Céline Bidon-Lemesle

Céline Bidon-Lemesle Psychologue clinicienne spécialisée en thérapie EMDR, entretien clinique etc. , je vous reçoi...

Ateliers PIFAM : Programme d’Intervention sur les Fonctions Attentionnelles et Métacognitives, réalisé par Francine Luss...
17/09/2023

Ateliers PIFAM : Programme d’Intervention sur les Fonctions Attentionnelles et Métacognitives, réalisé par Francine Lussier, Canada.

« Les ateliers PIFAM ont permis à ma fille de mieux appréhender son fonctionnement cognitif. Elle se connaît mieux et peut mettre en place des stratégies pour s’organiser et réguler ses émotions. C’est un bénéfice d’abord pour elle mais aussi pour toute la famille ».

https://www.accueilpsy.fr/articles/adolescence-enfance/le-programme-pifam-decryptage-en-images

➖Le Deuil Périnatal : groupe therapeutique➖https://www.accueilpsy.fr/ateliers-et-discussionAlors que certains deuils par...
07/04/2021

➖Le Deuil Périnatal : groupe therapeutique➖
https://www.accueilpsy.fr/ateliers-et-discussion

Alors que certains deuils paraissent insurmontables, le travail psychique personnel, s’il s’avère nécessaire, demande un investissement en tous points (psychologique, financier, logistique…).

Or, se confronter à soi, seul(e), peut parfois être vécu comme une épreuve infranchissable.

Le groupe assure une fonction "cathartique" qui renforce le travail psychique individuel et offre alors l’étayage nécessaire pour évoquer son expérience personnelle, entendre d’autres personnes dire ce que l’on ne peut nommer, guérir par les mots dits et/ou entendus, partageant les mêmes difficultés, souffrances, préoccupations, au regard de cette expérience si singulière qui réunit et unit.

Aujourd’hui, si les pratiques de groupe se sont solidement implémentées dans le champ de la psychothérapie, c’est qu’elles se sont révélées particulièrement riches et efficaces.
Elles offrent l’espoir d’une résilience, l’expérience devenant partageable et partagée.

🔹Cadre de travail
- J'anime chaque session à mon cabinet de Paris-République ainsi qu’en visio.
-Je vous propose avant tout une écoute bienveillante assortie d’une approche théorique /clinique, visant à favoriser la mise en mot des sentiments et du vécu singulier de chacun, pour lui donner un nouveau sens.
- Chaque groupe est composé de 3 à 7 participants. Il est ouvert aux femmes, aux hommes ou aux couples désireux de comprendre leurs difficultés, d'y trouver des réponses psychologiques, de transmettre de leur expérience, ou tout simplement de se retrouver au travers de divers témoignages.
- Chaque séance dure 1h15 et se renouvelle en moyenne une fois toutes les 3 à 4 semaines.
- Les dates de rdv sont établies en fonction des disponibilités de chacun durant la prise de rendez-vous.
- Pour que ce groupe de parole ait une fonction thérapeutique, chaque personne doit s'engager à participer à 3 séances consécutives minimum.
- Un groupe de parole se déroule généralement sur 3 à 8 séances de travail en fonction des thèmes abordés.

🔹Contenu de l’atelier : Deuils périnataux

- Parcours personnels et singuliers
- Fausses couches et IMG: blessures physiques et psychiques
- Rencontrer son enfant défunt
- Les rituels, hommages, cérémonies
- Le décès in-utéro et précoce d'un bébé : comment surmonter ce drame pour les parents, la fratrie, la famille plus élargie...
- Temps du deuil : remaniements psychologiques au sein du couple et de la famille.
- Les souvenirs : tisser son roman familial pour s'inscrire à nouveau dans la vie et vivre.

🔹Pour participer à ce groupe, veuillez me contacter par mail en indiquant svp :

- demande de participation au groupe therapeutique « deuil périnatal »,
- vos disponibilités,
- ainsi que vos coordonnées.

Bien à vous
Celine Lemesle
Psychologue Clinicienne, Therapeute.
celinebidon@accueilpsy.fr
www.accueilpsy.fr

18/05/2020
https://www.facebook.com/473060003132962/posts/926202164485408/?d=w
18/05/2020

https://www.facebook.com/473060003132962/posts/926202164485408/?d=w

Chers parents, chers professionnels de l'enfance,

Catherine Guéguen vient de me transférer ce communiqué de la Société Française de Pédiatrie qui demande ardemment d'assouplir les mesures de distanciation sociale pour les enfants. Un communiqué à transférer ++ autour de vous pour que les pratiques s'ajustent aux besoins de nos enfants dans les structures d'accueil.

Enfants en collectivité et COVID-19 : Lettre aux parents et aux professionnels de l’enfance – 15/05/2020


Mesdames, Messieurs,

La perspective du retour en collectivité des enfants et des adolescents marque une nouvelle étape dans cette pandémie qui a bouleversé nos vies. Il est à l’origine de très nombreuses questions et inquiétudes bien compréhensibles. La Société Française de Pédiatrie, qui rassemble les pédiatres spécialistes de l’enfant, souhaite avant tout rassurer les parents. En effet, les connaissances accumulées depuis ces 2 derniers mois confirment que l’infection à COVID-19 est une maladie bénigne chez la quasi-totalité des enfants. Les formes graves sont très rares, moins fréquentes qu’en cas de grippe ou de bronchiolite. Des cas de complications inflammatoires tardives ont aussi été décrits (Syndrome de Kawasaki) dans les régions où le virus a circulé, mais concernent un nombre limité d’enfants.

On dispose aujourd’hui d’arguments dans différents pays qui suggèrent que les enfants ne sont pas non plus « dangereux » pour les adultes. Les adultes sont plus souvent à l’origine de la transmission du virus à l’enfant que l’inverse. Les adultes doivent donc continuer à protéger les enfants d’une possible contamination tout en préservant des échanges de qualité entre adultes et enfants, et aussi entre les enfants. Les enfants ont besoin d’interactions sociales pour se développer. Il y a donc beaucoup plus de bénéfices que de risques à la reprise de la collectivité. C’est dans cet esprit que l’ensemble des spécialistes de l’enfant en France, et dans beaucoup d'autres pays, se sont prononcés unanimement pour un retour à l’école, y compris pour les enfants et adolescents porteurs de maladies chroniques. Pour les plus fragiles, quelques mesures de précaution supplémentaires aux mesures barrière seront parfois nécessaires ( https://www.sfpediatrie.com/actualites/communique- sfp-societes-specialite).

Le retour en collectivité doit être organisé en mettant en avant gestes barrières et précautions d’usage. L'apprentissage de ces gestes sera aussi très utile pour prévenir la transmission des futurs virus hivernaux comme ceux de la grippe, de la bronchiolite ou de la gastro entérite. Ces mesures barrières reposent pour les enfants essentiellement sur le lavage des mains à l’eau et au savon. Le port d’un masque dans les crèches, les écoles maternelles et primaires pour les enfants sans maladie grave n’est ni nécessaire, ni souhaitable, ni raisonnable. Les mesures de distanciations excessives (comme la suppression des espaces de jeux, l’interdiction aux enfants de jouer entre eux, ou l’impossibilité de consoler un enfant) sont inutiles voire préjudiciables. Elles seront inapplicables en pratique et risquent d’entraîner une grande anxiété particulièrement néfaste au développement des enfants : les enfants doivent pouvoir continuer à jouer entre eux sans que cela provoque des tensions. Des mesures excessives feraient également perdre sens et engagement au métier exercé auprès des enfants par les assistantes maternelles, les professionnels des crèches et des écoles. Nous allons apprendre ensemble comment adapter au mieux les mesures au fil du temps, en gardant notre bon sens.

Enfin, nous appelons les parents à la plus grande vigilance suite à cette interruption imposée dans le suivi habituel de leurs enfants. Il ne faut pas que la pandémie à COVID-19 entraine une recrudescence de méningite, de coqueluche ou de rougeole en rapport avec un re**rd vaccinal. Durant cette période, les vaccinations manquées doivent être rattrapées dès que possible pour protéger les enfants et les adolescents de microbes que l’on sait extrêmement dangereux.

Nous devons ensemble prendre soin de nos enfants en respectant leurs besoins. Il est essentiel de continuer le suivi médical de prévention indispensable à leur bonne santé et de leur permettre de retourner en collectivité. L’enjeu est d’apprendre à vivre ensemble sans peur excessive de l’autre, de s’ouvrir au monde par le jeu et les apprentissages, au contact d’autres enfants et d’adultes professionnels bienveillants.

Pr Christophe Delacourt, Président de la Société Française de Pédiatrie
Pr Christèle Gras-Le Guen, Secrétaire Général de la Société Française de Pédiatrie

Co-Signataires
Dr Martine Balençon, Présidente de la Société Française de Pédiatrie Médico-Légale
Pr Elise Launay, Présidente du Groupe de Pédiatrie Générale sociale et environnementale Dr Nathalie Vabres, Pédiatre, Co-rédactrice de la lettre

Atelier Philo Cycle des émotions (6-8 ans et 9-12 ans) - 1er Thème : « Faut il suivre sa raison ou sa passion ?» Inscri...
16/05/2020

Atelier Philo Cycle des émotions (6-8 ans et 9-12 ans) - 1er Thème : « Faut il suivre sa raison ou sa passion ?» Inscription sur www.accueilpsy.fr

Merci à Oscar Brenifier et Jacques Després pour leurs formidables illustrations et textes.
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Quelle formidable thématique que celle des émotions ? Les enfants me soufflent cette nouvelle réflexion de groupe, je les invite en retour à participer à un cycle tant la question est vaste.

«N’oublions pas que les émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu’à celles-là nous obéissons sans le savoir, V. Van Gogh.

Trouble intense de la conscience, l’émotion est un jaillissement de sensations multiformes qui provoquent des réactions physiques, pouvant se transformer et perdurer pour devenir sentiment ou passion.

Ce cycle sera teinté de références liées à l’enfance (filmographie et lectures célèbres) et aura pour intérêt de faire également découvrir aux enfants de grands auteurs incontournables, Philosophiques et de lettres : Kant, Descartes, V. Hugo, JP Sartre, A.Camus et tant d’autres...

Pour l’heure je propose de commencer avec l’un des sujets majeurs dont Khalil Gibran nous parle si bien : « La Raison et la Passion sont le gouvernail et les voiles de votre âme de marin. Que vos voiles ou votre gouvernail viennent à céder, vous ne pourrez plus que tanguer et aller à la dérive, ou vous maintenir à l'arrêt au milieu des mers.
Car la Raison, gouvernant seule, est une force limitée, et la Passion, livrée à elle-même, est une flamme qui brûle jusqu'à sa propre extinction ».

Alors, « Faut il suivre sa raison ou sa passion ?»
⠀⠀
À bientôt
Celine Lemesle
Psychologue Clinicienne ⠀⠀
www.accueilpsy.fr

Quand on est hypersensible, on approfondit la parole dans notre tête. Cela est parfois difficile à recevoir. Si la perso...
15/05/2020

Quand on est hypersensible, on approfondit la parole dans notre tête.

Cela est parfois difficile à recevoir. Si la personne est triste, cela peut être positif pour essayer de résoudre son problème.

On peut aussi parfois se faire des illusions sur ce que ressent l’autre et prendre son sentiment plus intensément que la moyenne.

Au lieu de sentir une brûlure, on sent chaque couche de peau s’enflammer...

(11 ans, HPI)

Celine Lemesle
Psychologue Clinicienne
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