Boussuges psychanalyste "Chronique d'une psy"

Boussuges psychanalyste "Chronique d'une psy" SUR RENDEZ-VOUS. TEL : 06.12.34.22.20
www.psynimesboussuges.org

PSYCHANALYSTE - PSYCHOTHERAPIE
ENFANTS - ADOLESCENTS - ADULTES - COUPLES - PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP PHYSIQUE -
Interventions en entreprises *
Thérapie brève - de soutien - analyse.

La tranquillité d'esprit n'est pas négociable !Avec le temps, vous apprendrez à tenir votre langue, ne pas réagir chaque...
31/07/2025

La tranquillité d'esprit n'est pas négociable !
Avec le temps, vous apprendrez à tenir votre langue, ne pas réagir chaque fois que vous entendez ou voyez quelque chose que vous n'aimez pas.
Vous apprendrez à vous replier
pour éviter ces endroits ou ces gens
qui vous mettent mal à l'aise
& vous commencerez à protéger votre paix.
Votre cercle deviendra ainsi plus petit et à son tour plus sain.
C'est aussi une intelligence émotionnelle.
Apprendre à choisir ses batailles.
Tout le monde ne mérite pas votre attention, votre énergie, votre temps ⌛️

ET VOUS......AVEZ VOUS DE L'HUMOUR ???UN BOUCLIER CONTRE LES DEMONS INTERIEURS !" Pour faire de l’humour, il faut être c...
31/07/2025

ET VOUS......AVEZ VOUS DE L'HUMOUR ???
UN BOUCLIER CONTRE LES DEMONS INTERIEURS !
" Pour faire de l’humour, il faut être capable d’observer le monde de loin, afin de sentir ce que les faits et gestes des humains ont de risible, explique Catherine Mathelin. Les gens possédant un léger fond dépressif y sont particulièrement aptes, car leurs états d’âme les distancient du reste de l’univers. Leur seul véritable souci, c’est eux-mêmes – leur ego, leurs angoisses. Ou leur maladie, s’ils sont hypocondriaques. Ces préoccupations leur accordent toute latitude pour rire du reste qui, en comparaison, leur paraît dérisoire."

A cause d’une éducation rigide, certains individus sont la proie d’un "surmoi" (conscience morale intériorisée) tyrannique, qui engendre en eux de fortes tendances à la culpabilisation et à l’anxiété. "Pour survivre psychiquement, ils s’efforcent de mettre en scène leurs démons intérieurs, explique le psychanalyste Alain Marquet. D’où l’humour à la Woody Allen ou à la Kafka, description tragicomique d’un univers où les relations à autrui –amoureuses, professionnelles, conjugales, familiales– sont d’une complexité f***e."

Dernière particularité psychologique des humoristes : l’agressivité. Meilleur exemple, les Guignols de Canal+, et ce n’est pas Guillaume Durand qui nous contredira. Plus quotidiennement, beaucoup d’entre nous sont pris dans un conflit entre leur moi conscient et des pulsions destructrices, agressives, très véhémentes, qu’ils tentent de dissimuler. L’humour leur permet de passer pour des gens polis, calmes, alors que –exagérons un peu– ce sont intérieurement des assassins en puissance ! "Un mendiant s’approche d’un monsieur bien habillé. Il se plaint : Je n’ai pas mangé depuis trois jours. Réponse de l’interpellé : Vraiment ? Mais, il faut vous forcer, mon vieux !”

JOUER DE MANIÈRE EXCESSIVE À FORTNITE PEUT AVOIR PLUSIEURS IMPACTS PSYCHOLOGIQUES,surtout chez les jeunes joueurs. Voici...
31/07/2025

JOUER DE MANIÈRE EXCESSIVE À FORTNITE PEUT AVOIR PLUSIEURS IMPACTS PSYCHOLOGIQUES,
surtout chez les jeunes joueurs. Voici quelques dangers principaux :

1. Addiction et perte de contrôle

Fortnite est conçu pour être hautement addictif grâce à ses mécaniques de récompense et son aspect compétitif.

Une utilisation excessive peut entraîner une dépendance, où le joueur ressent un besoin compulsif de jouer, au détriment d'autres activités essentielles.

2. Problèmes de concentration et de motivation

Une surconsommation peut diminuer l’attention et la capacité de concentration, surtout chez les enfants et adolescents.

Certains joueurs peuvent perdre l’intérêt pour l’école, le travail ou d'autres loisirs.

3. Augmentation du stress et de l'anxiété

L’aspect compétitif et la pression pour gagner peuvent causer du stress et de la frustration.

Des échecs répétés ou des pertes dans le jeu peuvent déclencher de l’anxiété et une baisse de l’estime de soi.

4. Isolement social et conflits familiaux

Un joueur excessif peut négliger ses relations réelles, préférant les interactions en ligne.

Des conflits avec les parents ou proches peuvent survenir si le jeu prend trop de place dans la vie quotidienne.

5. Troubles du sommeil

Jouer t**d dans la nuit peut perturber le cycle du sommeil, entraînant fatigue, irrit

Une pratique excessive de Fortnite peut entraîner plusieurs risques psychologiques, notamment :

Dépendance au jeu vidéo : L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a reconnu le "trouble du jeu vidéo" comme une pathologie, caractérisée par une perte de contrôle sur le jeu, une priorité accrue accordée au jeu au détriment d'autres activités quotidiennes, et la poursuite du jeu malgré des conséquences négatives.

Isolement social
Problèmes émotionnels
Impact sur le sommeil
Baisse des performances scolaires ou professionnelles

Le temps consacré au jeu peut empiéter sur les obligations scolaires ou professionnelles, conduisant à une baisse de performance, de l'absentéisme ou même un échec scolaire.

« Lorsque Rimbaud dit :« Je finis par trouver sacré le désordre de mon esprit »,il montre qu'il a compris qu'il y a dans...
31/07/2025

« Lorsque Rimbaud dit :
« Je finis par trouver sacré le désordre de mon esprit »,
il montre qu'il a compris qu'il y a dans le désordre quelque chose sans lequel la vie ne serait que platitude mécanique..»

Edgar Morin, (Amour, poésie, sagesse, p.61, Seuil, coll. Points n°P587)

GLOTTOPHOBIE : QUAND TON ACCENT FAIT PARLER l’INCONSCIENT 🎭Alors que tu ouvres la bouche pour commander un café ou parle...
31/07/2025

GLOTTOPHOBIE : QUAND TON ACCENT FAIT PARLER l’INCONSCIENT 🎭Alors que tu ouvres la bouche pour commander un café ou parler de météo, une moue se dessine sur le visage de ton interlocuteur.
Non, tu n’as pas de la salade coincée entre les dents… c’est ton accent qui fait tache.
Bienvenue dans le monde feutré – mais bien réel – de la glottophobie.

Qu’est-ce que la glottophobie ?
C’est la discrimination fondée sur l’accent, la manière de parler, ou les usages linguistiques jugés « non standards ».
Elle peut viser ceux qui parlent avec un accent régional, étranger, populaire, ou simplement différent de la norme dominante (souvent parisienne, il faut bien le dire 🙃).

Une lecture psychanalytique (freudienne, mais pas barbante)
L’accent dérange parce qu’il réveille l’Autre en nous. L’étranger, le provincial, le non-conforme…
Il vient fissurer l’illusion d’une langue "pure", d’une identité figée.
Ce n’est pas l’accent de l’autre qui irrite, c’est ce qu’il dit de nous : que notre propre norme est arbitraire, construite, fragile.
Freud aurait dit que la langue maternelle est le lieu du désir, de l’intime.
Entendre un accent différent, c’est parfois comme surprendre l’autre nu :
ça bouscule, ça met mal à l’aise, alors on juge, on raille, on exclut.
L'accent, c’est l’inconscient sonore.
On ne le contrôle pas, il parle malgré nous.
Et comme tout ce qui échappe au contrôle, il fait peur à l’ego qui veut régner.

28/07/2025

Javier Bardem, parlant de la dépression de Penélope Cruz, a dit un jour :
« Elle ne pouvait pas l’exprimer. Et moi, je n’ai pas su voir l’ampleur du problème. »

Dans un couple, l’amour est parfois là, mais l’incompréhension aussi.
Parce qu’on ne vit pas les choses de la même façon. Parce qu’on ne trouve pas les mots.

Ou parce qu’on croit devoir se taire. Et pourtant, parler peut tout changer.
Pas pour que l’autre devine. Mais pour qu’il puisse entendre.

POURQUOI CERTAIN(E)S RESTENT AUTO-CENTRÉ(E)S AU POINT DE NE PAS VOIR – ET DONC DE NE PAS PRENDRE EN COMPTE – LA SOUFFRAN...
26/07/2025

POURQUOI CERTAIN(E)S RESTENT AUTO-CENTRÉ(E)S AU POINT DE NE PAS VOIR – ET DONC DE NE PAS PRENDRE EN COMPTE – LA SOUFFRANCE DE LA MAÎTRESSE OU DE l’AMANT(E), À QUI ILS/ELLES DEMANDENT D’ATTENDRE LE TEMPS DE "QUITTER" LEUR CONJOINT(E) ? 💔

C’est une question dure. Inconfortable. Mais nécessaire.
On pourrait se contenter de dire :
"c’est de l’égoïsme", mais ce serait trop facile.
Plongeons plus profondément, à la croisée de la psychanalyse, de la psychologie, de la société et de l’humain ancestral.

Ces personnes sont souvent déchirées entre deux pôles :
leur besoin de sécurité (souvent archaïque, ancré dans le fantasme d’un foyer maternel/foyer contenant), et leur désir de transgression, de liberté, d’excitation pulsionnelle.
La maîtresse ou l’amant devient l’objet de ce désir, mais pas encore un "Autre" reconnu dans sa subjectivité.
On ne voit pas sa douleur, parce qu’on est encore pris dans un narcissisme inconscient :
"Ce que je vis est tellement intense, tellement compliqué, que je ne peux pas encore regarder ce que tu ressens."

Il y a une incapacité fréquente à assumer les conséquences d’un choix.
Ces personnes veulent souvent éviter la perte sous toutes ses formes : perdre le confort conjugal et perdre l’amant(e). Elles se mettent alors dans une zone grise, espérant maintenir les deux.
Résultat ? Celui ou celle qui aime "en marge" devient une attente suspendue, une extension du besoin de l’autre, plus qu’un être humain reconnu dans son vécu.

On vit dans une époque schizophrène : on glorifie la fidélité dans les apparences, mais on légitime socialement les doubles vies.
On condamne l’adultère, mais on consomme le fantasme amoureux dans toutes les séries.
Celui qui demande à l’amant(e) d’attendre est souvent prisonnier d’un rôle social, d’une image familiale, d’une pression du regard des autres.
Alors il/elle "gèle" l'autre dans un temps parallèle, un espace sans droit, sans voix.

L'amant(e) est une figure très ancienne : celle de l’amour hors-norme, du lien non reconnu par la tribu, de l’amour sans statut.
Dans toutes les cultures, l’amant(e) a été à la fois adoré(e) et invisibilisé(e).

Aujourd’hui encore, cette position marginale reste chargée d’injustice, car elle est hors du système, hors des lois, hors de la reconnaissance symbolique.
Alors, on ne veut pas voir sa souffrance, parce que la voir, ce serait remettre en cause l'ordre établi.

Alors pourquoi cette cécité émotionnelle ?
Parce que voir la souffrance de l’amant(e), c’est regarder en face sa propre lâcheté, ses contradictions, ses peurs.
C’est accepter que l’amour n’excuse pas tout.
Et que ret**der une décision, c’est déjà faire souffrir.

Ce n’est pas seulement une question de fidélité, mais de responsabilité émotionnelle.
Car celui qui demande à être attendu porte la charge d’une attente qu’il ne mesure pas toujours… ou qu’il préfère ignorer.

S’ASSEOIR DANS LA NATURE, C’EST DÉPOSER SES FARDEAUX AU PIED D’UN ARBRE,écouter le chant du vent comme une berceuse, et ...
24/07/2025

S’ASSEOIR DANS LA NATURE, C’EST DÉPOSER SES FARDEAUX AU PIED D’UN ARBRE,
écouter le chant du vent comme une berceuse, et sentir son âme se délier en silence.

Chaque feuille qui danse est un souffle d’espoir, chaque rayon de soleil, une main posée sur le cœur.

Dans ce moment suspendu,
plus rien ne presse, plus rien ne blesse.

Juste la paix… et l’essentiel qui revient doucement.

RÉFLEXION SUR UNE FORME MODERNE DE LÂCHETÉ MANAGÉRIALE : LA FRILOSITÉ HYPOCRITE DES CADRES INTERMÉDIAIRES :Dans beaucoup...
21/07/2025

RÉFLEXION SUR UNE FORME MODERNE DE LÂCHETÉ MANAGÉRIALE : LA FRILOSITÉ HYPOCRITE DES CADRES INTERMÉDIAIRES :

Dans beaucoup d’organisations, on rencontre un profil managérial assez courant mais rarement nommé : le cadre frileux, celui ou celle qui évite la responsabilité directe, communique par sous-entendus, et n’agit que lorsque sa propre hiérarchie s’en mêle.
Ce comportement, loin d’être anodin, a des conséquences profondes sur les dynamiques d’équipe, la santé mentale au travail, et le climat social de l’entreprise.

Ces cadres vivent souvent dans un inconfort intérieur lié à une angoisse de la confrontation.

On pourrait y voir un conflit entre le Surmoi rigide (la peur de désobéir à l’autorité, de mal faire) et un Moi trop faible pour assumer pleinement ses choix. Plutôt que de s’exposer, ils se placent dans une position d’ambiguïté permanente.

Ils évitent les décisions tranchées pour se protéger narcissiquement de toute critique.
Ce mécanisme de déni de responsabilité leur donne un sentiment illusoire de sécurité.

Ce profil est symptomatique d’un monde du travail hyper-hiérarchisé et bureaucratisé, où la peur de “mal paraître” supplante le courage d’agir.
Ces responsables sont produits par une culture du contrôle, où les cadres sont eux-mêmes sous pression constante, évalués non pas sur la qualité humaine de leur encadrement, mais sur leur capacité à “faire remonter les bons indicateurs”.

Résultat : beaucoup choisissent l’immobilisme diplomatique, pensant que ne pas bouger est plus prudent que d’agir avec initiative.

Ce comportement rappelle celui des intermédiaires dans les systèmes tribaux qui, placés entre le chef et le peuple, naviguent en permanence pour ne pas perdre leur place.
Ils deviennent des agents de stabilité au prix de l’injustice. Dans nos sociétés modernes, ces cadres prennent le rôle du "gardien de l’ordre symbolique", même si cela signifie ignorer la souffrance ou l’injustice vécue par leur équipe.

Humainement ?
-Climat de méfiance généralisée

-Développement de non-dits toxiques

-Sentiment d’abandon chez les collaborateurs

-Usure psychologique de ceux qui, à défaut de leadership, prennent tout sur eux

-Érosion de la motivation et des valeurs collectives

Le courage managérial ne consiste pas à tout savoir ou tout contrôler,
mais à prendre position, même imparfaitement, et à assumer ses choix.
L’hypocrisie prudente n’est pas de la diplomatie, c’est une forme de démission.

Il est temps de revaloriser les responsables courageux, ceux qui préfèrent l’inconfort de l’action à la sécurité du silence, et qui comprennent que leur autorité est d’abord un engagement moral envers leurs équipes

POURQUOI AVONS-NOUS TANT BESOIN DE LIEN … EN CHAIR ET EN OS ?Dans un monde ultra-connecté, où les réseaux sociaux sature...
18/07/2025

POURQUOI AVONS-NOUS TANT BESOIN DE LIEN … EN CHAIR ET EN OS ?

Dans un monde ultra-connecté, où les réseaux sociaux saturent nos journées de notifications, une réalité fondamentale demeure : le lien véritable ne se digitalise pas.

Le besoin de lien prend racine dans notre histoire la plus archaïque : dès la naissance, l’être humain se construit dans la relation à l’autre.
Le visage, la voix, le regard de l’autre sont les premiers miroirs de notre identité.
Le "corps à corps" avec la figure d'attachement fonde notre sécurité intérieure.
Les écrans, aussi lumineux soient-ils, ne remplacent pas la chaleur d’une présence humaine réelle.

L'hyperconnexion masque une déconnexion profonde.
On "parle" plus, mais on se comprend moins.
On "réagit", mais on ne ressent plus.
La société valorise la performance, l’image, la rapidité… mais qu’en est-il de l’écoute, du silence partagé, de la nuance ?
Ces dimensions essentielles ne survivent que dans la relation incarnée, celle du présentiel, du regard qui ne peut être “scrollé”.

Une conversation face à face, c’est un échange d’affects, de gestes, de silences signifiants. C’est un espace où le temps psychique peut exister, où l’on peut être plutôt que paraître.

Créer du lien en présentiel, c’est résister à l’illusion de proximité offerte par le virtuel.
C’est accepter la vulnérabilité, le non-contrôle, la lenteur.
C’est aussi retrouver un peu de ce qui fait de nous… des humains.

Et si on reprenait le temps de se voir, de se parler, de partager un café, un banc, un moment vrai ?

Adresse

442 Avenue Jean Prouvé
Nîmes
30900

Heures d'ouverture

Lundi 08:00 - 20:00
Mardi 08:00 - 20:00
Mercredi 08:00 - 20:00
Jeudi 08:00 - 20:00
Vendredi 08:00 - 20:00

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Boussuges psychanalyste "Chronique d'une psy" publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager