Épilation laser définitive Essonne - CLME, 91310 Montlhéry

Épilation laser définitive Essonne - CLME, 91310 Montlhéry Tél. 01 84 18 00 19 http://www.clme-essonne.com Centre Épilation Laser et Médecine Esthétique - Comment fonctionne un laser dans l'épilation définitive ?

En matière d’épilation progressivement définitive, la cible du laser est la mélanine. Il s’agit d’un composant essentiel du poil brun ou châtain
(Le laser ne fonctionne pas sur les poils blonds ou les poils blancs). Lorsque le rayon balaye la surface de la peau et qu’il rencontre des poils chargés en mélanine, il se produit une libération d’énergie rapide dans tout le poil qui monte en température

. Cette augmentation de température se propage normalement jusqu’au fond du bulbe et provoque une destruction des cellules germinales à l’origine de la croissance du poil. Le laser ne provoque une destruction des cellules que lorsque le poil est en phase de croissance (on parle de phase anagène). En effet, un poil en croissance est directement lié aux zones germinales qui seront détruites lors du passage du laser : le poil ne repoussera plus. En revanche, les poils au repos sont déconnectés des zones germinales : si le poil est bien détruit, mais repoussera. Tous les poils n’étant, malheureusement, pas en phase de croissance, il convient de prévoir plusieurs séances dans l’année pour espérer une dépilation efficace et durable. Le médecin lasériste doit adapter le rythme des séances en fonction de la phase de repousse (on parle de cycle pilaire). En pratique, il faut compter de 4 à 7 séances espacée de 8 à 10 semaines pour épiler correctement la plupart des zones. Comment se déroule une séance de laser ? Les soins lasers se décomposent en 2 phases : la première phase consiste en une consultation d’évaluation ou le médecin effectue un diagnostic de la lésion cutané ou vasculaire. Il vérifie que le laser est bien indiqué pour le patient et élimine les contre-indications (syndrome hémorragique, médicament rendant sensible à la lumière, anomalie de la cicatrisation, bronzage…). La première séance est l’occasion pour le médecin lasériste de pratiquer un test sur une zone localisée pour vérifier la bonne tolérance au traitement laser et pour affiner les réglages de la machine en fonction du type de peau (on parle de phototype I pour les peaux blanches jusqu’au phototype 6 pour les peaux noires sombres).
Épilation définitive Laser Essonne
La première consultation est aussi le moment pour le médecin de répondre à vos questions sur la technique des lasers, de vous donner les conseils pour vous préparer. Elle permet aussi au praticien de rédiger un devis qui est accompagné d’une fiche d’information (fiche de consentement éclairé). Un rendez-vous pour la seconde phase est généralement pris 1 à 2 semaines plus tard. La seconde phase permet de débuter le traitement proprement dit. Le médecin analyse la réaction de la peau au test antérieur ou à la séance précédente puis débute le traitement en déplaçant le laser sur les zones à traiter. En fonction du protocole thérapeutique employé il pourra prescrire une crème immédiatement et rédiger une ordonnance de médicaments destinés à apaiser la peau. Traditionnellement, après une épilation laser, les laséristes prescrivent des crèmes de type Biafine®. Quelques sont les risques ? Une fois les contre-indications éliminées, les soins lasers sont finalement très sûrs avec peu de risques. L’essentiel des risques reposent sur les troubles de la pigmentation de type hyperpigmentation ou dépigmentation. Il s’agit, la plupart du temps, de troubles bénins temporaires qui rentrent dans l’ordre en quelques semaines. Les patients présentant des troubles de la coagulation peuvent développer des hématomes. De même les patients présentant des troubles de la cicatrisation peuvent, rarement, développer des cicatrices hypertrophiques ou chéloïdes. Le laser ne fait traditionnellement pas courir de risques pour la grossesse, aucune malformation n’a jamais été rapportée, mais le principe de précaution impose de ne pas faire de laser esthétique pendant une grossesse. Il n’y a pas, non plus, de risque de stérilité à pratiquer du laser. L’herpes labial ou génital n’est pas une contre-indication à la pratique du laser, mais le laser peut déclencher des crises. Aussi, un traitement préventif sera peut être prescrit par le médecin pour éviter la survenue d’une crise. Enfin, un mauvais réglage du laser, rarissime, peut provoquer des brûlures du second degré léger qui doivent rapidement être prise en charge. Il faut éviter de traiter par laser, les zones cutanées présentant une infection active. Comment faut-il se préparer ? Epilation définitive par laser médicalIl y a peu de précautions à prendre pour se préparer à une épilation laser. Il convient d’éviter le bronzage avant de réaliser des séances. De même, on évitera de bronzer dans les semaines qui suivent les soins. Il n’est pas conseillé de s’épiler à la cire ou à la crème dépilatoire dans les 3 semaines qui précèdent la séance afin d’optimiser celle-ci. Il n’est pas conseillé, non plus, d’effectuer des actes esthétiques sur les zones à épiler dans les jours qui précèdent la séance laser comme dans les jours qui suivent afin de ne pas fragiliser la peau inutilement. Il est important de se raser ou de couper les poils avec des ciseaux dans les 48H qui précèdent la séance laser. Cette façon de faire prépare le poil, qui, court, sera mieux traité par le laser. Quels sont les soins après la séance ? Les soins qui suivent la séance laser sont finalement assez limités. Immédiatement après les soins d’épilation laser, le médecin applique souvent une crème corticoïde afin de limiter la réaction inflammatoire qui accompagne normalement une séance efficace. Dans la semaine qui suit la séance laser, le médecin propose le plus souvent l’application d’une crème pour aider la peau à reprendre plus rapidement son état de base. Il s’agit d’une crème apaisante. Il n’est pas conseillé d’aller à la piscine, de faire du sauna, de pratiquer des soins esthétiques par abrasion de la peau dans les quelques jours suivant les séances laser. De même, les patients éviteront le sport trop intense dans les premiers jours post-traitement car la sueur est irritante. Combien faut-il de séances ? En matière d’épilation laser, le nombre de séances nécessaires est variable en fonction de la zone traitée. Les zones les plus réceptives sont le maillot, les aisselles et les ½-jambes avec une fourchette de 4 à 6 cessions. D’autres zones nécessitent un nombre de séances plus important : le dos, le visage, les cuisses …

On obtient généralement une épilation définitive dans 80 à 90% des cas. Les 10% restant comportent des dépilations très importantes mais non complètes (une séance annuelle d’entretien sera nécessaire) ou des échecs avec absence d’efficacité sur des mélanines différentes de celle pour laquelle a été développé le laser. Est-ce que l'épilation laser fait mail ? L’épilation laser ou la sclérose laser ne sont habituellement pas douloureuses pour la plupart des patients. La sensation ressemble à une piqûre, une griffure ou à un coup d’élastique chez les patients les plus sensibles. La sensation est ponctuelle et s’arrête une fois le laser passé. On peut, éventuellement, ressentir une sensation d’échauffement dans les minutes à quelques heures qui suivent la séance. Certaines zones lasérisées peuvent être plus sensible que d’autres : maillot, face interne des cuisses, ailes du nez où la peau est soit plus fine soit plus innervée qu’ailleurs. En cas de douleur, le médecin pourra prescrire une crème anesthésique à appliquer environ une heure avant la séance. Voir les prix - Épilation laser définitive pour femme/homme ici. Vous pouvez choisir Épilation laser totale du corps ou :
Épilation laser aisselles
Épilation laser épaules
Épilation laser avant bras
Épilation laser bras
Épilation laser mains ou pieds
Épilation laser torse
Épilation laser abdomen
Épilation laser 1/2 jambes (du pied au genou)
Épilation laser du pied au genou
Épilation laser cuisses
Épilation laser jambes complètes
Épilation laser dos

Le traitement de plusieurs zones lors de la même séance permet le plus souvent d'optimiser le temps laser et donc de baisser le coût comparé à des séances distinctes. Demandez conseil au médecin.

Le cabinet d'angiologie-phlébologie de Montlhery reçoit les urgences vasculaires (Thrombose veineuse "phlébite", ischémi...
27/06/2024

Le cabinet d'angiologie-phlébologie de Montlhery reçoit les urgences vasculaires (Thrombose veineuse "phlébite", ischémie aiguë artérielle) dans les délais plus courts.
Toute demande d’urgence vasculaire demandée par le médecin traitant (ou non) sera traitée dans une durée maximale de 24 heures (jours ouvrés).

Toute demande urgente avant 10.00 du matin sera prise en charge (dans les limites disponibles) dans la journée.

Le médecin reçoit en consultation sur rendez vous uniquement.
Vous pouvez contacter le secrétariat au 01 64 49 39 69
pour convenir d’une date de consultation.

La phlébite, qu'est-ce que c'est ?
La phlébite est un trouble cardiovasculaire qui correspond à la formation d'un caillot de sang dans une veine. Ce caillot bloque complètement ou partiellement la circulation sanguine dans la veine, comme un bouchon.

En fonction du type de veine touchée (profonde ou superficielle), la phlébite est plus ou moins grave. Ainsi, si le caillot se forme dans une veine profonde, de gros calibre, un traitement doit être prodigué de toute urgence.

Dans l’immense majorité des cas, la phlébite se forme dans une veine des jambes, mais elle peut apparaître dans n’importe quelle veine (bras, abdomen...). Les phlébites surviennent souvent suite à une longue immobilisation, par exemple, après une chirurgie ou en raison d’un plâtre.
Notons que dans le milieu médical, la phlébite est désignée par le terme thrombophlébite ou thrombose veineuse ("phlebos" signifie « veine » et thrombus, « caillot »). On parle donc de thrombose veineuse profonde ou superficielle.

Comment reconnaître une phlébite ?
Il importe de bien distinguer les 2 types de phlébite, aux conséquences et aux traitements fort différents.

La phlébite superficielle
Dans ce cas, le caillot sanguin se forme dans une veine de surface. Il s’agit de la forme la plus courante, qui touche surtout les personnes qui ont des varices. Elle s’accompagne d’une inflammation de la veine et occasionne douleur et inconfort.
Bien que la phlébite superficielle puisse sembler anodine, on devrait la considérer comme un signal d’alarme. En effet, elle est généralement un signe d’insuffisance veineuse avancée pouvant conduire à une phlébite profonde.

La phlébite profonde
Lorsque le caillot sanguin se forme dans une veine profonde dont le débit sanguin est important, la situation est plus dangereuse puisque le caillot risque de se détacher de la paroi de la veine.
Porté par le flux sanguin, celui-ci peut alors traverser le cœur, puis obstruer l’artère pulmonaire ou une de ses branches. Cela entraîne alors une embolie pulmonaire, un accident potentiellement fatal. Le plus souvent, ce type de caillot se forme dans une veine du mollet.
Consulter en détails les symptômes de la phlébite.

Phlébite : qui est touché ?
La phlébite profonde touche plus de 1 personne sur 1 000 chaque année. Au Québec, on compte environ 4 700 cas par an6.
Heureusement, des stratégies de prévention efficaces permettent de diminuer la fréquence des embolies pulmonaires et des décès associés aux phlébites profondes.

Phlébite : les personnes à risque
Les personnes qui ont déjà souffert de phlébite
Ou dont un membre de la famille a déjà souffert de phlébite ou d’embolie pulmonaire. Après une première phlébite, le risque de récidive est multiplié par 2,5.
Les personnes qui subissent une chirurgie importante
Elles doivent, par conséquent, demeurer alitées plusieurs jours (par exemple, une chirurgie à la hanche) et celles qui doivent porter un plâtre.

Les personnes hospitalisées
En raison d’une crise cardiaque, d’une insuffisance cardiaque ou d’une insuffisance respiratoire.
Les personnes qui ont un stimulateur cardiaque (pacemaker)
Ou encore celles à qui l'on a posé un cathéter dans une veine pour traiter une autre maladie. Le risque est alors plus grand qu’une phlébite apparaisse dans un bras.
Les personnes atteintes d’un cancer
Certains types de cancers causent la coagulation du sang, en particulier ceux du thorax, de l'abdomen et du bassin. Ainsi, on estime que le cancer multiplie par 4 à 6 le risque de phlébite. De plus, certains médicaments utilisés en chimiothérapie accroissent le risque de caillot.

Les femmes enceintes
Surtout en fin de grossesse et juste après l’accouchement, voient leur risque de phlébite multiplié par 5 à 10.
L'âge
Le risque de phlébite augmente très fortement avec l’âge. Il est multiplié par 30, de 30 ans à 80 ans.
Autres
• Les personnes souffrant d’obésité ;
• les personnes ayant une paralysie des jambes ou des bras ;
• Les personnes qui souffrent d’insuffisance veineuse ou qui ont des varices ;
• Les personnes atteintes d’une maladie de coagulation du sang (thrombophilie) ou d’une maladie inflammatoire (colite ulcéreuse, lupus, maladie de Behçet...).

Phlébite : les facteurs de risque
Rester dans une position immobile pendant plusieurs heures
Travailler en étant debout longtemps, faire de longs trajets en voiture ou en avion, etc. Les voyages de plus de 12 h augmentent tout particulièrement le risque.

Voyager en avion
En effet, la pression de l’oxygène légèrement plus faible et la sécheresse de l’air semblent accroître le risque davantage. On parle même de « syndrome de la classe économique ». Le risque demeure toutefois minime : 1 personne sur 1 million2.

Chez les femmes
La prise d’un traitement d’hormonothérapie de remplacement à la ménopause ou de contraceptifs oraux est un facteur de risque, car ces médicaments augmentent la coagulation du sang. La contraception orale multiplie le risque de phlébite par 2 à 6.

Autres
Le tabagisme.

Phlébite : les causes
Bien qu’on n’en connaisse pas toujours les causes, la phlébite est généralement liée à 3 facteurs majeurs/le sang qui stagne dans une veine, au lieu de circuler de façon fluide (on parle de stase veineuse). Cette situation est typique de l’insuffisance veineuse et des varices, mais elle peut aussi être due à une immobilisation prolongée (plâtre, alitement...).
Une lésion dans la paroi d’une veine, peut être provoquée par le port d’un cathéter, par une blessure, etc.
Le sang qui coagule plus facilement (certains cancers et certaines anomalies génétiques, par exemple, rendent le sang plus visqueux).

Les traumatismes, la chirurgie, la grossesse peuvent aussi réduire la fluidité du sang et augmenter le risque de caillot.
Chez environ la moitié des personnes qui en sont atteintes, la phlébite survient spontanément sans que l’on puisse l’expliquer. Néanmoins, des facteurs de risque ont été découverts.
Voir Personne à risque et Facteurs de risque.
Phlébite : les complications possibles

Le risque principal de la phlébite profonde est la survenue d’une embolie pulmonaire. Cet accident survient lorsque le caillot de sang qui s’est formé dans la jambe se détache, « voyage » jusqu’aux poumons et vient obstruer l’artère pulmonaire ou une de ses branches.

Ainsi, plus de 70 % des cas d’embolie pulmonaire sont causés par un caillot sanguin initialement formé dans une veine des jambes.
En outre, lorsqu’une veine profonde est touchée, des symptômes d’insuffisance veineuse peuvent survenir, par exemple, un gonflement persistant des jambes (œdème), des varices et des ulcères aux jambes.
Ces symptômes résultent de l’endommagement des valvules par le caillot sanguin. Les valvules sont des sortes de « clapets » qui empêchent le sang de refluer dans les veines et facilitent sa circulation vers le cœur (voir le schéma au début de la fiche).
En termes médicaux, il s’agit d’un syndrome post-phlébitique. Comme la phlébite touche souvent une seule jambe, ce syndrome est habituellement unilatéral.

Quant à la phlébite superficielle, elle a longtemps été considérée comme sans gravité. Cependant, plusieurs études récentes montrent que la phlébite superficielle « cache » généralement une phlébite profonde qui risque de passer inaperçue.
En 2010, une étude française menée sur près de 900 patients a même montré que 25 % des thromboses veineuses superficielles s’accompagnaient d’une phlébite profonde ou d’une embolie pulmonaire.

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