#AlerteSanté : Episode Caniculaire, ayez les bons réflexes !
Un épisode caniculaire est en cours. Soyez donc VIGILANTS pour ne pas souffrir de la #canicule.
Voici quelques conseils simples à adopter par tous, mais surtout par les personnes fragiles les plus à risques (+ de 65 ans, personnes handicapées ou malades à domicile, personnes dépendantes, femmes enceintes…) :
- Buvez régulièrement de l’eau sans attendre d’avoir soif
- Rafraîchissez-vous et mouillez-vous le corps (au moins le visage et les avants bras) plusieurs fois par jour
- Mangez en quantité suffisante et ne buvez pas d’alcool
- Evitez de sortir aux heures les plus chaudes et passez plusieurs heures par jour dans un lieu frais
- Evitez les efforts physiques
- Maintenez votre logement frais (fermez fenêtres et volets la journée, ouvrez-les le soir et la nuit s’il fait plus frais)
- Les personnes fragiles doivent penser à donner régulièrement de leurs nouvelles à leurs proches et, dès que nécessaire, oser demander de l’aide
En amont des fortes #chaleur, les personnes fragiles peuvent par ailleurs, en lien avec leur entourage :
- Prévoir le matériel nécessaire pour lutter contre la chaleur : brumisateur, ventilateur….
- Faire une liste des lieux climatisés (ou frais) où se rafraîchir près de chez elles : grande surface, commerce, cinéma, musée…
- Ne pas hésiter à demander conseil à leur médecin traitant, tout particulièrement en cas de problème de santé ou de traitement médicamenteux régulier (adaptation de doses par exemple).
Si vous connaissez des personnes âgées, handicapées ou fragiles qui sont isolées, incitez les à s’inscrire sur la liste mise à leur disposition par chaque mairie afin de recevoir de l’aide de bénévoles, et, pendant une vague de chaleur, prenez de leurs nouvelles régulièrement.
Surveillez la carte de vigilance de Météo France : bit.ly/18J2Qkp
Numéro Vert Canicule Info Service : 0 800 06 66 66
#Phar
#ConseilBébé : Qu’est ce que la diversification alimentaire chez les bébés ?
Plus de goûts, plus de textures, plus de nouveautés, plus de « miam »... la #diversification correspond au passage d’une alimentation exclusivement constituée de lait à une #alimentation variée.
Elle débute entre 4 et 8 mois et se poursuit graduellement jusqu’à l’âge de 3 ans. Votre enfant va doucement élargir sa palette de goûts, de saveurs et de textures.
Que vous choisissiez de donner le sein ou le biberon, jusqu’à l’anniversaire de ses 4 mois, un #enfant ne doit prendre que du lait, sans rien d’autre.
Dès sa naissance, un enfant prend naturellement les quantités de lait dont son corps a besoin et cela continue après quand vous lui proposez d’autres aliments.
Au début de la diversification, entre 4 et 6 mois, il goûte une puis quelques cuillères à café ; puis progressivement, son appétit et ses capacités de #digestion augmentent.
Il est possible qu’au moment où il commencera à manger tout seul, votre enfant mange moins. Rappelez-vous aussi que son appétit peut varier d’une journée à l’autre.
A partir de 6-8 mois, on touche, on mâche, on découvre : faites-lui découvrir de nouvelles #textures et expérimenter de nouvelles manières de manger.
Introduisez une seule nouvelle texture par repas. Si vous donnez des petits pots, variez les marques et les recettes, la consistance et la taille des morceaux varient d’un produit à l’autre.
Évitez de lui donner à manger en dehors des repas « pour compenser » ; en ne mangeant qu’aux repas et au goûter, il lui sera plus facile d’être à l’écoute de son appétit et d’avoir faim quand il passe au repas.
En ce qui concerne le rythme des repas, il est de 4 par jour dès 6-8 mois : petit déjeuner, déjeuner, goûter et dîner.
Quelques signes de faim de l’enfant : il pleure, agite vivement bras et jambes, ouvre la bouche quand le biberon ou la cuillère approche.
#PréventionSanté : Bébé secoué, bébé en danger !
Le syndrome du #bébé #secoué (SBS) fait plusieurs centaines de victimes chaque année. 1 victime sur 10 en décèdera et les 3/4 des survivants auront des séquelles graves.
Le #SBS survient lorsque l'on secoue violemment un jeune enfant, généralement provoqué par un adulte, dans le déni de la gravité de son acte et souvent exaspéré par les pleurs du bébé.
L’adulte empoigne l’enfant, le secoue pour le faire taire, et la tête du bébé est projetée en tous sens.
Il représente la forme la plus grave de traumatisme crânien de l’enfant.
En effet, la boîte crânienne de celui-ci encore trop fragile et large, le cerveau va alors percuter cette dernière et provoquer une hémorragie qui aura des séquelles irréversibles. Le bébé peut alors arrêter de respirer et des lésions cérébrales, oculaires et de la moelle épinière peuvent survenir.
Ce traumatisme crânien est fréquent chez les #nourrissons de moins de un an.
A l'occasion de la Journée Nationale du "Syndrome de l'enfant secoué" qui se tiendra demain, le gouvernement a lancé, en janvier dernier, sa nouvelle campagne de sensibilisation "Stop bébé secoué".
Une courte vidéo sur la maltraitance infantile, qui ne montre pas explicitement les dangers de ce syndrome mais se veut glaçante pour sensibiliser davantage les parents.
Secouer un bébé pour le faire taire lorsqu'il pleure est une « maltraitance qui peut être mortelle », c'est le message que veut faire passer ce spot.
De lourdes conséquences sont à craindre pour le bébé telles que :
- troubles de la parole, du comportement et de l'attention.
- déficiences intellectuelles, visuelles et de motricités.
- des crises épileptiques.
A savoir : toute tentative de maltraitance infantile est une infraction pénale.
Deux numéros verts :
- un numéro d'urgence : la ligne « Allo Enfance en Danger » 119,
- un numéro d'aide et d'écoute : la ligne « Allo Pare
#ActuSanté : Mon Espace Santé, à quoi sert le nouveau carnet de santé numérique ?
Après une phase de test dans trois départements (Haute-Garonne, Loire-Atlantique, Somme), Mon Espace Santé a été lancé le 3 février sur la totalité du territoire français.
C'est un espace numérique, personnel et sécurisé permettant de regrouper toutes les données de santé d'une personne. Son objectif est double : permettre aux individus d'être acteurs de leur santé et en faciliter le suivi par les professionnels de santé.
Désormais, les professionnels de santé ne sont pas les seuls à pouvoir alimenter le dossier médical : le patient a aussi la main et peut ajouter ou masquer des documents.
Si vous disposiez d'un dossier médical partagé, comme dix millions de Français, les données qui s'y trouvaient ont été intégrées à votre espace santé automatiquement.
Mon espace santé permet de stocker et de consulter toutes les données liées à sa santé : ordonnances, résultats d'analyses biologiques, images et comptes-rendus d'imagerie, historique de remboursements, attestations de vaccination, tests covid, comptes-rendus d'hospitalisation...
Le patient peut télécharger lui-même dans son dossier les documents qu'il souhaite ou bien autoriser les professionnels de santé à alimenter son dossier au fur et à mesure de son parcours de soin, et peut compléter son profil personnel pour renseigner d'éventuelles allergies ou communiquer ses directives anticipées.
Il s'agit d'un véritable carnet de santé numérique.
Mon espace santé permet de limiter la perte de documents de santé ou l'oubli de ceux-ci par les patients lors de la consultation médicale.
Mon espace santé facilite aussi la coordination entre professionnels de santé grâce au partage de documents.
D'autres services seront progressivement intégrés à mon espace santé : une messagerie électronique, un agenda médical, et d'autres services numériques.
+ d'infos : www.monespac
#InfoSanté : Tout savoir sur l'origine des acouphènes !
Les acouphènes sont des bruits que l’on entend dans une oreille ou dans sa tête. Le son perçu est différent selon les personnes et peut ressembler à un bourdonnement, un sifflement, un grincement, une sonnerie, un chuintement, un vrombissement, un gazouillis, un cliquetis...
Ces symptômes sont souvent liés à un traumatisme acoustique ou au vieillissement de l’oreille.
Le bruit entendu survient soit brutalement à l'occasion d'un évènement, soit progressivement. Il est constant ou intermittent.
Les sons qui se propagent dans l'air sont des vibrations plus ou moins rapides. Quand elles parviennent à nos tympans, elles les font donc vibrer à leur tour.
Les vibrations sont transmises à l'oreille interne, qui transforme les vibrations en signaux électriques, qui passent par les nerfs acoustiques, jusqu'au tronc cérébral et au cerveau.
Les #acouphènes viennent alors d'une perte d'audition due à un problème d'oreille interne associée à une réaction "disproportionnée" du cerveau qui crée ces sons imaginaires.
Après 60 ans, 10 à 20% des personnes ont des acouphènes à un moment ou à un autre. Le principal facteur de risque des acouphènes est une perte auditive, une #surdité.
Chez les jeunes, la principale cause de perte d'audition correspond aux traumatismes sonores.
Chez les moins jeunes, la principale cause est la presbyacousie, c'est-à-dire la baisse d'audition qui intervient assez souvent avec les années.
Les bons gestes à adopter pour l’écoute au casque ou avec des écouteurs :
- limiter le volume à moitié du maximum de l’appareil et limiter la durée d’écoute
- utiliser les casques ou écouteurs fournis avec l’appareil, ils garantissent un volume sonore de 100dB maximal autorisé
- ne pas augmenter le volume pour couvrir les bruits ambiants
- ne pas s’endormir avec des écouteurs en fonctionnement
+ d'infos : bit.ly/3JINQFT - Suite de la Vidéo : bit.
#ConseilSanté : Gérer les troubles du sommeil chez l'enfant
Chez l'enfant, les troubles du #sommeil sont fréquents et le perturbent. Ils se manifestent à partir de 4 ans : insomnies, hypersomnies et des parasomnies telles que les terreurs nocturnes et le somnambulisme.
Tout ce que l'enfant a emmagasiné durant la journée comme informations, images, frustrations... vient nourrir un imaginaire qui prend parfois des formes effrayantes.
De nombreux facteurs extérieurs sont en cause dans leur survenue :
- fatigue
- fièvre
- activité physique intense
- environnement de sommeil bruyant
- situation « stressante »
Souvent, les parasomnies sont sans gravité et tendent à disparaître avec le temps. Vous pouvez adopter de bons réflexes pour aider à les faire disparaître :
1. Ne paniquez pas : les cauchemars font partie de l'évolution normale de l'enfant et lui permettent même de mieux canaliser ses #angoisses et ses pulsions.
2. Calmez-le et rassurez-le : parlez doucement, sans stress, allumez une lumière très douce, prenez-le dans vos bras et bercez-le doucement, laissez-le s'apaiser avant de le recoucher.
3. Parlez-lui du #cauchemar au petit-déjeuner, voire faites-le lui dessiner pour exorciser ses peurs.
Si le cauchemar est récurrent et fréquent sans aucun signe d'apaisement, consultez un pédiatre pour en déterminer les causes et évitez les conséquences telles que :
- troubles du caractère
- somnolence durant la journée
- difficultés d’apprentissage
- risque de développer un surpoids.
L'enfant s'assied dans son lit (ou se lève), hurle, s'agite, garde les yeux ouverts, présente un visage marqué par l'effroi... mais il dort... c'est une terreur nocturne !
Parlez-lui lentement et calmement en établissant un contact physique léger (une main posée sur l'épaule) mais en veillant à ne pas le réveiller !
Sans danger mais impressionnantes, les terreurs nocturnes ne doivent cependant pas inquiéter les parents.
+ d'infos : bit.ly/3K
#InfoSanté : La fièvre chez l'enfant
Comment prendre la température ? Que faire pour faire baisser la fièvre ? Quels sont les signes d’inquiétude et quand consulter ? Retrouvez les conseils du CHU d’Angers à travers cette animation pédagogique.
La fièvre n’est pas une maladie, mais plutôt le signe d’une maladie. La plupart du temps, la fièvre indique que l’organisme se bat contre une infection virale ou bactérienne. L’élévation de la température activerait le système immunitaire de votre enfant.
La #fièvre est donc un allié naturel qui témoigne de l’efficacité des mécanismes de défense du corps, plutôt qu’un ennemi à combattre.
En elle-même, la fièvre est le plus souvent sans gravité mais nécessite un traitement si :
- elle dépasse 38,5 °C
- elle persiste plus de 2 jours
- votre enfant a moins de 3 mois
- elle est mal supportée
La température du corps est de moins de 37,5 °C le matin et moins de 37,8 °C le soir.
On parle de fièvre si elle dépasse 38 °C lorsqu'elle est prise chez un enfant normalement couvert, non exposé à une atmosphère très chaude et n'ayant pas fait une activité physique intense avant la prise de température.
Prenez sa température à distance des repas, après 20 minutes de repos et en utilisant un thermomètre électronique (ceux à mercure sont aujourd'hui interdits).
Respectez l'hygiène et le mode d'emploi et en fonction de la voie choisie, pensez à majorer la température :
- voie rectale : la plus précise, elle ne nécessite pas de majoration de température.
- voie auriculaire (conduite de l'oreille) : déconseillée avant 2 ans, elle permet une mesure précise, mais difficile à utiliser chez l'enfant (conduit étroit, mouvements de l'enfant, résultat perturbé par la présence d'un bouchon de cérumen).
- voie buccale (enfants de + de 5 ans) : majorez la température de 0,5 °C
- voie axillaire (sous l'aisselle) : peu précise mais utile pour avoir une évaluation
#EvénementSanté : Lutter contre la propagation du SIDA
La Journée Mondiale de Lutte contre le #Sida aura lieu demain. Il s'agit d'un événement visant à prévenir les risques du Sida et à soutenir les personnes touchées.
Un quart des personnes atteintes du #virus l'ignore encore, et le dépistage précoce permet un traitement plus efficace en cas de contamination, à condition qu'il débute tôt.
Aujourd'hui, 38 millions de personnes vivent avec le #VIH dans le monde.
Il n'y a que trois modes de transmission :
- Rapports sexuels non protégés
- Sang (échange de sang)
- Transmission de la mère à l'enfant pendant la grossesse, l'accouchement et l'allaitement.
Par conséquent, les baisers, piqûres de moustiques, soins dentaires ne propageront pas le VIH.
Si le préservatif reste indispensable pour prévenir tout risque, les personnes recevant un traitement antirétroviral tel que prescrit quotidiennement ne risquent pas de transmettre le virus à des partenaires séronégatifs car la charge virale devient indétectable et donc incapable de transmettre le virus.
Bien que le traitement puisse permettre aux personnes infectées par le VIH de « vivre mieux », elles ne peuvent pas être guéries.
Sans traitement, le #VIH peut provoquer le Sida, stade le plus avancé de l'infection par le VIH.
Les personnes atteintes du SIDA sont donc inévitablement infectées par le VIH.
Le niveau de dépistage est particulièrement insuffisant chez les personnes de plus de 50 ans, qui représentent 20 % des diagnostics, et le diagnostic d'infection est souvent trop tardif.
Si vous prenez un risque ou renoncez à l'utilisation du préservatif dans le cadre d'une relation ou d'un projet de grossesse, le dépistage vous permettra de savoir si vous êtes infecté par le VIH.
Le dépistage se fait avec :
- Une prise de sang
- Un test rapide d'orientation biologique (Trod)
- Un autotest VIH vendu en pharmacie qui adopte un procédé identique au Trod
+ d'infos : bit.
#ActuSanté : Trier pour lutter contre l'Antibiorésistance
L’antibiorésistance est le phénomène qui consiste, pour une bactérie, à devenir résistante aux antibiotiques. Cela touche aussi bien les bactéries à l’origine des infections que les bactéries inoffensives qui sont présentes sur notre corps, chez les animaux et dans l’environnement.
L’antibiorésistance pourrait devenir l’une des principales causes de mortalité dans le monde si le phénomène n’est pas enrayé de façon collective.
On estime le nombre de morts dans le monde à 10 millions de personnes en 2050.
Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections bactériennes mais inutiles contre les infections dues aux virus. Toutefois, à tort, certaines maladies virales font tout de même l’objet de prescription d’antibiotiques.
Lorsqu’un antibiotique est utilisé de façon répétée, massive ou inappropriée (traitement trop court, trop long ou dosage inadéquat), les bactéries s’adaptent et acquièrent des mécanismes de défense nouveaux contre cet #antibiotique.
Elles deviennent résistantes à son action. Certaines bactéries sont mêmes résistantes à plusieurs familles d’antibiotiques.
Certaines infections deviennent plus difficiles à soigner faute de disposer d’antibiotiques efficaces : maladie plus longue, plus de complications, d’hospitalisation et une hausse de la mortalité.
La surconsommation d’antibiotiques dans les élevages est également responsable de l’apparition de résistances bactériennes.
Pour préserver l’efficacité de ces médicaments :
- N’utilisez que l’antibiotique prescrit par votre médecin
- Respectez strictement votre ordonnance
- Ne réutilisez jamais un antibiotique sans prescription médicale
- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne
Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre #pharmacien les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée.
+ d'infos : b
#ÉvénementSanté : ELA, mets tes baskets et bats la maladie !
#ELA est une association européenne de parents et de patients qui a été créée en 1992 afin de lutter contre les #leucodystrophies.
Motivés et informés, ils se partagent les responsabilités au sein d’ELA et s’unissent pour respecter des objectifs clés :
• aider et soutenir les familles concernées par cette maladie,
• stimuler le développement de la recherche,
• sensibiliser l’opinion publique,
• développer son action au niveau international
Les leucodystrophies, c’est quoi ?
Ce terme désigne un ensemble de #maladies génétiques qui affecte la #myéline au niveau du système nerveux central.
La myéline est une substance blanche présente dans le cerveau et la moelle épinière. Elle enveloppe les fibres nerveuses, et assure ainsi la bonne conduction des messages nerveux. Les leucodystrophies sont rares (moins de 200 enfants par an sont touchés) mais elles surviennent aussi bien chez les enfants que chez les adultes.
Celles-ci se caractérisent par la destruction progressive du système nerveux et plus particulièrement de la myéline.
Courant octobre et depuis 1994, l’Association ELA invite tous les établissements scolaires, du primaire jusqu’à l’enseignement supérieur, à se mobiliser pour lutter contre les leucodystrophies à travers sa campagne « Mets tes baskets et bats la maladie ».
Depuis 1996, cette campagne est parrainée par le Ministère de l’Éducation Nationale.
Cet événement permet à ELA de financer la recherche médicale et de soutenir les familles. Il s'organise en 3 temps forts :
• la dictée d’ELA : Chaque année, des milliers d’établissements scolaires participent au lancement de cette campagne en incitant les élèves à écrire une dictée.
• mets tes baskets pour ELA : événement sportif, culturel ou éducatif comme une course.
• le Prix Ambassadeur ELA : cérémonie organisée par l’Association afin de réc