23/09/2025
Je copie-colle un message de la FNAE, le combat n'est pas terminé.
L'état reste sur son idée que les petites entreprises individuelles doivent nécessairement grandir. Que ce n'est qu'un passage.
Personnellement, je ne travaille pas beaucoup, je n'ai pas de gros frais (enfants, voiture, voyage loin, bijoux, toussa), à part mon logement et je fais attention à mes dépenses. C'est une vie qui me va, suis sous le seuil de 36 000 avec du temps de ressourcement. Si je dois payer 20 pourcents en plus, je devrai passer à 5 jours et je ne vois pas comment je pourrais rester passionnée par mon métier et en état de le faire efficacement.
Pour d'autres, c'est juste pas possible d'augmenter. Ces 20 pourcents vont précariser bien des autoentrepreneur·euses.
Bref, affilie-toi, le FNAE se mobilise pour nous.
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Baisse du seuil de TVA ?
Chère auto-entrepreneuse, cher auto-entrepreneur,
Vous l’avez peut-être vu dans Les Echos, Le Parisien ou Challenges cette semaine :
Le gouvernement remet officiellement sur la table la baisse du seuil de franchise de TVA à 25 000 €.
Oui, la même mesure que nous avons réussi à faire suspendre en début d’année !
Aujourd’hui, elle revient dans les discussions budgétaires du Projet de Loi de Finances 2026. Et cette fois encore, le risque est bien réel.
C’est une mesure injuste. Et dangereuse.
Elle pénalise des centaines de milliers d’indépendants qui gagnent modestement leur vie.
Elle ajoute de la complexité administrative pour les plus petits.
Elle dissuade la création d’entreprise.
Elle change les règles du jeu en plein milieu de la partie.
Elle crée de plus une discrimination de seuils dans le bâtiment.
Elle pénalise ceux qui travaillent et veulent s’en sortir, dans un pays où le travail et la création d’entreprise sont devenus primordiaux
Ce que fait la FNAE
Depuis des mois, la Fédération des Auto-Entrepreneurs est en première ligne :
Nous avons obtenu une suspension officielle de la mesure en mars.
Nous avons réuni des députés, organisé la manifestation du 6 maidevant Bercy, mobilisé la presse, porté vos témoignages.
Nous avons été reçus à plusieurs reprises par les cabinets ministériels, les députés, les sénateurs…
Nous avons poussé un premier vote d'annulation à l’Assemblée Nationale, et poussé la mesure jusqu’au Sénat où elle devrait être débattue début octobre
Et aujourd’hui, nous recommençons le combat : nous avons déjà repris la parole dans la Presse, nous remobilisons les députés, nous écrivons lundi au Premier Ministre
Mais nous avons besoin de vous : adhérent ou non, voici comment agir
Si vous êtes déjà adhérent, merci infiniment. Mais le combat est loin d’être fini.
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Si vous n’êtes pas encore adhérent, il est temps de rejoindre le mouvement.
Chaque adhésion compte. Plus nous sommes nombreux, plus notre voix porteà l’Assemblée, dans les médias, dans les réunions techniques.
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