Cabinet de sages femmes et d'hypnose éricksonnienne

Cabinet de sages femmes et d'hypnose éricksonnienne Laurence Pellet, Cathy Ameduri, Marion Vauquois, Manon Robert et Clémence Mazzocco vous accueillent dans leur cabinet.

22/08/2025
30/07/2025

Cette image puissante montre, côte à côte, ce que les mots ne peuvent pas transmettre complètement :
le moment exact où le corps maternel ouvre la voie à la naissance d'un nouvel être humain.

À gauche, le col de l'utérus est toujours fermé.
À droite, complètement dilaté.
La différence n'est pas seulement anatomique...
C'est la transition entre deux mondes.

Pendant le travail d'accouchement, le col de l'utérus maigrit, s'adoucit et s'ouvre jusqu'à 10 cm, permettant au bébé de passer par le canal d'accouchement.
C'est un processus aussi précis que puissant.
Aussi vulnérable que monumental.

📌 Étapes du processus :

1️⃣ Phase précoce (0-3 cm) :

Contractions douces. Dilatation lente. Souvent imperceptible.
C'est le début du changement.

2️⃣ Travail actif (4-7 cm) :

Les contractions s'intensifient et deviennent régulières.
Le col de l'utérus se dilate plus vite.

3️⃣ Transition (8-10 cm) :

La phase la plus courte... mais la plus intense.
Le corps se prépare complètement.

4️⃣ Dilatation complète (10 cm) :

Il n'y a plus de retour en arrière.
Commence la descente. La vie commence.

La science a démontré que des facteurs tels que l'état émotionnel, la position fœtale, l'expérience antérieure de l'accouchement ou l'intensité des contractions peuvent influencer le temps et la progression de la dilatation.

Et pourtant, dans chaque histoire d'accouchement, il y a un fil commun :
Le corps de la femme sait quoi faire.
Il sait ouvrir. Il sait tenir.
Et il sait aussi lâcher prise.



Rappelez-vous : cette image a des fins éducatives. Toute personne enceinte mérite un accouchement informé, respecté et accompagné. Nous honorons la biologie... mais aussi l'expérience humaine derrière chaque naissance.
Via le don de soi 👈

18/07/2025

Bref. On leur a demandé de faire un projet de naissance.

Ils ont cru qu’il fallait rendre un TFE. Avec bibliographie et annexes.

Elle a cherché sur internet.
Elle est tombée sur un PDF de 9 pages.

Elle a fermé l’onglet.
Et a ouvert un paquet de Tuc.

Alors elle a essayé d’écrire ce qu’elle voulait.

Accoucher naturellement.
Mais avec la péridurale.
Pas trop tôt.
Mais pas trop t**d non plus.

Bref : je veux accoucher sans souffrir, sans culpabiliser, et avec des gens sympas.

Est-ce qu’on peut commander ça quelque part ?

🌿Je veux qu’on me parle avec douceur.
Mais pas PENDANT UNE CONTRACTION.
Sinon je risque de te mordre.

🌿Je veux de la lumière tamisée.
Mais pas au point qu’on me cherche les fesses à la lampe frontale.

Lui a ajouté :

🌿Je veux être là pour elle.
Mais aussi m’asseoir à un moment.
Et manger un truc.
Et savoir où est la machine à café.
Et si j’ai le droit de pleurer un peu sans que tout le monde me prenne pour un fragile.

Ils se sont demandé s’ils devaient préciser :

– Pas de photo.
– Pas de live TikTok.
– Pas d’interne qui fait une visite guidée de mon col comme s’il commentait un safari.

Elle a hésité à écrire :

🌿 Je veux du peau à peau direct.
Mais si je m’endors, faites-le avec papa.
Et si papa dort aussi, donnez-le à une sage-femme sympa. Ou à une peluche chauffante.
On improvisera.

Elle a tapé “tétine ou pas tétine” sur Google.
Elle est tombée dans un débat qui dure depuis 2006.

Elle a refermé l’ordi.
Et mangé une tablette de chocolat en pleurant un peu. (De fatigue. Ou d’émotion. Ou des deux.)

Finalement, ils ont regardé leur feuille blanche.

Et elle a dit :

“Tu sais quoi ? Mon projet, c’est que tout le monde soit gentil.
Qu’on me respecte.
Et d’avoir mon bébé à la fin.”

Et qu’on me laisse manger des frites après. Et des sushis.

💡Conseil de sage-femme :

Pas besoin d’un roman. Ni d’un plan d’action minute par minute.
C’est pas une to-do list de product manager.
C’est juste une conversation.

Tu dis ce que tu espères.
Ce qui compte.
Ce qui te fait peur.

On écoute.
On ajuste.
Et même si tu changes d’avis 4 fois entre 4 et 7 cm, t’inquiète pas :
On a vu pire.

Pour tous les parents qui ne savent pas s’ils doivent cocher la case “cordon lotus”,
ou juste écrire :

Accompagnez-nous à vivre ce moment avec votre expérience, votre bienveillance au rythme de nos choix.

🫶🪆

11/07/2025

Bref. Elle a pris rendez-vous avec une sage-femme.

Elle pensait que c’était juste pour accoucher.

Genre : pousser, respirer, dire “je veux la péridurale MAINTENANT” et rentrer chez soi avec un bébé.

Mais en fait, pas du tout.

Elle a découvert que la sage-femme, c’est bien plus que l’histoire de 48h à la maternité.

C’est un fil rouge.
Quelqu’un a qui se raccrocher.
Un GPS quand t’as paumé la carte, le nord et ton moral.

Elle est venue une première fois pour poser des questions.
Et elle est revenue.
Pour préparer son accouchement, oui.
Mais aussi pour se préparer à devenir parents.

En couple.
À deux.
Avec leurs doutes.
Leurs forces.
Et leurs grosses valises d’émotions.

Ils ont parlé positions pour accoucher.
Mais aussi positions quand on se comprend plus à 2h du matin avec un bébé qui hurle.

Ils ont appris à respirer.
Mais aussi à se parler sans se blesser quand les nuits sont trop courtes et la charge trop lourde.

Ils ont appris à accueillir les contractions.
Mais aussi à accueillir leurs fragilités.
Et ça, franchement, personne n’en parle assez.

Ils ont parlé de la chute d’hormones.

Du corps qui change.
Du couple qui vacille.
Du “j’t’aime mais j’te hais là maintenant tout de suite”.

Comment ne pas exploser quand on est deux à se sentir paumés.

Elle a appris que l’allaitement, c’est pas magique,
que le biberon, c’est pas tabou,
et que peu importe ce qu’elle choisit,
le plus important, c’est de le faire pour les bonnes raisons : les siennes.

Elle a appris à dire “j’ai peur” sans se sentir nulle.
Elle a appris que non, être parent, c’est pas inné.
Mais que ça s’apprend.
Et qu’elle n’est pas seule.

Ils ont ri.
Ils ont pleuré.
Ils se sont serrés.

Elle a senti que la sage-femme, c’était la seule pro qui parlait de tout :

du corps, du cœur, du couple, du bébé, des pleurs, du post-partum, de la sexualité, du “j’ai envie de tout envoyer valser” et du “est-ce que je suis une bonne mère si j’ai juste envie de dormir tranquille ?”

Et puis bébé est né.

Et là, c’est la sage-femme qui est venue pour contrôler …

Ses fuites.
Son sein engorgé.
Son couple en pointillés.
Son envie de pleurer pour tout et rien.
Et sa peur de dire tout ça.

La sage-femme a écouté.

A massé.
A conseillé.
A soulagé.
Sans jugement.
Juste avec son cœur, ses mains, ses outils et sa bienveillance.

Après la visite elle s’est sentie un peu bancale, mais plus droite.
Moins seule.
Un peu réparée.

💡Conseil de sage-femme :

On est là avant, pendant, après.

Pour toi.
Pour vous deux.
Pour ce minuscule bébé et ce grand chamboulement.

On prépare.
On guide.
On soutient.

La préparation en couple, c’est pas pour apprendre à respirer en rythme.
C’est pour apprendre à respirer à deux,
quand l’un s’effondre et que l’autre reste debout, quand les nuits sont longues et que le lien est fragile.

C’est pour oser se dire les choses.

C’est pour transformer le “on devient parents” en “on reste partenaires”.

Parce que faire un bébé, c’est (souvent) facile.

Mais se retrouver, se soutenir, s’aimer
à travers tout ça… ça, c’est de l’art 🫶

🫶🪆

20/04/2025
N'hésitez pas à appeler 👏👍👌
28/08/2023

N'hésitez pas à appeler 👏👍👌

Adresse

6 Rue Gerhardt
Montpellier
34000

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