Toucher à la Présence à la Maison Bleue

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18/09/2025

« Il fallait prévenir les abeilles lorsqu’un être cher mourait.
Car si on oubliait… elles pouvaient s’en aller. Ou mourir de chagrin. »

Dans les replis paisibles de la vie rurale, une ancienne tradition bruissait doucement : dire aux abeilles.
Un rituel tissé de respect, de mystère, et d’un lien presque sacré entre l’homme et la nature.

Au XVIIIe et XIXe siècle, en Europe comme en Amérique, les apiculteurs ne voyaient pas les abeilles comme de simples insectes.
Elles étaient des membres à part entière de la famille, des messagères entre ce monde et l’au-delà.
Et comme tout proche, elles avaient droit à la vérité lorsque quelque chose d’important survenait.

À la mort d’un être aimé, lors d’un mariage ou d’une naissance, la maîtresse de maison — bien souvent la « bonne épouse » — s’approchait du rucher.
Elle frappait doucement sur la ruche, puis murmurait la nouvelle : un nom, un adieu, une promesse.
Parfois même, on recouvrait la ruche d’un voile noir, signe de deuil.

Pourquoi ce geste ?
Parce que la légende disait que si les abeilles n’étaient pas informées, elles pouvaient dépérir, cesser de produire du miel, abandonner la ruche… ou mourir.

Ce n’était pas qu’un folklore.
C’était l’expression d’une profonde croyance : que les abeilles ressentaient la joie comme le chagrin, et qu’elles devaient participer à la vie de la maisonnée.

Cette tradition plonge probablement ses racines dans la mythologie celtique, où les abeilles étaient vues comme des courriers de l’âme, capables de voyager entre les vivants et les morts.
Apercevoir une abeille après un décès, c’était parfois y voir l’âme en vol.

Certains apiculteurs allaient jusqu’à partager avec elles un morceau de gâteau de noces, ou quelques gouttes de vin, les invitant à la fête.

Il s’agissait d’une relation réciproque : respecter les abeilles, c’était recevoir en retour la bénédiction du miel et la prospérité de la ruche.

Dans un monde de plus en plus bruyant et déconnecté de la nature, la tradition de parler aux abeilles demeure un rappel précieux —
Celui de la tendresse silencieuse de nos ancêtres,
qui ne se contentaient pas de cultiver la terre,
mais dialoguaient avec elle.
Et dans ce dialogue, ils croyaient que les créatures du monde portaient en elles les secrets de la vie, de la mort…
et de tout ce qui danse entre les deux.
Le monde littéraire

29/08/2025
29/08/2025
20/08/2025

Jusqu’à ce que nous ayons vu l’obscurité de quelqu’un, nous ne savons pas vraiment qui il est. Chacun peut briller dans ses plus beaux moments, afficher un sourire et montrer au monde ses forces. Mais c’est quand la tempête éclate, quand les ombres s’avancent et que le poids de la vie devient lourd, que la véritable nature d’une personne commence à se révéler.

Nous découvrons qui elle est dans ses luttes, dans ses peurs, dans ses erreurs, et dans les choix qu’elle fait lorsque personne ne la regarde. L’obscurité ne signifie pas toujours le mal, elle peut être douleur, insécurité, colère, regret ou blessures du passé. Connaître quelqu’un en profondeur, c’est regarder au-delà de sa lumière et accepter de comprendre les ombres qui marchent avec lui.

Et tant que nous n’avons pas pardonné l’obscurité de quelqu’un, nous ne savons pas vraiment ce qu’est l’amour. L’amour n’est pas seulement un sentiment que l’on garde quand tout est parfait. Le véritable amour se révèle dans la patience, la compassion, la volonté d’embrasser les imperfections de l’autre et de continuer à voir sa valeur. Pardonner, ce n’est pas oublier ni excuser, c’est choisir de voir la personne entière, lumière et obscurité confondues, et malgré tout dire : je te choisis.

Car l’amour n’est pas seulement admirer le soleil qui brille ; c’est marcher aux côtés de l’autre dans la nuit et lui rappeler que, même dans l’obscurité, il n’est pas seul. 🌑❤️✨

Jusqu’à ce que nous ayons vu l’obscurité de quelqu’un, nous ne savons pas vraiment qui il est.
Jusqu’à ce que nous ayons pardonné l’obscurité de quelqu’un, nous ne savons pas vraiment ce qu’est l’amour.

20/08/2025

Lettre d’Einstein à sa fille

Je reproduis ici une lettre dAlbert Einstein à sa fille Lieserl.
Grand scientifique, génie reconnu, il lui parle de la grande force
de l’Amour. Ses mots révèlent combien il connaissait la nature humaine et sa soif de pouvoir. L’Amour fait peur, écrit-il, puisque c’est la seule énergie de l’univers que l’homme n’a pas appris à gérer par sa volonté.

À la fin des années 1980, Lieserl a donné 1 400 lettres écrites par Einstein à l’Université hébraïque, avec ordre de ne pas rendre public son contenu jusqu’à vingt ans après sa mort. Ceci est l’une d’entre elles.

Voici la lettre d’Albert Einstein à sa fille Lieserl.

« Lorsque j’ai proposé la théorie de la relativité, très peu m’ont compris, et ce que je vais te révéler maintenant à transmettre à l’humanité va choquer l’incompréhension et les préjugés du monde.

Je te demande de conserver ces lettres aussi longtemps que nécessaire, d’attendre des années, des dizaines d’années, jusqu’à ce que la société soit suffisamment avancée pour accepter ce que je vais expliquer ci- dessous.

Il y a une force extrêmement puissante pour laquelle jusqu’à présent, la science n’a pas trouvé une explication officielle. C’est une force qui comprend et régit toutes les autres et est même derrière tout phénomène qui opère dans l’univers et qui n’a pas encore été identifiée par nos soins.

Cette force universelle est l’Amour.

Lorsque les scientifiques étaient à la recherche d’une théorie unifiée de l’univers, ils ont oublié la plus invisible et la plus puissante des forces:

L’Amour est Lumière, qui éclaire ceux qui la donnent et la reçoivent.
L’Amour est la gra- vitation, car elle fait que certaines personnes se sentent attirées vers les autres.
L’Amour est « le courant électrique », car il démultiplie ce que nous avons de meilleur et permet que l’humanité ne s’éteigne pas dans son égoïsme aveugle.
L’Amour révèle et se révèle.
Par l’Amour, nous vivons et mourons. L’Amour est Dieu, et Dieu est Amour.

Cette force explique tout et donne son sens premier à la vie. Il s’agit de la variable que nous avons ignorée pendant trop longtemps, peut-être parce que l’Amour nous fait peur, puisque c’est la seule énergie de l’univers que l’homme n’a pas appris à gérer par sa volonté.

Pour donner une visibilité à l’Amour, j’ai fait une simple substitution dans mon équation célèbre. Si, au lieu de E = mc2 nous acceptons que l’énergie de guérison du monde peut être obtenue à travers l’Amour multiplié par la vitesse de la lumière au carré, nous arrivons à la conclusion que l’Amour est la force la plus puissante qui existe, car il n’a pas de limites.

Après l’échec de l’humanité dans l’utilisation et le contrôle des autres forces de l’univers, qui se sont retournées contre nous, il est urgent que nous nous nourrissions d’un autre type d’énergie. Si nous voulons que notre espèce survive, si nous voulons trouver un sens à la vie, si nous voulons sauver le monde et chaque être sensible qui l’habite, l’Amour est LA et la seule réponse.

Peut-être que nous ne sommes pas encore prêts à fabriquer une bombe d’Amour, un appareil assez puissant pour détruire toute la haine, l’égoïsme et la cupidité qui dévastent la planète. Cependant, chaque individu porte à l’intérieur un petit mais puissant générateur d’Amour dont l’énergie est en attente d’être libérée.

Lorsque nous aurons appris à donner et à recevoir cette Énergie universelle, chère Lieserl, nous pourrons affirmer que l’Amour conquiert tout, est capable de transcender tout et chaque chose, car l’Amour est la quintessence de la vie.

Je regrette vivement de ne pas pouvoir exprimer ce qui,
dans mon coeur, a palpité silencieusement pour toi toute ma vie. Il est peut-être trop t**d pour demander pardon,
mais comme le temps est relatif, j’ai besoin de te dire que je t’aime et grâce à toi, j’ai atteint l’ultime réponse.

Ton père : Albert Einstein ».

Lettre publiée le 30 juillet 2015 par Carolle Anne Dessureault

18/08/2025

« Aimer, c'est vouloir le meilleur pour les autres, même si leurs aspirations diffèrent des nôtres.
Aimer, c'est permettre aux autres d'être heureux, même si leur chemin s'éloigne du nôtre. C'est un sentiment altruiste, né d'un don total de soi, offert de tout notre cœur.
L'amour, c'est cette confiance absolue que, quoi qu'il arrive, tu seras toujours là. Non pas parce que tu me dois quelque chose, ni par un désir égoïste de possession, mais simplement pour être là, en une présence silencieuse et bienveillante. »

~ Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupéry.

Adresse

4 Route De Bouzonville D63
Oberdorff
57320

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