Quelles sont les heures d'ouverture ?

Lundi 10:00 - 20:00 Mardi 10:00 - 20:00 Mercredi 10:00 - 20:00 Jeudi 10:00 - 20:00 Vendredi 10:00 - 20:00 Samedi 10:00 - 17:00

Sarah Frachon Volfin, 4 Rue Georges Ville 75016 Paris, Paris (2025)

25/11/2025

💺 Séance en cabinet Paris 16e

Tu veux un espace où tu peux enfin déposer ce qui te pèse… et respirer à nouveau ?

En cabinet, je t’accueille en toute confidentialité, dans un lieu chaleureux et sécurisant.

On avance ensemble pour libérer les émotions, retrouver de l’élan, du sens, et du calme à l’intérieur.

📍 Paris 16e Métro Victor Hugo/Etoile

📱 Réservations par SMS : 06 03 50 56 08

🌐 Toutes les infos dans mon lien en bio

Tu n’es plus seul(e).

On avance ensemble ✨

Paris16

23/11/2025

Tapote, le Point thymus, en lisant les phrases, ✨

EFT Ce demi-verre ne raconte pas ma force

Même si cette petite voix revient,
« Allez… un demi-verre… ça va »,
je vois bien ce qui se joue là.
Je me séduis moi-même pour retomber dans l’ancien scénario.
Et ça, je le connais par cœur.

Je sens l’envie.
Je sens la nostalgie du geste.
Comme si j’allais retrouver un truc perdu.
Comme si le verre allait m’apporter un supplément de moi.

Mais moi, je sais la suite.
Je sais le prix à payer.
Je me rappelle la gu**le de bois du cœur,
et toutes les fois où j’ai dû remonter la pente,
en me disant : « Pourquoi j’ai fait ça ? »

Aujourd’hui, je suis différemment forte.
Forte de dire non.
Forte de m’honorer.
Forte de garder mes victoires pour moi,
sans les diluer dans un demi-verre.

Je n’ai rien à prouver à l’alcool.
C’est lui qui a peur que je l’oublie.

Je respire.
Je regarde le choix qui s’ouvre devant moi.
Le choix de rester claire, alignée, présente.
Le choix de me réveiller demain avec fierté.
Le choix de continuer à écrire cette vie
qui me va bien mieux sans lui.

Je n’ai pas besoin d’un demi-verre pour exister.
Je suis assez.
Je suis là.
Je suis vivante.
Et je choisis ma liberté. ✨ Sarah Frachon – Paris 16e
📍 4 rue Georges Ville, 75116 Paris
📞 06 03 50 56 08
Prendre rendez-vous, c’est simple : un appel suffit.
Retrouvez-moi dans mon livre “Un seul point pour tout soigner”, disponible chez l’Édition Courrier du Livre,
sur les réseaux sociaux/mon site via ce lien : https://linktr.ee/sarah frachon ChangerSaVie Résilience ConfianceEnSoi CourageAuQuotidien UnJourAprèsLAautre FièreDeMoi OnAvanceEnsemble

19/11/2025

Tu veux savoir pourquoi ta vie ne bouge pas ?
Parce que tu boudes.
Parce que tu attends.
Parce que tu veux que l’autre fasse le premier pas.

Tu restes derrière ton mur intérieur, convaincu(e) que si quelqu’un tient vraiment à toi… il viendra te chercher.
Mais pendant que tu bouges pas… la vie, elle, continue. Elle passe à côté. Elle ne peut pas venir frapper à une porte fermée.

👉 Tant que tu n’avances pas vers toi-même, tu ne peux avancer vers rien d’autre.
👉 Tant que tu retiens ta main, tu retiens ton destin.

Arrête de bouder la vie.
Tends la main.
Vers toi d’abord.
Et tu verras… c’est tout le reste qui commencera à bouger. ✨

18/11/2025

• Même si j’ai parfois peur d’aller à contre-courant, je m’accepte profondément et je choisis d’écouter ma vérité intérieure.
• Même si je ressens une pression à suivre la majorité, je reconnais que ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison.
• Même si je doute parfois de ma propre voix face à celle des autres, je choisis de faire confiance à mon intuition et à mes valeurs.

• Parfois, je ressens la pression de suivre ce que tout le monde fait ou pense.
• Mais je sais que ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux qu’ils ont raison.
• J’ai ma propre vérité, et elle est précieuse.
• Aller à contre-courant peut être inconfortable, mais c’est parfois nécessaire.
• Je choisis de m’écouter, même si cela va à l’encontre de la majorité.
• Je libère la peur d’être jugé(e) ou isolé(e) pour mes choix.
• Ma voix et mes valeurs comptent, peu importe ce que pense la majorité.
• Je me fais confiance pour discerner ce qui est juste pour moi.
• La vérité n’est pas une question de quantité, mais d’alignement avec soi-même.
• Je choisis d’honorer mes convictions avec calme et force.
• Peu importe ce que les autres croient, je suis libre de suivre ma propre voie.
✨ Sarah Frachon – Paris 16e
📍 4 rue Georges Ville, 75116 Paris
📞 06 03 50 56 08
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18/11/2025

Je n’arrive pas à préparer mon travail, je bloque, je me sens vide ou sans énergie. »

🌿
EFT – Je n’arrive pas à m’y mettre

Même si je n’arrive pas à préparer mon travail,
que je me sens bloquée,
comme si tout était trop lourd,
je m’accueille complètement là où j’en suis.

Même si je sais que je dois le faire,
que je me dis “allez, vas-y”,
et qu’à l’intérieur, rien ne bouge,
je me donne le droit de comprendre que ce n’est pas de la paresse.

Même si je me sens coupable,
parce que je devrais être efficace, concentrée, organisée,
et que je n’y arrive pas,
je choisis de relâcher cette pression.

Peut-être que mon corps essaie juste de me dire :
“Tu es fatiguée, tu es saturée.”
Et si c’était ça ?
Pas un manque de volonté, juste un besoin de pause.

Je sens cette résistance.
Je sens ce poids dans ma tête, dans mon corps.
Je le laisse là, je n’ai pas besoin de le forcer à partir.

Je peux juste respirer.
Donner un peu d’espace à ce blocage.
Lui dire : “Je t’ai vu. Je t’écoute.”

Et petit à petit,
quelque chose en moi se remet en mouvement.
Pas à cause du devoir,
mais parce que j’arrête de lutter.

Je n’ai pas besoin de me pousser,
je peux me reconnecter à l’envie,
à la curiosité, à la légèreté.

Et peut-être que, doucement,
le travail va se préparer tout seul,
au moment juste,
quand mon énergie sera revenue.
✨ Sarah Frachon – Paris 16e
📍 4 rue Georges Ville, 75116 Paris
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14/11/2025

✨ Sarah Frachon – Paris 16e
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EFT – L’ado stressé à l’idée de décevoir ses parents

Tapote doucement le point thymus en lisant ces phrases…

Même si j’ai peur de décevoir,
même si j’ai l’impression que je dois toujours bien faire,
je choisis d’accueillir ce stress sans me juger.

Même si j’ai peur de ne pas être à la hauteur,
et que je me sens nul quand je n’y arrive pas,
je reconnais que je fais déjà de mon mieux.

Même si j’ai peur du regard de mes parents,
peur de les décevoir,
peur qu’ils soient tristes ou déçus de moi,
je m’autorise à respirer un peu.

Je me mets une pression énorme.
Je veux bien faire, tout le temps.
Et je me sens fatigué de devoir toujours prouver.

Parfois, j’aimerais juste qu’on me dise :
“Tu as le droit d’essayer,
le droit de te tromper,
le droit d’apprendre.”

Je choisis de relâcher un peu cette tension dans mon corps.
Je fais ce que je peux,
et c’est déjà beaucoup.

Je n’ai pas à mériter l’amour.
L’amour, ça ne se mérite pas,
ça se sent.

Je commence à me faire confiance.
À croire que j’ai le droit de grandir à mon rythme.

Et dès lors, j’ouvre les bras aux merveilles et au merveilleux

☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️

13/11/2025

tapote doucement le point thymus en lissant les phrases.

Même si mon corps est encore en alerte,
même si la respiration est courte,
même si le ventre se serre,
je reconnais tout ce que j’ai vécu ces dernières semaines.

Je reconnais l’intensité.
Je reconnais la peur.
Je reconnais la vigilance permanente.

Et là, maintenant,
je suis en sécurité.

Je laisse mon corps comprendre
que c’est fini pour de vrai.
Pas parce qu’on me le dit,
mais parce que les faits sont là :
il n’y a plus de menace en cours.

Je laisse mon système nerveux
décrocher doucement.

Je n’ai pas besoin d’y arriver d’un coup.
Juste un souffle après l’autre.
Juste un petit relâchement à la fois.

Je sens la respiration, même si elle est courte.
Je n’essaie pas de l’ouvrir,
je l’accompagne.
Je lui tiens la main.

Mon ventre parle la langue de la peur passée.
Je le remercie de m’avoir protégée.
Et maintenant, je lui murmure :
On peut se reposer.

Il n’y a rien à surveiller là, maintenant.
Rien à anticiper.
Rien à contrôler.

Je me laisse revenir.
Tout doucement.
Dans mon corps.
Dans la pièce.
Dans ce moment présent.

Je relâche d’un millimètre.
Juste un.

C’est suffisant.

Je respire comme c’est possible.
Je n’ai pas besoin de faire mieux.
Ce que mon corps fait maintenant est exact.
Je le laisse faire.

Je suis revenue ici.
Maintenant.
En sécurité.

Dès lors ouvrez les bras aux merveilles et au merveilleux.
👉 Partage ton expérience en commentaires !

✨ Sarah Frachon – Paris 16e
📍 4 rue Georges Ville, 75116 Paris
📞 06 07 03 50 56 08
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12/11/2025

On ne sait jamais ce que l’autre traverse.
Derrière un sourire, il y a parfois une tempête.
Alors choisis la douceur. Toujours.

#

11/11/2025

Je m’occupe des autres, et je m’oublie

Tapote doucement le point thymus en lisant les phrases.

Même si je m’occupe tellement des autres que je ne suis même plus dans ma propre vie,
je reconnais que j’ai appris à me sentir exister en aidant.

Même si je me mets en dernier,
comme si ma valeur dépendait de ce que je donne,
je me vois aujourd’hui.
Je me vois.

Même si c’est plus fort que moi,
je dis oui, je suis là pour tout le monde,
et je me perds en route,
je reconnais la peur derrière :
la peur de ne pas compter si je ne sauve plus.

Je sens cette habitude dans mon corps.
Cette vieille programmation.
Comme si me sacrifier = être aimé
Comme si m’oublier = être en sécurité
Comme si donner = exister

Je vois l’ancienne version de moi.
Celle qui a dû être forte trop tôt.
Celle qui a compris qu’on l’aimait quand elle soulageait.
Celle qui ne voulait décevoir personne.
Celle qui ne voulait pas être un poids.

Je l’accueille, cette part-là.
Sans jugement.

Et maintenant…

Je sens l’espace vide quand j’arrête d’aider.
Ce creux.
Ce silence.
Ce et maintenant… qui suis-je ?

Ce vide, il faisait peur.
Il faisait paniquer.
Il donnait l’impression de disparaître.

Mais aujourd’hui, je peux rester avec ce vide.
Je peux respirer dedans.
Je peux me rencontrer.

Je ne suis plus obligée de prouver ma valeur.
Je n’ai rien à gagner.
Et rien à sauver.

Je reviens chez moi.
Je me choisis.
Pas contre les autres.
Avec moi.

J’apprends à me mettre au centre,
pas en périphérie.
Je peux continuer d’aimer,
sans m’effacer.

Je peux être présente,
sans me sacrifier.

Je peux aider,
sans me perdre.

Je prends ma place, maintenant

Dès lors ouvre les bras aux merveilles et au merveilleux.
✨ Sarah Frachon – Paris 16e
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11/11/2025

Je m’occupe des autres, et je m’oublie

Tapote doucement le point thymus en lisant les phrases.

Même si je m’occupe tellement des autres que je ne suis même plus dans ma propre vie,
je reconnais que j’ai appris à me sentir exister en aidant.

Même si je me mets en dernier,
comme si ma valeur dépendait de ce que je donne,
je me vois aujourd’hui.
Je me vois.

Même si c’est plus fort que moi,
je dis oui, je suis là pour tout le monde,
et je me perds en route,
je reconnais la peur derrière :
la peur de ne pas compter si je ne sauve plus.

Je sens cette habitude dans mon corps.
Cette vieille programmation.
Comme si me sacrifier = être aimé
Comme si m’oublier = être en sécurité
Comme si donner = exister

Je vois l’ancienne version de moi.
Celle qui a dû être forte trop tôt.
Celle qui a compris qu’on l’aimait quand elle soulageait.
Celle qui ne voulait décevoir personne.
Celle qui ne voulait pas être un poids.

Je l’accueille, cette part-là.
Sans jugement.

Et maintenant…

Je sens l’espace vide quand j’arrête d’aider.
Ce creux.
Ce silence.
Ce et maintenant… qui suis-je ?

Ce vide, il faisait peur.
Il faisait paniquer.
Il donnait l’impression de disparaître.

Mais aujourd’hui, je peux rester avec ce vide.
Je peux respirer dedans.
Je peux me rencontrer.

Je ne suis plus obligée de prouver ma valeur.
Je n’ai rien à gagner.
Et rien à sauver.

Je reviens chez moi.
Je me choisis.
Pas contre les autres.
Avec moi.

J’apprends à me mettre au centre,
pas en périphérie.
Je peux continuer d’aimer,
sans m’effacer.

Je peux être présente,
sans me sacrifier.

Je peux aider,
sans me perdre.

Je prends ma place, maintenant

Dès lors ouvre les bras aux merveilles et au merveilleux.
✨ Sarah Frachon – Paris 16e
📍 4 rue Georges Ville, 75116 Paris
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10/11/2025

tapote doucement le point thymus en lisant les phrases.

Même si j’ai oublié ma force,
même si je me suis crue plus petite que je ne suis,
je suis là, avec moi.

Même si je me compare,
même si je doute,
même si parfois je m’efface,
je reconnais qu’il y a en moi
un courage ancien, un souffle vaste, une présence solide.

J’entends encore cette voix qui dit
“tu n’es pas assez”.
Je la connais.
Je la laisse parler…
et je n’ai plus besoin de la croire.

Je sens en moi
la part qui se lève
quand la vie demande d’avancer.

Je reconnais cette lumière discrète
qui était là depuis toujours.

Je ne force rien.
Je ne prouve rien.
Je reviens à moi.

Je me redresse intérieurement.
Je me rappelle :
je suis plus courageuse que je ne le crois,
plus forte que je ne le parais,
plus intelligente que je ne le pense.

Je me le dis doucement.
Je me le dis avec sincérité.
Je me le dis avec tendresse.

Et même si une part de moi résiste encore,
je la prends par la main.

Aujourd’hui, je choisis de me voir telle que je suis vraiment.
Je choisis d’habiter ma puissance tranquille.
Je choisis de marcher avec moi.

des lors ouvre les bras aux merveilles et au merveilleux.

Sarah Frachon Volfin

25/11/2025

23/11/2025

19/11/2025

18/11/2025

18/11/2025

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