Lise Mourier Psychopraticienne: Hypnose/ Sophrologie/ Pnl

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Lise Mourier Psychopraticienne: Hypnose/ Sophrologie/ Pnl

Thérapie brève - Je vous accompagne en Hypnose Ericksonienne, Sophrologie et PNL. Au plaisir,
Lise MOURIER

J’accompagne adultes, adolescents et enfants dans leur problématique liées au stress/ anxiété, gestion des émotions, troubles du sommeil, phobies, addictions, gestion de la douleur, burnout/ surmenage, préparation mentale ou tout simplement pour surmonter une période de vie compliquée. Les séances sont au tarif de 80€ (à partir de 15 ans) et chaque séance dure 1h environ. Elles sont bien sûr individuelles et personnalisées en fonction de votre objectif et de votre avancement. Certaines mutuelles remboursent la Sophrologie, l’Hypnose ou l’EFT mais cela dépend de votre contrat, le mieux est de contacter directement la vôtre pour demander si il y a une prise en charge. Concernant le nombre de séances nécessaires il est dur de le définir en avance, cela dépend de votre avancement, quoiqu’il en soit les outils avec lesquels je travailles font partie de la famille des thérapies brèves, il n’en faut donc généralement pas beaucoup (en moyenne entre 4 et 6 selon la problématique)

N’hésitez pas à vous rendre sur mon site pour plus d’info www.lisemourier-therapeute.com. Voici les aussi un lien vers les avis de certains de mes patients: https://g.co/kgs/KgJsvr?fbclid=IwAR3jO0eDIidQV7-rfptKAqFC55tIxLoay8A-g2n4ptbjC2CYIfqC-oYHTAE

Je reste bien entendu à votre disposition pour toute question si besoin.

23/11/2025

On connaît tous des périodes intenses mais le surmenage ne s’installe pas du jour au lendemain… et il ne disparaît pas tout seul.

Voici les signaux qui doivent vous alerter:

> Quand la fatigue dure plus de deux semaines malgré le repos

> Quand vous ne récupérez plus : week-ends, nuits, vacances… plus rien n’y fait

> Quand le corps parle : tensions, maux de tête, palpitations, troubles digestifs

> Quand votre comportement change : irritabilité, isolement, perte d’intérêt etc…

> Quand les tâches simples deviennent compliquées et que le mental sature

> Quand vous perdez le sens, l’envie ou la joie

Le surmenage est un message, pas une faiblesse. Il montre simplement que vous avez besoin de ralentir, de modifier certaines choses ou encore de vous recentrer avant de vous effondrer.

N’attendez pas pour prendre ces signaux en compte et à vous faire aider si besoin.

Belle soirée
Lise

19/11/2025

Alors certes une moquerie n’est pas sympa mais on ne peut pas parler de harcèlement… cependant cela peut le devenir.

On parle de harcèlement lorsqu’il s’agit de violences répétées (verbales, physiques, psychologiques ou en ligne) qui s’installent dans le temps.
Il en découle de la peur, de l’isolement ou encore un sentiment d’impuissance face à la situation ainsi qu’un impact émotionnel ou sur la scolarité.

Comment repérer les signes?
* Tristesse, irritabilité, fatigue
* Maux de ventre/ tête avant l’école
* Troubles du sommeil
* Baisse des notes
* Objets abîmés ou perdus
* Blessures sur le corps
* Isolement, perte d’amis
* Peur de retourner à l’école
* Verbalisation du problème

Comment aider son enfant?
* L’écouter
* Lui dire qu’on le croit et le rassurer sur le fait qu’on va tt faire pour l’aider
* Contacter l’école pour exposer les faits et demander que la situation soit prise en compte
* Valoriser son enfant (ses forces, qualités etc…)
* Consulter un thérapeute

Le fait de consulter permet à l’enfant de:
💡 exprimer ce qu’il vit
💡 apaiser l’anxiété, la honte ou la peur
💡 renforcer confiance et l’estime de lui
💡 retrouver sa sécurité intérieure
💡 reconstruire une image de soi positive

En tant que Parent on peut se sentir vraiment démuni face à une telle situation, n’hésitez pas à vous faire aider pour accompagner au mieux votre enfant dans cette épreuve et qu’il se reconstruise.

Belle soirée
Lise

💪

11/11/2025

Après une rupture compliquée ou plusieurs ruptures, il arrive que le cœur se referme un peu et se mette en mode « pause »
Par protection, il se congèle doucement, comme pour éviter de ressentir à nouveau la douleur de la perte, de la trahison ou du rejet.

Personne n’aime souffrir! Dans ce cas c’est simplement un mécanisme inconscient qui peut se mettre en place pour nous protéger et faire qu’on ne revive plus de douleur similaire.

Mais à force de geler nos émotions, on finit parfois par geler aussi notre capacité à aimer pleinement et à vivre de belles histoires.

On continue à vivre, à avancer, à rencontrer parfois… mais soit on n’y va pas à fond, soit dès que ça peut devenir sérieux on fuit ou alors le cœur reste malgré tout « en veille ».

Pr sortir de cet état, il ne sert à rien de forcer son cœur à s’ouvrir de nouveau évidemment, ça n’est pas comme cela que ça fonctionne.

Cela peut passer par le fait d’offrir à son cœur un espace de sécurité pour dégeler petit à petit en:

✨ Revenant dans le corps pour apprendre de nouveau à ressentir les émotions (joie, belles émotions etc…)

✨ Acceptant ses émotions au lieu de les fuir ( peur de souffrir de nouveau, doutes etc…)

✨ Restaurant la confiance en soi mais aussi la confiance en l’autre (spoiler: qui n’est pas la personne qui a fait du mal par le passé…)

Pas facile mais petit à petit on peut y arriver❤️

Belle journée
Lise

08/11/2025

Merci pour votre confiance et vos retours depuis toutes ces années.

> Pour lire les 105 avis ou en rédiger un: https://g.co/kgs/VZE1zJ

> Livre disponible sur: https://amzn.eu/d/6yyntfC

Bon weekend,
Lise

05/11/2025

Non non non, être positif(ve) ne veut pas dire ignorer la réalité, faire semblant que tout va bien ou refuser de voir les difficultés.

C’est plutôt choisir où l’on met son énergie, comment on se parle à soi-même, et quelle place on accorde à ce qui nous arrive.

😊 Être positif(ve), c’est :
> Être ok avec ses émotions, ne pas en avoir peur et les accueillir, même les plus inconfortables

> Accepter que certaines choses ne dépendent pas de nous et savoir dans ces cas là lâcher et prendre du recul

> Se concentrer uniquement que sur ce qu’on peut agir, changer, transformer

> Cultiver la gratitude, même dans les petits riens… pour ne pas être des éternel(le)s insatisfait(e)s

La vraie positivité n’est pas une fuite de la réalité, c’est juste une manière plus consciente d’aborder la vie.

Alors à vous de choisir votre team: s’user mentalement sur le négatif ou être positif(ve) ☀️!

Belle soirée
Lise

✨

16/10/2025

Vous avez sans doute déjà entendu cette phrase :�« Fais comme si tu avais confiance en toi »

Derrière ces mots se cache un principe simple et qui fonctionne :�
Notre cerveau ne fait pas toujours la différence entre ce que l’on vit réellement et ce qu’on imagine fortement.
=> Autrement dit, lorsqu’on adopte la posture, le ton de voix ou les pensées d’une personne confiante, on envoie à notre corps et à notre esprit un message clair : je suis en train d’apprendre à avoir confiance en moi.

Et petit à petit, à force de répétition cette posture « jouée » devient naturelle puisque notre cerveau s’entraîne à une nouvelle manière d’être… jusqu’au moment où se rend compte qu’on a gagné en confiance en soi.

💡Quelques pistes pour “faire comme si” :

1. Adoptez une posture de qquun qui a confiance en elle/lui�Redressez-vous, respirez profondément, levez le regard.�→ la posture influence directement l’état intérieur.

2. Choisissez un langage de confiance�Remplacez : « Je ne suis pas sûr(e)… » par�« Je vais essayer », « Je peux le faire » ou « ça va le faire j’en suis sûr(e) »

3. Visualisez-vous confiant(e)�imaginez-vous agir avec assurance, comme si vous étiez dans la peau d’un(e) de vos proches dont vous admirez sa confiance en lui/ elle.�Ressentez ce que cela changerait, dans votre corps, si vous aviez pleinement confiance.

4. Passez à l’action, même avec la peur�La confiance ne précède pas toujours l’action : elle se construit dans l’action et uniquement en agissant.

Le « faire comme si » ce n’est pas se mentir à soi-même, c’est s’autoriser à évoluer pas après pas. Prenez cela comme un jeu et vous verrez, c’est dans la répétition de l’action que ça se mettra en place!

Belle soirée
Lise

15/10/2025

Qu’y a t’il au delà de la peur?�Nos peurs sont parfois tellement fortes qu’elles nous empêchent d’avancer consciemment ou inconsciemment.
Mais au fond, si on change notre point de vue, l’inattendu peut être porteur des belles surprises, voire des plus belles…

Même si très souvent on ne l’envisage pas, c’est une possibilité qu’il faut envisager autant que les autres en fait!
�C’est parfois ce qui nous fait le plus peur dont nous avons le plus besoin pour évoluer,�nous ouvrir et se sentir plus aligné(e) et à la bonne place.

Belle soirée
Lise

09/10/2025

Souvent on pense que pour être épanoui(e) ou heureux(se) il faut être constamment au top, dans une sorte d’état de bonheur permanent.
�Mais en vrai ça ne marche pas comme ça…

Le bien-être mental n’est pas ni un état que l’on peut figer (comme le bonheur d’ailleurs !) ni une destination, mais un voyage avec ses hauts et ses bas.

Il y a des jours où on se sent trop bien, puissant(e), motivé(e), et serein(e) et d’autres où l’on doute, où on se sent fatigué(e) ou perdu(e)….Et c’est normal !

Chaque émotion, chaque étape fait partie du processus. Ce n’est pas en évitant les moments difficiles qu’on devient plus fort(e), tout le monde vit des moments difficiles et les émotions qui vont avec (fatigue, stress, tristesse etc…), nous ne sommes que des êtres Humains, pas des robots.

L’idée est simplement de les accepter et d apprendre à les traverser avec bienveillance et patience envers soi-même.
�Le vrai bien-être vient de l’acceptation de nos failles, de nos imperfections et de notre capacité à rebondir après un coup dur: nul n’est parfait de ttes façons!

Être en paix avec soi-même, c’est aussi accepter qu’on ne sera pas parfait et que c’est OK de ne pas se sentir au top tout le temps ni de vivre avec un sourire greffé sur son visage H24.

Belle soirée
Lise

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03/10/2025

Pour des résultats différents…. on doit faire les choses différemment… jusque là ça paraît logique et pourtant ….

🔁 À gauche : On garde les mêmes habitudes → on obtient les mêmes résultats… Et pourtant, on s’étonne que rien ne change…

➡️ À droite : On adopte de nouvelles habitudes → on crée de nouveaux résultats

💡 Rien ne bouge tant qu’on ne passe pas à l’action.

C’est ce qu’on fait au quotidien qui façonne notre réalité, pas ce qu’on pense ou ce qu’on espère.

=> Si on veut avancer, il faut OSER changer nos actions, même petites, même si c’est inconfortable au début…. Parce que c’est là que tout commence!

Chaque nouvelle habitude, chaque nouveau choix, c’est une opportunité de se rapprocher de ce qu’on veut vraiment.

Alors, on fait quoi de différent?😋

Belle soirée
Lise

02/10/2025

Cela peut sembler paradoxal : vouloir profondément aller mieux tout en ressentant une peur face à cette idée.

Ce n’est pas un manque de volonté. C’est souvent un mécanisme de protection profondément ancré voire inconscient.

➡️ Pourquoi aurait-on peur d’aller mieux ?

- Parce que le mal-être (aussi douloureux soit-il) est parfois ce que l’on connaît le mieux. Cela devient un repère, une sorte de « zone de confort » (pas confortable!) mais familière

- Parce qu’aller mieux, c’est accepter de changer ses repères intérieurs et ça…. Ça peut faire peur.

- Parce que guérir signifie parfois laisser derrière une identité construite autour de la souffrance :�👉 « Si je ne suis plus celle ou celui qui souffre… qui suis-je alors ? » = on en perdrait presque son identité dis donc… et ça, ça fait peur (spoiler alerte: on est souvent plus aligné(e) quand on lache ce qu’il y a à lâcher au final)

- Parce que cela peut impliquer de faire face à des blessures longtemps cachées/ enfouies et qui a envie de souffrir en vrai?

➡️ Et pourtant… on a le droit d’aller mieux!

Aller mieux, ce n’est pas renier ce qu’on a traversé, ni les épreuves endurées qui ont fait partie de notre construction.�C’est plutôt s’autoriser à être la personne que l’on est réellement au fond pour être plus aligné(e) et se sentir mieux!

C’est un chemin souvent inconfortable certes, parfois lent… mais profondément bon pour soi à terme.

Cela fait peut être écho pr certains sujets non?!

Belle soirée
Lise

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28/09/2025

Le vrai visage de l’anxiété : ce qu’on ne voit pas�👉 Spoiler : ce n’est pas forcément une crise de panique!

Belle soirée,
Lise
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25/09/2025

Des scanners cérébraux ont révélé que les enfants vivant dans des familles instables présentent des modifications cérébrales similaires à celles des soldats de retour du combat….

Le stress chronique déclenche un état d’hypervigilance pouvant affecter la mémoire, les émotions et la réflexion.

Voici des exemples concrets de situations vécues enfants pouvant mener ds mécanismes d’hypervigilance par réactions:

1. Une ambiance tendue et imprévisible
Exemples :
• Un parent qui passe brusquement de la gentillesse à l’agressivité sans raison claire

• Des disputes violentes ou cris fréquents entre les adultes de la maison, sans explication pour l’enfant

• L’enfant ne sait jamais à quoi s’attendre en rentrant chez lui : calme ou chaos

2. L’absence de sécurité émotionnelle
Exemples :
• Un parent qui ne console pas quand l’enfant pleure ou qui minimise constamment ses émotions (« arrête de faire ton cinéma »)

• L’enfant ne peut pas exprimer sa peur ou sa tristesse sans être puni ou moqué
• L’enfant sent qu’il doit gérer seul ses émotions dès le plus jeune âge

3. Des parents eux-mêmes en détresse ou incohérents dans leurs comportements
Exemples :
• Un parent qui lutte avec des addictions (alcool, drogues, médicaments) rendant son comportement instable et imprévisible

• Un parent souffrant de troubles mentaux non pris en charge (dépression sévère, bipolarité, etc...)

• Des règles qui changent constamment selon l’humeur du parent, ce qui laisse l’enfant confus et stressé

4. Des ruptures affectives fréquentes ou une négligence émotionnelle
Exemples :
• Un parent qui entre et sort de la vie de l’enfant sans prévenir ou disparaît pendant de longues périodes

• Des séparations multiples avec des figures d’attachement (placements, changements de foyer, etc...)

• Un environnement où personne ne remarque si l’enfant va mal ou ne prend le temps de s’en soucier

Le cerveau en développement de l’enfant est particulièrement vulnérable mais ces séquelles ne sont pas irréversibles : avec un accompagnement adapté, enfant ou adulte, on peut se reconstruire et retrouver un fonctionnement cérébral plus sain et plus paisible.

Belle soirée
Lise

Adresse

4 Rue Offenbach
Nice
06000

Site Web

http://www.lisemourier-therapeute.com/, https://publishfr.bookmundo.com/books/409997

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Mes spécialisations sont la gestion des émotions (stress, angoisses, anxiété, troubles du sommeil et de l’alimentation), les traumatismes et les phobies mais également la préparation mentale.

Je reçois les enfants et les adultes à mon cabinet au cœur de Nice (arrêt de tram Nice Étoile).

Vous êtes une entreprise et souhaitez mettre en place la prévention des R.P.S au sein de votre politique RH, je vous accompagne tout au long du cycle sur tous les aspects R.P.S et Q.V.T