Sophie Greene - Sexologue / Sexothérapeute - Orléans

Sophie Greene - Sexologue / Sexothérapeute - Orléans Sexologue à Orléans, je partage sur cette page articles et avis au sujet d'une sexualité harmonieuse

Pour toute demande de rendez-vous pour une consultation en sexologie dans mon cabinet à Orléans, merci d'utiliser cette page ou bien n'hésitez pas à me contacter directement par téléphone, mail ou via la rubrique Contact de mon site.

SANTÉ MENTALE : QUAND ON VEUT ON PEUT.... ON ARRÊTE AVEC CET DICTON POURRI !!!!!!Je suis de plus en plus intéressée par ...
11/09/2025

SANTÉ MENTALE : QUAND ON VEUT ON PEUT.... ON ARRÊTE AVEC CET DICTON POURRI !!!!!!

Je suis de plus en plus intéressée par le vécu social des personnes en mauvaise santé mentale. Je l'ai toujours été et mon métier vient le prouver mais au-delà du vécu interne des personnes atteintes de troubles psychiques, je suis de plus en plus attentive à la perception qu'en a la société et qui créé souvent une double peine : le trouble vécu + le regard des autres et leur incompréhension sur ce dernier...

Donc non, on ne fait pas EXPRÈS d'aller mal et le "Quand on veut on peut" ne tient pas la route !!!

Belles recos !
01/09/2025

Belles recos !

Belles expressions de ce que vieillir peut aussi signifier ! Magnifique !
26/08/2025

Belles expressions de ce que vieillir peut aussi signifier ! Magnifique !

Vieillir n’est pas fait pour les cœurs fragiles.
Un matin, on se réveille, et l’on réalise — la jeunesse s’est éclipsée sans bruit.
Mais elle n’est pas partie seule.
Elle a emporté avec elle nos insécurités, notre besoin de plaire à tout prix, notre peur de ne jamais être à la hauteur.

Et qu’a-t-elle laissé derrière ?
Quelque chose de plus fort, de plus ancré :
Un rythme plus lent, mais une démarche plus assurée.
La sagesse de dire adieu sans trembler.
La grâce d’aimer ceux qui choisissent de rester.
Et la puissance d’être soi… sans plus s’excuser.

Vieillir, ce n’est pas perdre — c’est apprendre à lâcher prise.
C’est apprendre à accepter, à relâcher, à vraiment voir :
Que la beauté n’a jamais été seulement dans le miroir…
Elle vivait dans chaque histoire, chaque cicatrice, et dans cette force silencieuse que nous portions au-dedans.

Vieillir est un cadeau.
Porte-le avec dignité.

Meryl Streep

Merci Muriel Salmona pour ce nouvel ouvrage et merci à Association Mémoire Traumatique et Victimologie qu'elle a créée 🙏
06/08/2025

Merci Muriel Salmona pour ce nouvel ouvrage et merci à Association Mémoire Traumatique et Victimologie qu'elle a créée 🙏

ENRAYER LA FABRIQUE DES AGRESSEURS SEXUELS Dre Muriel SALMONA Parution le 21 mai 2025 chez DUNOD Parution chez DUNOD le 21 mai 2025 https...

Pas prête à le visiter de sitôt mais c'est rigolo 😀
30/07/2025

Pas prête à le visiter de sitôt mais c'est rigolo 😀

LE MUSEE DU PE.NIS
Depuis son ouverture en 1997, le musée phallologique d’Islande est devenu une des attractions touristiques les plus populaires de Reykjavik. Avec plus de 200 pé.nis conservés dans du formol et un large éventail de pièces artistiques en rapport avec les phallus, ce Musée du Pénis islandais a une réputation mondiale.
Tague un amis qui pourrais visiter ce musée

LA SANTÉ MENTALE N'EST PAS UN SUJET À PRENDRE À LA LÉGÈRE !
22/07/2025

LA SANTÉ MENTALE N'EST PAS UN SUJET À PRENDRE À LA LÉGÈRE !

Dans une tribune poignante, Laura Tournand, directement concernée par les troubles psychiques, réagit à l’émission Parlons santé mentale diffusée sur France 2 le 3 juin 2025. Elle y exprime sa colère face à un traitement médiatique qu’elle juge déconnecté, édulcoré, voire violent par omission. Nous publions sa tribune.

Entre légèreté de ton, clichés rassurants et absence criante des réalités du terrain, l’émission Parlons santé mentale a édulcoré, selon Laura Tournand, la réalité de la santé mentale. Dans une tribune sans concession, elle dénonce l’écart béant entre les discours publics et la brutalité du quotidien des personnes en souffrance psychique.

📣 Tribune

Le 3 juin 2025 au soir, France 2 diffusait l’émission Parlons santé mentale, présentée comme un grand rendez-vous de sensibilisation. J’ai regardé, avec l’attention fébrile de celles et ceux qui espèrent, enfin, se voir représenté·es. Je suis moi-même concernée par des troubles psychiques. Ce que j’ai vu m’a bouleversée. Non pas par la justesse du propos, mais par l’abîme qu’il creusait entre la réalité et ce que l’émission en donnait à voir.

Une atmosphère de légèreté gênante, parfois déplacée, a plané tout au long du programme. Rires faciles, plaisanteries superficielles, échanges rythmés comme un talk-show du samedi soir… alors que le sujet mériterait silence, lenteur, écoute. L’ambiance semblait en totale dissonance avec la gravité du thème.

« COMME SI LA SOUFFRANCE PSYCHIQUE POUVAIT ÊTRE ADOUCIE PAR UN DÉCOR LUMINEUX ET DES SOURIRES FORCÉS. C’EST PRÉCISÉMENT CETTE DISSONANCE QUI M’A HEURTÉE. ELLE TRAHIT UNE MÉCONNAISSANCE PROFONDE DE CE QUE SIGNIFIE VIVRE AVEC DES TROUBLES PSYCHIQUES : LA SOLITUDE, L’ERRANCE, LA PEUR, L’INVISIBILITÉ. »

➡️ Ce que l’émission a choisi de passer sous silence.

C'est ce qui m’a le plus consternée. Aucun mot sur les centres médico psychologiques saturés. Aucun mot sur les délais d’attente ahurissants, les six mois pour un premier rendez-vous. Aucun mot sur la pénurie dramatique de psychologues et psychiatres accessibles. Aucun mot, surtout, sur la réalité de l’hospitalisation psychiatrique en France : l’enfermement, l’isolement, le manque de moyens criant, les services surchargés.

Rien de tout cela n’a été dit. Rien. À la place, on nous a parlé d’équithérapie, de surf-thérapie… des pratiques marginales, parfois inspirantes, mais qui ne concernent qu’une infime minorité. C’était comme présenter un banquet à des gens qui meurent de faim.

Et que dire des témoignages ? Brillants de brièveté, polis jusqu’à l’effacement. On a tendu le micro, oui, mais sans jamais vraiment écouter. On a parlé de santé mentale comme on parle de météo : rapidement, prudemment, sans aspérité.

Aucun mot, là encore, sur les troubles borderline, pourtant si fréquents, si stigmatisés, si mal compris. Deux millions de personnes concernées, et pas une seule voix pour porter cette réalité. Comment ne pas y voir une forme d’effacement ?

➡️ L'individualisation de la santé mentale

Le message final, distillé à demi-mot, sonnait comme une injonction déguisée : mangez équilibré, dormez bien, faites du sport, allez voir un psy. Comme si les causes de la souffrance psychique se résumaient à une mauvaise hygiène de vie. Comme si tout cela relevait d’un simple choix, d’un effort individuel. Ce n’est pas seulement réducteur. C’est une négation en règle de la complexité de la détresse mentale. Et cela peut avoir des effets délétères sur celles et ceux qui regardent avec l’espoir d’être compris.

Moi, cette émission m’a blessée. Profondément. Elle m’a renvoyée à l’incompréhension, à la solitude, à l’impression de ne pas exister dans le regard collectif. Elle m’a même, je l’écris sans détour, donné des idées noires. Parce qu’il n’y a rien de plus violent, quand on souffre, que de se sentir caricaturé, ignoré ou effacé.

Ce qui m’a le plus glacée, c’est ce vide béant entre les discours policés qu’on nous sert et ce que nous vivons au quotidien.

➡️ L'invisibilisation de la casse du service public

Ce gouffre entre la communication rassurante du service public et la violence nue de la réalité : les mois d’attente pour un rendez-vous, l’impossibilité de trouver un professionnel, les hospitalisations sans suivi, les urgences saturées, les rechutes faute de soins, l’isolement qui tue. Ce gouffre, on y tombe. Tout les jours. Et pendant ce temps, on nous parle de surf-thérapie...

Tant que les médias continueront à fabriquer des récits lissés, déconnectés, édulcorés, ils ne feront qu’aggraver ce fossé. Informer, ce n’est pas enjoliver. Sensibiliser, ce n’est pas divertir. Parler de santé mentale, ce n’est pas aligner des slogans sur fond de lumière tamisée : c’est montrer le réel, même quand il dérange. Surtout quand il dérange.

✍🏼 Laura Tournand

Pour nous soutenir et retrouver la tribune en ligne, les liens sont en commentaires 👇

Infos et Débats | Mr Mondialisation

OUI, NOUS AVONS DES BESOINS ET ILS SONT LÉGITIMES
14/07/2025

OUI, NOUS AVONS DES BESOINS ET ILS SONT LÉGITIMES

Frida Kahlo aurait dit à son mari Diego :
« Je ne te demande pas de m’embrasser,
je ne te demande pas de t’excuser quand je pense que tu as eu tort,
je ne te demanderai même pas de me prendre dans tes bras quand j’en ai le plus besoin.
Je ne te demande pas de me dire que je suis belle, même si ce n’est pas vrai,
ni de m’écrire quoi que ce soit de tendre.
Je ne te demanderai même pas de m’appeler
pour me raconter ta journée,
ni de me dire que je te manque.
Je ne te demanderai pas de me remercier pour tout ce que je fais pour toi,
ni de t’inquiéter pour moi quand mon moral est au plus bas.
Et bien sûr, je ne te demanderai pas de soutenir mes choix,
ni même de m’écouter quand j’ai mille histoires à te raconter.
Je ne te demanderai rien.
Pas même d’être à mes côtés pour toujours.
Parce que si je dois te le demander… alors je n’en veux plus. »

Frida Kahlo

09/07/2025

:)

01/07/2025

IL FAUT BIEN RIGOLER UN PEU 😅

J'adore ! À lire attentivement avant tout engagement relationnel 😉
29/06/2025

J'adore ! À lire attentivement avant tout engagement relationnel 😉

BON SENS 😊
25/06/2025

BON SENS 😊

Adresse

15 Rue Gaston Planté
Orléans
45100

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 16:00
Mardi 09:00 - 19:00
Mercredi 09:00 - 16:00
Jeudi 14:30 - 19:00
Vendredi 09:00 - 16:00

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Sophie Greene - Sexologue / Sexothérapeute - Orléans publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram

Cabinet sur Orléans

Après un virage professionnel à 180° j’ai décidé de me tourner vers la psychologie et la sexologie. J’ai obtenu un certificat de praticienne en psychothérapie en 2018 et je me suis formée en sexologie, thérapie sexuelle positive, thérapie conjugale positive, Sexofonctionnelle et Logique Émotionnelle.

Toutes ces méthodes visent le même but : accompagner celles et ceux qui en ressentent l’envie ou le besoin vers une sexualité épanouie. Que celle-ci soit vécue seul(e), en couple, à plusieurs et quels que soient son orientation sexuelle et son genre... L’important étant de devenir le meilleur ami de son propre corps et d’être à même de le connaître et de l’accepter tel qu’il est. Ceci nous permet de pouvoir aller vers celui de l’autre sans craintes et avec curiosité et plaisir.

Je partage aujourd’hui articles et avis sur le couple, l’amour et bien sûr la sexualité, parfois joyeuse, parfois complexe... mais toujours pleine de surprises !

Et le tout : sans tabous !