Je suis Microkiné à Olargues (34) ainsi qu'enseignante au centre de formation en Microkinésie de Montpellier.
28/08/2025
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20/08/2025
Apprendre, c’est…
Oser se lancer même quand on ne connaît pas encore.
Apprendre, c’est…
Ressentir par soi-même pour que ça devienne concret.
Apprendre, c’est…
Avoir le droit de se tromper, et être soutenu quand ça arrive.
Apprendre, c’est…
Aller plus loin ensemble, chacun à son rythme.
19/08/2025
Après l’expérience qui a transformé ma vie, je ne pouvais pas en rester là.
Je voulais comprendre. Apprendre.
Et surtout, transmettre.
J’ai donc décidé de me former à la microkinésie.
Non pas seulement pour enrichir ma pratique de kiné…
mais parce que j’avais touché du doigt une méthode qui résonnait profondément avec ce que je cherchais :
👉 aider les patients quand les techniques classiques ne suffisent plus.
C’est ainsi qu’a commencé mon chemin de praticienne.
Et plus t**d, de formatrice.
Aujourd’hui, c’est ce chemin que je transmets à mon tour. 🌱
18/08/2025
Après avoir vu certains de mes patients débloquer des situations grâce à la microkiné, j’ai eu envie d’essayer pour moi.
À cette époque, je souffrais d’SOPK.
Sans pilule, plus de règles… et un retour de l’acné.
Je voulais arrêter, mais sans revivre ce cercle infernal.
J’ai donc décidé de tester la microkinésie.
Une séance.
Deux semaines plus t**d : mes règles revenaient, naturellement.
Depuis, elles n’ont jamais cessé.
J’ai même pu avoir deux enfants sans difficulté.
C’est là que j’ai compris que la microkiné ne se limitait pas au corps “mécanique”.
Elle aide l’organisme à se libérer de traumatismes qu’il n’a pas réussi à intégrer — qu’ils soient physiques, émotionnels, environnementaux, infectieux…
Et ce jour-là, j’ai su : je devais apprendre cette méthode.
Cette expérience a marqué un tournant dans mon parcours… et a ouvert la voie à tout ce que je transmets aujourd’hui.
18/08/2025
📍2012.
Quatre ans après mon diplôme, une patiente arrive au cabinet, tout sourire :
“Mon épaule bloquée ? Plus rien. Une seule séance… de microkinésie.”
Ce mot, je l’avais déjà entendu en 2005, lors d’un déjeuner avec mon cousin.
Et là, il refaisait surface, accompagné d’un résultat que je ne pouvais pas ignorer.
Intriguée, j’ai commencé à orienter certains patients pour lesquels les techniques que j’avais ne suffisaient pas vers une microkiné.
Et souvent, cela permettait de débloquer la situation.
À force d’observer ces améliorations, une idée a commencé à germer :
Et si j’essayais pour moi ?
14/08/2025
📍 Après mon diplôme de kinésithérapie
Très vite, j’ai compris que les techniques “classiques” avaient leurs limites.
Face aux douleurs chroniques, je me retrouvais parfois à court de solutions.
Alors j’ai cherché.
Les chaînes physiologiques de Busquet m’ont ouvert une porte : aborder le corps dans sa globalité, et non par morceaux.
C’était plus logique, plus cohérent… et les résultats étaient meilleurs.
Mais il y avait encore ces patients pour qui “ça coinçait”.
Comme si une pièce manquait encore au puzzle...
📖 Épisode suivant : Le déclic patient
13/08/2025
📍 Montpellier, 2005.
Je venais tout juste d’avoir mon concours d’entrée en école de kinésithérapie.
L’avenir s’ouvrait devant moi… et je n’avais aucune idée qu'une autre petite graine allait être plantée dans mon esprit.
Juste avant la rentrée, je déjeunais avec mon cousin. Entre deux bouchées, il me raconte :
“Je me suis bloqué le dos… Ma voisine, microkiné, a simplement exercé quelques pressions à des endroits précis… et la douleur est partie.”
Micro… quoi ?
J’ai trouvé ça curieux, et puis… j’ai rangé cette histoire dans un coin de ma tête.
À l’époque, je ne savais pas que, des années plus t**d, ces quelques mots reviendraient transformer complètement ma façon d’accompagner les personnes vers un meilleur équilibre.
25/07/2025
Pourquoi Lucie avait-elle toujours une boule au ventre ?
Depuis quelque temps, elle sent comme une boule au ventre.
Un malaise diffus, qui s’invite sans raison apparente.
Même dans des situations sans enjeu, elle se retrouve paralysée, envahie par une angoisse silencieuse.
Elle voudrait avancer, mais son corps freine.
Pendant la séance, je pars à la recherche de zones en inertie, ces endroits où le corps garde la trace de ce qu’il n’a pas su digérer ou réparer.
Et petit à petit, les tensions racontent leur propre histoire :
– Une mémoire de survie, inscrite dans la zone de l’estomac et de l’axe hormonal.
– Des frustrations à répétition, liées à ce qu’elle aurait aimé vivre, mais qui ne s’est pas passé comme prévu.
– Des adaptations forcées, à des environnements qu’elle n’a pas choisis.
– Un besoin de territoire, de pouvoir poser ses limites, son rythme.
– Une mémoire transgénérationnelle, du côté maternel, remontant à une petite fille qui, autrefois, avait dû fuir son pays.
On termine la séance avec plus de clarté. Et un peu plus de légèreté aussi.
Et moi, je sais que ce n’est pas moi qui ai fait ça.
C’est son corps, qui a enfin pu remettre en route ses mécanismes de réparation.
26/06/2025
🌿 Une parenthèse locale dans ma journée de préparation :
Aujourd’hui, c’est journée de préparation pour la formation que je donne ce week-end.
Pas de rendez-vous au cabinet, ce qui me permet de m’organiser à mon rythme… et de m’offrir une pause bien méritée.
Direction L’Arbre à Palabres à Colombières-sur-Orb — vous connaissez sûrement si vous êtes du coin.
Chloé y prépare un Chai Latte maison délicieux, accompagné de petits gâteaux gourmands… et la sélection de livres jeunesse est une merveille. Je suis repartie avec quelques pépites pour mes enfants.
Le lieu, le cadre, l’ambiance… tout invite à souffler. Et parfois, c’est dans ces pauses que les meilleures idées prennent forme.
🌿 Et vous, vous un endroit fétiche dans la région pour vous inspirer ou vous poser ?
02/06/2025
Jonas a 6 ans.
Il est sensible, intelligent, plutôt discret.
Son papa me dit qu’il a peur de tout : des loups, des monstres, des chiens, de l’orage…
Il dort souvent avec ses sœurs, et il n’aime pas être seul.
Jonas écoute, ne dit rien, mais acquiesce doucement.
Je commence la séance en utilisant la micropalpation, une palpation très fine, propre à la microkiné, pour détecter les zones où le corps a gardé la trace d’un stress, d’un choc, ou d’un déséquilibre.
Chez Jonas, je retrouve plusieurs zones en restriction, et des dates précises.
– Une zone en lien avec l’hypothalamus, ce centre du cerveau qui régule le système nerveux autonome. Quand il est perturbé, il peut amplifier l’hypervigilance et les peurs.
– Une autre sur la zone de projection des parathyroïdes, impliquées dans la régulation du calcium… mais aussi dans certaines formes d’anxiété.
– Et une zone du foie, souvent en lien avec de la colère refoulée.
Le corps de Jonas m’indique une mémoire émotionnelle remontant à une période où il a eu peur de perdre sa sœur. Une peur très forte, vécue sans mots, mais restée imprimée.
En montrant à son corps ce qu’il avait gardé, je n’impose rien.
Je l’aide simplement à relancer ce qu’il sait faire : réparer, digérer, intégrer.
09/05/2025
Il y a une semaine, je retrouvais ce groupe pour notre deuxième séminaire de niveau 2.
La salle encore vide le matin, les tables alignées, et ce petit stress que je traînais depuis quelques jours… Puis ils sont arrivés. Des visages familiers, des sourires complices, et cette fluidité propre aux groupes qui se connaissent déjà.
Ils sont tous pros de santé : kinés, infirmiers, manip radio… mais aussi passionnés de médecine chinoise, de yoga, d’ostéo. Et surtout très connectés à leurs ressentis. C’est précieux, parce que ça rend la formation vivante. Vibrante.
J’ai oublié mon stress en les retrouvant. Et je me suis souvenue pourquoi j’aimais tant transmettre.
18/04/2025
Maxime a 32 ans.
Ancien sportif de haut niveau, passionné de vélo, de rugby, d’effort bien dosé.
Il connaît son corps. Il sait écouter ses sensations.
Mais depuis le Covid, plus rien ne tourne rond.
Il me raconte ses tremblements, ses acouphènes, cette sensation d’être “en décalage”, comme si tout était un peu flou autour de lui.
Il parle aussi de cette fatigue. Pas juste être fatigué.
Plutôt… une énergie qui ne revient jamais, même après le repos.
Il a vu des médecins, tenté plusieurs pistes, ajusté son alimentation, essayé l’ostéo.
Rien n’a vraiment aidé. Il se sent comme bloqué à l’intérieur.
Pendant la séance, j’explore son corps grâce à la micropalpation, une palpation fine et douce, utilisée en microkiné.
Je cherche les endroits qui ne bougent plus comme ils devraient.
Ce que je retrouve, ce ne sont pas des tensions musculaires, mais des zones d’inertie, comme des mémoires restées figées.
Il y a une restriction sur une zone en lien avec les parathyroïdes, qui régulent le calcium et peuvent impacter le système musculaire et nerveux.
Une autre, en lien avec l’épiphyse, cette glande qui régule nos rythmes : sommeil, vigilance, humeur.
Et l’estomac, en surcharge. Comme s’il portait encore le poids de tout ce que son corps n’avait pas pu digérer, au sens propre comme au sens figuré.
Et en interrogeant son corps, je retrouve des dates.
– La première correspond à la période de son infection Covid, là où tout a commencé à se dérégler.
– La deuxième remonte à quelques mois plus tôt : une période de surcharge émotionnelle, où il n’avait pas pu s’arrêter.
– Et une autre, plus ancienne, en lien avec des déséquilibres digestifs discrets, revenus se manifester dans ce contexte.
Ces événements, son corps ne les avait pas oubliés.
Ils n’étaient pas restés uniquement dans sa mémoire consciente, mais dans sa physiologie.
En mettant en lumière ces traces, je montre au corps ce qu’il a gardé, et lui seul remet en route ses capacités réparatrices.
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Diplômée d'Etat en Masso-Kinésithérapie en juin 2008 à l'IFMK de Montpellier, j'ai commencé à travailler en centre de rééducation et en libéral. Je me suis alors rendue compte des limites que comportait la formation de base en Masso-Kinésithérapie.
Soucieuse de l'efficacité de mes soins, je me suis alors penchée sur de nouvelles formations afin d'enrichir mon savoir-faire.
J'ai décidé de me former à des techniques qui considéraient le corps dans son ensemble plutôt que de façon segmentaire. En effet, s'il est important de traiter la zone douloureuse, il est également judicieux de rectifier les déséquilibres (chaînes musculaires surprogrammées, tensions nerveuses...) qui peuvent en être responsables.
J'ai commencé par me former à la technique des chaînes physiologiques de Léopold Busquet en 2012.
Petit à petit, toujours soucieuse de plus d'efficacité dans ma pratique, mon activité professionnelle m'a amenée; courant 2014, à m'orienter vers la Microkinésithérapie , une technique dont j'ai depuis eu le plaisir de pouvoir confirmer l'efficacité au cours de ma pratique.
Cette technique intéressant de plus en plus de sportifs, afin de garantir la meilleure prise en charge possible auprès de ce nouveau public, j'ai réalisé un mémoire sur l'intérêt de la microkinésithérapie dans la rééducation du sportif, présenté en fin de formation au CEKS d'Antibes et qui m'a permis de passer avec succès le diplôme de Kinésithérapeute du Sport en 2019.
J’ai aujourd’hui le plaisir d’exercer mon activité entre mer et montagne, partageant mon temps entre La Salvetat-sur-Agoût et Balaruc-les-Bains.