La Voix du Corps : l'écoute par le massage

19/07/2025

Enseignant spirituel, Dan Speerschneider exprime pourquoi je vis le toucher un peu comme un acte potentiellement magique :

"Il y a aussi la voie du sentir : descendre dans la tactilité du corps, goûter directement les sensations sans les filtrer par le mental, sentir ce qui est là comme c’est, sans étiquettes et sans défense. Cette voie n’est pas une alternative à la connaissance, je dirais qu’au final elle en est simplement une expression plus tactile, plus immédiate. Là où l’investigation du Soi questionne les formes, le sentir les laisse se déployer sans commentaire. Il ne cherche pas à comprendre ce qui est ressenti, mais à s’y ouvrir. Et dans cette ouverture, une chose devient claire : ce qui sent n’est pas séparé de ce qui est senti. Sentir pleinement, c’est non duel. Vous ne pouvez pas penser et sentir en elle temps. Sentir c’est déjà reconnaître. Car dans l’accueil d’une sensation, d’une vibration, d’un inconfort, il n’y a pas de place pour une entité séparée. Le corps cesse d’être une chose vue de l’extérieur. Il devient transparence, résonance, passage. La moindre contraction devient un appel au relâchement, un chemin vers la dissolution de la frontière entre intérieur et extérieur. Dans cette écoute silencieuse du corps vivant, ce n’est pas seulement une détente qui survient. C’est une reconnaissance. Non pas d’un savoir, mais d’un être. Le Soi se laisse sentir, non comme une idée, mais comme ce qui rend toute sensation possible. Le sentir devient alors une porte ouverte sur la présence, une manière d’être sans séparation. Ce n’est pas une technique. C’est un basculement de posture. Une confiance dans l’intelligence du vivant. [...]".

Un ami, Michel, qui est présent au stage de neuf jours que j’anime en ce moment, m’a posé une question simple et essentielle. Il a été, di...

03/07/2025

Alejandro Jodorowsky :

03/07/2025

Maître spirituel Eckhart Tolle : La transformation par le corps.

QUESTION : Pourquoi la majorité des religions ont-elles condamné ou nié le corps ? On dirait que les chercheurs de la spiritualité ont toujours considéré le corps comme un obstacle ou même comme un péché.

ECKHART TOLLE : Pourquoi y a-t-il si peu de chercheurs de la spiritualité qui trouvent ?
Sur le plan corporel, les humains sont très proches des animaux. Toutes les fonctions de base du corps – le plaisir, la douleur, la respiration, l’alimentation, la désaltération, la défécation, le sommeil, la pulsion à trouver un compagnon ou une compagne pour procréer et enfin, bien sûr, la naissance et la mort –, nous les avons en commun avec les animaux. Longtemps après avoir été déchus de leur état de grâce et de fusion avec l’Un et être tombés dans l’illusion, les humains s’éveillèrent dans ce qui leur semblait être un corps animal, chose qui les dérangea grandement. « Ne te fais pas d’illusion. Tu n’es rien de plus qu’un animal. » Cela semblait être la vérité qui leur éclatait en plein visage. Mais cette vérité était trop dérangeante pour être tolérée. Réalisant qu’ils étaient nus, Adam et Ève se mirent à avoir peur. Inconsciemment et très rapidement, ils commencèrent à nier leur nature animale. La possibilité menaçante que leurs puissantes et instinctives pulsions les submergent et les ramènent à une inconscience totale était sans aucun doute une menace très réelle. La honte et certains tabous concernant certaines parties et fonctions corporelles firent leur apparition, en particulier par rapport à la sexualité. Leur conscience ne brillait pas encore assez fort pour qu’ils puissent accepter leur nature animale, lui permettre d’être telle et même y prendre plaisir. Sans parler du fait qu’ils auraient pu s’y investir profondément et y découvrir le divin qui s’y cache, la réalité derrière l’illusion. Alors ils ont fait ce qu’ils devaient faire. Ils se sont dissociés de leur corps. Et à partir de ce moment-là, ils se voyaient comme ayant un corps plutôt que simplement comme étant un corps.
Quand les religions ont vu le jour, cette dissociation s’est accentuée davantage avec la croyance « vous n’êtes pas votre corps ». En Orient comme en Occident, et au cours des siècles, d’innombrables personnes ont essayé de trouver Dieu, le salut ou l’illumination par la négation du corps. Ceci s’est manifesté par la négation du plaisir des sens, de la sexualité en particulier, par le jeûne et d’autres pratiques ascétiques. Les gens s’infligeaient même des châtiments corporels pour essayer de punir ou de faire taire leur corps, qu’ils considéraient comme un péché. Dans le christianisme, on a appelé cela la mortification de la chair. D’autres ont tenté d’échapper à leur corps en se mettant en état de transe ou en essayant d’en sortir. Beaucoup de gens le font encore. Même Bouddha est réputé avoir nié son corps pendant six ans par le jeûne et par d’extrêmes formes d’ascétisme. Mais ce n’est qu’après avoir abandonné ces coutumes qu’il s’est réalisé.
Chose certaine, personne n’a jamais connu l’éveil spirituel en niant le corps, en se battant contre lui ou en sortant de lui. Même si l’expérience de sortie du corps peut s’avérer fascinante et vous donner un aperçu fugitif de ce qu’est la libération de la forme matérielle, vous devrez en fin de compte toujours y revenir, car c’est dans cet « habitacle » que le travail fondamental de la transformation s’effectue, et non pas loin de lui. Voilà pourquoi aucun maître véritable n’a jamais préconisé la sortie ou la négation du corps, bien que ses disciples encore pris dans le mental l’aient souvent fait.
Il ne subsiste que certains fragments des vieux enseignements concernant le corps, dont cette phrase de Jésus : « […] tout votre corps sera rempli de lumière. » Ou bien ces enseignements se perpétuent sous forme de mythes, comme la croyance selon laquelle Jésus n’aurait jamais renoncé à son corps et aurait continué à ne faire qu’un avec celui-ci pour monter au « ciel » avec lui. Jusqu’à ce jour, presque personne n’a compris ces fragments d’enseignements ou la signification cachée de certains mythes. Par conséquent, la croyance « vous n’êtes pas votre corps » règne universellement et se traduit par la négation du corps et la tentative de s’en échapper. D’innombrables chercheurs dans le domaine de la spiritualité se sont donc empêchés d’atteindre la réalisation spirituelle et de trouver ce qu’ils cherchaient.
QUESTION : Est-ce possible de retrouver les enseignements perdus concernant la signification du corps ou de les reconstituer à partir des fragments épars qui nous restent ?
ECKHART TOLLE : Il n’y a aucun besoin de le faire, puisque tous les enseignements spirituels proviennent de la même source. Et dans ce sens, il n’y a eu et il n’y a qu’un seul maître qui se manifeste sous différentes formes. Je suis ce maître et vous également, une fois que vous savez trouver la Source en vous. Et le chemin qui y conduit, c’est le corps énergétique. Bien que tous les enseignements spirituels proviennent de la même source, ils ne sont plus, de toute évidence, qu’une enfilade de mots une fois qu’ils sont verbalisés et transcrits. Et un mot n’est rien d’autre qu’un panneau indicateur, comme nous l’avons déjà expliqué. Tous ces enseignements sont uniquement des panneaux indiquant le chemin qui ramène à la Source.
J’ai déjà parlé de la vérité cachée à l’intérieur de votre corps, mais je vais vous résumer à nouveau les enseignements perdus des maîtres. Et ceci constituera un autre panneau indicateur. Efforcez-vous, s’il vous plaît, de sentir votre corps subtil pendant que vous lisez ou écoutez.
( Le Pouvoir du moment présent P : 108-109-110-111 )

Eckhart Tolle en français
Stéphane Chartier

28/06/2025

Mon travail c'est d'écouter ton corps : palper ses restrictions (énergétiques, musculaires) et te donner à entendre ce qu'il a à te dire.

Et, bien sûr, proposer un toucher qui fait appel à des techniques variées pour répondre au mieux aux besoins captés par mes mains.

Prête pour un voyage dans ton habitation-véhicule ?

En géobiologie, le meilleur indicateur est le corps. Douleurs, manque d’énergie, sensations désagréables. Voici certains indicateurs disant que le corps est touché par quelque chose qui le nuit 🙏

Cependant, il y a d’autres signes qui veulent dire des choses encore plus importantes que le rapport établi entre notre corps et notre environnement.

Voici un post sur lequel je suis tombé et qui explique cela très bien.:

« 𝑸𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒕𝒐𝒏 𝒄𝒐𝒓𝒑𝒔 𝒕𝒆 𝒑𝒂𝒓𝒍𝒆… puis 𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒖 𝒇𝒂𝒊𝒔 𝒍𝒂 𝒔𝒐𝒖𝒓𝒅𝒆 𝒐𝒓𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆

Ce n’est pas toujours ta tête qui lâche en premier.
Des fois, c’est ton corps qui pogne les nerfs avant toi et qui dit :
« Là, je te lâche. T’écoutes pas quand je chuchote, alors je vais hurler. »

Mal de tête?
Tu stockes tellement de pensées que même ton front est en surcharge mentale. On dirait un disque dur qui tourne dans le vide. Tu veux reboot? Commence par t’enlever 48 onglets dans la tête.

Problème au cou?
Tu dis oui quand ton corps crie non. Tu regardes dans toutes les directions sauf vers toi. Résultat? Ton cou décide qu’il va se figer, comme pour dire : "Tourne plus, t’es déjà trop écartelé(e)."

Mal aux épaules?
Tu transportes des sacs émotionnels que personne t’a demandé de traîner. Le problème, ce n’est pas que tu sois fort(e). C’est que tout le monde pense que t’es infaillible. Ton corps, lui, veut juste déposer ses bagages.

Problème de dos?
Tu tiens debout, mais à quel prix? Le haut porte les non-dits. Le bas porte ton anxiété financière, familiale, spirituelle et possiblement astrologique. Ton dos, c’est le porte-avions des émotions que tu refuses d’envoyer à l’eau.

Douleur au nerf sciatique?
Tu veux avancer, mais tu traînes une remorque émotionnelle de 8 tonnes. Chaque pas est un souvenir, un stress, une tension refoulée. Tu veux courir, mais ton nerf dit : "Pas avant d’avoir vidé le coffre."

Mal de ventre?
Tu digères tout. Les repas, les malaises, les remarques passives-agressives, les soupirs de ton chum/ ta blonde ...Sauf que ton ventre, lui, c’est pas une poubelle à émotions. Il veut juste un peu d’espace… et une trêve.

Problème de foie?
Tu t’es fait de la bile pour le monde entier sauf toi. T’as avalé ta rage avec un petit sourire poli. Ton foie, lui, rumine ce que t’as jamais osé dire. C’est pas un organe, c’est un coffre-fort d’indignation.

Problème aux poumons / cage thoracique?
Tu respires pour tout le monde sauf pour toi. L’impression d’étouffer? C’est pas juste dans ta tête. C’est ton thorax qui dit : "Je veux de l’espace, je veux de l’air, p*s surtout… je veux vivre pour vrai."

Problème aux reins?
Tu carbures à la peur, tu vis en apnée puis tu te demandes pourquoi t’as mal dans le bas du dos? Tes reins veulent pas une médaille. Ils veulent des vacances. Sans stress, ni panique, ni charge mentale surprise.

Mal aux genoux?
Tu refuses de fléchir, même un peu. T’es debout par réflexe, par habitude, par orgueil. Tes genoux, eux, veulent juste que tu comprennes qu’il y a pas de honte à plier — ça s’appelle se respecter.

Problème aux pieds?
T’avances parce qu’il faut, pas parce que tu sais où tu t’en vas. T’es en mode “fonctionnement automatique”, mais tes pieds, eux, veulent du sens. Du repos. Puis un plan. Ou juste une pause pour realigner la boussole.

𝑻𝒐𝒏 𝒄𝒐𝒓𝒑𝒔, 𝒄𝒆 𝒏’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒖𝒏 𝒕𝒓𝒐𝒖𝒃𝒍𝒆-𝒇𝒆̂𝒕𝒆. 𝑪’𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏 𝒉𝒂𝒖𝒕-𝒑𝒂𝒓𝒍𝒆𝒖𝒓.
𝑬𝒕 𝒔𝒊 𝒕𝒖 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒊𝒏𝒖𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒃𝒂𝒊𝒔𝒔𝒆𝒓 𝒍𝒆 𝒔𝒐𝒏…
𝑰𝒍 𝒗𝒂 𝒇𝒊𝒏𝒊𝒓 𝒑𝒂𝒓 𝒕𝒆 𝒎𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒆 𝒋𝒖𝒔𝒕𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒖 𝒍’𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒕𝒆𝒔.

𝑻𝒖 𝒂𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒓𝒐𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒓𝒂𝒍𝒆𝒏𝒕𝒊𝒓.
𝑻𝒖 𝒂𝒔 𝒍𝒆 𝒅𝒓𝒐𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒅𝒊𝒓𝒆 𝒏𝒐𝒏.
𝑻𝒖 𝒂𝒔 𝒔𝒖𝒓𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒍𝒆 𝒅𝒓𝒐𝒊𝒕 𝒅’𝒂𝒓𝒓𝒆̂𝒕𝒆𝒓 𝒅𝒆 𝒔𝒖𝒓𝒗𝒊𝒗𝒓𝒆… 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒓𝒆𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒏𝒄𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒗𝒊𝒗𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒕𝒐𝒊.

Merci Géobio Solutions pour ce partage 🙏

28/06/2025

La neurologie constitue une branche essentielle de la médecine, car elle permet de mieux comprendre les dysfonctionnements du corps humain, considéré comme une machine complexe.

Les principaux troubles neurologiques se manifestent notamment par des crises de migraine, des poussées de sclérose en plaques, des crises d’épilepsie ou encore par les effets de la paralysie cérébrale.

Ces maladies ont un impact direct sur la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes. Les symptômes les plus fréquemment observés incluent des troubles moteurs, des céphalées, des troubles cognitifs, des altérations de la personnalité ainsi que des tremblements.

Le massage thérapeutique, en stimulant le système nerveux parasympathique, contribue à atténuer la réponse au stress. En favorisant la relaxation, il entraîne une diminution du taux de cortisol, l’hormone du stress.

Reconnu pour ses effets bénéfiques sur le système sensori-moteur chez la personne âgée, le massage présente également un intérêt pour améliorer l’activité sensori-motrice en général. Par exemple, un massage pratiqué avant un effort physique peut stimuler ce système chez le sportif, en optimisant sa préparation corporelle.

Il est clair que le massage, qu’il soit superficiel ou en profondeur, a la capacité d’influencer la réponse du système nerveux et d’atténuer les effets d’un stress, qu’il soit physique ou psychologique.

La massothérapie se distingue par son approche holistique, qui prend en compte l’individu dans sa globalité — corps, esprit, énergie et émotions. C’est en adaptant son intervention aux besoins spécifiques de la personne que le massothérapeute parvient à moduler l’activité du système nerveux de manière ciblée et efficace.

En adaptant chaque séance aux besoins spécifiques de la personne, le massothérapeute peut ainsi rétablir un meilleur équilibre nerveux, favoriser un état de bien-être durable et soutenir les mécanismes naturels de récupération du corps.

Le 28 juin 1824 naissait le médecin et anthropologue français Paul Broca, qui est aujourd'hui connu pour ses travaux pionniers sur le cerveau dont il était le grand spécialiste au XIXe siècle.

Né dans une famille aisée, il était le fils d'un médecin et suivit sa voie en réalisant des études de médecine jusqu'à devenir chirurgien et enseignant-chercheur au début des années 1850. Il réalisa, dès lors, des recherches sur de nombreux objets d'études - cancer, rachitisme... - et se spécialisa surtout dans l'étude du cerveau à une époque où la neurologie se sépara de la psychiatrie et devint une science à part entière qui n'attendait que d'être développée. Au-delà des maladies, il s'intéressait à d'autres branches de ce domaine - neuroanatomie, neuropsychologie - et c'est ainsi qu'il s'occupait de plusieurs patients ayant des difficultés à parler, malgré des capacités cognitives normales.

C'est lors de leurs autopsies, en 1860-1861, qu'il observa qu'une zone de leurs cerveaux - l'aire de Broca - était souvent endommagée et pouvait expliquer cette forme d'aphasie particulière. C'était la première fois qu'une zone du cerveau était associée à une fonction précise, et cette découverte fit sa célébrité dans le monde scientifique. L'aire de Broca, qui sert à la production et à l'articulation des mots, est considérée comme une des principales « zones de la parole » chez les hominidés avec la zone de Wernicke qui est impliquée dans la compréhension du langage - première étape - et avec le territoire de Geschwind, bien qu'il existe plusieurs autres structures qui nous permettent de parler. Il innova d'ailleurs dans l’imagerie cérébrale avec un système qui permettait de mesurer les variations de température à la surface du crâne, mais cette méthode fut rapidement abandonnée.

En parallèle, Paul Broca mit ses connaissances médicales au service de l'anthropologie physique qui étudie les humains en fonction de leurs caractéristiques physiques et biologiques. Il n’échappa cependant pas à certaines théories douteuses de son temps et notamment à l’étude de la forme des crânes - craniologie - qui permettait, d'après certains, de déterminer des traits spécifiques à une époque où le racisme était omniprésent au sein du monde scientifique. C'est d'ailleurs via la craniologie que le médecin et criminologue italien Cesare Lombroso (1835-1909) développa sa théorie des « criminels nés » selon laquelle les comportements criminels sont innés et que les criminels présentent donc des traits anatomiques, psychologiques et sociaux distincts qui facilitent leur identification. Toutes ses thèses sont, bien évidemment, aujourd'hui démontées par la science.

C'est dans ce contexte que Paul Broca s'appuya malheureusement sur ces travaux sur les crânes pour justifier une prétendue inégalité entre les « races » et une infériorité intellectuelle des femmes sur les hommes qui étaient acceptées au sein de la Société d'anthropologie de Paris, fondée par Broca et par d'autres scientifiques en 1859. Il s'opposait en cela à l'allemand Friedrich Tiedemann (1781-1861) qui affirmait dès 1836 qu'aucune donnée anatomique ou physiologique ne permettait de justifier le classement des noirs comme moralement et intellectuellement inférieurs aux blancs.

Personnalité en vue, Paul Broca faisait partie de nombreuses académies et eut aussi une brève carrière politique en étant sénateur inamovible de février 1880 à sa mort en juillet 1880 à l'âge de 56 ans. Il laissa derrière lui une centaine de livres et d'articles dans les domaines des neurosciences.

30/03/2025

Ce serait gentil si vous vouliez bien participer à ce sondage (qui me concerne directement de par mon activité professionnelle de massothérapeute affiliée à la Fédération Française de Massage Bien-Être).

Please fill in this survey: Les Français et la relaxation : Quelle évolution depuis 2014 ?.

23/03/2025

Hoy, domingo, es mi día de descanso. Mi único trabajo es conversar contigo.

1. Fuimos
lo que seremos.

2. No podemos cambiar al mundo
pero podemos enriquecerlo.

3. Para ser libres
aceptemos lo inevitable.

4. Es inútil gritar la palabra pan
en la boca del hambriento.

5. Si el problema es pequeño
la solución es enorme.

6. ¿Si no amas el todo
cómo puedes amar algo?

7. No es nuestra la luz
de la vela que encendemos.

8. La palabra perro muerde
al que no sabe que no muerde.

9. Si fijamos la atención en una piedra:
encontraremos el amor y el milagro.

10. De abismo en abismo
surgiremos un día en pleno cielo.

11. El universo
es nuestro hijo.

12. Charco oscuro
Una rana salta
hacia la Luna

13. Eres real
porque te imagino.

14. Única verdad
la verdad de la ilusión.

15. Venimos del primer grito,
vamos hacia la extinción
de todos sus ecos.

…

Si no es aquí y ahora
es en la nada y nunca.

Un beso amistoso,
Alejandro
Photo Pascale Montandon-Jodorowsky

10/03/2025

"Notre corps engramme tout ; en lui sont contenues toutes nos pensées, nos empreintes de l’âme. Il nous livre avec exactitude notre histoire biologique et terrestre. C’est notre bibliothèque, comme l’affirmait Mère. C’est-à-dire qu’il garde en mémoire également les histoires de nos parents, et celles de nos ancêtres. Du point de vue cellulaire, le corps est cet incroyable réceptacle."

Je découvre cet article qui corrobore tellement la vision de mon travail de toucher et de massage :
https://www.inexplore.com/articles/myriam-brousse-corps-gardien-memoire-cellulaire-grand-entretien?fbclid=IwY2xjawI75G1leHRuA2FlbQIxMAABHVI5oRPmXkvS3Mp_r2e5EJiYAq80jZWWMsp5_ZsOjwLKVqstVF3QqMiyLQ_aem_DrMjuX-mpBBX_YJY4v6k4w

Grâce à un chemin thérapeutique de conscience corporelle inspiré des travaux de Mère et de Sri Aurobindo, Myriam Brousse nous invitait à plonger au plus profond de notre chair pour libérer notre esprit.

11/02/2025

Un massage par le biais d'un bon cadeau, et un avis qui met en joie :