Magaly Chazot : Psychothérapie relationnelle

Magaly Chazot :  Psychothérapie relationnelle Magaly Chazot
Psychopraticienne en Analyse Transactionnelle- EMDR

De nombreuses problématiques peuvent conduire à faire une psychothérapie, que ce soit à titre individuel ou en couple, cette décision représente toujours un premier acte de bienveillance personnelle.

17/09/2025

"Peu importe ce qui vous fait vibrer, suivez la mélodie de votre cœur. Vous êtes le seul à la connaître..."
(Sarah Marquis - Instincts)

Photo : Noemia Prada

Aucune relation n'est acquise. Jamais.Prenons soin de celles et ceux que nous aimons.
14/09/2025

Aucune relation n'est acquise. Jamais.
Prenons soin de celles et ceux que nous aimons.

Idéaliser ou sous-estimer l'autre ne me permet jamais d'aller à sa rencontre.
23/08/2025

Idéaliser ou sous-estimer l'autre ne me permet jamais d'aller à sa rencontre.

22/08/2025

« Le perfectionnisme est un redoutable ennemi de la vie psychique. Il est responsable de la quasi-totalité des burn-out et d’un bon nombre de dépressions. Il nous pousse à la honte et à l’autodénigrement, nous enjoint de courir sans cesse après des buts imaginaires, et ses injonctions intériorisées nous parlent en un constant dialogue intérieur, sapant notre confiance en soi et élargissant notre faille narcissique…

Aux yeux de notre perfectionniste intérieur comme du perfectionniste extérieur mis en place par les exigences d’une société basée sur la compétition, tous nos efforts ne seront jamais « assez ». Dans son analyse du modèle de la vulnérabilité comme une libération du courage d’être et d’oser qui se vit au sein même de nos limitations, Brené Brown, chercheuse en travail social, se livre à une critique en règle de ce parasite psychique de première catégorie ! Tout d’abord, et contrairement à ce que l’on s’imagine, le perfectionnisme « diffère de la recherche de l’excellence. Le perfectionnisme n’a rien à voir avec la croissance et l’épanouissement harmonieux.

Le perfectionnisme est un mouvement défensif. Il fait croire qu’en agissant parfaitement et en ayant l’air parfait, on peut minimiser ou éviter la souffrance du reproche, du jugement et de la honte ».

Autre croyance à réviser : « Le perfectionnisme n’a rien à voir avec le fait de devenir meilleur. L’essence du perfectionnisme est de tenter d’obtenir l’approbation d’autrui. La plupart des perfectionnistes ont grandi en étant loués pour leurs comportements et leurs accomplissements (diplômes, manières, obéissance aux règles, apparence, performances sportives).

Quelque part en chemin, ils ont adopté ce dangereux et débilitant système de croyances : “Je suis ce que j’accomplis et la manière dont je l’accomplis. Faire plaisir. Accomplir. Parfaire.” » En réalité et à l’inverse de ce que l’on nous raconte, « le perfectionnisme n’est pas la clé du succès. Au contraire, les recherches montrent que le perfectionnisme freine l’accomplissement. Le perfectionnisme est corrélé avec la dépression, l’anxiété, la toxicomanie, la paralysie affective et les occasions manquées ».

En définitive, le perfectionnisme apparaît comme étant une forme subtile de la honte. S’il constitue un piège redouté, c’est parce qu’il représente « un système de croyances addictif et autodestructeur qui alimente principalement cette pensée : “Si j’ai l’air parfait et que je fais tout parfaitement, je peux éviter ou atténuer les sentiments douloureux de honte, de jugement et de reproche”.

Le perfectionnisme est autodestructeur tout simplement parce que la perfection n’existe pas. C’est un but inaccessible. » Bref : s’il nous faut renoncer à notre inféodation à ce système de pensée asservissant, c’est parce que le perfectionnisme est une arnaque ! La seule manière de se libérer de ce chantage perpétuel consiste à sortir volontairement du cercle en renonçant à être parfait, pour n’en devenir que plus complet… »

Issu du livre « découvrir et accueillir sa part d’ombre »
Christophe THUILLIER

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14/08/2025
Un parent violent physiquement ou/et psychologiquement avec la mère ne peut pas être un bon parent. Ce n'est pas qu'il/e...
23/07/2025

Un parent violent physiquement ou/et psychologiquement avec la mère ne peut pas être un bon parent. Ce n'est pas qu'il/elle ne veut pas mais c'est qu'il/elle ne le peut pas.
Dans ces situations familiales l'enfant est aussi victime de ces violences.
N'oublions pas cela.

14/07/2025

🙌 Chacun d’entre nous est son propre « sauveur », de ce fait, personne d’autre, ne peut à ma place, connaître mieux que moi les solutions à apporter à ma vie.

🙏 Lorsque ce n’est pas le cas, un soutien psychologique personnel peut me permettre d’apprendre à assumer la réalité de mes besoins et reconnaître toutes mes capacités à être mon propre « génie » décideur et créateur.

👉 Un travail de compréhension de soi et d’introspection qui me donne la possibilité de ne pas projeter toutes les attentes que j’ai de la vie sur les autres.

🤝 L’accompagnant psychologique est donc, à ce moment-là, un soutien neutre et bienveillant, laissant au consultant toute la place pour trouver sa voie (voix).

🤲 Il considère ainsi que tout travail évolutif de reconstruction de soi revient au sujet lui-même...
Isabelle Hatier




Il n'y a pas que la violence physique.Ne sous-estimez pas la violence psychologique dont les dégâts sont innombrables ca...
08/04/2025

Il n'y a pas que la violence physique.
Ne sous-estimez pas la violence psychologique dont les dégâts sont innombrables car cette violence existe dans le silence, face aux rires gênés de l'entourage, lorsque la porte de la maison se referme.
La violence psychologique est un mécanisme d'emprise sournois, c'est la raison pour laquelle beaucoup de victimes subissent sans pouvoir se défaire de ces liens.
Si vous avez un doute, une question, ne restez pas seul.e, ne vous laissez pas submerger par la honte.
Parlez-en à des professionnel.le.s, nous saurons vous accompagner.

Je suis indépendante, je me sens libre.
J’ai rencontré quelqu’un d’extraordinaire. Il est plus âgé, intelligent, et il me traite comme une dame.
Il me dit que je suis belle, pleine de sagesse ; il aime ma manière de voir la vie.
Je sais que je ne devrais même pas y penser, mais… si, un jour, il me frappait, je partirais.

Il me traite tellement mieux que quiconque avant lui. Il me remarque vraiment, il me couvre de compliments, il m’écrit sans cesse.
Il est mûr, plus réfléchi, et jamais – jamais – il ne me ferait de mal.
Bien sûr, il ne le ferait pas. Mais si, par impossible, il me frappait, je partirais.

Il y a entre nous une connexion difficile à décrire. Il me comprend, profondément.
Il veut les mêmes choses que moi dans la vie.
Pour la première fois, je me sens totalement comprise.
Je suis pleine d’espoir, d’enthousiasme — et lui aussi, il le dit !
Il ressent la même chose que moi !
C’est impensable, inimaginable… mais si un homme me frappait, je partirais.

Il dit qu’il m’aime. C’est un peu tôt, non ?
Il veut qu’on emménage ensemble. Mais cela ne fait qu’un mois qu’on est ensemble.
Et maintenant, je l’ai vexé. Que suis-je en train de faire ?
Peut-être que je ne rencontrerai plus jamais une âme sœur comme lui.
D’accord… je le fais. Je t’aime aussi.
Il ne me frappera pas, mais si un jour il le faisait, je partirais.

Nous vivons ensemble, désormais. Il semble un peu distant.
Je me demande ce qui ne va pas. J’essaie de lui remonter le moral, mais rien n’y fait.
Je tente tout ce qu’il aime d’habitude : la maison impeccable, un bon dîner, une parole tendre, des gestes doux.
Mais il reste fermé. Peut-être ai-je fait quelque chose de mal, mais quoi ?
On était si bien, avant… Je vais tout faire pour que ça marche.
Mais bien sûr, s’il me frappait, je partirais.

Les choses ont changé. Quand cela a-t-il commencé ?
Il se met en colère, une colère noire, ses yeux deviennent étranges, presque possédés.
Il crie, tempête, hurle comme jamais je ne l’aurais imaginé.
Puis, il se referme. Un silence glacial.
Des jours entiers à faire comme si je n’existais pas.
Je le supplie de me pardonner — mais je ne sais même plus pour quoi.
Et soudain, tout redevient normal. L’homme d’avant est là, souriant.
Si seulement je cessais de tout gâcher, peut-être qu’il ne se fâcherait plus.
Mais s’il me frappait… oui, je partirais.

C’est touchant, dit-il, combien je suis naïve.
Il a sans doute raison, il est plus malin que moi.
Je veux voir mes amis, mais il dit que ça le blesse.
Est-ce que je pense à ce qu’il ressent ? Il n’a personne ici, lui.
Et moi, je veux sortir ? Quelle égoïste je fais.
Je dis pardon. Je reste à la maison, devant la télé, avec lui, en silence.
Mais s’il me frappait… je pense que je partirais.

On déménage. Il dit qu’il sera moins stressé près de sa famille.
Je demande si je peux voir mes amis avant de partir.
Est-ce vraiment une bonne idée ? dit-il.
Il me rappelle que je les ai négligés depuis qu’on est ensemble.
Ils doivent m’en vouloir. Il a raison. Quelle mauvaise amie j’ai été !
Je ne leur écrirai pas.
Quelle chance j’ai qu’il m’aime malgré tous mes défauts…
S’il me frappait… je crois que je partirais.

Nous avons déménagé. Je me sens si seule.
Il travaille beaucoup.
Quand il n’est pas là, je suis moins tendue — mais il me manque terriblement.
J’attends son retour.
J’entends la clé dans la serrure. Mon cœur s’emballe : joie… et angoisse.
Dans quel état d’esprit va-t-il rentrer ?
Il semble normal. Je me blottis contre lui sur le canapé.
Il soupire : « Je suis fatigué. Tu es trop en demande. »
Je me sens vide, et j’ai soif de son amour.
S’il me frappait… je suppose que je partirais.

Ses amis sont là. J’aime ces moments, il est plus affectueux.
Il dit qu’il est fier de moi.
Ils nous trouvent beaux ensemble, demandent quand on se marie.
Je vois ce regard dans ses yeux.
Quand ils partent : « POURQUOI T’AS FAIT ÇA ?! »
Je panique. Peut-être qu’il va me quitter cette fois.
Je me sens dévastée.
S’il me frappait… je ne sais pas si je partirais.

On prévoit une sortie. C’est rare.
Je fais tout pour que tout se passe bien.
Il s’énerve : je suis trop lente à me préparer.
Ce n’est pas grave, je pense.
Mais il y a des embouteillages. Je commence à angoisser.
Il conduit dangereusement près des voitures.
Il sait que je déteste ça, mais je n’ose rien dire.
Il hurle, jure. Mon cœur se serre. Je suis en tort, forcément.
Je me fais toute petite, pour ne pas aggraver les choses.
S’il me frappait… je ne suis pas certaine que je partirais.

C’est comme ça depuis un moment.
Il dit que je suis trop sensible.
« Si tu ne m’aimes pas tel que je suis, tu sais où est la porte. »
Il ne me retiendrait pas.
Mais je n’ai nulle part où aller. Et je ne vaux rien.
Il est parfois gentil. Peut-être souvent. Tout est flou.
Je ne comprends plus rien.
C’est sûrement moi. Trop fragile. Trop compliquée.
S’il me frappait… je crois que je ne partirais pas.

Quelque chose a changé. Les colères sont plus violentes.
Il jette des objets. C’est ma faute : je l’énerve.
Il dit qu’il appellera la police si je touche à ses affaires.
Ou qu’il me fera du mal si je n’écoute pas.
Il ment, je le vois maintenant.
Des mensonges sur l’argent, sur sa vie, sur moi.
Je suis vide.
Brisée.
S’il me frappait, la douleur aurait peut-être au moins un sens.
Mais il ne l’a pas fait.
Et ce n’est pas pour cela que je pars.

Je l’ai quitté.
Je me sens dépouillée, battue, épuisée, perdue — mais libre.
Libre… et pourtant, mon esprit reste en cage.
J’ai été brisée. Le chemin vers la guérison est long.
« C’était de la violence ? » me demandent-ils.
« Que faisait-il, exactement ? »
J’explique… Mais comment dire, comment transmettre, quand ma douleur est si vaste ?
« Ce n’est pas fameux, mais au moins il ne t’a jamais frappée », disent-ils.

"Les hommes qui frappent ne sont pas des hommes" de Emma Rose Byham.

02/04/2025

👉🏻 Le jeu psychologique, également appelé en analyse transactionnelle, « triangle de Karpman », symbolise les interactions répétitives nuisibles, basées sur des schémas comportementaux inconscients.

🔎 Ce que l’on appelle des « jeux psychologiques » n’ont de ludiques que le nom car ils sont toxiques et sont bien souvent destructeurs.

🔦 En comprenant ces dynamiques personnelles, il devient également possible d’éclairer les relations interpersonnelles et d’identifier les patterns relationnels qui se transmettent de génération en génération.

📝 Dans cette perspective, l’exploration des jeux favoris au sein des familles met en lumière comment ces modes de communication peuvent refléter des loyautés invisibles ou des héritages psychiques familiaux inconscients.

☢️ Ces modes de fonctionnement qui dictent les comportements de chacun se transmettent de manière intergénérationnelle, à l’image d’un héritage familial...

🔃 Ainsi le jeu favori d’une personne peut se retrouver chez ses parents et grands-parents, et inversement, chez ses enfants qui, à leur tour, perpétueront ce fonctionnement…

🔒Bien que les jeux puissent se modifier ou se transformer avec chaque génération, une tendance à la continuité se manifeste quand même chez ceux qui rejouent cette dynamique relationnelle.

↪️ Ce fonctionnement relationnel automatique souligne l’importance des patterns relationnels inconscients dans la construction de notre identité et des liens affectifs qui ont participés à notre construction personnelle.

🔗 Ainsi bien souvent beaucoup de nos choix même soit disant mûris et réfléchis peuvent être influencés par des schémas psychologiques hérités des générations précédentes...

🔑 Pour sortir de cette dynamique familiale, un travail thérapeutique sur l’arbre généalogique peut nous aider à mettre en lumière cette transmission transgénérationnelle… Isabelle Hatier


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