Paola Maillard Naturopathe

Paola Maillard Naturopathe Naturopathe, je vous propose d'optimiser votre capital santé par des méthodes naturelles

« Trois nouvelles dans lesquelles les gens ordinaires ne voient pas de lien— L'UE propose aux agriculteurs 120 % de la v...
10/10/2025

« Trois nouvelles dans lesquelles les gens ordinaires ne voient pas de lien

— L'UE propose aux agriculteurs 120 % de la valeur de leurs terres pour qu'ils ferment leurs fermes et promettent d'arrêter définitivement la production

— La société néerlandaise Protex a présenté la plus grande ferme d'élevage d'insectes au monde

— Dans 81 % des élevages d'insectes, une multitude de parasites a été détectée, et dans 30-35 % des exploitations étudiées, ces parasites étaient pathogènes pour les animaux et les humains.

Il est grand temps de comprendre que ce n'est pas une simple coïncidence !!! »

09/10/2025
06/10/2025

∞ Message transmis par Alan Watts

La plus grande tragédie de l’éveil spirituel, c’est que la plupart des gens n’y survivent jamais. Ils pensent qu’ils deviennent fous, alors qu’en réalité, ils naissent pour la première fois. L’éveil n’est pas un processus confortable. Ce n’est pas une conversation polie avec l’univers. C’est plutôt comme être déchiré par votre propre âme. Tout ce en quoi vous croyiez commence à s’effondrer. Les structures qui vous soutenaient s’écroulent, et vous réalisez que, peut-être, elles ne vous ont jamais vraiment appartenu. La plupart des gens craignent cet effondrement, alors ils retournent se rendormir. Le mental s’accroche à ce qui est familier, même si c’est douloureux. Il dit : « Au moins, je sais qui je suis. Au moins, je sais où je me tiens. » Mais l’éveil brise cette illusion. Il révèle que ce que vous appeliez « moi » n’était qu’un assemblage de pensées, de croyances et d’identités empruntées, transmises par les parents, la culture et le temps. Soudain, vous voyez à travers tout cela. Et c’est terrifiant, car si vous n’êtes pas celui que vous pensiez être, alors qui êtes-vous ? La plupart des gens ne survivent pas à cette question. Ils s’y noient, essayant de reconstruire le même masque au lieu de voir au-delà.

Quand vous commencez à vous éveiller, cela ressemble à une trahison. Une trahison de votre ancien moi, une trahison de vos anciens dieux, des choses qui vous apportaient autrefois du réconfort. La religion, le succès, les relations commencent à perdre leur sens. Vous commencez à ressentir qu’aucune de ces choses ne peut combler l’immense espace qui s’ouvre en vous. Alors, les gens paniquent. Ils appellent cela dépression, anxiété, crise existentielle. Mais ce n’est pas une maladie. C’est le démantèlement sacré de l’illusion. Le chemin spirituel ne consiste pas à gagner plus de paix, plus d’amour, plus de lumière. Il s’agit de perdre tout ce qui bloque votre perception directe de la vérité. Et cette perte ressemble à la mort.

Quand je dis que la plupart des gens ne survivent pas à leur éveil, je ne veux pas dire que leur corps périt. Je veux dire que leur ancien moi n’autorise pas le nouveau à émerger. Ils résistent. Ils s’accrochent. Ils marchandent. Ils essaient de transformer l’éveil en une autre réussite, un autre badge de fierté. Ils veulent l’illumination sans abandon, la vérité sans destruction. Mais c’est comme vouloir nager sans se mouiller. L’éveil exige tout. Il vous dépouille de toutes les faussetés jusqu’à ce qu’il ne reste que le réel. Il vous entraîne dans le chaos, dans l’inconnu, où chaque identité se dissout. C’est pourquoi la plupart des gens se réfugient dans la sécurité de la distraction. Ils remplissent leur esprit de bruit, de travail, de relations, de divertissements, de tout ce qui peut éviter de se confronter au silence qui expose l’illusion du moi.

Mais si vous pouvez rester dans ce silence, ne serait-ce qu’un instant, quelque chose de miraculeux se produit. Vous commencez à ressentir que, derrière toutes vos peurs, derrière toutes vos pertes, quelque chose observe. Et ce quelque chose, c’est vous. Pas le vous qui s’inquiète, qui planifie, qui s’efforce de devenir spirituel. C’est le pur témoin, celui qui voit tout mais reste intouché. La tragédie, c’est que la plupart des gens ne découvrent jamais cette conscience plus profonde, car ils ne laissent jamais l’ancien mourir complètement. Ils s’arrêtent à mi-chemin. Ils s’éveillent assez pour tout remettre en question, mais pas assez pour faire confiance à la chute. Et l’éveil exige cette chute. Vous ne pouvez pas vous éveiller tout en vous accrochant à vos anciens conforts. Vous devez vous laisser dissoudre, comme une goutte d’eau retournant à l’océan. Ce n’est qu’alors que vous réalisez que vous n’avez jamais été séparé.

Ce processus n’a rien de poétique lorsqu’on le vit. Cela ressemble à une perte. Vos relations peuvent se briser. Vos ambitions peuvent s’effacer. Vous pouvez vous sentir incapable de vous connecter au monde comme avant. Vous pouvez vous sentir isolé, incompris, voire condamné. Mais cette isolation est le cocon de la transformation. Vous renaissez dans une conscience qui ne dépend plus de la validation ou du contrôle. La plupart des gens, cependant, ne supportent pas cet entre-deux. Ils veulent une clarté immédiate, une paix instantanée. Ils ne réalisent pas que l’éveil n’est pas une destination. C’est une mort et une renaissance continues, encore et encore, sans fin.

C’est pourquoi le voyage spirituel commence souvent par le désespoir. Le désespoir vous met à nu. Il ne vous laisse rien à quoi vous accrocher. Et quand vous n’avez plus rien à tenir, vous commencez enfin à voir. Vous voyez que vous n’avez jamais été le penseur, jamais l’acteur. Vous étiez l’espace silencieux dans lequel la pensée et l’action apparaissaient. Cette réalisation effraie l’ego, car elle signifie que son histoire est terminée. Pourtant, dans cette fin réside la liberté la plus profonde. Vous n’avez plus besoin de vous prouver. Vous ne courez plus après le sens, car vous êtes devenu le sens lui-même. Un être pur, sans effort et complet.

Mais souvenez-vous, l’éveil ne vous rend pas supérieur. Il vous rend simple. Il vous ramène sur terre, dans l’instant présent, où la vie s’écoule naturellement, sans effort. L’homme éveillé n’échappe pas au monde. Il devient un avec lui. Il rit, il pleure, il aime, mais il ne croit plus qu’il est celui qui fait ces choses. La vie vit à travers lui. C’est la beauté de cela. Mais pour la plupart des gens, cet abandon est insupportable. Ils veulent s’éveiller, mais à leurs propres conditions. Ils ne réalisent pas que la seule chose qui se tient entre eux et l’éveil, c’est celui qui le veut.

Ainsi, le chemin spirituel ne consiste pas à gagner le contrôle, mais à le perdre. C’est voir que vous n’avez jamais été en contrôle pour commencer. Plus vous luttez pour préserver le moi, plus l’éveil devient douloureux. Mais une fois que vous cessez de résister, le chaos devient musique. La confusion devient clarté. Vous réalisez que la destruction de l’ancien n’est pas une punition. C’est une grâce. La plupart des gens ne survivent pas à leur éveil, car ils essaient de survivre. Mais l’éveil n’est pas une question de survie. C’est une question d’abandon. Et une fois que vous vous abandonnez, vous ne survivez pas en tant que celui que vous étiez. Vous vous éveillez en tant que ce que vous avez toujours été.

L’instant où vous vous abandonnez, le combat cesse. La souffrance n’a jamais été causée par l’éveil lui-même, mais par la résistance à celui-ci. Quand vous cessez de résister, quelque chose d’incroyable se produit. L’énergie qui servait à maintenir l’illusion commence à s’écouler librement à nouveau. La vie devient plus légère, spontanée. Vous cessez de prendre vos pensées au sérieux, car vous les voyez pour ce qu’elles sont : des nuages passant dans le vaste ciel de la conscience. Mais cette étape, cette liberté, ne vient qu’après la tempête. La plupart des gens abandonnent avant que l’aube n’arrive, croyant que l’obscurité signifie qu’ils ont échoué. Alors qu’en vérité, ils étaient plus proches que jamais.

Le monde moderne a fait de l’éveil un luxe, une sorte d’amélioration personnelle. Les gens le poursuivent comme s’il s’agissait d’un produit à acheter : des cours, des retraites, des solutions rapides. Mais l’éveil n’est pas une expérience que vous ajoutez à vous-même. C’est la chute du moi qui veut des expériences. Vous ne pouvez pas posséder l’illumination, car l’illumination est la fin de la possession. C’est pourquoi le chemin semble cruel pour l’ego. Il lui prend tout ce à quoi il peut s’accrocher. Vous pouvez perdre des amis qui ne comprennent pas votre silence. Vous pouvez perdre des ambitions qui vous définissaient autrefois. Mais ce que vous gagnez ne peut plus être perdu.

Vous commencez à voir que tout est connecté, qu’il n’y a pas de séparation entre l’observateur et l’observé. Vous regardez un arbre, et pendant un instant, vous ne le voyez pas comme un objet extérieur. Vous vous voyez en lui, la même vie s’exprimant sous une forme différente. Cette vision n’est pas de l’imagination. C’est la réalité vue sans distorsion. La tragédie, c’est que la plupart des gens ne perçoivent jamais cette vérité, car ils sont trop occupés à la chercher dans le futur. Mais l’éveil est toujours maintenant. Il se produit dans ce souffle, ce silence, cet instant ordinaire que nous négligeons si souvent.

L’éveil n’est pas la fin de la vie humaine. C’est le début d’une vie véritable. Quand vous réalisez que vous n’êtes pas séparé, vos actions deviennent naturellement harmonieuses. La compassion surgit, non comme un devoir moral, mais comme une expression spontanée de l’unité. Vous n’essayez pas d’être gentil. Vous l’êtes simplement, car vous vous voyez en chacun. Mais encore une fois, l’ego peut se faufiler. Il essaiera de revendiquer même cette réalisation. Il dira : « Je suis illuminé. » Et à cet instant, il replonge dans le rêve. L’éveil n’est pas un état permanent pour l’ego. C’est sa disparition.

Quand vous vous sentez perdu, incertain ou effrayé pendant votre éveil, souvenez-vous de ceci : la confusion fait partie du processus. La graine doit se briser pour que l’arbre puisse pousser. L’obscurité n’est pas votre ennemie. C’est votre gestation. La plupart des gens ne survivent pas à leur éveil, car ils ne font pas confiance à cette rupture. Ils pensent qu’ils s’effondrent, alors qu’en réalité, ils s’ouvrent. Ce que vous perdez, ce n’est pas la vie, mais l’illusion de contrôler la vie. Une fois cette illusion dissoute, tout ce que vous cherchiez – la paix, la clarté, l’amour – se révèle avoir toujours été là, attendant patiemment que vous cessiez de chercher et que vous voyiez simplement.

L’ancien vous hurle, lutte à chaque souffle pour préserver son histoire. Il dit : « Qui serai-je si je lâche prise ? » Mais vous n’avez pas besoin de répondre à cette question, car celui qui la pose n’est pas réel. Dès l’instant où vous cessez de nourrir cette voix, une intelligence plus profonde commence à circuler à travers vous. Vous commencez à vivre par l’intuition plutôt que par la peur, par la confiance plutôt que par le contrôle. Et la vie, autrefois chaotique et lourde, devient une sorte de danse. Vous ne la chorégraphiez pas, vous bougez avec elle. C’est le rythme de l’éveil : danser avec l’existence au lieu de la fuir.

L’éveil n’est pas une évasion spirituelle. C’est l’engagement le plus radical possible avec la vie. Il ne vous éloigne pas du monde. Il vous y ramène avec de nouveaux yeux. Même les choses les plus simples – une goutte de pluie, le sourire d’un inconnu, le son de votre propre respiration – deviennent des miracles, car elles ne sont plus filtrées par la pensée. Vous les vivez directement. C’est ce que les mystiques appelaient voir le monde tel qu’il est. La plupart des gens sont trop occupés à penser à la vie pour la vivre réellement. L’éveil met fin à cette distraction et vous ramène à l’immédiateté vive et brute de l’être.

L’éveil ne signifie pas que la vie cesse d’être douloureuse. Cela signifie que vous ne résistez plus à la douleur. Vous ne construisez plus d’histoires autour d’elle. Vous la laissez monter et retomber comme une vague. La personne éveillée ressent profondément la joie, la tristesse, la beauté, la perte, mais ne s’accroche à rien de tout cela. Elle sait que tout, aussi intense soit-il, est temporaire. Cette compréhension vous libère de la souffrance. Vous cessez d’essayer de rendre la vie permanente. Vous la laissez s’écouler, et dans cet écoulement, vous découvrez une paix qui ne dépend pas de ce qui se passe. C’est la paix d’être aligné avec le mouvement de la vie elle-même.

La raison pour laquelle si peu de gens survivent à leur éveil, c’est qu’ils essaient de le comprendre au lieu de le vivre. L’intellect peut vous conduire à la porte, mais il ne peut pas la franchir. Vous devez lâcher prise sur l’analyse, sur les étiquettes, et entrer dans l’inconnu. Le véritable éveil commence lorsque vous abandonnez le besoin d’expliquer tout. Quand vous pouvez reposer dans le mystère sans peur, vous devenez libre. Car la vie elle-même est un mystère, toujours en changement, toujours en devenir. L’éveillé ne demande pas de réponses. Il danse avec la question, confiant que le rythme de l’existence révélera exactement ce qui doit être su.

Si vous vous trouvez au milieu de l’éveil et que cela semble insupportable, sachez ceci : c’est normal. Vous vous défaites de siècles de conditionnement. Vous dissolvez des illusions portées par l’humanité depuis des générations. La douleur que vous ressentez n’est pas personnelle. Elle est collective. Vous guérissez l’esprit du monde à travers votre propre transformation. Soyez patient avec vous-même. Ne vous précipitez pas pour en finir. L’éveil n’est pas une ligne d’arrivée. C’est un approfondissement. À chaque instant, la vie vous invite à vous éveiller un peu plus, à vous abandonner un peu plus, à aimer un peu plus pleinement. C’est l’épanouissement éternel.

À un moment donné, quelque chose de magnifique se produit. La lutte s’arrête. Pas parce que vous avez trouvé toutes les réponses, mais parce que vous avez réalisé qu’il n’y avait jamais de questions pour commencer. Le mental se tait, et vous commencez à rire, car la vérité n’a jamais été cachée. Elle était toujours là, sous vos yeux, déguisée en ordinaire. Vous réalisez que ce que vous cherchiez était celui qui cherchait. Et à cet instant, toute séparation disparaît. Vous voyez que l’univers n’a jamais été en dehors de vous. Vous n’êtes pas une goutte dans l’océan. Vous êtes l’océan entier en mouvement.

Cette réalisation ne peut pas être exprimée. Elle ne peut qu’être vécue. Quand vous regardez le monde avec des yeux éveillés, vous voyez la beauté même dans le chaos, le sens même dans les fins. La vie ne vous arrive plus. Elle se produit en tant que vous. Vous cessez de demander un but, car vous êtes devenu le but lui-même. Chaque souffle, chaque instant est l’expression du tout. Mais n’en faites pas une idée. Dès l’instant où vous pensez l’avoir saisi, cela vous échappe. L’éveil n’est pas une conclusion. C’est une découverte continue. Il continue de s’approfondir tant que vous restez ouvert à l’émerveillement.

Si tout s’effondre, souvenez-vous que vous n’êtes pas puni. Vous êtes purifié. La vie que vous avez construite sur l’illusion meurt pour que la vérité puisse vivre à travers vous. N’essayez pas de sauver l’ancienne structure. Laissez-la brûler. De ses cendres, quelque chose de magnifique émergera. Pas une nouvelle version de vous, mais la fin de l’idée de vous. Et dans cette fin, vous trouverez une paix si vaste, si complète, que le mot « éveil » ne s’applique même plus. Il n’y a que cet instant infini, silencieux et lumineux.

Ils pensent qu’ils se perdent, mais ils ne perdent que leurs chaînes. L’ego ne peut pas survivre à la vérité, et c’est précisément le but. Ce qui meurt dans l’éveil n’a jamais été réel pour commencer. Et ce qui reste, quand toutes les illusions s’effacent, c’est la vie elle-même. Intense, éternelle, ininterrompue. Vous êtes cela. Vous l’avez toujours été. Le reste n’était qu’un rêve. Alors, ne craignez pas votre éveil. Craignez de rester endormi. Car rester endormi, c’est vivre à moitié, courant éternellement après des ombres pendant que le soleil attend patiemment. Alors, respirez, faites confiance, abandonnez-vous. Quand tout semble s’effondrer, c’est seulement le faux qui cède la place au réel. Laissez l’éveil vous consumer. Laissez-le vous mettre à nu. Et ce faisant, vous découvrirez que ce que vous êtes vraiment ne peut être détruit, ne peut être perdu, ne peut mourir.

Vous n’étiez jamais censé survivre à l’éveil en tant que la personne que vous étiez. Vous étiez destiné à vous éveiller en tant que la conscience qui a rêvé cette personne. Et une fois que vous savez cela, que vous le savez vraiment, vous verrez que vous n’avez jamais eu à survivre à votre éveil. Vous étiez l’éveil lui-même.

03/10/2025

Communiqué de presse de l’Omnes :
« La naturopathie : STOP aux amalgames et aux clichés - une pratique rigoureuse au service de la prévention

Paris, le 02 octobre 2025 –

À la suite de la promotion du livre « Naturopathie l’imposture scientifique » et de sa reprise médiatique, l’OMNES (Organisation du Métier de Naturopathe Éducateur de Santé) souhaite réagir et apporter des éléments de clarification essentiels.



Une réalité plus large que quelques dérives

Comme dans toute profession en France, des pratiques isolées peuvent s’écarter du cadre éthique ou légal. Ces dérives doivent être dénoncées et combattues. Mais réduire la naturopathie à ces seuls cas revient à occulter la réalité vécue par des milliers de praticiens responsables et par les nombreuses personnes qu’ils accompagnent au quotidien dans une démarche de prévention et d’éducation à la santé.

L’OMNES, un cadre éthique et déontologique clair

Créée il y a plus de 40 ans, l’OMNES regroupe aujourd’hui près de 2000 naturopathes certifiés et assurés, tous respectant :

une charte de déontologie ;
un niveau minimal de 1200 heures de formation reconnue ;
l’interdiction stricte de poser un diagnostic médical ou d’interférer avec un traitement prescrit par un médecin ;
une obligation de formation continue pour maintenir la qualité de leur pratique.
Ces engagements constituent une barrière claire contre les dérives qui peuvent entacher l’image de la profession.

Un cadre national et international de référence

La naturopathie se structure au niveau national grâce au Collectif Naturopathie, qui regroupe les six principales organisations professionnelles françaises : AFNAT, APHN, APNF, FENA, OMNES, SPN. Le collectif a initié la rédaction d’une norme AFNOR en naturopathie, visant à encadrer la pratique de manière claire, éthique et cohérente, tout en apportant un repère fiable pour le public et les pouvoirs publics.

Cette initiative vise à définir et structurer notre métier autour de pratiques claires, éthiques et cohérentes, au bénéfice des professionnels, des usagers et des pouvoirs publics.

Sur le plan international, l’OMNES est vice-présidente de la Fédération mondiale de naturopathie (WNF), qui regroupe plus de 60 pays et contribue à structurer la profession à l’échelle mondiale.

La naturopathie est pratiquée dans 108 pays dans le monde et 34 d’entre eux ont légiféré pour intégrer la naturopathie dans leur système de santé (Canada, Etats-Unis, Suisse, Australie, Inde…).

Cette implantation internationale montre que la naturopathie ne peut être réduite à quelques dérives individuelles. Elle est reconnue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme une médecine traditionnelle et complémentaire, structurée et largement intégrée dans de nombreux pays. Cette réalité internationale éclaire sur le vrai visage de la naturopathique, pratiquée consciencieusement par des milliers de naturopathes, dans le respect de la personne et de son suivi médical.

« Il est regrettable que certains articles ou ouvrages continuent, depuis des années, à ne présenter que les mêmes cas extrêmes. Ces situations restent très minoritaires et ne reflètent en rien la pratique quotidienne de la naturopathie, exercée par des professionnels responsables, formés et encadrés, qui accompagnent leurs clients dans une démarche de prévention et d’éducation à la santé.
Réduire notre profession à quelques dérives isolées ne reflète pas la réalité vécue par la grande majorité des praticiens et des personnes qu’ils accompagnent."

Benjamin DUPUIS, Directeur de l’OMNES

La naturopathie, un accompagnement complémentaire et fondé sur des preuves

La naturopathie ne se substitue pas à la médecine. Elle se situe dans le champ de la prévention et de l’éducation à la santé : hygiène de vie, nutrition équilibrée, activité physique adaptée, gestion du stress, sommeil, soutien de la vitalité.

Des données scientifiques confirment la pertinence de cette approche.

Le Health Technology Assessment de la Fédération Mondiale de Naturopathie, recense plus de 2000 études scientifiques revues par les pairs et 300 études cliniques sur la naturopathie : plus de 80 % montrent des bénéfices concrets pour les usagers, notamment dans la prévention et dans la gestion complémentaire à la médecine conventionnelle des maladies chroniques (cancers, troubles endocriniens, maladies cardiovasculaires, troubles digestifs, affections musculosquelettiques).
La sécurité des pratiques naturopathiques est confirmée : très peu d’effets indésirables lorsqu’elles sont encadrées et intégrées dans un suivi adapté.
La base internationale MEDLINE recense des dizaines de milliers d’études sur les techniques utilisées par les naturopathes : nutrition, micronutrition, phytothérapie, activité physique, méditation, relaxation, cohérence cardiaque, massages bien-être, réflexologies.
Ces recherches, parfois intégrées aux travaux de l’INSERM, montrent que chacune des briques de la naturopathie dispose d’une base scientifique solide.

Un enjeu collectif de santé

Au-delà de l'aspect scientifique, la question n’est pas d’opposer deux approches (médecine conventionnelle vs médecine traditionnelle), mais de comprendre qu’elles répondent à des besoins distincts et complémentaires. La médecine conventionnelle diagnostique, traite des maladies et sauve des vies, plus encore dans les cas d'urgence où elle est indispensable.

La naturopathie accompagne, éduque et prévient. Dans un contexte où les maladies chroniques liées à nos modes de vie explosent, ignorer l’apport des pratiques qui encouragent une meilleure hygiène alimentaire, le mouvement ou la gestion du stress serait une erreur. Préserver le système de santé passe aussi par une responsabilisation de chacun face à son hygiène de vie, et c’est précisément ce rôle que joue la naturopathie, dans un cadre légal et éthique.



Appel au dialogue et à l’information juste

L’OMNES regrette que certains ouvrages et articles médiatiques ne présentent qu’une facette partielle et sensationnaliste de la naturopathie. Nous appelons à un débat serein et documenté, qui distingue :

les dérives individuelles, qui doivent être condamnées ;
la pratique sérieuse, encadrée et respectueuse, que nous défendons au quotidien.
Notre organisation est ouverte à toute collaboration avec les pouvoirs publics, les professionnels de santé et les médias, afin de renforcer la transparence, améliorer l’information du public et contribuer à la reconnaissance d’une naturopathie professionnelle et responsable ».


A propos de l’OMNES

L'OMNES (Organisation de la Médecine Naturelle et de l'Education Sanitaire) est une association loi 1901 qui a vu le jour en 1981. L'OMNES est le plus ancien et le plus important groupement de naturopathes professionnels, référence de la Naturopathie en France, tant par son exigence de qualité que par son nombre d'adhérents. Elle regroupe des naturopathes professionnels en exercice sur le territoire français, qui justifient d'une formation complète après avoir suivi un cursus de formation d'une durée minimale de 1200h.

Membre actif des réseaux nationaux (fédérations d'écoles, Collectif Naturopathie, …), européens et internationaux (Fédération Mondiale de Naturopathie - WNF, dont l'OMNES est vice-présidente et représentante pour la France et l'Europe), l'OMNES œuvre pour la reconnaissance officielle de la profession de Naturopathe.

Afin de garantir une pratique professionnelle exemplaire, assurant le respect d'un code de déontologie, l'OMNES propose un label exclusif et déposé d'Educateur de Santé Naturopathe, gage de professionnalisme et d'engagement éthique. Plus d’infos sur OMNES.



Contact presse : Benjamin DUPUIS, Directeur de l’OMNES – 07 83 86 79 48
Pierre Grenet, Président de l’OMNES – 06 87 89 11 57
OMNES – Organisation du Métier de Naturopathe Educateur de Santé

03/10/2025

🏳️ LES ANCIENS NE TRAITAIENT PAS LES MALADIES,
ILS TRAITAIENT L’ÉNERGIE ✔️

⚜️💥🧬 Pourquoi les anciens en savaient-ils plus sur la santé que vous – et même qu’un médecin ?
Vous pensez que la santé, c’est des comprimés, des vitamines et du repos.
Vous croyez que le rhume vient du froid, que la fatigue vient du stress et que le mal de tête vient du manque de sommeil. Imaginez maintenant : tout cela ne sont que des conséquences, pas des causes.
Les anciens ne traitaient pas les symptômes.
Ils rétablissaient l’énergie.
🤪
Et ils savaient : si le champ énergétique de l’homme est détruit, tout sera détruit.
☯️
« Quand l’énergie circule librement, la maladie ne trouve pas refuge dans le corps. »
– Proverbe chinois

🔋 La maladie commence quand tu ne vois plus…
Ils ne faisaient pas d’analyses ni de diagnostics.
Ils n’attendaient pas que le corps « se désagrège ».
Les anciens traitaient avant la maladie – par l’équilibre énergétique.
☯️✨🕉
Le Qi en Chine.
La Prana en Inde.
Le Ka en Égypte.
☀️
Chaque civilisation avait son propre mot.
Mais l’essence était la même : tout est énergie.
Et si elle circule mal, le corps, la psyché et même le destin souffrent.
🏳️
Vous pouvez prendre des vitamines, faire une échographie, manger correctement.
Mais si toute votre énergie est consommée par l’anxiété, le ressentiment, la peur, la course en rond – vous tomberez malade.
*️⃣
Le corps est un écran. Mais le film n’est pas en lui.

🕯 Chakras. Canaux. Champ.
Aujourd’hui, le mot « chakras » sonne ésotérique.
Mais les prêtresses et guérisseurs d’autrefois travaillaient avec eux comme avec un système de précision.

7️⃣ centres.
S’ils sont bloqués, la vie de l’homme commence à se désagréger.
❣️
— La racine est-elle fermée ? Tu as peur de ne pas survivre.
— La gorge est-elle douloureuse ? Tu te tais quand tu devrais crier.
— Le cœur est-il comprimé ? Tu ne peux pas accepter l’amour.
🕊
Les anciens ne traitaient pas le cœur – ils ouvraient l’Anahata.
Ils n’enduisaient pas leurs reins de pommade – ils libéraient le chakra racine.
❤️
Ils travaillaient avec l’essence, pas avec le symptôme.

⏳ Le champ est votre véritable système immunitaire.
Vous pouvez être sain à l’extérieur mais épuisé à l’intérieur.
Car tout au long de la journée, votre champ est « grignoté » par les émotions, les réseaux sociaux et le stress des autres.
🏳️
Les anciens régénéraient le champ régulièrement : par la respiration, les herbes, les rituels de purification, les mantras, les danses, l’énergie.
Ce n’est pas de la « magie » – c’est de l’hygiène énergétique.
🍃
Tu laves ton corps chaque jour, mais quand as-tu lavé ton aura pour la dernière fois ?
Quand t’es-tu purifié des peurs des autres, de leurs plaintes et de la poussière énergétique ?

📿 Tu n’es pas seulement un corps. Tu es une antenne.
Tu lis le monde. Tu ressens les gens. Tu vois des rêves.
Et tout cela vient de l’autre côté du champ.
🔥
Quand il est faible, tu absorbes l’étranger et perds le tien.
Quand il est fort, tu crées la réalité au lieu d’y réagir.
🕊
Les anciens savaient : la guérison n’est pas un combat contre la maladie, mais une restauration de soi comme flux.
🌫
Et tant que vous traitez le corps en oubliant l’énergie, vous êtes comme celui qui repeint les murs alors que les poutres pourrissent.
💫
Ton énergie est la maison de ton destin.
La maladie n’est pas un ennemi. C’est un signal : ici, il y a une fuite.✔️

03/10/2025

« La plupart des gens n'ont aucune idée… Le gars qui a construit notre système médical moderne n'était même pas médecin.

C'était John D. Rockefeller. Un magnat du pétrole. Un homme d'affaires. Un requin.

Et quand il a commencé à raffiner le pétrole, il avait tous ces sous-produits pétroliers dont personne ne savait quoi faire.
Au lieu de les jeter ?
Il les a transformés en médicaments synthétiques

Puis il a utilisé son argent pour prendre le contrôle des écoles de médecine — réécrit les programmes, soudoyé les institutions bancaires , et fait en sorte que tout tourne autour de son type de médecine :
Brevetée. Synthétique. Rentable.

Pendant ce temps, la vraie guérison ?
Disparue.

L'herboristerie, l'homéopathie, la naturopathie — éradiquées. Pas parce que ça ne fonctionnait pas… Mais parce que ça FONCTIONNAIT Ils l'ont qualifiée de « charlatanisme », interdite dans les hôpitaux, effacée des manuels scolaires

Mais voici la partie folle…

Rockefeller lui-même utilisait encore des médecins homéopathes et naturopathes pour sa famille. Parce qu'il savait que ça marchait.

Il ne voulait juste pas que vous y ayez accès.

Parce qu'un patient guéri ?
C'est un client perdu.
Et il ne s'est pas enrichi en laissant de l'argent sur la table.

Il a construit tout un système pour créer des clients réguliers. Et la façon de faire ça est simple : Vous ne soignez pas le problème — vous gérez les symptômes.

Des pilules pour votre douleur
Des médicaments pour votre humeur
Plus de médicaments pour les effets secondaires des premiers médicaments
Et maintenant vous êtes coincé dans le système à vie.

Ce n'est pas de la médecine. C'est un modèle économique.

Nous avons été conditionnés à paniquer au premier signe de fièvre
À faire taire toute toux
À étouffer la douleur au lieu de demander d'où elle vient

Mais les symptômes ne sont que votre corps qui vous parle
Ce sont des messagers
Des avertissements
Des indices
Qui essaient d'attirer votre attention avant que quelque chose de pire n'arrive

Mais la médecine moderne ?
Elle n'écoute pas
Elle les fait taire

Prends la pilule.
Ignore la racine.
Reviens le mois prochain quand ce sera pire.

Et on se demande pourquoi les maladies chroniques sont partout ?

Ce système n'est pas défaillant.
Ce système est conçu ainsi.

Rockefeller n'a pas construit ce système pour vous guérir
Il a construit ce système pour vous accrocher — à vie.

Il ne s'agit pas de santé.
Il s'agit de dépendance.

La vraie guérison commence quand vous arrêtez de faire taire le corps
et commencez à l'écouter

— Demandez pourquoi
— Soutenez la détox
— Nourrissez les carences
— Allez à la racine

Votre corps n'est pas cassé.
Il est brillant.
Il essaie de vous parler depuis tout ce temps.

La vérité est :
Le système n'a jamais été fait pour vous réparer.
Mais votre corps l'a été.

Guérir ne consiste pas à masquer les symptômes.
Il s'agit de découvrir la cause. »

Adresse

4 Rue Denis Lambin/Pôle Santé Denis Lambin
Montreuil-sur-Mer
62170

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 20:00
Mardi 09:00 - 20:00
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