01/11/2025
SUJET 1 : Quand le corps en sueur devient une arme spirituelle
Introduction : Au-delà de la salle de sport, le champ de bataille spirituel
Dans notre époque moderne, le sport est souvent perçu à travers le prisme de la performance, de l'esthétique ou du simple bien-être physique. On le résume à des séances de musculation, des courses sur tapis roulant et des playlists énergisantes. Pourtant, cette vision réducteur occulte une dimension beaucoup plus profonde, une dimension que les traditions spirituelles, et particulièrement la tradition islamique, ont toujours comprise : le corps n'est pas un simple véhicule, mais une forteresse. Dans le contexte de la roqya charia et de la protection contre les maux invisibles comme le mauvais œil (hasad), la sorcellerie (sihr) et l'influence des djinns, le sport se révèle être une arme redoutable, un rituel de purification et de renforcement. Comment une activité physique peut-elle devenir un bouclier contre les énergies négatives ? Et comment, concrètement, intégrer cette pratique dans une routine de guérison spirituelle, que l'on soit à Paris ou ailleurs ? Plongeons au cœur de cette synergie entre le corps et l'âme.
1. Le sport selon la Sunna : un acte d'adoration oublié
L'Islam, loin d'être une religion qui prône l'ascétisme total ou la négligence du corps, appelle à l'équilibre. Le corps est un trust (amanah) confié par Allah, et en prendre soin est une forme de culte. Le Prophète Muhammad ﷺ a établi ce principe avec une clarté limpide dans un hadith fondamental rapporté par Muslim : « Le croyant fort est meilleur et plus aimé d’Allah que le croyant faible. » Cette force n'est pas seulement physique, elle englobe la force de la foi, la force de caractère et la résilience face aux épreuves. Un corps sain et vigoureux est le support d'une âme saine et résiliente.
Le sport n'est donc pas une importation culturelle occidentale, mais une sunna vivante, une pratique du Prophète ﷺ et de ses compagnons. Analysons quelques exemples :
La natation : Le Prophète ﷺ a conseillé : « Apprenez à vos enfants la natation, le tir à l'arc et l’équitation. » La natation développe la maîtrise du souffle, la coordination et la force de tout le corps. Spirituellement, l'eau est un élément purificateur. S'immerger et mouvoir ses bras et ses jambes dans l'eau peut être vu comme un rituel de nettoyage des énergies stagnantes, une sorte de hijama liquide qui lave non seulement la peau mais aussi l'aura.
La course à pied : Anas ibn Malik rapporte que le Prophète ﷺ avait une course avec Aïcha (qu'Allah l'agrée) et qu'il la battait. Plus t**d, quand Aïcha avait pris du poids, il courut de nouveau avec elle et la laissa gagner. La course n'est pas seulement un exercice cardiovasculaire ; elle est ici associée à la joie, à la complicité conjugale et à l'humilité. Sur le plan spirituel, courir, c'est fuir les tentations, c'est se dépasser pour atteindre un objectif, et c'est une métaphore de la course vers Allah.
La lutte : Le Prophète ﷺ a lui-même lutté contre Rukana, un champion connu de La Mecque, et l'a vaincu. Ce n'était pas un simple divertissement. C'était une démonstration de force, de maîtrise de soi et de stratégie. La lutte enseigne à contrôler son adversaire, à utiliser sa force contre lui. Dans le cadre de la roqya, cela symbolise la capacité du croyant à lutter contre les djinns et à ne pas se laisser dominer par leur influence.
Conclusion spirituelle : Un corps faible, apathique et négligé devient un terrain fertile pour le sihr. La léthargie physique ouvre la porte à la léthargie spirituelle, rendant la personne plus vulnérable aux whispers (waswasa) des démons. À l'inverse, un corps fort, endurant et discipliné est une forteresse. Il y a moins de "portes ouvertes" pour les entités négatives. La volonté de se lever pour s'entraîner renforce la volonté de résister au mal. Pour transformer votre séance de sport en acte d'adoration, commencez par dire "Bismillah" (Au nom d'Allah) avec l'intention (niyyah) de fortifier votre corps pour mieux servir Allah. Terminez par la récitation de la Fatiha pour sceller votre effort et demander la protection divine.
2. Science moderne : comment le sport expulse les énergies négatives
La science moderne, sans parler de djinns ou de sihr, confirme de manière étonnante les bienfaits purificateurs et protecteurs du sport, qui peuvent être interprétés comme des mécanismes d'expulsion des énergies négatives.
A. Sur le plan physique :
Mécanisme Effet anti-sihr et anti-énergies négatives
Transpiration La sueur n'évacue pas seulement les toxines physiques. Dans de nombreuses traditions, elle est vue comme un moyen d'évacuer les charges émotionnelles et énergétiques stagnantes. Une séance de sport intense qui fait transpirer abondamment est comparable à une séance de hijama spirituelle : elle "aspire" l'énergie viciée, le poids de la tristesse et les résidus du hasad.
Circulation sanguine Le sport booste la circulation sanguine, envoyant plus d'oxygène et de nutriments à toutes les cellules, y compris le cerveau. Un cerveau bien oxygéné fonctionne mieux, la pensée est plus claire, le discernement est plus aiguisé. Cela réduit l'emprise mentale qu'un djinn ou un sort de sorcellerie pourrait tenter d'exercer, en brisant le brouillard mental et la confusion qu'ils engendrent.
Endorphines Souvent appelées "hormones du bonheur", les endorphines sont des analgésiques naturels. Elles bloquent la douleur physique, mais aussi la douleur spirituelle. L'angoisse, la lourdeur et la tristesse profonde, souvent des symptômes du mauvais œil ou du sihr, peuvent être atténuées par cette chimie cérébrale.
Une étude menée en 2023 par une institution prestigieuse comme Harvard a démontré que 30 minutes d'exercice modéré par jour pouvaient réduire les symptômes d'anxiété de près de 40%. L'anxiété est une porte d'entrée majeure pour les attaques spirituelles ; en la réduisant, le sport ferme cette porte.
B. Sur le plan psychologique :
Dopamine : Souvent appelée "hormone de la motivation", la dopamine est libérée lors d'une activité physique. Elle chasse l'apathie et la démotivation, des états fréquemment induits par la sorcellerie de blocage. En retrouvant l'envie d'agir et de progresser, la personne reprend le contrôle de sa vie, ce qui est un acte de défiance contre le sortilège.
Sérotonine : Ce neurotransmetteur régule l'humeur. Un taux stable de sérotonine apporte un sentiment de calme et de bien-être. Cela stabilise l'humeur, réduisant les sautes d'humeur, les crises de larmes ou les accès de colère irrationnels qui peuvent être des manifestations de la présence d'un djinn.
Méditation en mouvement : Une course à pied, une séance de natation ou de boxe peuvent devenir une forme de dhikr actif. Le rythme répétitif des pas, des coups ou des brassées permet de vider l'esprit des pensées parasites et de se concentrer sur son corps et sa respiration. C'est une forme de méditation qui ancre la personne dans le moment présent, la rendant moins accessible aux influences extérieures.
Témoignage : « Pendant des années, j'ai fait des crises nocturnes. Je me réveillais en sursaut, avec une sensation de présence oppressante. J'ai suivi une roqya, mais les crises persistaient. Mon raqi m'a conseillé de reprendre le sport. J'ai choisi la boxe. Au début, c'était dur. Mais petit à petit, en frappant le sac, je sentais que je libérais une colère et une peur que je n'expliquais pas. Après trois mois, les crises ont totalement disparu. Mon corps était devenu trop fort, trop "vivant" pour que cette entité puisse rester. » – Fatima, 28 ans, Paris.
3. Le sport comme hijama spirituelle : une comparaison choc
La hijama (ventouses scarifiées) est une thérapeutique prophète reconnue pour son pouvoir à extraire le sang vicié et les énergies nocives. Le sport, à sa manière, est une forme de hijama quotidienne et globale.
Hijama (Ventouses) Sport (Activité Physique)
Action ciblée : Aspire le sang vicié en des points précis du corps. Action globale : Aspire l'énergie viciée de tout le corps par la transpiration et le mouvement.
Fréquence : Pratiquée de manière ponctuelle (ex: une fois par mois ou par saison). Fréquence : Peut être pratiquée quotidiennement, assurant un nettoyage constant.
Passive : La personne reçoit le traitement. Active : La personne est l'acteur de sa propre purification.
Alors que la hijama est une intervention chirurgicale spirituelle pour les cas profonds de sihr, le sport est l'entretien quotidien. C'est la différence entre dératiser sa maison en profondeur une fois par an et nettoyer tous les jours pour ne laisser aucune chance aux nuisibles de s'installer.
Comment intégrer le sport dans votre routine de roqya à Paris ?
Définissez votre intention (Niyyah) : Avant chaque séance, dites-vous que vous le faites pour la face d'Allah, pour fortifier votre corps et votre âme contre le mal.
Choisissez une activité que vous aimez : Que ce soit la course dans les parcs parisiens comme le Bois de Vincennes, la natation dans une piscine municipale, la boxe dans un club de quartier ou le yoga à la maison, l'important est la régularité.
Ritualisez votre pratique : Commencez par Bismillah. Vous pouvez écouter du Coran ou des évocations (dhikr) pendant votre effort. Terminez par des invocations de protection (ta'awwudh) et par la Fatiha.
Soyez patient : Les effets ne sont pas toujours instantanés. La construction d'une forteresse prend du temps. Mais chaque goutte de sueur est une brique ajoutée à vos murs spirituels.
En conclusion, le sport est bien plus qu'un simple hobby. C'est une sunna, une science et une thérapie spirituelle. En prenant soin de votre corps, vous activez un puissant mécanisme de défense contre les énergies négatives, le hasad et le sihr, transformant chaque effort physique en une victoire sur le plan invisible.
Pour tous renseignement et prise de rendez-vous pour la roqya, appelez au 0768564220
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