout va se décider. Il faut gagner. Prendre le pas sur l’autre, obtenir coûte que coûte. Et des décisions peuvent être prises parce que l’avocat avait une plus grande gu**le que l’autre, a trouvé « le « bon mot qui marque. Et après, c’est la vie d’une famille (décomposée) qui va en subir les conséquences. Ce sont des enfants qui vont grandir dans des circonstances qui ne leur sont pas forcément les plus favorables.

Il y a quelques temps, en consultation, un parent m’a dit « je pense que le mieux, ça serait une garde alternée pour nos enfants. Mais mon avocate m’a conseillé de demander la garde principale, sinon je perdrai à coup sûr. Mais j’espère ne pas l’obtenir » . Tr_s honnêtement, j'étais sur le postérieur !
Je ne savais pas qu’on jouais à Stratego ! Je suis peut-être un peu trop bisounours, mais n'est-il pas plus intelligent de poser ses cartes sur la table, plutôt que de bluffer et se faire des coups de p*** ?

Quand on se sépare, on est vulnérable. On veut probablement faire payer notre souffrance à l’autre (puisque c’est toujours l’autre qui est coupable, c’est bien connu !) Mais s'il vous plait, faites-vous accompagner pour réussir à réfléchir, en mettant, au moins pour un moment, la colère, la tristesse, la douleur de côté. Vos enfants sont plus important qu'une basse vengeance ou une histoire d'ego.

La médiation familiale, c’est le top. Mais il existe des tas de moyens : la thérapie familiale ou encore l’accompagnement parental en sont d’autres.

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4 Rue Fabian Martin
Mions
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