Alexandra Grégoire Psychologue

04/09/2025

01/09/2025

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42.3K j'aime, 2159 commentaires. « 3 idées pour une meilleure école : commencer plus t**d, mieux manger, rythmes différents. Mais est-ce qu'on aura le courage de changer ? »

27/08/2025

🚗💙 Elle s'appelle Desiree, et j’adore son idée. Son initiative mérite d’être saluée.

Désirée est une jeune femme autiste qui a connu de grandes difficultés pour passer son permis de conduire. À l’époque, elle n’était pas encore diagnostiquée, ce qui a rendu le parcours encore plus complexe.
Mais elle l’a fait. Elle a obtenu son permis.
Aujourd’hui, elle conduit principalement sur des trajets qu’elle connaît par cœur.
Et comme pour beaucoup de personnes autistes, certains imprévus — comme des travaux sur la route — peuvent rendre la conduite plus difficile.

Alors elle a eu une idée simple mais brillante :
🔵 Elle a créé un logo qu’elle appose à l’arrière de sa voiture.
Ce petit symbole, discret mais puissant, permet aux autres conducteurs de comprendre qu’elle peut avoir besoin de plus de tolérance, de patience, de bienveillance.

Et elle a remarqué quelque chose de positif :
👉 Les gens deviennent plus cool, plus tolérants, plus humains.

En tant que papa, je me suis dit que cette initiative pourrait aider bien d’autres personnes autistes.
Mais aussi, petit à petit, " habituer la société à être plus inclusive " , simplement en croisant ce logo sur une voiture.

Peut-être que grâce à Desiree, certains retrouveront confiance en eux.
Peut-être que le stress diminuera.
Peut-être que ce petit geste ouvrira de grandes portes.

👏 Bravo à elle.

Je publierai bientôt un post pour expliquer pourquoi passer le permis peut être particulièrement complexe pour certaines personnes autistes, Asperger ou TSA sans déficience intellectuelle.
Nous utilisons ces deux termes, car chacun a ses préférences, et " chaque parcours est unique ".
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Le papa de Champion
Les Champions Des Bulles Bleues
Bulles Bleues Champions
Mau style officiel

06/08/2025

Une nouvelle étude le confirme : la violence verbale envers un enfant a un impact aussi négatif sur sa santé mentale qu'une violence physique !
https://www.lesprosdelapetiteenfance.fr/violence-verbale-chez-lenfant-un-impact-aussi-grave-que-la-maltraitance-physique-sur-la-sante-mentale/

18/06/2025

13/06/2025

11/06/2025

09/06/2025

Certaines expressions entrées dans le langage courant n’en sont pas moins trompeuses.
Les enfants enregistrent ce qu’ils entendent et croient ce qu’ils entendent.
Notamment lorsque c’est couramment répété par leurs figures d’attachement.
Ou même au sein du cercle familial éloigné voir scolaire.

En quoi elles sont problématiques :

« Qui ne dit mot consent » induit qu’une victime ( harcèlement, V, vss…) a consenti à ce qu’on la maltraite au motif qu’elle n’a pas été en mesure de dire « non ».
Ceci est faux car de nombreuses victimes enfants ou adultes se trouvent dans un état de figement ( elle sont incapables de parler, d’agir, de s’enfuir ou de combattre) au moment des faits.
La peur des représailles peut aussi laisser une victime dans une grande souffrance silencieuse.

« Ce qui ne tue pas rend plus fort » induit que l’on peut tout subir dont des traumas avec l’idée que ça rend plus fort. Ceci est faux.
De nombreuses victimes de trauma montrent des signes de Psychotrauma par la suite ( TSPT, anxiété, dépression , trauma complexe…)

« Qui aime bien châtie bien » . L’amour, les signes d’affection ne peuvent être associés à des châtiments. Qu’ils soient corporels, verbales ou se. xuels. Quand on aime, on prend soin. On ne tape pas, on n’humilie pas.

« Tout arrive pour une raison ». Non, tout n’arrive pas pour une raison en particulier. Dire à une personne après qu’elle ai vécu un drame que « tout arrive pour une raison » c’est de la violence émotionnelle.

« Quand on veut on peut ». Ça serait plutôt le contraire, c’est quand on se sent capable qu’on a la volonté. Iriez-vous dire à votre ami·e atteint·e d’un cancer « quand on veut on peut guérir »?
Et bien pour un enfant qui est en cours d’apprentissage, cette expression est blessante car elle lui apprend que s’il n’y arrive pas c’est de sa faute alors que non. Avant de pouvoir, il faut le vouloir dans le sens de se sentir capable.

« Il faut souffrir pour être belle/beau ». Encore une fois, l’idée de valoriser la souffrance est toxique. D’autant plus que « être belle/beau » dans notre société actuelle c’est répondre à des normes qui ne nous correspondent pas forcément.

Vous l’aurez compris, il convient d’être vigilant·e quant aux expressions qu’on utilise devant les enfants. Questionnez ces expressions, d’où viennent elles? Qui vous les a transmises? Vous ont elles aidé enfant?

Alexandra Grégoire Psychologue

09/06/2025

07/06/2025

À partager en masse via le lien: https://palestine.risefor.org/s/freedom-flotilla-0406

04/06/2025

21/05/2025

Adolescence et sommeil 😴