La voie de l’amour

La voie de l’amour Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de La voie de l’amour, Thérapeute, 11 Rue Léon Cogniet, Paris.

28/10/2025

« La force du pardon »

Après être devenu président, je suis allé déjeuner un jour avec mon équipe de sécurité.
Nous nous sommes installés dans un restaurant, et chacun a commandé ce qu’il voulait.

À la table juste devant nous, un homme attendait d’être servi.
Lorsqu’il reçut son repas, je demandai à l’un de mes gardes d’aller l’inviter à se joindre à nous.
Le garde s’exécuta, transmit mon invitation, et l’homme s’approcha avec son assiette.
Il s’assit juste à côté de moi.

Pendant qu’il mangeait, ses mains tremblaient sans cesse et il ne leva pas une seule fois les yeux de son assiette.
Quand nous eûmes terminé, il me salua sans oser me regarder.
Je lui serrai la main, et il partit.

Le garde, intrigué, me dit :
« Madiba, cet homme devait être très malade, ses mains n’ont pas arrêté de trembler pendant tout le repas. »

Je répondis :
« Non, mon ami. Cet homme n’est pas malade. Sa peur a une autre origine. »

Puis j’expliquai :
« Cet homme était le directeur de la prison où j’ai été détenu.
Après m’avoir torturé, alors que je criais et suppliais qu’on me donne de l’eau, il est venu me ridiculiser.
Au lieu de m’apporter de l’eau, il a uriné sur ma tête. »

Le garde resta muet de stupeur.
Je poursuivis :
« Il tremblait parce qu’il craignait qu’aujourd’hui, devenu président de l’Afrique du Sud, je le fasse emprisonner et que je lui fasse subir ce qu’il m’avait fait.
Mais je ne suis pas ainsi.
Un tel comportement n’appartient ni à mon caractère, ni à mes valeurs. »

Et j’ajoutai :
« Les esprits animés par la vengeance détruisent les nations.
Ceux guidés par la réconciliation les construisent.
Quand j’ai quitté la prison, je savais que si je ne laissais pas derrière moi la haine, la colère et le ressentiment, je resterais prisonnier pour toujours. »

Morale : La haine est l’arme des faibles, le pardon est la force des grands.

Inspiré par Nelson Mandela

27/10/2025

« L’ENFER, C’EST LES AUTRES » – SARTRE N’A JAMAIS DIT ÇA PAR HAINE DE L’HUMAIN…🚨‼️📖

L’enfer, c’est les autres.
C’est sûrement l’une des phrases les plus célèbres de Sartre.
Et comme beaucoup, la première fois que je l’ai entendue,
j’ai cru que ça voulait dire :
« Les gens sont chiants, on vivrait mieux seul. »

Mais non, c’est beaucoup plus subtil que ça.

Cette phrase vient de Huis Clos, une pièce écrite en 1944.

Dedans, trois personnages, Garcin, Inès et Estelle se retrouvent en enfer.

Sauf que l’enfer, ce n’est ni le feu, ni le diable.
C’est une pièce fermée.
Juste eux trois, condamnés à se regarder, à s’analyser, à se juger.

Et c’est là que Sartre fait son coup de génie.
Il montre que le vrai enfer, ce n’est pas la souffrance physique,
mais le regard de l’autre.

Parce que selon Sartre,
c’est à travers les autres qu’on prend conscience de soi.
Quand tu sens qu’on te regarde,
tu te vois être vu.
Tu deviens conscient de ton image, de ton rôle, de ton poids dans les yeux des autres.

Autrui devient un miroir.
Mais un miroir que tu ne contrôles pas.
Et c’est là que ça brûle :
tu n’existes plus seulement pour toi,
tu existes dans la tête des autres,
dans leurs jugements, leurs interprétations, leurs malentendus.

Alors non, Sartre ne disait pas qu’il fallait fuir les gens.
Il disait simplement que vivre avec les autres,
c’est accepter d’être vu, jugé, défini parfois mal, parfois injustement.
Et que ça, parfois,
oui, ça peut ressembler à l’enfer.

26/10/2025

Je t’aime toujours, je te cherche encore… mais il y a des jours où je n’ai plus la force de t’attendre.

Aujourd’hui, je ne suis pas en état de t’aimer dans ton absence.

Non pas parce que la douleur s’est tue, mais parce qu’il y a ces jours où le poids de ton absence me brise jusqu’au sol, où je n’ai même plus la force de te rappeler sans trembler.

Il y a ces jours où j’essaie d’avancer, mais je trébuche sur l’écho de ton rire, désormais silencieux. Ton nom s’est effacé, murmuré sur des lèvres étrangères, et le vide que tu as laissé est un abîme que personne ne sait combler. Alors je tombe. Je tombe lourdement. Et ma peau me fait mal d’avoir trop tenté de tenir debout dans un monde où tu n’es plus.

Ne me demandez pas d’aller bien…

Ne me dites pas d’« avancer », de « tourner la page », de « chérir les beaux souvenirs ». Aujourd’hui, je ne peux pas. Aujourd’hui, je ne fais que respirer, parce que c’est tout ce que mon corps sait encore faire par instinct.

Je suis en sursis. Fermé pour deuil, en réparation sans date de réouverture. Ne me demandez pas de redevenir celui que j’étais, car même moi, je ne sais plus qui je suis en train de devenir. Ce chemin n’a ni repères, ni balises, ni manuel pour souffrir avec dignité, ni mode d’emploi pour ne pas se briser quand l’absence devient insupportable.

Alors, je m’accorde le droit…

Le droit de ne vouloir voir personne. De ne pas expliquer ce que je ressens. De dormir trop ou de ne plus dormir du tout. De ne rien comprendre à tout cela aujourd’hui, parce que peut-être que demain, une infime partie de moi s’éveillera à nouveau.

Le deuil, c’est cela : des jours où je tiens, des jours où je m’effondre. Ne me pressez pas. Je me relèverai quand mes jambes me le permettront, quand mon cœur cessera de saigner autant.

Mais aujourd’hui…

Aujourd’hui, je ne suis pas en état de t’attendre. Aujourd’hui, je ne suis même pas en état d’être moi.

Fernando D'sandi

24/10/2025

"La vie va retirer ce que vous avez, jusqu’à ce que vous arrêtiez de vous plaindre et que vous commenciez à remercier.
La vie envoie des personnes conflictuelles pour vous soigner, pour que vous arrêtiez de regarder dehors et que vous commenciez à refléter ce que vous êtes à l’intérieur.
La vie vous permet de retomber et de nouveau, jusqu’à ce que vous décidiez d’apprendre la leçon.
La vie vous éloigne de la route et vous présente des carrefours, jusqu’à ce que vous arrêtiez de vouloir tout contrôler et que vous couliez comme une rivière.
La vie met vos ennemis sur la route jusqu’à ce que vous arrêtiez de ′′réagir".
La vie vous fait peur et vous fera peur autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que vous perdiez la peur et que vous retrouviez votre foi.
La vie vous éloigne des gens que vous aimez, jusqu’à ce que vous compreniez que nous ne sommes pas ce corps, mais l’âme qu’elle contient.
La vie se moque de vous plusieurs fois, jusqu’à ce que vous arrêtiez de tout prendre si au sérieux et que vous puissiez rire de vous-même.
La vie vous brise autant de parties autant que nécessaire, pour que la lumière pénètre en vous.
La vie vous confronte aux rebelles jusqu’à ce que vous arrêtiez d’essayer de contrôler.
La vie répète le même message, si nécessaire, avec des cris et des couvercles, jusqu’à ce que vous l’entendiez enfin.
La vie envoie des éclairs et des tempêtes pour vous réveiller.
La vie vous humilie et parfois elle vous défait encore et encore jusqu’à ce que vous décidiez de laisser votre ego mourir.
La vie vous refuse des biens et une grandeur jusqu’à ce que vous arrêtiez de vouloir des biens et de la grandeur et commenciez à servir.
La vie coupe vos ailes et élague vos racines, jusqu’à ce que vous n’ayez plus besoin d’ailes ou de racines, que vous disparaissiez juste dans les formes et que votre être vole.
La vie vous refuse des miracles, jusqu’à ce que vous compreniez que tout est un miracle.
La vie raccourcit votre temps, pour que vous vous pressiez d’apprendre à vivre.
La vie vous ridiculise jusqu’à ce que vous vous ne fassiez plus cas de rien, ni personne, pour qu’alors, vous deveniez tout.
La vie ne vous donne pas ce que vous voulez, mais ce dont vous avez besoin pour évoluer.
La vie vous blesse et vous tourmente jusqu’à ce que vous lâchiez vos caprices et vos colères et appréciez votre respiration.
La vie vous cache des trésors jusqu’à ce que vous appreniez à sortir dans la vie et à les chercher.
La vie vous refuse Dieu, jusqu’à ce que vous le voyiez en tous et en tout.
La vie vous réveille, vous élague, vous brise, vous déçoit… mais croyez-moi, c’est pour que votre meilleur moi se manifeste… jusqu’à ce que seul l’amour reste en vous".

Bert Hellinger
****

22/10/2025

💫 Les liens d’âme

Qui t’apprennent le détachement, pas la dépendance

On te parle souvent des liens d’âme comme de quelque chose de magique, de sacré, de rare. Et c’est vrai. Mais on oublie de dire que ces liens ne sont pas là pour te compléter. Ils sont là pour te révéler.

Certains liens d’âme entrent dans ta vie pour t’aimer, d’autres pour te bousculer, et quelques-uns pour te libérer.

Ce ne sont pas toujours des histoires qui durent. Parfois, ce sont des éclats d’âme qui passent, laissant derrière eux un grand vide et une vérité.

Ces liens-là te font traverser des m émotions que tu n’avais jamais connues.
Ils t’apprennent à aimer sans posséder,
à ressentir sans t’attacher, à reconnaître sans vouloir retenir.

Parce que le véritable amour d’âme
n’a rien à voir avec la fusion, mais tout à voir avec la conscience. Il ne te demande pas de t’accrocher, il te pousse à te retrouver.

Certains liens d’âme brûlent comme un feu sacré, puis s’éteignent quand la leçon est intégrée. Ce n’est pas un échec, c’est une transmutation.

Le détachement ne signifie pas que tu n’aimes plus. Il signifie que tu n’as plus besoin d’être aimée pour exister. Tu n’attends plus de l’autre qu’il te sauve, parce que tu as appris à te choisir toi.

Le lien d’âme le plus fort, celui qui ne se brise jamais, c’est celui que tu reconstruis avec toi-même après avoir aimé quelqu’un jusqu’à te perdre.

Alors, si tu sens qu’un lien s’éloigne,
laisse-le aller avec amour. Ce n’est pas la fin du lien. C’est juste le moment où il t’apprend ce pourquoi il est venu ->le détachement sacré.

Mélanie – Althéa Énergie ✨️

Adresse

11 Rue Léon Cogniet
Paris
75017

Heures d'ouverture

Mardi 10:00 - 19:00
Vendredi 10:00 - 19:00
Samedi 10:00 - 19:00

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque La voie de l’amour publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à La voie de l’amour:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram

Libre&Spirituel

CARTOMANCIENNE, MEDIUM, COACH SPIRITUEL.

J’ai créé Libre&Spirituel.fr, le 8 mars 2018 après un long cheminement personnel et suite à un long voyage initiatique en Asie du Sud Est. J’étudie le développement personnel, les sciences comportementales, les neurosciences, la PNL, la psychologie et la spiritualité etc. depuis plus de 10 ans de manière intensive et quotidienne. Je suis également médium et cartomancienne, capacités que j’utilise pour mon travail d’accompagnement.

J’avais soif de comprendre l’être humain et ses modes de fonctionnement. Depuis, enfant je me posais sans cesse cette question : Pourquoi certaines personnes ayant grandi dans des conditions de vie similaires arrivent à être heureuses tandis que d’autres non?

J’ai passé ma vie à étudier l’être humain et son mode de fonctionnement car je souhaitais avant tout être heureuse et atteindre la paix et la sérénité intérieure. Je crois sincèrement que le bonheur est un état d’esprit et non pas une suite d’acquisitions matérielles et immatérielles. Et que selon notre vécu, nos épreuves et nos expériences de vie, on est conditionné à être heureux ou malheureux. On possède en nous des schémas défaillants qui nous sabotent au quotidien ou des schémas positifs conduisant à la réussite personnelle. Avant de croire au pouvoir des sciences du développement personnel, je me suis utilisé comme cobaye. D’un état d’esprit très négatif et défaitiste, je me suis transformé en une personne optimiste.