Diane Liénasson vétérinaire équin canin Issigeac

Diane Liénasson vétérinaire équin canin Issigeac Véto équin/canin : médecine, phytothérapie, physiothérapie ( laser, k-taping) gynécologie équine, dentisterie équine, orthopédie.

Sud Dordogne et Lot-et-Garonne

Un chat 🐈‍⬛ se cache sur cette photo 🤔🤭. Saurez-vous le retrouver? Après sa prise de sang 💉🩹 réalisée pépére, couché dan...
19/08/2025

Un chat 🐈‍⬛ se cache sur cette photo 🤔🤭. Saurez-vous le retrouver? Après sa prise de sang 💉🩹 réalisée pépére, couché dans son panier, Surya s’est promené, a inspecté la salle de consultation 🧐 puis s’est posé et endormi pendant que nous discutions avec ses maîtres 🩺💊🩸. Ça s’appelle être « catfriendly » que de respecter leur tempérament, de prendre du temps, d’être doux… ça tombe bien, on est comme ça au cabinet 😻😺

Toujours bien de décomposer leurs allures, le poser, la phase de suspension, les mouvements des différentes articulation...
19/08/2025

Toujours bien de décomposer leurs allures, le poser, la phase de suspension, les mouvements des différentes articulations et des tendons pendant la phase de soutien..
Eh oui! C’est tout sauf linéaire 😉

19/08/2025
Voilà voilà … Un avis n’est pas une recommandation…Personnellement, je ne demande pas à mon plombier des conseils santé ...
12/08/2025

Voilà voilà …
Un avis n’est pas une recommandation…
Personnellement, je ne demande pas à mon plombier des conseils santé pour ma fille 😉

12/08/2025

[ 📧 SIRE ] Cahier de vacances d’Eris – Les obligations du détenteur

Vous hébergez un ou plusieurs équidés ? Que ce soit de façon temporaire ou définitive, que vous soyez un professionnel ou un particulier, vous êtes détenteur.

Cela signifie que vous avez des obligations.

Vous devez :
- Déclarer vos lieux de détention sur votre Espace SIRE (lieu de vie des équidés) ;
- Veiller à l’identification complète des équidés présents sur vos lieux de détention (transpondeur, numéro SIRE, document d’identification) ;
- Tenir à jour un registre d’élevage répertoriant les informations relatives aux entrées et sorties des équidés que vous détenez ou encore aux soins vétérinaires ;
- Indiquer un vétérinaire sanitaire auprès de votre DDPP à partir de 3 équidés ;
- Si vous êtes professionnel : désigner un référent bien-être (obligatoire depuis 2022).

Le référent bien-être est garant des bonnes conditions de vie des équidés. Son nom doit figurer dans le registre d’élevage.

Connaître vos obligations, c’est vous assurer d’être en règle en cas de contrôle.

🧩 Le jeu de la semaine : devinez quelles obligations du détenteur se cachent derrière chaque devinette dans le cahier de vacances d’Eris, à télécharger sur ifce.fr.

© B. Jehanne / IFCE

Prendre soin de ses vieux chevaux…🐎 mon Loupiac, un anglo de 26 ans souffre , entre autres, d’arthrose du carpe. Il a dé...
09/08/2025

Prendre soin de ses vieux chevaux…🐎 mon Loupiac, un anglo de 26 ans souffre , entre autres, d’arthrose du carpe. Il a déjà une prise en charge médicale avec des AINS et des compléments phytos 💊🍀🌱, un parage régulier, une ration adaptée … mais parfois, une crise revient et il est inconfortable : alors je dégaine mon K-taping 🩹🤕. Ici une pose pour soulager le carpe en lui-même et pour détendre les muscles qui participent aux mouvements du carpe et se spasment… il apprécie ! L’approche multimodale de la gestion de la douleur est toujours primordiale 🤗

08/08/2025

[ ⚠️ Appel à vigilance ] Cas recensés du virus de West-Nile dans le sud de la France

Transmise par les moustiques🦟, la fièvre de West Nile peut provoquer des troubles neurologiques graves chez les équidés.

Rappel des réflexes à adopter dans les régions où le virus circule habituellement (pourtour méditerranéen et façade atlantique) :

→ Limiter l’exposition : rentrer les chevaux le soir, limiter les eaux stagnantes
→ Rester vigilant : en cas de symptômes (fièvre, troubles locomoteurs, …), appeler le vétérinaire

👉 Plus d’infos sur la fièvre de West Nile :
▸Consultez la fiche équipédia : http://bit.ly/4fqjd9r
▸Visionnez la webconférence : http://bit.ly/40U7r10

Le RESPE fait toute une série sur l’évaluation de plusieurs signes cliniques ( la fréquence cardiaque, respiratoire, etc...
08/08/2025

Le RESPE fait toute une série sur l’évaluation de plusieurs signes cliniques ( la fréquence cardiaque, respiratoire, etc) 🩹🩸🩺🧪🔬
Je vous laisse cliquer et apprendre
C’est très bien expliqué

Je n’exerce pas depuis 40 ans Juste 22… ( gloups!)Je me reconnais dans beaucoup de ses réflexions Et j’ai la chance d’av...
06/08/2025

Je n’exerce pas depuis 40 ans
Juste 22… ( gloups!)
Je me reconnais dans beaucoup de ses réflexions
Et j’ai la chance d’avoir des animaux à soigner dont les propriétaires, à de très rares exceptions près, sont des terriens , des gens sensés
Alors merci 🙏

https://www.facebook.com/share/p/16sGtzxpco/?mibextid=wwXIfr

Écrit par un vétérinaire.

Un jour, j’ai recousu la gorge d’un chien avec du fil de pêche, à l’arrière d’un pick-up, pendant que son propriétaire tenait une lampe torche entre les dents et pleurait comme un enfant.

C’était en 79, peut-être 80. Juste à la sortie d’un petit bled, près de la frontière du Tennessee.
Pas de clinique, pas de table propre, pas d’anesthésie à part un peu de tord-boyaux.
Mais le chien a survécu.
Et cet homme m’envoie encore une carte de Noël chaque année, même si le chien est mort depuis longtemps… et sa femme aussi.

Je suis vétérinaire depuis quarante ans.
Quatre décennies de sang sous les ongles et de poils sur les vêtements.
À l’époque, on faisait avec ce qu’on avait — pas avec ce qu’on pouvait facturer.
Aujourd’hui, je passe la moitié de mes journées à expliquer des codes d’assurance et des plans de financement, pendant qu’un beagle se vide de son sang dans la pièce d’à côté.

Je croyais que ce métier consistait à sauver des vies.
Maintenant je sais : il s’agit surtout de ramasser les morceaux quand tout s’écroule.

J’ai commencé en 1985.
Fraîchement diplômé de l’Université de Géorgie. J’avais encore mes cheveux. Et de l’espoir.
Ma première clinique était un bâtiment en briques, au bout d’un chemin de gravier, avec un toit qui fuyait à la moindre averse.
Le téléphone était à cadran, le frigo faisait un bruit de moteur, et le chauffage ne fonctionnait que quand ça lui chantait.
Mais les gens venaient.
Des fermiers, des ouvriers, des retraités, même des routiers avec des pitbulls assis sur le siège passager.

Ils ne demandaient pas grand-chose.

Une piqûre par-ci. Une suture par-là.
Et l’euthanasie, quand il était temps — et on savait toujours quand c’était le moment.
Il n’y avait pas de débat, pas de culpabilisation sur les réseaux sociaux, pas de “protocoles alternatifs”.
Juste cette entente silencieuse entre une personne et son chien : la souffrance était devenue trop grande.
Et ils me faisaient confiance pour porter ce poids.

Parfois, je prenais mon vieux pick-up et j’allais jusqu’à une grange, là où un cheval s’était cassé la jambe.
Ou bien sur un porche, où un vieux chien n’avait rien mangé depuis trois jours.
Je m’asseyais à côté du propriétaire, je lui tendais un mouchoir, et j’attendais.
Je ne précipitais rien.
Parce qu’à cette époque, on les tenait dans nos bras jusqu’au bout.
Aujourd’hui, les gens signent des papiers et demandent s’ils peuvent “revenir chercher les cendres la semaine prochaine”.

Je me souviens de la première fois où j’ai dû endormir un chien.
Un berger allemand nommé Rex. Il avait été percuté par une moissonneuse.
Son maître, Walter Jennings, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, dur comme le fil barbelé et deux fois plus tranchant.
Mais quand je lui ai dit que Rex était perdu, ses genoux ont lâché.
Là, dans ma salle d’examen.

Il n’a rien dit. Il a juste hoché la tête.
Et puis — je ne l’oublierai jamais — il a embrassé le museau de Rex et a murmuré :
« Tu as été un bon chien, mon gars. »
Puis il s’est tourné vers moi :
« Fais-le vite. Ne le fais pas attendre. »

Je l’ai fait.

Cette nuit-là, je n’ai pas dormi.
Je suis resté assis sur mon perron avec une cigarette, à fixer les étoiles jusqu’à l’aube.
C’est là que j’ai compris : ce métier ne parle pas que d’animaux.
Il parle d’amour.
De l’amour que les gens versent dans un être qui, ils le savent, ne vivra jamais aussi longtemps qu’eux.

Nous sommes en 2025 maintenant.
Mes cheveux sont blancs — ce qu’il en reste.
Mes mains ne coopèrent plus toujours. Il y a un tremblement qui n’était pas là au printemps dernier.
La clinique existe toujours, mais elle a maintenant des murs blancs immaculés, un logiciel par abonnement, et un responsable marketing de 28 ans qui me dit de filmer des TikToks avec mes patients.
Je lui ai dit que je préférerais me castrer moi-même.

Avant, on travaillait à l’instinct.
Maintenant, ce sont des algorithmes et des formulaires de responsabilité.

La semaine dernière, une femme est venue avec un bulldog en détresse respiratoire.
Je lui ai dit qu’il fallait l’intuber et le garder en observation.
Elle a sorti son téléphone et m’a demandé si elle pouvait demander un deuxième avis à une influenceuse qu’elle suit en ligne.
J’ai hoché la tête.
Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?

Parfois, je pense à prendre ma retraite.
J’ai failli le faire pendant le COVID.
Un cauchemar.
Des dépôts en voiture sur le parking, des aboiements derrière des portes closes, des masques qui cachaient les larmes.
Des adieux à travers une vitre.
Personne ne les tenait quand ils partaient.

Quelque chose s’est brisé en moi à ce moment-là.

Mais parfois, un enfant entre avec une boîte pleine de chatons trouvés dans la grange de son grand-père, et ses yeux s’illuminent quand je lui permets d’en nourrir un.
Ou je recouds un golden retriever qui s’est frotté de trop près à une clôture barbelée, et le lendemain, son maître m’apporte une tarte aux pacanes.
Ou un vieux monsieur m’appelle juste pour me dire merci — pas pour le soin, mais parce que je suis resté assis avec lui après la mort de son chien, sans dire un mot, laissant le silence faire le travail.

C’est pour ça que je continue.

Parce que malgré tous les changements — les applis, les formulaires, les procès, les diagnostics Google — une chose n’a pas changé :

Les gens aiment toujours leurs animaux comme leur propre famille.

Et quand cet amour est profond, il se manifeste dans des gestes simples.
Une main tremblante posée sur un flanc velu.
Un adieu murmuré.
Un portefeuille vidé sans hésiter.
Un homme adulte qui craque dans mon bureau parce que son chien ne verra pas l’automne.

Peu importe l’époque, la technologie, les tendances — ça, ça ne change pas.

Il y a quelques mois, un homme est entré avec une boîte à chaussures.
Il avait trouvé un chaton près des rails. Patte brisée, couvert de puces, les côtes saillantes comme les touches d’un piano.
Lui-même avait l’air de sortir de l’enfer.
Il m’a dit qu’il venait de sortir de prison, qu’il n’avait pas un sou.
Mais est-ce que je pouvais faire quelque chose ?

J’ai regardé dans la boîte.
Le chaton a ouvert les yeux et a miaulé comme s’il me reconnaissait.
J’ai hoché la tête :
« Laissez-le ici. Revenez vendredi. »

On lui a immobilisé la patte, donné du lait tiède toutes les deux heures, on l’a appelé Boomer.
Vendredi, l’homme est revenu avec une tarte à moitié mangée et des larmes dans les yeux.
Il m’a dit :
« Personne m’a jamais rien rendu sans me demander d’abord ce que j’avais à offrir. »

Je lui ai répondu :
« Les animaux se fichent de ce que tu as fait.
Ils ne regardent que comment tu les tiens dans tes bras. »

Quarante ans.

Des milliers de vies.

Certaines sauvées. D’autres non.

Mais toutes ont compté.

J’ai un tiroir, dans mon bureau.
Fermé à clé.
Personne n’y touche.
À l’intérieur, il y a des vieilles photos, des mots de remerciement, des colliers, des médailles.
Un os à moelle d’un border collie nommé Scout qui a sauvé un enfant de la noyade.
Une empreinte en argile d’un chat qui dormait sur le comptoir d’une station-service.
Un dessin aux crayons de cire d’une petite fille qui m’a écrit que j’étais son héros parce que j’avais aidé son hamster à respirer de nouveau.

Je l’ouvre parfois, t**d le soir, quand la clinique est vide et que mes mains sont enfin calmes.

Et je me souviens.

Je me souviens du temps d’avant.
Avant les écrans.
Avant les applis.
Avant les remèdes de buzz et les contrôles de crédit.

Quand être vétérinaire, c’était rouler dans la boue à minuit parce qu’une vache mettait bas et qu’on était le seul en qui ils avaient confiance.

Quand on recousait avec du fil de pêche… et beaucoup d’espoir.

Quand on les tenait dans nos bras jusqu’à la fin — et qu’on tenait leurs humains aussi.

S’il y a une seule chose que j’ai apprise dans cette vie, c’est celle-ci :

On ne peut pas tous les sauver.

Mais on doit tout faire pour essayer.

Et quand vient le moment de dire adieu…
on reste.
On ne recule pas.
On ne presse rien.
On s’agenouille, on les regarde dans les yeux,
et on reste jusqu’à ce que leur dernier souffle quitte la pièce.

Ça, on ne vous l’enseigne pas.
Ni à la fac. Ni dans les livres.

Mais c’est ça… qui vous rend humain.

Et je ne l’échangerais pour rien au monde.

Adresse

83 Impasse De La Maison Rouge
Monsaguel
24560

Heures d'ouverture

Lundi 08:00 - 19:00
Mardi 08:00 - 19:00
Jeudi 08:00 - 19:00
Vendredi 08:00 - 19:00

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Diane Liénasson vétérinaire équin canin Issigeac publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Diane Liénasson vétérinaire équin canin Issigeac:

Partager

Type