13/09/2025
Moi aussi, j’ai cru qu’être visible était fun
La vérité ? C’est tout l’inverse qui s’est produit au départ.
Quand j’ai commencé à prendre la parole, à me montrer tel que j’étais à un niveau large, j’ai vu débarquer :
👉 les critiques,
👉 les jugements,
👉 les projections des autres
Et mon corps ne voulait pas.
Mon système nerveux criait danger.
Il me disait : “Être vu = être encensé/rejeté.”
🧠 Ton cerveau limbique est programmé pour rechercher l’appartenance.
Alors quand tu t’exposes, il réactive les mémoires de rejet, de honte, de moqueries.
Tu ne bloques pas par manque d’ambition… tu bloques parce que ton corps associe visibilité et douleur.
💥 Voilà pourquoi beaucoup sabotent leur propre expansion :
Ils veulent la lumière, mais pas l’ombre qui vient avec.
Ils veulent l’admiration, mais pas les détracteurs.
Ils veulent les likes, mais pas les remises en question.
Résultat ?
➡️ Ils se montrent à moitié.
➡️ Ils partagent une version édulcorée d’eux-mêmes.
➡️ Ils vibrent “incomplet”.
Et donc, ils attirent… à moitié.
✨ Le vrai basculement, je l’ai vécu le jour où j’ai accepté qu’être vu, c’est aussi être critiqué.
Que la reconnaissance ne se gagne pas en cherchant l’approbation…
Mais en incarnant une vérité qui, forcément, dérange.
Parce que la puissance d’une parole ne se mesure pas au consensus qu’elle crée…
Mais à la clarté qu’elle impose.
🌌 Et si le courage d’être vu, c’était d’avoir un système nerveux capable de porter l’inconfort de la lumière ?
👉 Tu vibres ta vérité brute. Et c’est irrésistible.
💬 Commente 👉 VU.E si tu choisis la visibilité pleine, pas celle qui flatte mais celle qui transforme.
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Je t’y accompagne à intégrer cette puissance intrinsèque
