Association des POrteurs de Dispositifs Electriques Cardiaques

21/11/2025

Notre déléguée Auvergne Rhône Alpes et son mari représentent l’APODEC, à la 3e journée Quart Sud-Est Centre de Référence des troubles du Rythme Cardiaque à Lyon, hôpital Louis Pradel 🥳.

14/11/2025

Le CMARY organise le 25 novembre 2025 de 10h à 16h à l’hôpital Haut-Leveque du CHU De Bordeaux, une journée dédiée à la fatigue😴 si vous êtes intéressés par cette thématique et souhaitez y participer envoyer un mail à l’adresse 👉 cmary@chu-bordeaux.fr

13/11/2025

30/10/2025

28/10/2025

Message de France Asso Santé.

🚗 Halte au non-remboursement du contrôle médical d’aptitude à la conduite !

L'APODEC, aux côtés de 10 autres associations, interpelle le ministère de l’Intérieur pour demander la prise en charge du contrôle d’aptitude à la conduite obligatoire pour raisons de santé.

Aujourd’hui, ce contrôle, facturé 36 €, pourrait passer à 50 € d’ici fin 2025. Une hausse injuste et discriminatoire pour les personnes concernées qui font déjà face à un reste à charge important.

⚠️ Les personnes malades ne doivent pas payer le prix de leur pathologie. Tant que cette visite ne sera pas remboursée, nous refusons toute augmentation de son coût.

🚗 Ne laissons pas le coût du contrôle médical d’aptitude à la conduite créer de nouvelles inégalités !

L'APODEC, aux côtés de 10 associations de personnes atteintes de pathologies chroniques, en situation de handicap ou de perte d’autonomie, demande au ministère de l’Intérieur de prendre en charge intégralement la visite médicale obligatoire pour renouveler son permis lorsqu’on vit avec une maladie chronique, rare ou invalidante.

💶 Aujourd’hui, cette consultation est facturée 36 €, et pourrait monter jusqu’à 50 € d’ici fin 2025.
Un montant entièrement payé par les personnes concernées, alors qu’elles ne sont en rien responsables de leur maladie.

Cette situation est injuste et discriminante.
L’accès à la mobilité ne doit pas dépendre du portefeuille.

👉 Nous demandons :

Une prise en charge totale de ce contrôle.
Une égalité de traitement entre tous les citoyens.
Le gel immédiat de toute hausse tarifaire tant que la prise en charge n’est pas mise en place.
S’engager pour la mobilité, c’est s’engager pour l’autonomie et la dignité. Nous ne lâcherons pas. ✊

18/10/2025

Une réunion régionale HAUTS DE FRANCE avec beaucoup d’échanges et de convivialité entre porteurs.
Une intervention instructive du Dr Romain SELLIER du CH de Valenciennes.
De la bonne humeur et de l’espoir pour l’ensemble des participants.

21/07/2025

🗣️ REPONDRE AUX QUESTIONS (PARFOIS BÊTES) DES AUTRES,

📌 Les gens ne savent pas toujours comment réagir…

Quand on leur parle de défibrillateur ou de pacemaker, certaines personnes sont bienveillantes, d’autres maladroites, curieuses… ou franchement à côté de la plaque.

“T’as un truc dans le cœur ?”
“Et tu le sens quand ça choque ?”
“Ça fait bip dans les portiques ?”
“Tu peux aller à la piscine quand même ?”
“Et… t’as le Wi-Fi dans la poitrine ?” 😅

Même si ça peut agacer, ces remarques sont souvent dues à une méconnaissance ou à la peur. Alors, comment y répondre… sans s’énerver (ou pas trop) ?

💡 Quelques stratégies utiles (et drôles)

1. Réponse pédagogique : pour éduquer sans juger

“C’est un petit boîtier qui surveille mon cœur. Il peut envoyer un choc si besoin. C’est très encadré, je suis bien suivi.”

🔹 Idéal avec les proches, les collègues, les ados un peu curieux…
🔹 Bonus : ça fait avancer la cause des porteurs et ça démystifie.

2. Réponse “second degré” : pour désamorcer gentiment

“Oui, j’ai une alarme cardiaque intégrée.”
“Je suis le prototype français d’Iron Man, mais en plus calme.”
“Non, je ne capte pas la 5G avec. J’ai demandé pourtant.”

🔹 Parfait pour détendre l’atmosphère, ou éviter de rentrer dans les détails.

3. Réponse courte et ferme : quand on veut couper court

“Je préfère ne pas en parler, merci.”
“C’est personnel. Tout va bien.”

🔹 Vous avez parfaitement le droit de ne pas répondre.
🔹 C’est vous qui décidez de ce que vous partagez.

💬 Témoignage

“Quand j’ai dit à ma voisine que j’avais un défibrillateur, elle m’a demandé si j’étais contagieuse…
J’ai répondu : seulement pour le bon goût ! Depuis, elle me fiche la paix.”
— Josette, 71 ans, porteuse depuis 2011

🤝 Un conseil APODEC

Si une remarque vous blesse ou vous fatigue, parlez-en. Ne laissez pas les mots des autres vous abîmer. Ce que vous portez est un bijou technologique, pas un fardeau honteux.

📎 Retrouvez plus de ressources pour affronter les idées reçues et les clichés
👉 sur www.apodec.fr